Speech Yanick Toutain Université du Havre le 3 novembre 2025 "Plus que jamais, il faudrait une armée Sankara, une armée panafricaine pour aller à la rescousse des victimes des impérialistes. Ici, ce sont les impérialistes secondaires des Émirats Arabes Unis qui sont en train de faire des massacres de masse. 150 000 personnes selon l'émissaire de Trump.
Après Ansar Dine AQM Iyad Ag Ghali, miliciens de la bancocratie du Qatar pourrissant la révolution malienne de 2012 et la révolution burkinabé de 2014. Et ces djihadistes qui au départ ont été recrutés par Sarkozy.
D'ailleurs, au même moment où Sarkozy recrutait Abdelhakim Belhadj et envoyait ses milices avec le commando Hubert pour exécuter Kadhafi. Au même moment, Sarkozy organisait l'invasion du Mali. Et actuellement, c'est le Soudan qui est victime de ces milices impérialistes secondaires. En l'occurrence, les Émirats Arabes Unis sont en train de faire des massacres de masse. L'objectif fondamental étant de pourrir totalement la révolution de 2019. La réponse ? il faut une armée sankariste panafricaine. 4 millions de militaires d'active et 4 millions de réserves.
Comment ?
Par groupe de 125, les Africains doivent former des conseils statutaires de 25 délégués (dont cinq étudiants) parmi lesquels cinq délégués de sécurité dont un militaire d'active et un militaire de réserve.
Pour occuper le Soudan, à la rescousse des civils et donc installer un gouvernement révolutionnaire africain.
Environ 480 à 500 millions d'adultes s'organisant pour former un gouvernement dans lequel les 50 délégués internationaux, chacun étant élu, étant désigné plutôt par 10 millions de délégateurs - par deux - choisira un des deux comme membre du gouvernement. Il faut une solution africaine aux problèmes africain. Il faut une solution africaine aux problèmes imposés aux Africains par les vampires, les vautours, les voyous, les capitalistes.
C'est le capitalisme mondial qui pourrit l'Afrique depuis l'intérieur par le système capitaliste et depuis l'extérieur par ses milices qui viennent massacrer.
En l'occurrence, on en est à 150 000 morts d'après l'émissaire de Trump, mais la situation ne se calme pas.
La révolution africaine n'est pas une option, c'est une urgence. Une urgence qui doit se mettre en place par la reformation des CDR à l'échelle panafricaine.

