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lundi 2 février 2015

Habib Essid, BCE et les ribafascistes Ennahdha alliés ! Les islamofascistes entrent dans le gouvernement tunisien ! Les protecteurs de Boubakeur Al Hakim, le chef du réseau des Buttes Chaumont dans le nouveau gouvernement tunisien

Habib Essid BCE et les ribafascistes Ennahdha alliés !
 même gouvernement !
Les protecteurs de Boubakeur Al Hakim,
le chef du réseau des Buttes Chaumont
 dans le nouveau gouvernement tunisien
par Yanick Toutain


REVACTU
2/2/2015



LIRE AUSSI : Tunisie Il faut 300 000 délégués de base, une pyramide de délégués et un gouvernement de 19 délégués nationaux  (texte du 15 janvier 2011, écrit sur Nawaat le lendemain de la révolution tunisienne du 14 janvier 2011


Il n'aura pas fallu longtemps aux deux pantins de la bourgeoise esclavagiste pour révéler qu'ils travaillent en symbiose avec les terroristes et leurs matrices.
Ennahdha au gouvernement tunisien c'est comme si Farid Benyettou pouvait devenir ..... infirmier d'Etat ou ministre de la Santé...
Mais un ministre pour... hommes seulement.
L'information vient de tomber : BCE et Ennahda ensemble !
Tunisie: un gouvernement de coalition avec des islamistes
"Le nouveau Premier ministre tunisien Habib Essid a présenté lundi, après des semaines de tractations et une composition initiale abandonnée, un gouvernement dominé par le vainqueur des législatives Nidaa Tounès mais incluant ses rivaux islamistes. Le Point"  





 - Publié le  - Modifié le 


Les gens informés savent que les crimes de Charlie ont été commis par un réseau franco-tunisien que les médias français travaillent à camoufler depuis des semaines


JEUDI 8 JANVIER 2015



Naturellement, l'AFP et le Point ne titrent pas sur l'escroquerie commise contre les électeurs. Les lecteurs tunisiens de Revactu qui appartenaient à la formoisie ou aux couches supérieures de la proto-formoisie locale avaient naïvement voté ou même appelé à voter pour l'escroc pseudo défenseur de la laïcité comme s'est présenté BCE.... Quelle farce !
"Ce gouvernement, le premier depuis les élections d'octobre, devra obtenir mercredi la confiance du Parlement.
"Nous avons procédé à des changements, il s'agit d'élargir la composition du gouvernement avec l'entrée d'autres partis", a déclaré depuis la présidence M. Essid qui avait dû renoncer fin janvier, face aux critiques notamment d'Ennahda, à sa composition initiale du gouvernement."
Revactu avait décelé les premiers symptôme de cette symbiose entre le prétendu héraut de la laïcité BCE et les agents riba dans la nomination d'un collabo comme premier ministre


LUNDI 5 JANVIER 2015


Imposture en Tunisie : L'ex-ministre de l'intérieur de Bourguiba BCE devenu président nomme Premier Ministre un benaliste Habib Essid ex-ministre de l'Intérieur de 2011 ex-conseiller sécuritaire de l'islamofasciste Hamadi Jebali

 Premier Ministre un benaliste Habib Essid
 ex-ministre de l'Intérieur de 2011
ex-conseiller de l'islamofasciste
 Hamadi Jebali


par Yanick Toutain
Revactu
5/1/15


"Auparavant, sous Ben Ali, Habib Essid avait notamment été chef de cabinet du ministre de l'Intérieur ainsi que secrétaire d'Etat à l'Environnement."

21 décembre 2014, ils sont 1,731529 millions de Tunisiens démocrates esclavagistes à avoir déposé un morceau de papier en faveur de la dictature BCE.
(source résultat Elections présidentielles Tunisie 2014)


Et donc le candidat qui a obtenu 56% de ces 40% aura été élu par 22,4% des Tunisiens en âge de voter
(infra)
Avec 70 000 délégués il est légitime de DEGAGER BCE
1,75 millions de Tunisiens humanocrates sont plus nombreux (et donc plus légitimes) que 1,73 millions de Tunisiens démocrates esclavagistes. L'avenir le montrera


