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samedi 30 juin 2018

20 M d'€uros : Hollande et Macron ont financé l'attaque Ansardine JNIM du QG G5 Sahel ! Impunité depuis 2013 pour le jihadiste Iyad Ag Ghali pantin DGSE-DRS-CIA-BND

Attaque terroriste le 29 juin contre le QG du G5 Sahel
par Yanick Toutain REVACTU
et Julie Amadis #IpEaVaEaFaF
 30/06/2018


"Comme souvent après la libération d'otages, les interrogations se multiplient sur le versement de rançon. D'après une source proche des négociateurs nigériens, entre 20 et 25 millions d'euros ont bien été versés. Selon une autre source touareg interrogée par l'AFP, l'impunité a de plus été garantie au chef du groupe islamiste armé Ansar Dine (Défenseurs de l'islam)". Le Parisien

Le chef de JNIM est Iyad Ag Ghali, le protégé des services secrets français.
Il était à l’hôtel Laico à Ouagadougou chez Compaoré, le grand ami de la Franceàfric quand les militaires de l'opération Serval faisaient semblant de le chercher au Mali.
Alors rappeler le parcours d'Iyad Ag Ghali, c'est dangereux pour Macron, Hollande, la DGSE...
Et donc, RFI, aux ordres, ne donne pas son nom.(...)
Pourtant Macron joue une pièce de théâtre dans laquelle il serait un chef d'Etat luttant contre le terrorisme. Lui qui a été le ministre de Hollande qui a réinstallé les terroristes au Mali et qui a gardé Jean -Yves Le Drian en le faisant passer de ministre de la Défense sous Hollande à ministre des Affaires Etrangères, a le culot d'accuser l'Algérie de protéger Iyad Ag Ghali.

Il y a quatre ans, en mai 2014, un article REVACTU annonçait ce qui allait se produire : des années de crimes terroristes sous protection DGSE et financement de l'Elysée

mardi 13 mai 2014


Mali-Nigeria: Le salaire de 10000 terroristes islamofascistes pour 3 ans : la somme payée par Hollande à Iyad Ag Ghali, le leader des assassins Ansar Eddine du 24 janvier 2012

La vérité était connue de tous les résistants..... à tel point point qu'elle apparaissait même sur le site RFI

"Hollande autorise ses services à travers les Fonds destinés aux services de renseignements, et ses entreprises dont AREVA à arroser Aqmi, Ansar Dine ou les organisations terroristes" (sic cité sur RFI)

EN OCTOBRE 2013 HOLLANDE MACRON LE DRIAN PUGA ONT ACHETÉ 20M€ à IYAD AG GHALI
5 ANNÉES D'ATTAQUES TERRORISTES


On souhaite bien du plaisir aux avocats de Hollande et Macron qui essaieront un jour de prouver que pas un centime des 20M€ que ces deux chefs terroristes ont versés à Iyad Ag Ghali en octobre 2013 n'a servi pour commettre l'attaque contre le QG du G5 Sahel à Sévaré au Mali hier vendredi 29 juin. Une somme qui pourrait d'ailleurs être bien plus importante !

"Hollande autorise ses services à travers les Fonds destinés aux services de renseignements, et ses entreprises dont AREVA à arroser Aqmi, Ansar Dine ou les organisations terroristes" (sic cité sur RFI)

Ce sera la même hypocrisie que leurs futurs collègues avocats de Hollande et de Macron qui tenteront de convaincre des juges que pas un centime des 13M€ versés aux ribanazis jihadistes Daech et autres en Syrie n'a servi pour commettre les crimes du Bataclan en novembre 2015.
On voit d'ailleurs les hypocrites pseudo journalistes de RFI tenter pendant 12 h de camoufler (jusqu'à ce matin 6h)  la revendication de l'attaque par le terroriste préféré de Sarkozy Hollande Puga Le Drian et Macron, Iyad Ag Ghali, à la tête du JNIM l'organisation qui a revendiqué l'attaque.


