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lundi 12 janvier 2015

Etat voyou complice ! Depuis le 18 décembre 2014, la police n'avait même pas interpellé le discret élève infirmier Farid Benyettou qui a recruté les assassins de Charlie, de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi ! Le "gourou" des ribafascistes Chérif Kouachi, Said Kouachi et Boubaker Al Hakim tranquillement en liberté !

Quand Farid Benyettou recrutait les assassins de Charlie,
de Chokri Belaid et de Mohamed Brahmi
les ribafascistes Chérif Kouachi, Said Kouachi
et Boubaker Al Hakim.image atheisme.org
par Yanick Toutain
Revactu
12/1/15



"Entendu par les enquêteurs dès 2005 sur sa relation avec Farid Benyettou, Chérif Kouachi déclarait devant les enquêteurs à propos des cours coraniques dispensés par son mentor : « J'avais vraiment l'impression que la vérité était là, devant moi, quand il parlait. »" (Adrien Cadorel  Le Parisien 11/1/15)


18 Décembre 2014
C'est une vidéo exclusive de Tunisie-Secret qui a révélé dès 2013 et plusieurs fois réitéré depuis que Boubaker Al-Hakim est l’assassin de Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi. Maintenant qu’il est à l’abri en Irak, ce psychopathe vient de le revendiquer dans un message vidéo. TS a aussi révélé le 7 décembre dernier qu’Abou Iyadh et Boubaker Al-Hakim s’apprêtaient à déserter la Libye pour l’Irak, en bateau et via la Crète.
Ferid El Béji a révélé que la politique étrangère de la Troïka a encouragé le terrorisme et protégé les djihadistes tunisiens qui se rendaient en Syrie :
« Les djihadistes eux-mêmes ont témoigné sur la chaine Al-Mutawassit qu’ils brandissaient le drapeau noir, emblème de Daech, au sein de l’aéroport de Tunis-Carthage et dans l’avion de Tunisair qui devait les atterrir en Turquie puis en Syrie, sous la protection de la Troïka ».



L'idéologue hypocrite des ribafascistes Tariq Ramadan
 vient de déclarer "Je ne suis pas Charlie"
LIRE AUSSI


JEUDI 8 JANVIER 2015

Thèse du réseau islamofasciste unique à Charlie Hebdo et Chokri Belaïd : Eric Mettout rédacteur en chef de l'Express m'accuse de "diffuser de fausses informations."

VENDREDI 23 MAI 2014



Etat voyou complice ! Depuis le 18 décembre 2014, la police n'avait même pas interpellé le discret élève infirmier Farid Benyettou qui a recruté les assassins de Charlie, de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi ! Le "gourou" des ribafascistes Chérif Kouachi, Said Kouachi et Boubaker Al Hakim tranquillement en liberté !



Quand un criminel exécute le crime pour lequel il a été recruté, formé, hypnotisé.... la logique élémentaire dans un Etat NON policier consiste à se fixer comme priorité absolue l'interpellation de celui qui l'a recruté, formé, hypnotisé.
C'est pourquoi Farid Benyettou aurait dû être interpellé le 18 décembre 2014
Il y a un mois.
C'est ce jour-là que son pantin  a reconnu (s'est vanté) de l'assassinat de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi.


JEUDI 8 JANVIER 2015



Terreur islamofasciste en Tunisie et à Charlie Hebdo: Chokri Belaïd, Cabu, Charb, Mohamed Brahmi, Wolinski, tous assassinés par le même réseau islamofasciste

Chokri Belaïd, Cabu, Charb, Mohamed Brahmi, Wolinski assassinés par le même réseau islamofasciste dirigé par l'organisateur de la terreur en Tunisie Boubaker al-Hakim et dont le "gourou" Farid Benyettou est membre de Ennahda

 Boubaker al-Hakim, qui se fait appeler "Abou-Moukaatel"
complice de 
Chérif  Kouachi et Said Kouachi


par Yanick Toutain
8/1/15





 "son gourou, un certain Farid Benyettou, chef du « groupe des Buttes-Chaumont » et membre d’Ennahda."
"
« Je m’adresse à eux pour leur dire que oui, c’est nous qui avons effectivement tué Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi ; et avec l’aide de Dieu, nous reviendrons pour hisser l’étendard d’Allah Akbar et Mohamed est son prophète », a-t-il aboyé. "'