HABIB ESSID GIROUETTE MULTI-DIRECTIONNELLE
UN BENALISTE FRANCEàFRIC MANGEANT AUX RATELIERS ISLAMOFASCISTE ET ELECTORALOFASCISTE
L'ex conseiller de Hamadi Jebali devient
 Premier Ministre de la dictature Franceàfric de Tunisie

 Choisir l'ex-conseiller sécuritaire de l'islamofasciste Hamadi Jebali qu'est Habbib Essid était cracher au visage des électeurs !
Toute cette mascarade participe du complot permanent de la bancocratie impérialiste
"Son cabinet sera dominé par Nidaa Tounès, le parti du président Béji Caïd Essebsi qui obtient six portefeuilles dont celui des Affaires étrangères. Les ministères de l'Intérieur, de la Défense et de la Justice ont pour leur part été confiés à des indépendants.
Ennahda a de son côté obtenu le portefeuille de l'Emploi et trois secrétariats d'Etat."
On a donc une équipe de branquignoles au service de la slavoisie française.... qui va se réjouir de perpétuer les salaires à 20% du SMIC français
"Outre Nidaa Tounès (86 députés) et Ennahda (69 élus), deux autres partis sont représentés dans l'équipe gouvernementale: l'Union patriotique libre (16 députés) d'un richissime patron de club de foot, et Afek Tounès (libéral, 8 élus). Le cabinet peut donc compter en théorie sur le soutien de 179 des 217 parlementaires."


CRIME ESCLAVAGISTE DE NIVEAU CINQ EN TUNISIE

Relire cet article permet de comprendre ce qui se joue dans la coulisse : les pages saumon du Figaro ont plus de pouvoir en Tunisie qu'un million de bulletin de vote


La Tunisie est toujours en esclavage
Des salaires divisés par 5
Le 14 septembre, la révolution avait 2 ans et 8 mois.
Près de 3 années de perdues.
Depuis le 14 janvier 2011, depuis la révolution qui a "dégagé" le socialofasciste Ben Ali, tout semble immobile.
Mascarade d'élections, mascarade de Constituante. On a vu des partis Nidaa Tounes et Ettakatol prenant la succession du RCD. On a vu un parti islamofasciste Ennahda dont la victoire électorale fut financée par le Qatar sur demande française.
Une imposture.
Il faut lire Le Figaro pour constater que tout tourne correctement pour la slavoisie !
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/07/02/20002-20130702ARTFIG00524-tunisie-1300-entreprises-francaises-attirees-par-les-bas-salaires.php?cmtpage=0
«Depuis la révolution, le coût du travail est resté stable en euros, même s'il a augmenté de 10% en dinars, explique Chekib Debbabi, directeur de l'usine, les salaires demeurent cinq fois moins élevés qu'en France.»

 "CINQ FOIS MOINS ÉLEVÉS QU'EN FRANCE"
UN CRIME ESCLAVAGISTE DE NIVEAU 5

Voilà donc quel sera le réquisitoire que le "procureur-délégué-révocable" lira !
Il accusera le patronat esclavagiste française d'un crime de niveau 5.
La révolution française livrera aux autorités tunisiennes les voyous français qui mettent en esclavage les Tunisiens.
La France n'a même pas - dans ses partis politiques - un Bartolomé de Las Casas qui refusait la mise en esclavage des Indiens !
Quel politicien français réclame le SMIC en Afrique ? Qui demande l'application obligatoire du SMIC français en Tunisie ?
On peut donc comprendre le sens du paragraphe suivant du Point


"Après des législatives et la présidentielle fin 2014 saluées par la communauté internationale, la Tunisie fait figure de modèle de transition démocratique réussie depuis la révolution de janvier 2011 alors que le reste des Etats du Printemps arabe ont sombré dans le chaos ou la répression."

 "M. Essid, un indépendant qui a servi aussi bien le dictateur déchu Ben Ali, que les islamistes d'Ennahda et qui a été ministre de l'Intérieur juste après la révolution.""