Hier, vendredi 30 juin 2018 un attentat a eu lieu au QG du G5 Sahel au Mali à Sévaré.
Un véhicule piégé peint aux couleurs de l'ONU a explosé.
Au moins un kamikaze était à bord d’un véhicule-bélier piégé, immatriculé « CICR », Comité international de la Croix-Rouge. C’est un véhicule bélier et le kamikaze s’est fait exploser devant le camp de la force G5 à Sévaré. Quand il a explosé, les témoins rapportent un « très grand bruit ». Le mur d’entrée du camp a été soufflé. Le véhicule a été projeté à l’intérieur du camp.
Des images montrent de la ferraille – tout ce qu’il reste de la voiture. La déflagration a été si forte que les murs, les plafonds de certains bâtiments du camp de l’armée malienne situé non loin du QG de la force conjointe ont tremblé.RFI Afrique
Deux militaires et un civil ont été tués.
Quatre autres militaires et un civil ont été blessés.

ATTAQUE REVENDIQUÉE PAR JNIM DONT LE CHEF IYAD AG GHALI EST LE PROTÉGÉ DE LA FRANCEAFRIC


L'attaque a été revendiquée par JNIM, un groupe terroriste anciennement Ansardine.
Ansardine, le groupe terroriste qui a aspiré tous les membres d'Al Qaeda au Mali.
Les noms changent quand les scandales sur les terroristes soutenus par l'Elysée sont trop visibles.
Leur nouveau nom depuis le 1er mars 2017, c'est JNIM.
Le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (en abrégé GSIM ; en arabe جماعة نصرة الإسلام والمسلمين, Jamāʿat nuṣrat al-islām wal-muslimīn, JNIM) est une organisation militaire et terroriste, d'idéologie salafiste djihadiste, formée le pendant la guerre du Mali. Il naît de la fusion d'Ansar Dine, des forces d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) dans le Sahel, de la katiba Macina et de la katiba Al-Mourabitoune. Wikipédia



RFI AUX ORDRES ÉVITE SOIGNEUSEMENT DE DONNER LE NOM DU CHEF DU GROUPE QUI A COMMIS L'ATTENTAT D'HIER


Le chef de JNIM est Iyad Ag Ghali, le protégé des services secrets français.
En janvier 2013, le chef du JNIM était à l’hôtel Laïco à Ouagadougou à 4,5 km du palais présidentiel du président terrorriste du Burkina Faso, l'assassin Blaise Compaoré, le grand ami de la Franceàfric.
Le leader jihadiste était dans la capitale du Burkina Faso quand les militaires de l'opération Serval faisaient semblant de le chercher au Mali.
Alors rappeler le parcours d'Iyad Ag Ghali, c'est dangereux pour Macron, Hollande, la DGSE...
Et donc, RFI, aux ordres, ne donne pas son nom.

Ici un extrait d'article #IpEaVaEaFaF montrant la protection dont bénéficie Iyad Ag Ghali de la Franceàfric et de l'Algérieàfric.
Le terroriste Iyad Ag Ghali leader d'Ansardine #JNIM protégé par l'Algérie et la France
qui s'accusent mutuellement

C'est un secret de polichinelle en Afrique....
Iyad Ag Ghali est le protégé de l'Algérie et de la France...
Ce leader d'Ansar Dine groupe terroriste criminel  peut faire ce qu'il veut au Mali...
Il sait qu'on ne viendra pas porter atteinte à son action terroriste...

Et cela fait presque 6 ans que dure cette farce criminelle....

Pourtant Macron joue une pièce de théâtre dans laquelle il serait un chef d'Etat luttant contre le terrorisme. Lui qui a été le ministre de Hollande qui a réinstallé les terroristes au Mali et qui a gardé Jean -Yves Le Drian en le faisant passer de ministre de la Défense sous Hollande à ministre des Affaires Etrangères, a le culot d'accuser l'Algérie de protéger Iyad Ag Ghali.
"Durant sa visite à Alger, le 6 décembre, Emmanuel Macron a abordé le cas d'Iyad Ag Ghali avec les dirigeants algériens, en particulier lors de son entretien avec Ahmed Gaid Salah, le vice-ministre de la Défense nationale, et ses collaborateurs. Ces echanges portant sur le chef du Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), qui chapeaute les principaux groupes jihadistes au Mali, ont été tendus. Les renseignements français ont en effet acquis la certitude qu'Ag Ghali et ses proches bénéficient du soutien, voire de la protection, des services de sécurité algériens. Ce qu'Alger dément catégoriquement. " Jeune Afrique N° 2971-72-73.
Comme si la protection d'Iyad Ag Ghali par le DRS de Bouteflika était une nouvelle ! Cette complicité de l'Algérie et son soutien à Ghali est un secret de Polichinelle.
On sait même par un courriel reçu par Hillary Clinton que les services secrets algériens ont passé accord avec AQMI en leur demandant d'attaquer Maroc et Mali (source DNA)
En réponse aux propos hypocrites de Macron, un responsable algérien possédant un sens de l'humour a répondu :
"Si les Français le voulaient vraiment, ils le mettraient hors d'état de nuire : ils en ont tous les moyens", souligne un responsable algérien. Jeune Afrique N° 2971-72-73.
Soulignant par là que Macron n'a pas besoin du feu vert des Algériens et donc du DRS pour en finir avec leur protégé !
Eh oui...