A contre courant du rideau de fumée médiatique de Libération (samedi ils focalisaient toute l'attention de ses lecteurs sur le Yemen) et de cette presse Omerta, Marie Desnos de Paris Match actualise son article du 8 janvier


LA PISTE TUNISIENNE

Elle abonde dans la piste que ne cesse d'éclairer le site Tunisie Secret et que Revactu citait abondamment




CHÉRIF KOUACHI, AMI D’ENFANCE D’UN TUEUR DE L’ETAT ISLAMIQUE 
L’un des deux principaux suspects dans l’attentat qui a frappé «Charlie Hebdo» mercredi à Paris, Chérif Kouachi, était un des membres de la filière dite des «Buttes-Chaumont», dans le XIXe arrondissement de Paris, qui avait été démantelée en 2004, puis jugée en 2008. C’est donc un proche de Boubaker El Hakim, qui a revendiqué les assassinats de deux dirigeants d’opposition en Tunisie l’an dernier, se dit membre de l’Etat islamique et est toujours en fuite en Syrie.Chérif Kouachi, le cadet des frères soupçonnés d’être les auteurs de l’attentat contre «Charlie Hebdo» mercredi à Paris, faisait partie de la «bande des Buttes-Chaumont», dans le XIXe arrondissement, filière jihadiste bien connue des services antiterroristes, puisqu’elle est accusée d’avoir envoyé une cinquantaine de jeunes Français en Irak entre 2003 et 2005. Parmi ses «membres» également bien connus : Boubaker El Hakim, alias Abou Mouqatel, qui n’est autre que l’homme qui a revendiqué, en décembre dernier, le meurtre de deux dirigeants de l’opposition laïque tunisienne en 2013. Les assassinats de Chokri Belaïd, tué de 14 balles, le 6 février,  et de Mohamed Brahmi, le 25 juillet avec la même arme (avec une arme automatique de calibre 9 mm), avaient fait grand bruit en cette période électorale post-Printemps arabe. «Oui, c’est nous qui avons tué Belaïd et Brahimi», déclarait-il dans une vidéo tournée en Syrie. «Et je jure que nous allons revenir et tuer plusieurs d'entre vous, ajoutait-il».

Mais dans son article d'hier, elle oublie complètement cette piste tunisienne. Le mot "Tunisie" n'apparait même pas sur la page
PARIS MATCH Farid BENYETTOU LE PETIT DÉLINQUANT DEVENU "ÉMIR" PUIS INFIRMIER À PARIS


"Ironie du sort. Farid Benyettou, l'ex-«émir» de la «filière des Buttes-Chaumont» et mentor des frères Kouachi, est infirmier stagiaire à l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière, l'un des principaux centres hospitaliers qui a accueilli les victimes de la fusillade de «Charlie Hebdo». L’information, glaçante, a été révélée ce dimanche par «Le Parisien». Après un séjour de six années en prison, le jeune homme sort en 2011. L’année suivante, il s’inscrit à une formation au sein de l'Institut de formation des soins infirmiers (Ifsi), avant d'intégrer au début du mois de décembre 2013 le service des urgences de la Pitié-Salpêtrière.
Ses collègues décrivent «un élève studieux et discret». Ils n’en furent pas moins stupéfaits en apprenant son lien avec les assassins de «Charlie Hebdo». «On ne peut pas imaginer que cet homme – que tout le monde présente comme l'un des principaux mentors des frères Kouachi – aurait pu accueillir les victimes de ses anciens protégés», a réagi un médecin de l'hôpital dans les colonnes du quotidien. Soit. Aussi Farid Benyettou, qui ne travaillait pas mercredi et jeudi, mais devait être de garde la nuit de vendredi à samedi, ainsi que les deux suivantes, a été «dispensé».
L’HÔPITAL CONNAISSAIT SON PASSÉ"

Une piste à suivre concernant les liens de cet infirmier dormant avec Ennahdha
Il faut donc retourner chercher d'autres sources.
On retrouve donc Tunisie Secret qui, en 2013 (citant envoyé spécial RTL) accusait Boubaker Al Hakim en éclairant la personnalité de l'un des pantins de Farid Benyettou
 Exclusif : Boubaker Al-Hakim par l’image et par la voix (vidéo)
26 Juillet 2013
L’assassin de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi
a une longue carrière de terroriste derrière lui. Français de parents tunisiens, il a vécu toute son enfance dans le XIXe arrondissement parisien. En compagnie de son jeune frère, il a fait le djihad en Irak et il a été arrêté et condamné en France en 2005. Il y avait déjà contre lui un mandat d’amené émis par la police de Ben Ali via Interpol. Pour faire diversion, certains ont annoncé aujourd'hui sa mort en Syrie, il y a déjà quelque temps. C’est absolument faux. La suite dans l’article de Karim Zmerli ce soir.