Les félicitations apportées à l'un des pays-matrice du terrorisme est significatif !
"Le pays reste cependant confronté à une situation économique compliquée, la croissance restant anémique et le chômage, notamment des jeunes, très élevé. Or ces questions socio-économiques étaient les principaux facteurs de la révolte."
Le paragraphe suivant mentionne l'imposture Habib Essid mais sans sembler en remarquer le caractère scandaleux
"'Course contre la montre' -
Par ailleurs, la Tunisie reste aux prises avec des groupes armés jihadistes responsables de la mort de dizaines de militaires et policiers depuis quatre ans, en particulier à la frontière avec l'Algérie.
"Nous n'avons plus de temps à perdre, nous sommes dans une course contre la montre", a ainsi martelé M. Essid, un indépendant qui a servi aussi bien le dictateur déchu Ben Ali, que les islamistes d'Ennahda et qui a été ministre de l'Intérieur juste après la révolution."

 "aucune alliance ne serait formée entre les deux formations qui dominent la scène politique."


Les mensonges étant une tradition démocratique, ceux des vainqueurs anti-islamistes sont donc mentionnés. Mais non caractérisés d'indigne ou de scandaleux.


"La participation d'Ennahda intervient malgré la campagne électorale anti-islamiste de Nidaa Tounès qui avait promis qu'aucune alliance ne serait formée entre les deux formations qui dominent la scène politique.
Nombre de figures de Nidaa Tounès ont lutté bec et ongles tout au long du mois de janvier contre l'entrée des islamistes au cabinet, les accusant d'avoir conduit la Tunisie au bord du chaos lorsqu'ils étaient aux affaires (début 2012-début 2014)."
Mais comme il faut bien que tourne la machine esclavagiste et les salaires à 200 euros, voici donc la conclusion
""Il est normal que le parti majoritaire soit au pouvoir et le deuxième dans l'opposition", a ainsi souligné dans les colonnes du quotidien la Presse Taïeb Baccouche, secrétaire général de Nidaa Tounès, qui a pourtant été à devenir ministre des Affaires étrangères.
Il a aussi rappelé que le maintien d'Ennahda hors du gouvernement était une "promesse faite aux électeurs".
La coalition d'extrême gauche Front populaire (15 députés) a dès lors annoncé dès lundi à la mi-journée qu'elle ne voterait pas la confiance au gouvernement en raison de la présence des islamistes.
02/02/2015 14:47:36 - Tunis (AFP) - Par Kaouther LARBI - © 2015 AFP
Il est plus que temps que la démocratie soit abattue en Tunisie
Voici un texte écrit le 15 janvier 2011. Le lendemain de la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011


MARDI 18 JANVIER 2011



Tunisie Il faut 300 000 délégués de base, une pyramide de délégués et un gouvernement de 19 délégués nationaux (tous révocables à tout moment par leur 24 délégateurs) Un commentaire sur Nawaat il y a trois jours

Je n'avais pas reproduit ce texte déposé le 15 en commentaire sur le site Nawaat.
Il met l'accent sur l'urgence de désigner 300 000 délégués de base, 12 000 délégués de conseils, 480 délégués-députés et donc un GOUVERNEMENT PROVISOIRE REVOCABLE A TOUT MOMENT !
Tout autre solution n'est qu'un MANOEUVRE des ESCLAVAGISTES de la Terre du Nord.
Il ne faut ni élections, ni constution Benaliste, ni Constituante.

