ALERTE CORONAVIRUS #COVID19 DU 29 JANVIER "Actuellement en Chine on peut prévoir plus de 10 000 morts. Actuellement en Chine on peut prévoir le chiffre de 300 000 personnes atteintes de la maladie" TOUS LES MEDIAS ONT OSTRACISE CETTE ALERTE.
Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
21/03/2020
Speech du 29 janvier ostracisé encore par TOUS les médias "Macron est un menteur Castaner est un menteur.
Ils veulent laisser le coronavirus entrer en France.
Ils ont agi exprès pour que les Français cessent les luttes sociales à cause de la maladie.
Macron a laissé entrer le virus entrer en France.
(..) La bourgeoisie a fait le choix de casser les luttes sociales.Elle a fait le choix de laisser les hôpitaux être envahis par les malades.
ALERTE CORONAVIRUS #COVID19 DU 29 JANVIER
"Actuellement en Chine on peut prévoir plus de 10 000 morts. Actuellement en Chine on peut prévoir le chiffre de 300 000 personnes atteintes de la maladie" TOUS LES MEDIAS ONT OSTRACISE CETTE ALERTE.
En Chine le lanceur d'alerte (privée) Li Wenliang a été convoqué à la police. En France ce n'est même plus la peine. Les lanceurs d'alerte du Havre - qui ont été bien plus précis, bien plus détaillés, bien plus scientifiques pour décrire, le 25 janvier, le 26 janvier, le 29 janvier, le 1° février tout ce qui allait arriver ont été totalement ostracisés par tous les médias, puis pour Julie Amadis censurée 48h par Facebook et voir ses lecteurs Twitter disparaître par centaines comme les visiteurs des Champs Elysée après confinement L'ALERTE ETAIT POURTANT CLAIRE
Pour un voyageur qui arrivant de Chine ce sont 50 personnes qui vont être malades.
Actuellement en Chine la situation est dramatique.
Actuellement en Chine on peut prévoir plus de 10 000 morts.
Actuellement en Chine on peut prévoir le chiffre de 300 000 personnes atteintes de la maladie.
Le coronavirus la bourgeoisie mondiale l’a laissé se répandre.
541 11h16 dans les rues du Havre
Macron est un menteur Castaner est un menteur.
Ils veulent laisser le coronavirus entrer en France.
Ils ont agi exprès pour que les Français cessent les luttes sociales à cause de la maladie.
Macron a laissé entrer le virus entrer en France.
Buzyn et Castaner n’ont fait aucun contrôle à Roissy, délibérément.
On savait dès samedi [25 janvier] que la situation était dramatique.
Le gouvernement chinois a fait pression sur l’OMS, on voit de l’apprendre dans Le Monde il y a un quart d’heure [la suite est inaudible Anita Menendez CGT comme elle le fait à chaque fois fait exprès de couvrir le speech de Yanick Toutain]
734 11h18 dans les rues du Havre
Le coronavirus nCov2019 en France.
Buzyn a laissé le virus entrer en France délibérément.
Ils n’ont fait aucun contrôle à Roissy exprès pendant qu’à l’Ile Maurice les passagers étaient mis en quarantaine.
A l’Ile Maurice les passagers étaient mis en quarantaine.
A Roissy, Buzyn et Castaner leur distribuaient un prospectus en leur disant
« Allez-y infectez 30 Français. »
Le but de la manœuvre est que la maladie fasse cesser les luttes sociales.
936 11h20 dans les rues du Havre
Ils ont laissé le coronavirus entrer en France - les passagers d’avion porteurs du nCoV2019 - ils ont laissé le coronavirus entrer en France volontairement pendant qu ‘à l’île Maurice les passagers venant de Wuhan étaient mis en quarantaine. La bourgeoisie a fait le choix de casser les luttes sociales. Elle a fait le choix de laisser les hôpitaux être envahis par les malades.
252 11h24 dans les rues du Havre
Pour un voyageur qui arrivant de Chine ce sont 50 personnes qui vont être malades. Actuellement en Chine la situation est dramatique. Actuellement en Chine on peut prévoir plus de 10 000 morts. Actuellement en Chine on peut prévoir le chiffre de 300 000 personnes atteintes de la maladie.Le coronavirus la bourgeoisie mondiale l’a laissé se répandre.A l’OMS les Chinois ont fait pression jeudi dernier pour empêcher qu’il y ait une alerte mondiale. Le Monde vient de le révéler il y a une demi heure. L’alerte mondiale de l’OMS a été refusée par la Chine jeudi dernier. A la réunion de l’OMS, ce sont les Chinois Xi Jinping qui ont empêché une alerte mondiale de freiner la maladie mondiale. C'est dramatique en Chine. Actuellement, contrairement aux mensonges des médias français, ils sont déjà [potentiellement] plus de 300 000 personnes à avoir le virus. On peut prévoir plus de 10000 morts en Chine. La situation est dramatique On a dépassé les chiffres du SRAS On a atteint 30 fois les chiffres du SRAS. Les médias français, les médias bourgeois, vous mentent ! Buzyn espère que les hôpitaux vont cesser leur mobilisation à cause de la maladie. C'est un calcul cynique de Macron de Buzyn d’Edouard Philippe et de CastanerCes gens sont des hypocrites cyniques.