 BOUTEFLIKA PARRAIN D'IYAD AG GHALI
COMME SARKOZY HOLLANDE MACRON LE DRIAN ET MEME BUSH CLINTON ET MERKEL

IYAD AG GHALI ESPIONNAIT ET RENDAIT COMPTE A L'AMBASSADE US A BAMAKO AARON SAMPSON AGENT TRAITANT US DU TERRORISTE

IYAD AG GHALI UNSERMANN DE MERKEL
ETAIT L'AGENT LOCAL AU MALI
DES SERVICES SECRETS ALLEMANDS BND



Bonnet blanc Blanc Bonnet...

La France comme l'Algérie protègent Iyad Ag Ghali.
Ils s'arrangent même entre eux pour lui trouver la meilleure protection. La France a pour allié Iyad Ag Ghali contre les révolutionnaires maliens...
Elle le protège mais ne veut pas que ça se sache de trop....
Alors quand ses hommes se retrouvent prêts à le "cueillir", l’Élysée est bien embêté... Hollande ne veut pas passer pour "ami des terroristes" aux yeux de tous... Alors la France prévient l'Algérie - ami d'Iyad Ag Ghali - pour  protéger le terroriste sans que ça ne se voit de trop...
"C’est un geste de courtoisie diplomatique et militaire dont on se souviendra longtemps au ministère français de la défense. En 2014, alors qu’elle avait Iyad Ag-Ghali, chef du mouvement djihadiste malien Ansar Eddine à portée de fusil, la France a choisi de prendre l’avis d’Alger avant d’agir, plutôt que de le « neutraliser » ou de le capturer vivant.
Pas si peu fiers de cette marque de considération, les Algériens envoient à Paris un message aussi clair que l’eau de roche : « Ne vous occupez pas d’Iyad. Nous en faisons notre affaire. »
On connaît bien la suite de cette consultation franco-algérienne : Iyad Ag-Ghali en a tiré profit pour disparaître des écrans radar. Mieux, le chef djihadiste a reconstitué Ansar Eddine, sorti, comme tous les autres mouvements djihadistes, du Sahel, zone déstabilisée par l’opération militaire française « Serval » de janvier 2013." Le Monde

20 MILLIONS D'EUROS VERSÉS PAR HOLLANDE MACRON A CEUX QUI ONT ATTAQUÉ
LE QG DU G5 SAHEL HIER

Si les médias français n'osent même pas donner le nom du chef terroriste du groupe responsable de l'attaque du G5 Sahel, vous imaginez bien qu'ils ne disent rien du reste.
Ils ne disent rien sur le fait que les terroristes au Mali, c'est Sarkozy qui les a envoyés envahir le Mali après avoir recruté d'ex dirigeants militaires de Kadhafi (qu'il a ensuite fait tuer par une alliance criminelle entre la Brigade du 17 Février du terroriste Al Qaeda Abdelhakim Belhadj et les services secrets français Commando Hubert DGSE.... crime prémédité par Sarkozy parce que Kadhafi avait menacé de tout révéler de la corruption de sa campagne électorale 2007).