En Tunisie, le soutien de Ennahdha et de la Troïka aux ribafascistes est un secret de polichinelle


Ferid El Béji : La Troïka a toujours encouragé le terrorisme et protégé les djihadistes

Sur le plateau de «Liman yojra’ fakat », diffusé ce dimanche, Ferid El Béji a fait des révélations effroyables.
Ferid El Béji : La Troïka a toujours encouragé le terrorisme et protégé les djihadistes
Ferid El Béji : La Troïka a toujours encouragé le terrorisme et protégé les djihadistes
Invité sur le plateau de «Liman yojra’ fakat », diffusé ce dimanche 11 janvier 2015, sur la chaine Hiwar Ettounsi, le prédicateur et président de l'Association Dar Al Hadith Al Zeitouni, Ferid El Béji a révélé que la politique étrangère de la Troïka a encouragé le terrorisme et protégé les djihadistes tunisiens qui se rendaient en Syrie :
« Les djihadistes eux-mêmes ont témoigné sur la chaine Al-Mutawassit qu’ils brandissaient le drapeau noir, emblème de Daech, au sein de l’aéroport de Tunis-Carthage et dans l’avion de Tunisair qui devait les attérir en Turquie puis en Syrie, sous la protection de la Troïka ».
Ils ont encore ajouté, poursuit Ferid El Béji, qu’ils prenaient toute leur aise pour crier Allahou Akbar en plein aéroport,  avant leur embarquement dans l’avion sans que personne n’ose les arrêter, et certains ont avoué sur cette chaine qu’ils étaient protégés et bénis par la Troïka.














LIRE AUSSI LE SITE ATHEE.ORG

La manifestation du Parti des Musulmans de France à Téhéran sur Seine






Mohammed Latrèche a réussi un grand coup : rassembler plusieurs milliers de personnes à Paris au nom du Coran. La manifestation du 17 janvier 2004 restera un succès personnel pour le chef du Parti des Musulmans de France avec un défilé comportant une majorité d'hommes, les femmes étant reléguées au rang de potiches. Rigoureusement encadrées, elles semblaient plus des marionnettes qu'agitaient les barbus que les égales des hommes. Effroyable constat d'une population fanatisée qui rappelle les heures les plus sombres deTéhéranKaboul ou Alger. Jamais le bitume parisien n'a entendu autant d'"Allah akbar" qui témoignent bien de la supériorité accordée à la religion sur les lois républicaines. Des chants en arabe ont été criés pour exalter l'islam conquérant des origines, ceux-là mêmes qui ont martyrisé l'Algérie contaminée par le FIS et le GIA. 
(...)

Si quelques trotskistes désœuvrés ont distribué des tracts contre la "loi raciste de Chirac", les anarchistes de la CNT, venus pour une manifestation antinucléaire, n'ont, par contre, pas manqué de rappeler aux islamistes les fondements de la lutte antireligieuse. Les barbus et les femmes voilées ont donc récolté de vibrants "Ni dieu, ni maître, ni ordre moral" au travers d'un cordon de CRS.
La manifestation s'est terminée place de la Nation par un discours de Mohammed Latrèche dans la plus pure tradition du populisme. Enonçant des arguments chocs dans des phrases courtes qui accordaient adroitement des intervalles pour l'applaudir, le tribun, grisé par l'évènement, s'est abandonné à quelques confidences qui ne sauraient surprendre : "sur la question du voile, nous sommes des extrémistes", la loi "nous ne l'accepterons jamais". Ou encore, des menaces comme "nous allons vous terroriser avec les élections". Latrèche qui invoque les règles démocratiques pour faire gagner l'islam, c'est le monde à l'envers. Dans l'exubérance des fins de manifestations, avant de terminer par la lecture du Coran, Latrèche accorde le micro à qui le réclame. Bien mal lui en prit : une femme use de cette tribune pour s'insurger face aux insultes qu'il a proférées envers Chirac ! Des huées, et de maigres applaudissements, récompensent la téméraire. Les discussions vont alors bon train dans le public, le PMF ne fait visiblement pas l'unanimité parmi les présents et c'est là la véritable réussite de Latrèche : avoir récupéré, avec la complicité de l'UOIF, la venue de milliers de manifestants au profit de son parti aussi violent que groupusculaire. Il est sûr que ce Le Pen de l'islam saura utiliser cette gloire d'un jour. 