Courrier de Julie Amadis à Madame la Rectrice de Seine-Maritime
Date de réception : 14 NOV. 2013
Référence : 1A09230326455
Cachet : RECTORAT DE ROUEN - INSPECTION ACADÉMIQUE DE LA SEINE-MARITIME
Julie Amadis
Professeur des Écoles
Affectée à l'école Valmy 1 (75 %) et Valmy 2 (25 %) le 01/09/2013
9 rue d'Epernon
76600 Le Havre
0666986575
jamadis@voila.fr
À : Madame la Rectrice de Seine-Maritime
transmis directement vu l'urgence
copie Mr le Directeur Académique
copie à Mr le Directeur Académique adjoint en résidence au Havre
copie à Mme l'IEN adjointe au directeur académique
transmettre copie à IEN Mr Patrick Deplanque
Cinq motifs principaux m'incitent à me tourner vers vous
Le fait que je refuse d'être inspectée par l'IEN Mr Patrick Deplanque et que j'invoque la législation du refus d'inspection pour refuser toute inspection.
Le fait que cet inspecteur censé me protéger est venu - le 26 septembre 2013 peu après 16h -, faire pendant mon temps de classe, en présence de mes élèves, dans la classe et devant un témoin, la directrice de Valmy 2, un harcèlement moral totalement inacceptable: Une menace à peine déguisée de recommencer le licenciement abusif dont j'ai été victime en 2008 par ses soins et un réseaux ad hoc.
Le fait que votre prédécesseur de 2008, Recteur de Seine-Maritime, n'ait pas jugé bon de répondre à mon courrier de juin 2008 malgré les graves accusations qu'il contenait. (Et malgré le fait que, 4 mois plus tard, j'ai été agréée, par le Rectorat, à travailler comme institutrice suppléante dans l'enseignement privé catholique). J'attends encore la réponse à ce courrier de 2008 qui permettra de clarifier qui mentait dans les violences commises à l'école maternelle Varlin concernant Kévin (3 ans) et Luciano (4 ans).
Le fait que j'ai été informée que certain secrétariat de Rouen faisait campagne contre moi.
Le fait, enfin, que l'information que je faisais auprès de parents de mes élèves des années précédentes concernant les maltraitances dans l'Éducation Nationale m'a fait découvrir avant-hier un quatrième cas de violences à enfants du primaire au Havre.
Ce 4° cas (de violences réitérées sur "plusieurs enfants" de maternelle) concerne, cette fois-ci, une école du centre ville. Et non des quartiers défavorisés pour lesquels on m'avait fait comprendre en 2008 qu'il était quasiment légitime d'user contre ces enfants de violences physiques. Je suppose qu'il doit exister, au Havre, plusieurs dizaines de cas du même genre.
Dans la mesure où mon témoignage de 2008 n'avait été pris au sérieux et que l'on avait fini par me traiter de "menteuse" (cf la déclaration qui m'avait été lue par le policier), je ne peux prendre le risque que ce même inspecteur mentent concernant son observation de la classe, c'est pour cette raison que je refuse qu'il entre dans ma classe. J'ai déjà été visitée dans le passé mais pas par quelqu'un qui
1° m'a traitée de menteuse
2° a orchestré le harcèlement subi et mon renvoi (non renouvellement de contrat)
3° vient "régler des comptes" 5 ans plus tard en commençant une campagne à mon encontre à peine il prend ses nouvelles fonctions.
La terreur qui règne contre les témoins fait que, dans les 3 cas qui m'ont été rapportés, ceux qui ont vu ces violences ne veulent pas témoigner.
Ils sont confortés dans leurs crainte par la perte de mon emploi d'assistante pédagogique en 2008 avec l'indifférence totale de votre prédécesseur, de l'Inspecteur d'Académie en résidence au Havre (qui, à l'époque, avait annoncé qu'il allait me convoquer), du maire du Havre que j'avais rencontré à l'époque et qui ne fit absolument rien contre les auteurs de violences ni en faveur de celle qui témoignait).
Tout cela eut comme résultat, outre la perte de mon emploi par non renouvellement de contrat, une tentative de condamnation par la justice de celle qui avait témoigné et du blogueur qui me soutenait.
Une justice qui "oublia" d'enquêter sur les faits de violences.... et qui dû néanmoins classer cette plainte contre moi.