Yanick Toutain says:
Beacoup de choses fort justes (la déchéance de nationalité empêche de pouvoir faire extrader et juger)
MAIS
ce paragraphe
=========
Les gouverneurs doivent rester a leurs postes jusqu’aux prochaines élections législatives et présidentielles qui doivent se tenir le plus tôt possible, mais dans un delai maximum de 6 mois.
===========
contient 3 erreurs :
1° Il faut disloquer TOUT l’APPAREIL JURIDIQUE, ECONOMIQUE, REPRESSIF du socialo-fascisme Ben Alisme.
2° Il faut en FINIR avec les ELECTIONS. Depuis la Commune de Paris – noyée dans le sang – la bourgeoisie a tenté de TUER le principe de REVOCABILITE.
Les élections sont incompatibles avec le contrôle des élus. La bourgeoisie veut un système avec DELAI non révocable pour pouvoir CORROMPRE.
3° IL NE FAUT AUCUN DELAI pour AFFIRMER LA VOLONTE POPULAIRE
Il faut donc que les Tunisiens de plus de 14 ans se GROUPENT LIBREMENT par groupes de 25 ayant des options provisoirement identiques et désignent un DELEGUE REVOCABLE.
Ce délégué est un délégué de base.
25 délégués de base se choisissent et désignent un délégué de conseil (qui représente 625 personnes en étant contrôlés par ses 25 délégués de base)
25 délégués de conseil ===> un delégué député (15 000 délégateurs)
25 délégués députés ===>> un délégué national.
C’est ce que j’écrivais hier avant la chute
endredi 14 janvier 2011
A Tunis, c’est la révolution africaine qui commence, c’est la révolution mondiale anti-capitaliste, IL FAUT D’URGENCE LA DELEGATION GENERALE REVOCABLE
Le dictateur socialo-fasciste Ben Ali va peut-être balayé d’ici ce soir – vendredi 14 janvier 2011. Si ce n’est pas le cas, ce sera dans les jours qui viennent.
La seule question, le seule critère c’est l’ORGANISATION par la BASE.
Ils sont des dizaines de milliers face au leader socialo-fasciste de l’Internationale Socialiste. Ils sont des dizaines de milliers face à un pouvoir sur le point de se DISLOQUER !
(…)
Il faut d’urgence 300 000 délégués de base ! Il faut que 7,5 millions de Tunisiens de plus de 14 ans se groupent par 25 pour désigner le meilleur d’entre eux.
IL FAUT 12 000 DÉLÉGUÉS DE CONSEIL révocables à tout moment (chacun représentant 625 Tunisiens)
IL FAUT que ces délégués de conseil, par 25, désignent 480 DÉLÉGUÉS-députés.(chaque délégué-député représente 15000 délégateurs de base et peut être révoqué à tout moment par ses 24 délégués de conseil.)
IL FAUT UN GOUVERNEMENT PROVISOIRE RÉVOCABLE !!!
IL FAUT UN GOUVERNEMENT DE 19 DELEGUES NATIONAUX !
Ce sont 25 délégués députés qui peuvent désigner un délégué national révocable à tout moment. Chaque délégué national représente donc 390 000 Tunisiens.

Tout est dit !







lundi 12 janvier 2015

Etat voyou complice ! Depuis le 18 décembre 2014, la police n'avait même pas interpellé le discret élève infirmier Farid Benyettou qui a recruté les assassins de Charlie, de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi ! Le "gourou" des ribafascistes Chérif Kouachi, Said Kouachi et Boubaker Al Hakim tranquillement en liberté !

Quand Farid Benyettou recrutait les assassins de Charlie,
de Chokri Belaid et de Mohamed Brahmi
les ribafascistes Chérif Kouachi, Said Kouachi
et Boubaker Al Hakim.image atheisme.org
par Yanick Toutain
Revactu
12/1/15



"Entendu par les enquêteurs dès 2005 sur sa relation avec Farid Benyettou, Chérif Kouachi déclarait devant les enquêteurs à propos des cours coraniques dispensés par son mentor : « J'avais vraiment l'impression que la vérité était là, devant moi, quand il parlait. »" (Adrien Cadorel  Le Parisien 11/1/15)


18 Décembre 2014
C'est une vidéo exclusive de Tunisie-Secret qui a révélé dès 2013 et plusieurs fois réitéré depuis que Boubaker Al-Hakim est l’assassin de Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi. Maintenant qu’il est à l’abri en Irak, ce psychopathe vient de le revendiquer dans un message vidéo. TS a aussi révélé le 7 décembre dernier qu’Abou Iyadh et Boubaker Al-Hakim s’apprêtaient à déserter la Libye pour l’Irak, en bateau et via la Crète.
Ferid El Béji a révélé que la politique étrangère de la Troïka a encouragé le terrorisme et protégé les djihadistes tunisiens qui se rendaient en Syrie :
« Les djihadistes eux-mêmes ont témoigné sur la chaine Al-Mutawassit qu’ils brandissaient le drapeau noir, emblème de Daech, au sein de l’aéroport de Tunis-Carthage et dans l’avion de Tunisair qui devait les atterrir en Turquie puis en Syrie, sous la protection de la Troïka ».