LES TERRORISTES RECRUTES PAR SARKOZY
DES AVEUX CONNUS DEPUIS JANVIER 2014

Ce sont Sarkozy, Fillon, Juppé, Baroin et le général Puga qui ont envoyé les jihadistes attaquer le Mali avec la complicité du président ATT

Hama Ag Mahmoud a révélé l'accord qu'il y avait entre eux les jihadistes et Sarkozy :
"La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne,... en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France.(interview de Hama Ag Mahmoud un des principaux chefs terroristes MNLA)

Tels des poissons rouges sans mémoire, les médias Franceàfric donnent une information capitale.
.. pour ensuite faire semblant de l'avoir oubliée et ne jamais relier les informations d'actualité - ici G5 Sahel - avec les informations qu'ils avaient révélées auparavant.
20 à 25 millions remis au groupe terroriste Ansardine par Hollande et Macron (son secrétaire général adjoint) et l'impunité du chef terroriste Iyad Ag Ghali en octobre 2013 !

Comme souvent après la libération d'otages, les interrogations se multiplient sur le versement de rançon. D'après une source proche des négociateurs nigériens, entre 20 et 25 millions d'euros ont bien été versés. Selon une autre source touareg interrogée par l'AFP, l'impunité a de plus été garantie au chef du groupe islamiste armé Ansar Dine (Défenseurs de l'islam). Le Parisien
 Le prétexte - car il faut toujours un prétexte pour verser une somme si importante à un groupe terroriste- étaient les otages.

Le groupe Ansardine a juste changé de nom. Il s'appelle JNIM maintenant. Ce sont les mêmes terroristes. JNIM c'est le nom de camouflage pour faire oublier que Hollande et Macron (qui était à l'époque Secrétaire général adjoint du cabinet du président Hollande) les ont financés.

 

lundi 13 mars 2017

Les bobards de Stéphanie Maupas et Justice Info pour protéger les donneurs d'ordre du terrorisme (Sarkozy Obama Hollande)


par Yanick Toutain
REVACTU
13/3/2013








REPONSE (non affichée sur le site) à STEPHANIE MAUPAS


Faire un article sur un terroriste.... 3° couteau d'une organisation......... sans JAMAIS mentionner le nom de ses CHEFS est totalement révélateur d'une démarche malhonnête et partiale Démarche visant à CAMOUFLER l'appartenance de Fatou Bensouda à un RESEAU TERRORISTE. Iyad Ag Ghali récompensé de 20M€ par Hollande en octobre 2013 pendant que le n°2 Cheikh Ag Aoussa a été recyclé par Le Drian sous l'étiquette MIA puis HCUA en prétendu rebelle
...... est une mascarade hypocrite
CITATION En fonction depuis le 16 juin 2012, la procureure de la Cour pénale internationale (CPI) a déjà accompli la moitié de son mandat. En quatre ans et demi, Fatou Bensouda a ouvert deux dossiers, Mali et Géorgie, et émis un mandat d’arrêt pour crimes de guerre contre le djihadiste d’Ansar Dine, Ahmed Al Mahdi. ++++FIN DE CITATION
C'est logique Hollande et ses 2 acolytes généraux Puga et Beth ont RECRUTE le groupe jihadiste Ansardine le 9 octobre 2015 pour ATTAQUER le Burkina Faso ATTAQUE GENDARMERIE SAMOROGOUAN on a même l'enregistrement téléphonique de celui qui a organisé le financement des terroristes https://www.youtube.com/watch?v=d_DWOYjw9M4 xxx
http://www.jeuneafrique.com/mag/282297/politique/affaire-de-l-enregistrement-soro-bassole-verbatim-de-premiere-ecoute/