21 janvier 2004 


* : cet individu s'appelle Farid Benyettou, âgé d'environ 24 ans il était le gourou d'un groupe de jeunes fanatiques du 19e arrondissement de Paris partis en Irak pour le djihad (émission Pièces à conviction, France 3, 26 septembre 2005). Il dispensait ses prêches dans la mosquée Addawa de la rue de Tanger, puis dans un foyer après avoir été viré de la mosquée. Il a été arrêté par la police. La prière dirigée par Farid Benyettou le 17 janvier 2004, rue Jean-Pierre Timbaud :



LIRE AUSSI SUR TUNISIE SECRET



9 Janvier 2015


Je ne suis pas Charlie Hebdo, vient de déclarer Tariq Ramadan à une chaîne de télévision suisse. Rien de surprenant de la part de ce Frère musulman que les médias français aiment tant ! Déjà en 2011, à la suite de l’incendie des locaux de ce journal satirique, Tariq Ramadan avait montré toute sa haine à l’égard de Charb qu’il accusait alors de « lâche » !





De gauche à droite: Youssef Qaradaoui, le grand prêtre de l'islamo-terrorisme, cheikha Mozza, la grande prêtresse de l'islamisme mondial, et Tariq Ramadan, mercenaire du Qatar et mégaphone de l'islamisme très "modéré" !
De gauche à droite: Youssef Qaradaoui, le grand prêtre de l'islamo-terrorisme, cheikha Mozza, la grande prêtresse de l'islamisme mondial, et Tariq Ramadan, mercenaire du Qatar et mégaphone de l'islamisme très "modéré" !
A la suite de l’incendie au cocktail molotov des locaux de Charlie Hebdo, le 2 novembre 2011, Stéphane Charbonnier (Charb) a été invité par Paul Ammar, pour son émission « Revu et corrigé » sur la Cinq. Etaient également présent sur le plateau l’avocat Gilles-William Goldnadel et le représentant suisse de l’islam de France ( !), coqueluche des télévisions françaises, le Frère musulman Tariq Ramadan.

Fidèle à sa rhétorique typiquement islamiste du « Oui, mais » et à sa duplicité légendaire, Tariq Ramadan avait alors condamné l’incendie de Charlie Hebdo mais en ajoutant tout de suite que ce journal fait « de l’humour tout à fait discutable ». « Je dirai même que c’est un humour de lâche » (voir vidéo ci-dessous).

Celui qui s’est érigé en chevalier blanc de l’islam et en défenseur des musulmans accusait les journalistes et les caricaturistes de Charlie Hebdo de racisme et d’islamophobie, ne concentrant leurs attaques que sur l’islam, ce qui est totalement faux. Charlie Hebdo n’épargnait jamais les intégristes catholiques et les extrémistes juifs. Il se moquait de tous les intégrismes et c’est ce qui caractérisait son combat héroïque pour la liberté d’expression et le respect des valeurs républicaines.

Le défunt Charb n’a d’ailleurs pas manqué de rappeler à notre islamiste très « modéré », lors de cette émission de Paul Ammar, « qu’en 19 ans, Charlie Hebdo a eu 14 procès avec l’extrême-droite catholique et un seul procès avec l’islam ».