L'idéologue hypocrite des ribafascistes Tariq Ramadan
 vient de déclarer "Je ne suis pas Charlie"
LIRE AUSSI


JEUDI 8 JANVIER 2015

Thèse du réseau islamofasciste unique à Charlie Hebdo et Chokri Belaïd : Eric Mettout rédacteur en chef de l'Express m'accuse de "diffuser de fausses informations."

VENDREDI 23 MAI 2014



Etat voyou complice ! Depuis le 18 décembre 2014, la police n'avait même pas interpellé le discret élève infirmier Farid Benyettou qui a recruté les assassins de Charlie, de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi ! Le "gourou" des ribafascistes Chérif Kouachi, Said Kouachi et Boubaker Al Hakim tranquillement en liberté !



Quand un criminel exécute le crime pour lequel il a été recruté, formé, hypnotisé.... la logique élémentaire dans un Etat NON policier consiste à se fixer comme priorité absolue l'interpellation de celui qui l'a recruté, formé, hypnotisé.
C'est pourquoi Farid Benyettou aurait dû être interpellé le 18 décembre 2014
Il y a un mois.
C'est ce jour-là que son pantin  a reconnu (s'est vanté) de l'assassinat de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi.


JEUDI 8 JANVIER 2015



Terreur islamofasciste en Tunisie et à Charlie Hebdo: Chokri Belaïd, Cabu, Charb, Mohamed Brahmi, Wolinski, tous assassinés par le même réseau islamofasciste

Chokri Belaïd, Cabu, Charb, Mohamed Brahmi, Wolinski assassinés par le même réseau islamofasciste dirigé par l'organisateur de la terreur en Tunisie Boubaker al-Hakim et dont le "gourou" Farid Benyettou est membre de Ennahda

 Boubaker al-Hakim, qui se fait appeler "Abou-Moukaatel"
complice de 
Chérif  Kouachi et Said Kouachi


par Yanick Toutain
8/1/15





 "son gourou, un certain Farid Benyettou, chef du « groupe des Buttes-Chaumont » et membre d’Ennahda."
"
« Je m’adresse à eux pour leur dire que oui, c’est nous qui avons effectivement tué Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi ; et avec l’aide de Dieu, nous reviendrons pour hisser l’étendard d’Allah Akbar et Mohamed est son prophète », a-t-il aboyé. "'



A contre courant du rideau de fumée médiatique de Libération (samedi ils focalisaient toute l'attention de ses lecteurs sur le Yemen) et de cette presse Omerta, Marie Desnos de Paris Match actualise son article du 8 janvier


LA PISTE TUNISIENNE

Elle abonde dans la piste que ne cesse d'éclairer le site Tunisie Secret et que Revactu citait abondamment




CHÉRIF KOUACHI, AMI D’ENFANCE D’UN TUEUR DE L’ETAT ISLAMIQUE 
L’un des deux principaux suspects dans l’attentat qui a frappé «Charlie Hebdo» mercredi à Paris, Chérif Kouachi, était un des membres de la filière dite des «Buttes-Chaumont», dans le XIXe arrondissement de Paris, qui avait été démantelée en 2004, puis jugée en 2008. C’est donc un proche de Boubaker El Hakim, qui a revendiqué les assassinats de deux dirigeants d’opposition en Tunisie l’an dernier, se dit membre de l’Etat islamique et est toujours en fuite en Syrie.Chérif Kouachi, le cadet des frères soupçonnés d’être les auteurs de l’attentat contre «Charlie Hebdo» mercredi à Paris, faisait partie de la «bande des Buttes-Chaumont», dans le XIXe arrondissement, filière jihadiste bien connue des services antiterroristes, puisqu’elle est accusée d’avoir envoyé une cinquantaine de jeunes Français en Irak entre 2003 et 2005. Parmi ses «membres» également bien connus : Boubaker El Hakim, alias Abou Mouqatel, qui n’est autre que l’homme qui a revendiqué, en décembre dernier, le meurtre de deux dirigeants de l’opposition laïque tunisienne en 2013. Les assassinats de Chokri Belaïd, tué de 14 balles, le 6 février,  et de Mohamed Brahmi, le 25 juillet avec la même arme (avec une arme automatique de calibre 9 mm), avaient fait grand bruit en cette période électorale post-Printemps arabe. «Oui, c’est nous qui avons tué Belaïd et Brahimi», déclarait-il dans une vidéo tournée en Syrie. «Et je jure que nous allons revenir et tuer plusieurs d'entre vous, ajoutait-il».