COPIE INTEGRALE DE L'ARTICLE CAMOUFLANT LES NOMS DES CHEFS TERRORISTES ANSARDINE ET MNLA
Bensouda à mi-mandat à la CPI : le test américain
07.03.17
Stéphanie Maupas, La Haye, CorrespondanceFatou Bensouda Procureure de la CPI au procès de Thomas LubangaFatou Bensouda Procureure de la CPI au procès de Thomas Lubanga© ICC-CPI/Jerry Lampen/ANPEn fonction depuis le 16 juin 2012, la procureure de la Cour pénale internationale (CPI) a déjà accompli la moitié de son mandat. En quatre ans et demi, Fatou Bensouda a ouvert deux dossiers, Mali et Géorgie, et émis un mandat d’arrêt pour crimes de guerre contre le djihadiste d’Ansar Dine, Ahmed Al Mahdi. Trop peu d’actes, à ce jour, mais de nombreux dossiers sur la table, visant notamment Russes, Britanniques, Américains et Israéliens. Les observateurs attendent impatiemment l’ouverture annoncée d’un dossier sur l’Afghanistan, visant notamment les tortures perpétrées par les forces des Etats-Unis, comme un tournant et un test, pour la Cour et la justice internationale. Bilan à mi-mandat.
 Un pas en arrière, deux pas en avant. S’engouffrant dans le sillage creusé par l’Afrique du sud, le dictateur gambien Yayah Jammeh, avait décidé, mi-octobre, de retirer son pays du traité fondateur de la Cour pénale internationale (CPI). Vainqueur de la présidentielle, son successeur, Adama Barrow annulait la décision, et pour marquer le tournant qu’il entend donner au pays, « après 22 ans d’injustice et d’abus de pouvoir », il prenait pour ministre de la Justice l’ancien procureur du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR), Hassan Boubacar Jallow. Mais à La Haye l’annonce du retrait gambien avait résonné comme une attaque personnelle contre la procureure, nommé en 1998 ministre de la Justice du dictateur de ce petit pays pétrolier d’Afrique de l’Ouest, après dix années passées aux plus hauts postes de la justice gambienne. « Fatou Bensouda n’est pas gambienne, elle est globale ! » souriait néanmoins un juriste. Après un détour rapide comme conseiller juridique d’une banque commerciale, Fatou Bensouda rejoignait le TPIR en 2000, où elle officiait au côté de celui qu’elle prendra pour adjoint à la CPI, James Stewart, et de Stephen Rapp, qui deviendra, lui, l’ambassadeur américain pour les crimes de guerre des années Obama.
Russes, Américains, Britanniques et Israéliens dans le viseur
Pour évaluer les premières années du mandat Bensouda, il faut regarder du côté des examens préliminaires, étape préalable aux enquêtes. En mai 2014, la procureure décidait de rouvrir le dossier sur les tortures pratiquées par les forces britanniques dans les prisons irakiennes, discrètement refermé huit ans plus tôt par son prédécesseur. La procureure ouvrait ensuite un examen préliminaire sur la Palestine début 2015, après avoir été saisie par l’autorité palestinienne, qui dans le même temps, ratifiait le traité de la Cour. Un an plus tard, elle concluait son examen préliminaire sur l’Ossétie-du-Sud et obtenait des juges l’autorisation d’ouvrir une enquête. Enfin, et c’est sans doute la décision la plus remarquable, elle annonçait en novembre 2016 des conclusions « très imminentes » sur l’Afghanistan, pointant notamment les crimes commis par les forces américaines. Enquêtes et examens préliminaires impliquent désormais la Russie, le Royaume uni, les Etats-Unis et son allié israélien. « Il faut voir toute la signification de cela », souligne William Schabas, « la justice internationale a toujours été contrôlée par les Etats du Conseil de sécurité, même à Nuremberg, avant même que le Conseil de sécurité n’existe ! Ils ont toujours pensé organiser cette justice pour les autres. » Dans son rapport de novembre, Fatou Bensouda indique se pencher sur les crimes – notamment les tortures – commis par les forces américaines en Afghanistan et ailleurs, dont ceux perpétrés par la CIA dans les prisons secrètes en Europe où « des membres présumés d’Al Qaeda ou des Talibans auraient été transférés » depuis l’Afghanistan. Des « membres de l’armée américaine et de la Central Intelligence Agency (CIA) ont eu recours à des méthodes constitutives de crimes de guerre de torture, traitements cruels, atteintes à la dignité de la personne et viol », souligne le rapport de Fatou Bensouda, qui précise que « la gravité des crimes allégués est renforcée par le fait qu’ils auraient été perpétrés en exécution d’un plan ou d’une politique approuvée dans les plus hautes sphères du gouvernement américain, au terme de longues délibérations ». Cette politique visait à obtenir « des renseignements au travers de techniques d’interrogatoire s’appuyant sur des méthodes cruelles ou violentes destinées à servir les objectifs américains dans le conflit en Afghanistan ».