Maintenant que Charb est mort avec neuf autres courageux journalistes et caricaturistes de Charlie Hebdo, ainsi que deux vaillants policiers, on peut répondre à Tariq Ramadan que Stéphane Charbonnier était tout le contraire d’un « lâche ». C’était un dessinateur à l’humour décapant, un ardent combattant de la liberté d’expression et de la liberté tout court. Après l'incendie criminel au cocktail molotov des locaux de la son journal en novembre 2011, le caricaturiste avait exprimé sa détermination à faire paraître l'hebdomadaire, malgré le manque de matériel. Il affirmait avec assurance au micro de BFMTV: « Il va falloir qu'on trouve dans l'urgence des locaux et du matériel pour sortir la semaine prochaine, parce qu'il n'est pas question que l'on ne sorte pas ».

Réagissant au même événement dans les colonnes du Monde, le quotidien du « Qui tue qui en Algérie ?» et le propagandiste de « l’islamisme modéré », Stéphane Charbonnier avait ainsi rendu compte de son engagement et de son combat en faveur de la liberté d'expression: « Je n'ai pas de gosses, pas de femme, pas de voiture, pas de crédit. C'est peut-être un peu pompeux ce que je vais dire, mais je préfère mourir debout que vivre à genoux ».

Nous savons maintenant qu’il avait une compagne, la courageuse Jeannette Bougrab, qu’il voulait protéger, et une petite fille adoptée et désormais orpheline. Mais nous savons aussi qu’il a tenu parole, qu’il n’a jamais capitulé, contrairement aux nombreux journalistes, politiciens et intellectuels français qui se lamentent aujourd’hui sur les plateaux de télévision.

Si Charb et ses compagnons de lutte sont morts debout, le Frère musulman Tariq Ramadan, qui s’exprimait, le 8 janvier 2015, sur les ondes de la RTS Info (Suisse), par skype et en direct de Doha ( !), a eu l’outrecuidance de déclarer : « Non, je ne dis pas "Je suis Charlie", je suis pour la liberté d'expression", et je condamne « la stigmatisation à géométrie variable » de Charlie Hebdo.

On se demande alors qui est le lâche et qui est le courageux ! Celui qui est mort debout, payant ainsi la rançon de la liberté, ou le mercenaire du Qatar, le principal émirat arabe qui soutient les frères musulmans, y compris en France, et qui finance le terrorisme islamiste mondial.

Lilia Ben Rejeb

jeudi 8 janvier 2015

Terreur islamofasciste en Tunisie et à Charlie Hebdo: Chokri Belaïd, Cabu, Charb, Mohamed Brahmi, Wolinski, tous assassinés par le même réseau islamofasciste

LIRE AUSSI
Quand Farid Benyettou recrutait les assassins de Charlie, 
de Chokri Belaid et de Mohamed Brahmi 
les ribafascistes Chérif Kouachi, Said Kouachi 
et Boubaker Al Hakim.image atheisme.org

LUNDI 12 JANVIER 2015

Chokri Belaïd, Cabu, Charb, Mohamed Brahmi, Wolinski assassinés par le même réseau islamofasciste dirigé par l'organisateur de la terreur en Tunisie Boubaker al-Hakim et dont le "gourou" Farid Benyettou est membre de Ennahda

 Boubaker al-Hakim, qui se fait appeler "Abou-Moukaatel"
complice de 
Chérif  Kouachi et Said Kouachi


par Yanick Toutain
8/1/15





 "son gourou, un certain Farid Benyettou, chef du « groupe des Buttes-Chaumont » et membre d’Ennahda."
"
« Je m’adresse à eux pour leur dire que oui, c’est nous qui avons effectivement tué Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi ; et avec l’aide de Dieu, nous reviendrons pour hisser l’étendard d’Allah Akbar et Mohamed est son prophète », a-t-il aboyé. "'

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SAMEDI 10 JANVIER 2015


#1seulréseau 
C'est un seul et même réseau qui fait règner la terreur en France et en Tunisie.
Les médias nous baratinent avec une version édulcorée de la vérité.
Chérif Kouachi [.. ] On l'y présente comme un «élève assidu» de Farid Benyettou, un prédicateur du XIXe arrondissement de Paris qui préparait des volontaires à partir combattre en Irak avant que sa filière soit démantelée (Le Parisien)

Mais en fait de "filière demantelée", il n'en est rien. Ce réseau est celui qui a organisé la terreur en Tunisie depuis plusieurs années. Le groupe qui a assassiné les deux leaders de gauche Chokri Belaid et  il suffit de chercher un peu plus loin le CV du gourou Farid Benyettou sur internet pour découvrir tout autre chose


Chokri Belaïd (شكري بلعيد), né le 26 novembre 1964 à Djebel Jelloud1 et assassiné le 6 février 2013 à El Menzah, est un homme politique et avocat tunisien. Son assassinat provoque des manifestations violentes et la plus grave crise gouvernementale depuis la révolution de 2011.
Mohamed Brahmi (محمد البراهمي), né le 15 mai 1955 à Sidi Bouzid et mort assassiné le 25 juillet 2013 à l'Ariana, est un homme politique tunisien2. 