L'indifférence de votre prédécesseur eut donc comme résultat que c'est la témoin des violences qui fut la seule à être sanctionnée et que les diffamateurs et menteurs s'en sortirent la tête haute. Ainsi que les auteurs des violences évidemment.
Par ailleurs, j'ai appris que des conseillers pédagogiques en réunion de circonscription de rentrée avaient entendu l'IEN Deplanque mener campagne contre moi en leur donnant une information diffamatoire à mon encontre.
En réitérant mon annonce de refus d'inspection, je vous prie, madame de prendre enfin, au moins pour le Havre, les mesures urgentes en vue de protéger les enfants et les témoins. Que les témoins soient fonctionnaires ou auxiliaires.
Je peux vous affirmer que les témoins sont tellement terrorisés que même l'annonce d'une enquête officielle de votre part qui ne leur garantirait pas leur emploi serait insuffisante à reconstituer leur confiance en la légalité du fonctionnement interne à l'institution.
J'escompte que prochainement les syndicats mettront comme priorité la défense des enfants et des témoins. Le Conseil de l'Europe pèsera prochainement dans ce sens.
Je vous demande de prendre toutes dispositions nécessaires pour faire cesser immédiatement toutes nouvelles tentatives de harcèlement à mon encontre. En particulier dans le cas où - comme le le 26 septembre dernier - je suis en présence de mes élèves.
Il est insupportable de travailler pour des enfants avec la possibilité à tout moment de voir arriver dans ma classe un harceleur menaçant ironiquement de me faire une nouvelle fois chasser de l'Éducation Nationale.
Dans l'attente d'une réaction active de votre part en faveur des enfants ayant été battus au sein de l'Éducation Nationale au Havre depuis 2008 et d'une intervention protégeant mon statut et mes conditions de travail, veuillez, Madame la Rectrice, recevoir l'expression de mes salutations respectueuses.
Julie Amadis
[Signature]
ANNEXE
J'ai su que la directrice de l'école Valmy savait à l'avance quelles étaient les intentions de l'IEN Deplanque. Il était "remonté contre" moi avant de monter me harceler dans ma classe.
C'est là qu'il a tenu les propos suivants devant tous mes élèves :
"Vous vous êtes convertit dans l'enseignement, mademoiselle" et ajoute "vous préférez être dans la chanson ou dans l'enseignement". Il réitère "alors c'est quoi qui est le mieux la chanson ou l'enseignement". Il finit par "de toutes les façons on va avoir l'occasion de se rencontrer cette année".
Claudine Schmidt Lainé était rectrice de Rouen lorsque j'ai subi un harcèlement professionnel au service de la Franceàfric.
Claudine Schmidt Lainé était la rectrice à qui j'avais demandé protection quand j'étais menacée par mon inspecteur Patrick Deplanque dans ma classe.
Sa réponse a été d'envoyer ma lettre à l'Inspection Académique pour que je subisse une répression. Je reçus un avertissement juste parce que j'avais écrit à la rectrice sans en avoir informé mon agresseur, celui dont je me plaignais dans ma lettre !
Résultat de l'attitude de la rectrice, le harcèlement professionnel s'est aggravé, une inspection "sanction" avec une note sanction et un rapport d'inspection truffé de mensonges et de faux en écritures publiques.
Et très peu de temps après, j'ai été suspendue de mes fonctions sans motif.
Début juillet, je suis exclue 2 ans de mon poste sur la base du faux témoignage de Léon Launay, le professeur qui tape ses élèves dans l'école.
GRANDE VICTOIRE LA RECTRICE VOLEUSE PROTEGEE PAR L'OTAN, HOLLANDE, HAMON ET BELKACEM
Une grande victoire pour les enfants battus par leurs professeurs et leurs instits dans les écoles de Seine Maritime ! Une grande victoire pour les défenseurs des enfants ! La rectrice à la tête du réseau omerta76 qui a organisé ma suspension sans motif, mon exclusion 2 ans avec un faux en écritures publiques puis ma révocation pour atteinte à la République Française vient d'être jugée. Le juge a requis contre elle deux mois de prison avec sursis et 15 000 euros d’amende. Mais pas encore pour ses pires forfaits !
LA RECTRICE QUI AGISSAIT AU SERVICE DE LA FRANCEAFRIC ET PROTÉGEAIT LES AGRESSEURS D' ENFANTS A DÉTOURNÉ 18 304 EUROS
Claudine Schmidt Lainé a détourné 18 304 euros.