Mais dans son article d'hier, elle oublie complètement cette piste tunisienne. Le mot "Tunisie" n'apparait même pas sur la page
PARIS MATCH Farid BENYETTOU LE PETIT DÉLINQUANT DEVENU "ÉMIR" PUIS INFIRMIER À PARIS


"Ironie du sort. Farid Benyettou, l'ex-«émir» de la «filière des Buttes-Chaumont» et mentor des frères Kouachi, est infirmier stagiaire à l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière, l'un des principaux centres hospitaliers qui a accueilli les victimes de la fusillade de «Charlie Hebdo». L’information, glaçante, a été révélée ce dimanche par «Le Parisien». Après un séjour de six années en prison, le jeune homme sort en 2011. L’année suivante, il s’inscrit à une formation au sein de l'Institut de formation des soins infirmiers (Ifsi), avant d'intégrer au début du mois de décembre 2013 le service des urgences de la Pitié-Salpêtrière.
Ses collègues décrivent «un élève studieux et discret». Ils n’en furent pas moins stupéfaits en apprenant son lien avec les assassins de «Charlie Hebdo». «On ne peut pas imaginer que cet homme – que tout le monde présente comme l'un des principaux mentors des frères Kouachi – aurait pu accueillir les victimes de ses anciens protégés», a réagi un médecin de l'hôpital dans les colonnes du quotidien. Soit. Aussi Farid Benyettou, qui ne travaillait pas mercredi et jeudi, mais devait être de garde la nuit de vendredi à samedi, ainsi que les deux suivantes, a été «dispensé».
L’HÔPITAL CONNAISSAIT SON PASSÉ"

Une piste à suivre concernant les liens de cet infirmier dormant avec Ennahdha
Il faut donc retourner chercher d'autres sources.
On retrouve donc Tunisie Secret qui, en 2013 (citant envoyé spécial RTL) accusait Boubaker Al Hakim en éclairant la personnalité de l'un des pantins de Farid Benyettou
 Exclusif : Boubaker Al-Hakim par l’image et par la voix (vidéo)
26 Juillet 2013
L’assassin de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi
a une longue carrière de terroriste derrière lui. Français de parents tunisiens, il a vécu toute son enfance dans le XIXe arrondissement parisien. En compagnie de son jeune frère, il a fait le djihad en Irak et il a été arrêté et condamné en France en 2005. Il y avait déjà contre lui un mandat d’amené émis par la police de Ben Ali via Interpol. Pour faire diversion, certains ont annoncé aujourd'hui sa mort en Syrie, il y a déjà quelque temps. C’est absolument faux. La suite dans l’article de Karim Zmerli ce soir.



En Tunisie, le soutien de Ennahdha et de la Troïka aux ribafascistes est un secret de polichinelle


Ferid El Béji : La Troïka a toujours encouragé le terrorisme et protégé les djihadistes

Sur le plateau de «Liman yojra’ fakat », diffusé ce dimanche, Ferid El Béji a fait des révélations effroyables.
Ferid El Béji : La Troïka a toujours encouragé le terrorisme et protégé les djihadistes
Ferid El Béji : La Troïka a toujours encouragé le terrorisme et protégé les djihadistes
Invité sur le plateau de «Liman yojra’ fakat », diffusé ce dimanche 11 janvier 2015, sur la chaine Hiwar Ettounsi, le prédicateur et président de l'Association Dar Al Hadith Al Zeitouni, Ferid El Béji a révélé que la politique étrangère de la Troïka a encouragé le terrorisme et protégé les djihadistes tunisiens qui se rendaient en Syrie :
« Les djihadistes eux-mêmes ont témoigné sur la chaine Al-Mutawassit qu’ils brandissaient le drapeau noir, emblème de Daech, au sein de l’aéroport de Tunis-Carthage et dans l’avion de Tunisair qui devait les attérir en Turquie puis en Syrie, sous la protection de la Troïka ».
Ils ont encore ajouté, poursuit Ferid El Béji, qu’ils prenaient toute leur aise pour crier Allahou Akbar en plein aéroport,  avant leur embarquement dans l’avion sans que personne n’ose les arrêter, et certains ont avoué sur cette chaine qu’ils étaient protégés et bénis par la Troïka.