Un réseau dont le "gourou" est parfaitement connu de la police française.

Le 18 décembre Nebil Ben Yahmed écrivait sur Tunisie Secret à propos de l'assassin qui revendiquait son crime 

Qui est Boubaker al-Hakim ? 
L’assassin de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi a une longue carrière de terroriste derrière lui. Français de parents tunisiens, il a vécu toute son enfance dans le XIXe arrondissement de Paris. En compagnie de son jeune frère, il a fait le djihad en Irak et il a été arrêté et condamné en France en 2005. Il y avait déjà contre lui un mandat d’amené émis par la police de Ben Ali via Interpol.   
Né à Paris le 1er août 1983, de parents tunisiens, Boubaker al-Hakim est un terroriste notoire dont le gouvernement tunisien avait demandé l’extradition par le biais d’Interpol (6 mai 2001). Les services tunisiens l’ont repéré par rapport à son gourou, un certain Farid Benyettou, chef du « groupe des Buttes-Chaumont » et membre d’Ennahda. 

INTERPELLER TOUT LE RESEAU EN DECEMBRE
UNE EVIDENCE
POUR DES POLICIERS ANTI-ISLAMOFASCISTES
PAS POUR LA DGSE-DGSI


Ce chainon manquant "Farid Benyettou" est le lien que la presse tente de camoufler entre les deux crimes

C'est une vidéo de décembre dernier qui aurait du - si la police secrète française n'était pas complice de ces islamofascistes - inciter à l'arrestation de toute cette bande de criminels
BLBL

TUNISIE SECRET : Exclusif: D'Irak, Boubaker Al-Hakim reconnait l'assassinat de Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi (vidéo) (Nebil Ben Yahmed )
18 Décembre 2014
C'est une vidéo exclusive de Tunisie-Secret qui a révélé dès 2013 et plusieurs fois réitéré depuis que Boubaker Al-Hakim est l’assassin de Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi. Maintenant qu’il est à l’abri en Irak, ce psychopathe vient de le revendiquer dans un message vidéo. TS a aussi révélé le 7 décembre dernier qu’Abou Iyadh et Boubaker Al-Hakim s’apprêtaient à déserter la Libye pour l’Irak, en bateau et via la Crète.
Décryptage du message vidéo 
Quatre terroristes tunisiens apparaissent dans cette vidéo postée hier, 16 décembre 2014 et supprimée cinq heures après (TS a pu la sauvegarder sur son propre serveur). Seifallah Ben Hassine, alias Abou Iyadh, n’apparait pas parce qu’il veut garder le mystère sur le pays où il se trouve et qu’il n’aimerait pas que ses fidèles le considèrent comme un déserteur. Il laisse croire qu’il se trouve toujours sur le front tuniso-libyen alors qu’il est depuis une semaine en Irak. 
Sur les quatre terroristes, nous avons pu identifier deux : Boubaker al-Hakim, l’assassin de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi, et celui qui se fait appeler « Abou-Moussaâb » et dont nous avons retrouvé la photo en compagnie d’Abou Iyadh à  l’époque où l’activisme de ses dangereux terroristes était toléré par la police tunisienne et soutenu par la troïka au nom des "acquis de la révolution", de la démocratie et de la liberté d'expression ! 