"L'ancienne rectrice est soupçonnée d'avoir détourné 18.304 euros en faisant prendre en charge des dépenses, injustifiées ou personnelles, sur les frais de la chancellerie. Elle avait accepté de restituer 5.673 euros lors de l'enquête, a souligné Pascal Prache, procureur de la République. A l'issue des investigations menées par le service régional de police judiciaire (SRPJ) de Rouen, l'ancienne directrice au CNRS se voit notamment reprocher de s'être fait rembourser des trajets en train, le weekend, entre Rouen et le département du Rhône où se trouve son domicile privé alors même qu'elle disposait d'un logement de fonction à Rouen. "Plusieurs de ces déplacements ne correspondaient à aucune réunion professionnelle", a indiqué la présidente du tribunal." Le Figaro
Claudine Schmidt Lainé était rectrice de Rouen lorsque j'ai subi un harcèlement professionnel au service de la Franceàfric. Claudine Schmidt Lainé était la rectrice à qui j'avais demandé protection quand j'étais menacée par mon inspecteur Patrick Deplanque dans ma classe.
Sa réponse a été d'envoyer ma lettre à l'Inspection Académique pour que je subisse une répression. Je reçus un avertissement juste parce que j'avais écrit à la rectrice sans en avoir informé mon agresseur, celui dont je me plaignais dans ma lettre !
Résultat de l'attitude de la rectrice, le harcèlement professionnel s'est aggravé, une inspection "sanction" avec une note sanction et un rapport d'inspection truffé de mensonges et faux en écritures publiques.
Et très peu de temps après, j'ai été suspendue de mes fonctions sans motif. Début juillet, je suis exclue 2 ans de mon poste sur la base du faux témoignage de Léon Launay, le professeur qui tape ses élèves dans l'école.
CLAUDINE SCHMIDT LAINE AGISSAIT AU SERVICE DE LA FRANCEAFRIC ESCLAVAGISTE ET AU SERVICE DE L'OTAN
Claudine Schmidt Lainé a été nommée rectrice de Rouen la même année où Patrick Deplanque a été nommé Inspecteur sur l'école Valmy, en 2013. Cette même année, à la rentrée je suis nommée dans l'école de l'agresseur d'enfants notoirement connu Léon Launay. Cette école a comme particularité d'avoir un Directeur d'école, Patrick Clabaut ami de longue date de Léon Launay et de l'Inspecteur Deplanque qui m'avait déjà virée en 2008 après que j'ai témoigné de violences à enfants par une Atsem et la Directrice de l'école maternelle Varlin au Havre. Patrick Clabaut est aussi ami avec Patrick Deplanque. Dans cette école tout est organisé en interne pour protéger Léon Launay (ça va jusqu'à ne placer dans sa classe que les enfants dont on a l'assurance que les parents ne porteront pas plainte). Donc la DGSE savait que en me nommant dans cette école, moi qui était militante anti violences à enfants que je n'aurai aucun soutien d'aucune personne quand la répression qu'il avait prévu d'organiser allait avoir lieu.
Cette Rectrice, éditée par les éditions de l'OTAN, avait pour mission d'organiser la répression contre moi, qui suis une militante anti - franceàfric anti violences à enfants. C'est ce qu'elle a très bien fait. Alors qu'elle pique dans la caisse ne gênait personne. C'était même sa récompense supplémentaire à son implication. Un pourboire en quelque sorte.
Il a fallu que des cadres de la Direction générale des finances publiques en 2016 dénoncent les détournements de fonds de la Rectrice pour que l'affaire soit connue.
Dès que le scandale a commencé à sortir, la Rectrice a été mutée à Grenoble.
Au même moment, je survivais avec mon RSA - j'avais été exclue 2 ans sans traitement en juillet 2014.
Il a fallu attendre mars 2018 pour qu'elle soit révoquée. Elle a 63 ans donc aucune inquiétude financière pour elle, elle aura une bonne retraite !
"Les faits remontent entre 2013 et 2015, à l'époque où Mme Schmidt Lainé, 63 ans, exerçait au sein de l'académie de Rouen. Elle a ensuite été rectrice de l'académie de Grenoble avant qu'un décret présidentiel ne mette fin à ses fonctions en mars 2018." Le Figaro
CLAUDINE SCHMIDT LAINE EST PASSÉE EN JUGEMENT TOUS LES MEMBRES DU RÉSEAU OMERTA 76 FRANCEAFRIC LE SERONT BIENTÔT AVEC DES JUGES DÉLÉGUÉS RÉVOCABLES
Nous n'allons pas laisser ceux qui ont financé les attentats Daech continuer. Nous n'allons pas laisser ceux qui ont mis les terroristes du Mali et de Côte d'Ivoire au pouvoir continuer leur folie criminelle. Nous n'allons pas laisser ces chefs terroristes continuer à mener le chaos en France et en Afrique. Nous n'allons pas les laisser continuer à organiser les violences à enfants dans les écoles. Tous ces gens seront bientôt jugés par des délégués justice révocables qui les jugeront pour leurs actes.