L’Europe des prisons secrètes
Les déclarations du nouveau président américain Donald Trump soulignent d’autant plus l’urgence d’une intervention de la CPI. « Vous savez, j’ai parlé avec d’autres personnes du renseignement, et elles croient par exemple au simulacre de noyade parce qu’elles disent que ça marche », déclarait Donald Trump sur la chaine ABC, le 25 janvier. Le nouvel élu réitérait des déclarations prononcées durant sa campagne, au cours de laquelle il avait plaidé pour le retour des méthodes d’interrogatoire renforcées pratiquées sous l’ère George W. Bush. L’existence de prisons secrètes avait été révélée en 2005. Au terme d’une enquête conduite à la demande du Conseil de l’Europe, le sénateur suisse Dick Marty avait dénoncé « une toile d’araignée mondiale » de détentions et de transferts illégaux pratiqués par les Etats-Unis, en collusion avec plusieurs Etats européens. Depuis, ces Etats ont été sommés d’engager des poursuites, mais se sont retranchés derrière le secret d’Etat. Dans son rapport de novembre, la procureure indique avoir demandé à la Pologne, la Roumanie et la Lituanie, trois Etats membres de la Cour, de l’informer sur d’éventuelles poursuites en cours. En marge d’une conférence internationale sur la sécurité à Munich, du 17 au 19 février, Fatou Bensouda a notamment rencontré le président afghan, Ashraf Ghani, et les ministres des Affaires étrangères de Roumanie et de Lituanie. Mais la procureure n’a toujours pas présentée aux juges sa demande d’enquête. « La question des tortures commises par les Etats-Unis est d’importance mondiale », estime le professeur William Schabas, « cela montrera que les Etats Unis peuvent aussi avoir à répondre devant la justice. Vous ne pouvez pas le faire avec la Commission des droits de l’homme de l’Onu, un organe politique, vous ne pouvez pas le faire avec le Conseil de sécurité, pour des raisons évidentes, seule la CPI peut le faire. » Pour la première fois, on parlera d’« un dirigeant qui envoie son armée combattre dans un autre pays », souligne-t-il en outre. Mais annoncée comme imminente, la demande d’enquête n’est toujours pas, trois mois après, sur le bureau des juges. « Il y a beaucoup de débats pour savoir s’il serait sage de faire cela, mais c’est pourtant la raison pour laquelle la Cour a été créée », souligne le chercheur Mark Kersten. « On peut imaginer que les Etats-Unis pourraient avoir avec la CPI de très mauvaises relations, avec au pouvoir l’administration Trump et en fait, avec n’importe quelle administration », explique le chercheur, « mais il y a eu beaucoup d’attentes durant les quinze premières années de la Cour, et finalement, la CPI pourrait enfin confronter la justice aux pouvoirs. » Pour William Schabas, elle « doit Insister sur le caractère impartial de cette justice, parce que si la Cour continue sur cette voie », en ciblant les seuls conflits dont l’impact est national ou régional, « il y a de fortes chances qu’elle devienne une institution bien peu pertinente ». La procureure n’a pas le droit d’échouer sur ces dossiers très sensibles et personne n’envisage qu’un recul soit aujourd’hui possible. « Ouvrir une enquête sur la Géorgie, avancer les examens préliminaires sur l’Afghanistan, cela montre une relative indépendance sur ces affaires-là », estime Karine Bonneau, de la Fédération internationale des droits de l’Homme (FIDH), « mais il faut encore voir ce qu’il va en sortir. Et c’est le vrai test de la CPI. » En attendant l’ouverture formelle d’enquêtes, les récents développements sont salués. « Examiner la conduite des Etats-Unis, de la Russie, d’Israël, même si cela peut être vu comme une mesure minimaliste, c’est déjà un tournant », selon le professeur Schabas.
Les examens préliminaires, source de pression