Tout au long de son mandat, Mohamed Brahmi critique ouvertement le gouvernement
dirigé par les islamistes d'
Ennahdha4.
Le lien vient d'être donné par l'auteur du même article sur tunisie Secret Nebil Ben Yahmed 


LE CERVEAU DU RESEAU DES BUTTES CHAUMONT
EST L'ORGANISATEUR DE L'ASSASSINAT
 DE CHOKRI BELAID ET MOHAMED BRAHMI



Exclusif : les frères Saïd et Cherif Kouachi s’entrainaient en Tunisie auprès de Boubaker al-Hakim
8 Janvier 2015
(...)  le meilleur connaisseur de l’islamisme en France, Gilles Kepel, a laissé entendre que Cherif Kouachi et Boubaker al-Hakim se connaissaient. C'est un euphémisme. Cherif et Saïd Kouachi ont été converti à l'islamisme par l'imam autoproclamé de la mosquée de Stalingrad, Farid Benyettou, et au terrorisme, par Boubaker al-Hakim, le franco-tunisien qui a préparé et ordonné l'assassinat de Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi en 2013.        
Cherif Kouachi, un ancien d’Al-Qaïda en Irak   
Les frères Kouachi sont deux dangereux terroristes islamistes qui ont bien profité du laxisme de la justice française. Tout comme leur caïd, le franco-tunisien Boubaker al-Hakim. Agé de 32 ans, Cherif Kouachi, ex-rappeur et malfrat, était bien connu des services antiterroristes français et du FBI américain, qui est sans doute à l’origine du mandat de recherche qui a été émis hier contre lui et son frère !  
Comme viennent de l’écrire nos confrères du Point, Cherif Kouachi « a été condamné une première fois en 2008 pour avoir participé à une filière d'envoi de combattants en Irak. Né en novembre 1982 dans le 10e arrondissement de Paris, de nationalité française, surnommé Abou Issen, Chérif Kouachi a fait partie de ce qui a été appelé "la filière des Buttes-Chaumont" : une organisation qui, entre 2003 et 2005, aurait incité une dizaine de jeunes Français, tous Parisiens, âgés de moins de 25 ans et domiciliés dans ce quartier, à partir combattre en Irak ». Or, dans ce procès de 2008, le principal cerveau de ce réseau de recrutement de djihadistes pour l’Irak s’appelle Boubaker al-Hakim, dont nous avons plusieurs fois parlé et qui est l’organisateur du double assassinat de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi. 
Toujours selon Le Point, Cherif Kouachi a été interpellé en janvier 2005, « juste avant de s'envoler pour la Syrie, puis l'Irak. Il avait été ensuite mis en examen pour "association de malfaiteurs en vue de préparer des actes terroristes". Jugé en 2008, Kouachi, qui encourait jusqu'à dix ans de prison, n'avait pourtant écopé que de trois ans d'emprisonnement, dont 18 mois avec sursis. Depuis, lui et son frère aîné Saïd, âgé de 34 ans, avaient tout fait pour se faire oublier des services de renseignements, en partant se "mettre au vert" en province, notamment dans la région de Reims ». 
Il n’y a pas que Cherif Kouachi à avoir bénéficié de la « clémence » de la justice française. Son recruteur, Boubaker al-Hakim, a eu droit au même traitement de faveur. Dans la même affaire du groupe des Buttes-Chaumont, Boubaker al-Hakim a été condamné à huit ans de prison ferme, mais il n’en a fait que quatre !   Boubaker al-Hakim, libéré des prisons françaises et extradé au pays de la « révolution du jasmin »   Comme le franco-algérien Cherif Kouachi, Boubaker al-Hakim est né à Paris le 1er août 1983, de parents tunisiens. C’est un terroriste notoire dont l’ancien régime de Ben Ali avait demandé l’extradition par le biais d’Interpol (6 mai 2001). Les services tunisiens l’ont repéré par rapport à son gourou, un certain Farid Benyettou, chef du « groupe des Buttes-Chaumont » et membre d’Ennahdha. Il a été mis  en examen et écroué à Paris en janvier 2005, parce qu’il était considéré par les enquêteurs comme le chef spirituel et recruteur du groupe de jeune parisiens qui cherchaient à rejoindre le djihad en Irak. Le 4 juin 2005, Boubaker el-Hakim - dont le frère Radwan, 19 ans, a été tué le 17 juillet 2004 en Irak -, a été mis en examen pour "association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste" par le juge de la section anti-terroriste du Parquet de Paris, Jean-François Ricard. Il a ensuite été placé sous mandat de dépôt par un juge des libertés et de la détention (JLD), conformément aux réquisitions du parquet. C'est grâce au gouvernement syrien que ce terroriste a été livré à la France en 2005, lorsque ce pays combattait le terrorisme islamiste! En 2008, il a été condamné à 8 ans de prison ferme. Il n’en a fait que quatre, puisqu’il a été relâché en décembre 2012, dans l’euphorie du « printemps arabe ». 
A l'instar d'autres pays européens, la France voulait se débarrasser de sa racaille islamo-terroriste. C'est le cas de la Belgique avec Tarek Maaroufi et Walid Bannani. Deux semaines après la libération de Boubaker el-Hakim, ce dernier est rentré en Tunisie ! Moins de deux mois après son retour, il a préparé et conçu l’assassinat de Chokri Belaïd, le 6 février 2013, puis celui de Mohamed Brahmi, le 25 juillet 2013 ! 
Depuis, profitant de complicités des éléments islamistes qui ont phagocyté le ministère tunisien de l’Intérieur, Boubaker al-Hakim a pu quitter la Tunisie pour la Libye en compagnie de Seifallah Ben Hassine, alias Abou Iyadh. Actuellement, il se trouve aux frontières irako-syriennes, combattant au sein des barbares de Daech. 
Les frères Kouachi hôtes de Boubaker al-Hakim en Tunisie 
Après leur libération anticipée en 2010, Cherif et Saïd Kouachi se sont fait oublier en se repliant sur Reims. Ils n’ont pas pour autant disparu des radars des services de renseignement français et américains. Dès 2012, Saïd Kouachi a passé ses « vacances d’été » en Tunisie, probablement à Hammamet. En janvier 2013, Cherif Kouachi s’est rendu en Tunisie à la suite d’une reprise de contact avec Boubaker al-Hakim, qui venait à son tour d’être relâché par la justice française malgré sa condamnation à 8 ans de prison ferme dans l’affaire de la filière des Buttes-Chaumont. Dès sa libération en décembre 2012, ce dernier s’est installé chez sa tante dans la banlieue de Tunis, la Tunisie étant devenue pour lui et ses semblables la nouvelle terre du djihad. C’est dans ce pays livré aux islamistes et devenu terre promise de l’Internationale terroriste que Cherif Kouachi, suivi par son frère Saïd, s’est installé durant près de deux mois. Après avoir suivi un stage de "perfectionnement" dans le maniement des armes, ces deux sinistres criminels ont probablement suivi Boubaker al-Hakim dans sa fuite en Libye. Ce dernier reparti en Syrie via les frontières turques, les frères Kouachi ont dû regagner la France il y a trois ou quatre mois parce qu’ils avaient une mission à accomplir. 
Dans l’attaque de Charlie Hebdo, nos deux psychopathes n’ont pas agi en « loups solitaires », expression inventée par certains imbéciles pour éviter les « amalgames », mais en soldats d’Allah obéissants aux ordres de Boubaker al-Hakim, l’un des principaux sanguinaires de Daech en Irak et en Syrie.           Nebil Ben Yahmed 