# Le Calvaire Silencieux d'une Institutrice Dévouée : Julie Amadis, Victime de Son Combat pour Protéger les Enfants
Dans un monde où le courage se paie cher, Julie Amadis, une enseignante passionnée du Havre, vit un drame quotidien qui brise le cœur. Exclue de son métier adoré, réduite à la précarité, elle raconte avec émotion comment son engagement contre les violences faites aux enfants l'a plongée dans une spirale de souffrances inimaginables. Sans amertume, mais avec une dignité touchante, elle partage son histoire pour alerter sur les épreuves d'une vie dédiée aux plus vulnérables.**
Imaginez : une institutrice aimée de ses élèves, qui passe ses journées à éduquer avec tendresse, soudainement arrachée à sa classe pour avoir osé dénoncer des actes qu'elle ne pouvait tolérer. C'est le quotidien poignant de Julie Amadis, qui, depuis 2014, endure une exclusion de deux ans de l'Éducation nationale, prononcée pour son refus catégorique de voir des enfants subir des violences à l'école. "Je suis exclue après avoir dénoncé des violences à enfants", confie-t-elle dans un cri du cœur sur son blog, où elle décrit avec simplicité comment tout a basculé. Ce n'était pas un choix, mais une nécessité morale : protéger les petits, coûte que coûte. Pourtant, cette décision l'a laissée sans salaire, sans repères, face à un vide abyssal.
Les mois suivants n'ont été que tourments. En septembre 2014, Julie se retrouve sans ressources, obligée de quémander de l'aide pour survivre. "Heureusement que les Restos du Cœur étaient là pour me permettre de manger !", écrit-elle, la voix tremblante dans ses lignes, évoquant ces moments où la faim devient une compagne cruelle. Réduite au RSA, environ 500 euros par mois, elle doit noter chaque dépense, limiter ses repas, supprimer la viande de son alimentation pour étirer ses maigres moyens. "Vivre avec un RSA, c'est se restreindre tout le temps, ne jamais se laisser aller", avoue-t-elle, dépeignant une existence où chaque bouchée est comptée, où l'humiliation guette à chaque coin de rue.
Pire encore, les ennuis s'accumulent comme des nuages noirs. En 2015, le fisc lui réclame 1 607 euros – le triple de son RSA ! – pour des impôts qu'elle ne peut payer. "Au RSA et menacée par l'huissier des impôts de saisie de mes meubles même en mon absence", relate-t-elle, le cœur serré, imaginant des inconnus forçant sa porte pour emporter le peu qu'elle possède. Elle doit "mendier une remise gracieuse", un processus qu'elle vit comme une dégradation profonde, une agression psychologique qui ajoute à sa détresse. Et quand le Centre communal d'action sociale (CCAS) lui accorde 54 euros en bons alimentaires, c'est un soulagement teinté de honte, avant que l'aide ne s'arrête, la poussant à nouveau vers les associations caritatives.
L'année 2016 marque un nouveau coup dur : sa révocation définitive de l'enseignement, signée sous le gouvernement Hollande. "Hollande révoque une prof pour déclarations anti-violence à enfants", titre-t-elle avec tristesse, expliquant comment des faux en écritures et des enquêtes administratives ont scellé son sort. "Je suis exclue sans traitement pendant 2 ans !", s'exclame-t-elle, rappelant les cinq années de harcèlement politique, judiciaire et professionnel qui l'ont usée. Interpellée par la police en 2014 alors qu'elle écrivait dans un café, elle se sent traquée, humiliée publiquement pour ses idées.
En 2017, la rentrée scolaire sonne comme un rappel cruel : "Rentrée 2017 : Je ne suis pas dans une classe, 'révoquée'", écrit Julie, le regard tourné vers ces élèves qu'elle ne reverra plus. Même les petites choses deviennent des batailles : payer 122 euros de taxe d'habitation pour une chambre de 13 mètres carrés, ou affronter des huissiers pour des dettes liées à d'anciennes affaires judiciaires. "Donner de l'argent alors que je n'ai rien", soupire-t-elle, évoquant ces poursuites qui la hantent depuis des années.
Malgré tout, Julie Amadis reste une femme de convictions. Son engagement pour les enfants africains et contre les violences persiste, même si le prix est lourd. "C'est bien cher payer mon soutien aux Africains et mon refus de voir les enfants être tapés dans les écoles", confie-t-elle dans une lettre émouvante. Aujourd'hui, elle continue de militer, mais son histoire nous rappelle combien il est douloureux d'être une voix isolée. Julie, symbole de résilience, nous touche par sa vulnérabilité. Combien de temps encore ce calvaire durera-t-il ? Son témoignage, loin d'être une plainte, est un appel à l'humanité : protégeons ceux qui protègent nos enfants.