LIRE AUSSI LE SITE ATHEE.ORG

La manifestation du Parti des Musulmans de France à Téhéran sur Seine






Mohammed Latrèche a réussi un grand coup : rassembler plusieurs milliers de personnes à Paris au nom du Coran. La manifestation du 17 janvier 2004 restera un succès personnel pour le chef du Parti des Musulmans de France avec un défilé comportant une majorité d'hommes, les femmes étant reléguées au rang de potiches. Rigoureusement encadrées, elles semblaient plus des marionnettes qu'agitaient les barbus que les égales des hommes. Effroyable constat d'une population fanatisée qui rappelle les heures les plus sombres deTéhéranKaboul ou Alger. Jamais le bitume parisien n'a entendu autant d'"Allah akbar" qui témoignent bien de la supériorité accordée à la religion sur les lois républicaines. Des chants en arabe ont été criés pour exalter l'islam conquérant des origines, ceux-là mêmes qui ont martyrisé l'Algérie contaminée par le FIS et le GIA. 
(...)

Si quelques trotskistes désœuvrés ont distribué des tracts contre la "loi raciste de Chirac", les anarchistes de la CNT, venus pour une manifestation antinucléaire, n'ont, par contre, pas manqué de rappeler aux islamistes les fondements de la lutte antireligieuse. Les barbus et les femmes voilées ont donc récolté de vibrants "Ni dieu, ni maître, ni ordre moral" au travers d'un cordon de CRS.
La manifestation s'est terminée place de la Nation par un discours de Mohammed Latrèche dans la plus pure tradition du populisme. Enonçant des arguments chocs dans des phrases courtes qui accordaient adroitement des intervalles pour l'applaudir, le tribun, grisé par l'évènement, s'est abandonné à quelques confidences qui ne sauraient surprendre : "sur la question du voile, nous sommes des extrémistes", la loi "nous ne l'accepterons jamais". Ou encore, des menaces comme "nous allons vous terroriser avec les élections". Latrèche qui invoque les règles démocratiques pour faire gagner l'islam, c'est le monde à l'envers. Dans l'exubérance des fins de manifestations, avant de terminer par la lecture du Coran, Latrèche accorde le micro à qui le réclame. Bien mal lui en prit : une femme use de cette tribune pour s'insurger face aux insultes qu'il a proférées envers Chirac ! Des huées, et de maigres applaudissements, récompensent la téméraire. Les discussions vont alors bon train dans le public, le PMF ne fait visiblement pas l'unanimité parmi les présents et c'est là la véritable réussite de Latrèche : avoir récupéré, avec la complicité de l'UOIF, la venue de milliers de manifestants au profit de son parti aussi violent que groupusculaire. Il est sûr que ce Le Pen de l'islam saura utiliser cette gloire d'un jour. 


21 janvier 2004 


* : cet individu s'appelle Farid Benyettou, âgé d'environ 24 ans il était le gourou d'un groupe de jeunes fanatiques du 19e arrondissement de Paris partis en Irak pour le djihad (émission Pièces à conviction, France 3, 26 septembre 2005). Il dispensait ses prêches dans la mosquée Addawa de la rue de Tanger, puis dans un foyer après avoir été viré de la mosquée. Il a été arrêté par la police. La prière dirigée par Farid Benyettou le 17 janvier 2004, rue Jean-Pierre Timbaud :



LIRE AUSSI SUR TUNISIE SECRET



9 Janvier 2015


Je ne suis pas Charlie Hebdo, vient de déclarer Tariq Ramadan à une chaîne de télévision suisse. Rien de surprenant de la part de ce Frère musulman que les médias français aiment tant ! Déjà en 2011, à la suite de l’incendie des locaux de ce journal satirique, Tariq Ramadan avait montré toute sa haine à l’égard de Charb qu’il accusait alors de « lâche » !