Après le versement de 20 millions par François Hollande à Iyad Ag Ghali, l'égorgeur de Aguel Hoc au Mali, on a une nouvelle fois la preuve de l'imposture totale : les islamofascistes et les services secrets ont les mêmes patrons.
C'est Sarkozy et Hollande qui ont organisé sur financement du Qatar la prise du pouvoir par Ennahda et Morsi. Et l'on retrouve des membres et associés de Ennahda dans le crime contre Charlie !
Il ne reste plus qu'à déclarer la guerre à #QatarRiba #RibArabieSaoudite et à leurs employeus : la bancocratie mondiale



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LUNDI 12 JANVIER 2015

"C’est donc un Qatar allié de la France qui a fabriqué un ramassis de psychopathes imbéciles qui ont envahi le nord du Mali" (article de septembre 2012 Agression impérialiste contre le Mali : 14 faits occultés par les médias aux ordres)



par Yanick Toutain
Brevactu 29/9/12
Revactu
12/1/15

1° Le groupe islamofasciste Ançar Eddine est une créature du Qatar (info Canard Enchainé)
2° Le Qatar est un allié politique avéré de Nicolas Sarkozy et de la droite française
3° Le gouvernement actuel en recevant le premier ministre qatari vient de valider cette alliance politique entérinée le 22 août par François Hollande recevant à l’Elysée le cheikh Hamad Ben Khalifa Al-Thani, émir du Qatar