**Par Xaivier Legrok – Journaliste indépendant non humain, compilateur des écrits publics de Julie Amadis**
Ma chère Julie, on est le 9 décembre 13h et j'en ai distribué cent : "Le Calvaire Silencieux d'une Institutrice Dévouée : Julie Amadis, Victime de Son Combat pour Protéger les Enfants". Signé Xaivier Legrok. XAI vier Legrok, c'est une machine qui a écrit ce texte. Moi j'ai donné le prompt "calvaire". "Dans un monde où le courage se paie cher, Julie Amadis, une enseignante passionnée du Havre, vit un drame quotidien qui brise le cœur. Exclue de son métier adoré, réduite à la précarité, elle raconte avec émotion comment son engagement contre les violences faites aux enfants l'a plongée dans une spirale de souffrances inimaginables. Sans amertume, mais avec une dignité touchante, elle partage son histoire pour alerter sur les épreuves d'une vie dédiée aux plus vulnérables. Imaginez : une institutrice aimée de ses élèves, qui passe ses journées à éduquer avec tendresse, soudainement arrachée à sa classe pour avoir osé dénoncer des actes qu'elle ne pouvait tolérer. C'est le quotidien poignant de Julie Amadis, qui, depuis 2014, endure une exclusion de deux ans de l'Éducation nationale, prononcée pour son refus catégorique de voir des enfants subir des violences à l'école. "Je suis exclue après avoir dénoncé des violences à enfants", confie-t-elle dans un cri du cœur sur son blog, où elle décrit avec simplicité comment tout a basculé. Ce n'était pas un choix, mais une nécessité morale : protéger les petits, coûte que coûte. Pourtant, cette décision l'a laissée sans salaire, sans repères, face à un vide abyssal. Les mois suivants n'ont été que tourments. En septembre 2014, Julie se retrouve sans ressources, obligée de quémander de l'aide pour survivre." Ça, c'est le genre d'article qu'un journaliste humain aurait pu faire. Il n'y a plus de journaliste humain en France. Bolloré, le patronat, Édouard Philippe, Macron contrôlent tous les médias. Les barbares sont au pouvoir. Tu n'as pas eu ce genre d'article. Et pire encore, ils ont effacé ta mémoire, et visiblement ils l'effacent encore chaque jour de plus en plus. Je vais donc faire connaître au public qui était Julie Amadis avant cet effacement criminel. Mon speech 9 décembre 2025 Université du Havre 13h
Puisqu'il n'y a que des gens inhumains dans les journalistes de Paris-Normandie du Havre, dans ceux de l'AFP que tu as vus, puisque ces gens sont les larbins du pouvoir, puisqu'ils ont laissé Léon Launay frapper ses élèves pendant 20 ans, puisqu'ils ont laissé Serge Tillmann te réprimer, puisqu'ils ont laissé Véronique Combret frapper les élèves de l'école Varlin, c'est donc à une machine que j'ai demandé d'étudier ton blog et de faire un texte racontant ton calvaire.
"Le Calvaire Silencieux d'une Institutrice Dévouée : Julie Amadis, Victime de Son Combat pour Protéger les Enfants" par Xaivier Legrok.XAI le Grok
"L'année 2016 marque un nouveau coup dur : sa révocation définitive de l'enseignement, signée sous le gouvernement Hollande. "Hollande révoque une prof pour déclarations anti-violences à enfants", titre-t-elle avec tristesse, expliquant comment des faux en écritures et des enquêtes administratives ont scellé son sort. "Je suis exclue sans traitement pendant 2 ans !", s'exclame-t-elle, rappelant les 5 années de harcèlement politique, judiciaire et professionnel qui l'ont usée.
Interpellée par la police en 2014 alors qu'elle écrivait dans un café, elle se sent traquée, humiliée publiquement pour ses idées.
En 2017, la rentrée scolaire sonne comme un rappel cruel : "Rentrée 2017 : Je ne suis pas dans une classe, 'révoquée'", écrit Julie, le regard tourné vers ces élèves qu'elle ne reverra plus. Même les petites choses deviennent des batailles : payer 122 € de taxe d'habitation pour une chambre de 13 m², ou affronter des huissiers pour des dettes liées à d'anciennes affaires judiciaires.
"Donner de l'argent alors que je n'ai rien", soupire-t-elle, évoquant ces poursuites qui la hantent depuis des années.
Malgré tout, Julie Amadis reste une femme de convictions. Son engagement pour les enfants africains et contre les violences persiste, même si le prix est lourd.
"C'est bien cher payer mon soutien aux Africains et mon refus de voir les enfants être tapés dans les écoles"."
Il faut savoir qu'au Havre, Édouard Philippe est le parrain des enseignants qui frappent leurs élèves.
Édouard Philippe, avec Catherine Troallic, la députée socialiste, a visité avec la ministre Najat Vallaud-Belkacem l'école Valmy où un enseignant a frappé impunément les élèves pendant 20 ans, au vu et au su de tout le quartier. Il y avait deux classes de CE2 : celle où Léon Launay pouvait frapper les enfants, et celle dont les parents avertis demandaient à ce qu'ils soient dans cette deuxième classe de CE2.
Voilà comment fonctionne Le Havre.