De gauche à droite: Youssef Qaradaoui, le grand prêtre de l'islamo-terrorisme, cheikha Mozza, la grande prêtresse de l'islamisme mondial, et Tariq Ramadan, mercenaire du Qatar et mégaphone de l'islamisme très "modéré" !
De gauche à droite: Youssef Qaradaoui, le grand prêtre de l'islamo-terrorisme, cheikha Mozza, la grande prêtresse de l'islamisme mondial, et Tariq Ramadan, mercenaire du Qatar et mégaphone de l'islamisme très "modéré" !
A la suite de l’incendie au cocktail molotov des locaux de Charlie Hebdo, le 2 novembre 2011, Stéphane Charbonnier (Charb) a été invité par Paul Ammar, pour son émission « Revu et corrigé » sur la Cinq. Etaient également présent sur le plateau l’avocat Gilles-William Goldnadel et le représentant suisse de l’islam de France ( !), coqueluche des télévisions françaises, le Frère musulman Tariq Ramadan.

Fidèle à sa rhétorique typiquement islamiste du « Oui, mais » et à sa duplicité légendaire, Tariq Ramadan avait alors condamné l’incendie de Charlie Hebdo mais en ajoutant tout de suite que ce journal fait « de l’humour tout à fait discutable ». « Je dirai même que c’est un humour de lâche » (voir vidéo ci-dessous).

Celui qui s’est érigé en chevalier blanc de l’islam et en défenseur des musulmans accusait les journalistes et les caricaturistes de Charlie Hebdo de racisme et d’islamophobie, ne concentrant leurs attaques que sur l’islam, ce qui est totalement faux. Charlie Hebdo n’épargnait jamais les intégristes catholiques et les extrémistes juifs. Il se moquait de tous les intégrismes et c’est ce qui caractérisait son combat héroïque pour la liberté d’expression et le respect des valeurs républicaines.

Le défunt Charb n’a d’ailleurs pas manqué de rappeler à notre islamiste très « modéré », lors de cette émission de Paul Ammar, « qu’en 19 ans, Charlie Hebdo a eu 14 procès avec l’extrême-droite catholique et un seul procès avec l’islam ».

Maintenant que Charb est mort avec neuf autres courageux journalistes et caricaturistes de Charlie Hebdo, ainsi que deux vaillants policiers, on peut répondre à Tariq Ramadan que Stéphane Charbonnier était tout le contraire d’un « lâche ». C’était un dessinateur à l’humour décapant, un ardent combattant de la liberté d’expression et de la liberté tout court. Après l'incendie criminel au cocktail molotov des locaux de la son journal en novembre 2011, le caricaturiste avait exprimé sa détermination à faire paraître l'hebdomadaire, malgré le manque de matériel. Il affirmait avec assurance au micro de BFMTV: « Il va falloir qu'on trouve dans l'urgence des locaux et du matériel pour sortir la semaine prochaine, parce qu'il n'est pas question que l'on ne sorte pas ».

Réagissant au même événement dans les colonnes du Monde, le quotidien du « Qui tue qui en Algérie ?» et le propagandiste de « l’islamisme modéré », Stéphane Charbonnier avait ainsi rendu compte de son engagement et de son combat en faveur de la liberté d'expression: « Je n'ai pas de gosses, pas de femme, pas de voiture, pas de crédit. C'est peut-être un peu pompeux ce que je vais dire, mais je préfère mourir debout que vivre à genoux ».

Nous savons maintenant qu’il avait une compagne, la courageuse Jeannette Bougrab, qu’il voulait protéger, et une petite fille adoptée et désormais orpheline. Mais nous savons aussi qu’il a tenu parole, qu’il n’a jamais capitulé, contrairement aux nombreux journalistes, politiciens et intellectuels français qui se lamentent aujourd’hui sur les plateaux de télévision.

Si Charb et ses compagnons de lutte sont morts debout, le Frère musulman Tariq Ramadan, qui s’exprimait, le 8 janvier 2015, sur les ondes de la RTS Info (Suisse), par skype et en direct de Doha ( !), a eu l’outrecuidance de déclarer : « Non, je ne dis pas "Je suis Charlie", je suis pour la liberté d'expression", et je condamne « la stigmatisation à géométrie variable » de Charlie Hebdo.

On se demande alors qui est le lâche et qui est le courageux ! Celui qui est mort debout, payant ainsi la rançon de la liberté, ou le mercenaire du Qatar, le principal émirat arabe qui soutient les frères musulmans, y compris en France, et qui finance le terrorisme islamiste mondial.

Lilia Ben Rejeb