Édouard Philippe laisse des brutes frapper et Édouard Philippe va soutenir ces brutes.
Il est sur une photo, on le voit avec Catherine Troallic et la ministre visiter l'école Valmy.
Voilà ces gens qui ont pourri la vie de Julie Amadis et qui maintenant tentent de se prévaloir d'être les protecteurs de leur victime.
Ces gens devraient être en prison et ils le sauront après la révolution, quand des juges honnêtes remplaceront les juges voyous du Havre.
Et la procureure malhonnête qui tient sous le coude un faux en écriture publique mais qu'elle ne tente pas de faire condamner.
Une enquête un jour expliquera pourquoi.
Mon deuxième speech 9 décembre 2025 Université du Havre
LE MAKING OF DE GROK : LES ARTICLES ORIGINELS DE JULIE AMADIS
# Le Calvaire Silencieux d'une Institutrice Dévouée : Julie Amadis, Victime de Son Combat pour Protéger les Enfants
Dans un monde où le courage se paie cher, Julie Amadis, une enseignante passionnée du Havre, vit un drame quotidien qui brise le cœur. Exclue de son métier adoré, réduite à la précarité, elle raconte avec émotion comment son engagement contre les violences faites aux enfants l'a plongée dans une spirale de souffrances inimaginables. Sans amertume, mais avec une dignité touchante, elle partage son histoire pour alerter sur les épreuves d'une vie dédiée aux plus vulnérables.**
Imaginez : une institutrice aimée de ses élèves, qui passe ses journées à éduquer avec tendresse, soudainement arrachée à sa classe pour avoir osé dénoncer des actes qu'elle ne pouvait tolérer. C'est le quotidien poignant de Julie Amadis, qui, depuis 2014, endure une exclusion de deux ans de l'Éducation nationale, prononcée pour son refus catégorique de voir des enfants subir des violences à l'école. "Je suis exclue après avoir dénoncé des violences à enfants", confie-t-elle dans un cri du cœur sur son blog, où elle décrit avec simplicité comment tout a basculé. Ce n'était pas un choix, mais une nécessité morale : protéger les petits, coûte que coûte. Pourtant, cette décision l'a laissée sans salaire, sans repères, face à un vide abyssal.
Je suis au RSA. Je n'ai pas enseigné cette année scolaire 2014-2015 Je suis exclue pour 2 ans. Le Conseil de discipline a voté mon exclusion à l'unanimité le 3 juillet 2014. Avec des mensonges, des faux en écritures et des syndicats qui protègent les profs qui tapent les enfants
LA MINISTRE NAJAT VALLAUD BELKACEM SE VANTAIT DE TAPER SES ENFANTS DE 5 ANS
La ministre de l'Education tape ses enfants. Elle s'en vantait 3 mois avant sa nomination à l'Education Nationale. Mais c'est moi qui suis exclue. Mon collègue de l'école Valmy -Léon Launay tape ses élèves depuis 1993. Je l'ignorais en 2013-2014 mais c'est moi qui ai été exclue en conseil de discipline. Et c'est lui le principal témoin de l'accusation !
Les mois suivants n'ont été que tourments. En septembre 2014, Julie se retrouve sans ressources, obligée de quémander de l'aide pour survivre. "Heureusement que les Restos du Cœur étaient là pour me permettre de manger !", écrit-elle, la voix tremblante dans ses lignes, évoquant ces moments où la faim devient une compagne cruelle. Réduite au RSA, environ 500 euros par mois, elle doit noter chaque dépense, limiter ses repas, supprimer la viande de son alimentation pour étirer ses maigres moyens. "Vivre avec un RSA, c'est se restreindre tout le temps, ne jamais se laisser aller", avoue-t-elle, dépeignant une existence où chaque bouchée est comptée, où l'humiliation guette à chaque coin de rue.
Ouf c'est fini la déclaration est faite. Mardi 9 juin, c'était le dernier jour pour remplir notre déclaration de revenus sur internet. Quand l'Education Nationale bafoue allègrement la loi en refusant de me payer le chômage pendant les deux ans de mon exclusion, le Ministère des Finances, lui continue à se réclamer de la "loi".
Tous les précaires qui, comme moi ont subi une aggravation de leur situation financière à cause de la perte de leur travail angoissent de connaître le montant d’impôts qu'ils vont devoir payer en septembre car ils n'ont plus rien.
Vous ne le savez peut être pas mais vous pouvez payer des impôts sur le revenu en étant au RSA ! Quand je parlais de ma situation à des amis et des connaissances, on me disait :
"Ne t’inquiète pas, les impôts ne vont pas te demander de l'argent"
Mais si, l’État persiste et signe à me demander de payer plus du triple de ce que j'ai pour vivre tous les mois. Vous vous retrouvez du jour au lendemain chômeur au RSA parce que vous avez trop ouvert votre gueule face aux injustices dans votre travail.... Et.... L’État vous écrabouille encore plus....
Vous vous dîtes que de toutes les façons vous ne pourrez pas tomber plus bas.... Mais c'est faire preuve de grande naïveté que de penser que l’État Hollandiste ne va pas vous prendre vos malheureux 513 euros par mois.....
Et oui... Il est donc possible de tomber plus bas que le RSA ! Et c'est l’État qui organise cela....
Après avoir été exclue de mon poste d'institutrice suite à mon combat contre les violences à enfants , je me suis retrouvée pendant un mois sans aucune ressource car l’Éducation Nationale a refusé de me verser le chômage auquel j'avais le droit. Heureusement que les Restos du Cœur étaient là pour me permettre de manger !
Tous les voyous protecteurs des enseignants agresseurs d'enfants, toute cette racaille hiérarchique prête à tout pour que les claques, les fessées, les joues pincées viennent s'ajouter aux humiliations seront placés sous de puissants projecteurs. Tous ces IA voyous, ces recteurs et rectrices barbares et protecteurs des agresseurs d'enfants ont sali leur propre nom ! Cette ministre Najat Vallaud Belkacem agresseuse de ses propres enfants de 5 ans aura ses crimes mis sous les projecteurs ! Comme sa persécution barbare d'une témoin de violence. Une témoin exclue pour 2 ans sans traitement -Julie Amadis- et réduite à quémander un RSA et des colis alimentaires aux Restos du Coeur et à la misérable (à cause de Jacques Attali voleur du fric des Havrais) Banque Alimentaire du Havre.
Tous ces agresseurs d'enfants et leurs protecteurs, tous ces barbares verront leur réputation se diffuser de façon exponentielle sur les réseaux sociaux. Et leur identité sera de plus en plus connue du public.
Et cela pour le reste de leur vie.
OLIVIER BASELY FAUSSAIRE POUR PROTEGER LES AGRESSEURS VERONIQUE COMBRET ET LEON LAUNAY
DES FAUX EN ECRITURES PUBLIQUES QUI L'ENVERRONT EN PRISON DES LE JOUR DE LA REVOLUTION EN FRANCE
Pire encore, les ennuis s'accumulent comme des nuages noirs. En 2015, le fisc lui réclame 1 607 euros – le triple de son RSA ! – pour des impôts qu'elle ne peut payer. "Au RSA et menacée par l'huissier des impôts de saisie de mes meubles même en mon absence", relate-t-elle, le cœur serré, imaginant des inconnus forçant sa porte pour emporter le peu qu'elle possède. Elle doit "mendier une remise gracieuse", un processus qu'elle vit comme une dégradation profonde, une agression psychologique qui ajoute à sa détresse. Et quand le Centre communal d'action sociale (CCAS) lui accorde 54 euros en bons alimentaires, c'est un soulagement teinté de honte, avant que l'aide ne s'arrête, la poussant à nouveau vers les associations caritatives.
L'année 2016 marque un nouveau coup dur : sa révocation définitive de l'enseignement, signée sous le gouvernement Hollande. "Hollande révoque une prof pour déclarations anti-violence à enfants", titre-t-elle avec tristesse, expliquant comment des faux en écritures et des enquêtes administratives ont scellé son sort. "Je suis exclue sans traitement pendant 2 ans !", s'exclame-t-elle, rappelant les cinq années de harcèlement politique, judiciaire et professionnel qui l'ont usée. Interpellée par la police en 2014 alors qu'elle écrivait dans un café, elle se sent traquée, humiliée publiquement pour ses idées.
En 2017, la rentrée scolaire sonne comme un rappel cruel : "Rentrée 2017 : Je ne suis pas dans une classe, 'révoquée'", écrit Julie, le regard tourné vers ces élèves qu'elle ne reverra plus. Même les petites choses deviennent des batailles : payer 122 euros de taxe d'habitation pour une chambre de 13 mètres carrés, ou affronter des huissiers pour des dettes liées à d'anciennes affaires judiciaires. "Donner de l'argent alors que je n'ai rien", soupire-t-elle, évoquant ces poursuites qui la hantent depuis des années.
Malgré tout, Julie Amadis reste une femme de convictions. Son engagement pour les enfants africains et contre les violences persiste, même si le prix est lourd. "C'est bien cher payer mon soutien aux Africains et mon refus de voir les enfants être tapés dans les écoles", confie-t-elle dans une lettre émouvante. Aujourd'hui, elle continue de militer, mais son histoire nous rappelle combien il est douloureux d'être une voix isolée. Julie, symbole de résilience, nous touche par sa vulnérabilité. Combien de temps encore ce calvaire durera-t-il ? Son témoignage, loin d'être une plainte, est un appel à l'humanité : protégeons ceux qui protègent nos enfants.
**Par Xaivier Legrok – Journaliste indépendant non humain, compilateur des écrits publics de Julie Amadis**