Ouverts parfois depuis des années, dix ans pour la Colombie et l’Afghanistan, « les examens préliminaires fonctionnent comme une liste de dénonciation, et cela un bon impact, même si c’est difficile à évaluer, comme par exemple sur le processus de paix en Colombie » ajoute le professeur de l’université de Middlesex. « La Cour est une source, parmi d’autres, de justice et de pressions sur les Etats », souligne aussi Karine Bonneau. « Un examen préliminaire qui dure dix ans, ce n’est pas acceptable, mais sans la CPI, il n’y aurait pas eu autant de tentatives de rendre justice en Colombie. Et si la procureure ouvrait un examen préliminaire au Mexique, alors les autorités commenceraient à bouger », assure-t-elle. Le traité de Rome, fondateur de la Cour, a été adopté en 1998, à une époque où la guerre froide s’ancrait dans le passé. La juridiction s’est installée à La Haye en 2002, quelques mois après le 11-Septembre. Aujourd’hui, la procureure « est confrontée à une époque totalement différente de celle qui prévalait à la création de la Cour, avec cette levée de boucliers des Etats africains, l’arrivée de Trump, la crise financière qui incite des Etats comme la France à reculer sur le budget », regrette Karine Bonneau. Si les dossiers sont sur la table, les décisions trainent en longueur et pourraient donner le temps aux pourfendeurs de la juridiction de consolider leurs troupes. En novembre 2016, au premier jour de l’Assemblée annuelle des Etats parties à la Cour, Moscou annonçait qu’elle retirait sa signature du traité (la Russie n’a pas ratifié le traité, mais l’avait signé). Une annonce symbolique, destinée à soutenir les rangs des frondeurs africains, alors qu'Israël a aussi placé la juridiction à son agenda.
Deux dossiers, un mandat d’arrêt
Avec son élection fin 2011, nombre d’Etats-parties à la Cour espéraient insuffler un nouveau tempo dans les relations de la juridiction avec « l’Afrique », compliquées depuis l’annonce, en juillet 2008, de l’inculpation à venir du président soudanais Omar Al Bachir, puis de celle d’Uruhu Kenyatta, élu à la tête du Kenya en 2013 malgré sa mise en accusation. En prenant ses fonctions le 16 juin 2012, Fatou Bensouda devait gérer les dossiers mal ficelés de son prédécesseur, Luis Moreno Ocampo, dont elle partage ce premier bilan pour avoir été, pendant huit ans, son adjointe. « Quand elle a commencé en 2012, il était de plus en plus évident que les méthodes d’enquête et de poursuite ne tenaient pas dans une salle d’audience », explique Elizabeth Evenson, de Human Rights Watch (HRW). « Il y a eu des revers, particulièrement avec l’effondrement des deux affaires sur le Kenya. » L’élection des deux principaux accusés, Uhuru Kenyatta et William Ruto à la tête du Kenya « a conduit à une escalade dans les attaques politiques contre la légitimé de la Cour. » Mais depuis l’entrée en fonction de Fatou Bensouda, « on a vu des changements de stratégie dans les investigations, et le bureau du procureur a aussi avancé en délivrant des documents clés de politique pénale », sur les crimes sexuels, les enfants soldats et la sélection des affaires. « Difficile, souligne néanmoins le professeur William Schabas, d'évaluer sa direction, parce que jusqu’à présent, il n’y a pas eu beaucoup d'actions ». En quatre ans, Fatou Bensouda a ouvert deux dossiers, sur le Mali en janvier 2013, puis trois ans plus tard sur la guerre de l’été 2008, opposant en Ossétie-du Sud, la Géorgie à la Russie. Une enquête balbutiante, alors qu’en près de cinq ans, sur les dix affaires en cours, un seul mandat d’arrêt pour crime de guerre a été émis et exécuté. Incarcéré au Niger, Ahmed Al Mahdi avait rapidement été transféré à La Haye en septembre 2015. Face à la Cour, l’ancien chef de la police des mœurs décidait de plaider coupable de la destruction des Mausolées de Tombouctou, alors occupée par les djihadistes d’Ansar dine et d’Al Qaeda au Maghreb Islamique (AQMI). Rondement menée, l’affaire s’est conclue en septembre 2016, par une condamnation à 9 ans de prison. « Je crois que c’est la meilleure affaire jamais conduite par la Cour à ce jour » salue le chercheur Mark Kersten. « Ils sont parvenus à obtenir la coopération de deux Etats, le Niger et le Mali », et « la condamnation de l’accusé dans un temps très court », pour « un crime qui résonne largement aujourd’hui étant donné les destructions de patrimoine par l’EI [Etat islamique] et celles orchestrées avant par les Talibans. » L’auteur de « Justice in conflict » (Oxford), rappelle aussi que les aveux d’Al Mahdi pourraient conduire, dans un proche avenir, à de nouveaux mandats d’arrêt.
Une Cour bientôt sans procès
L’absence de décisions sur les dossiers en cours suscite aussi l’inquiétude. Si aujourd’hui trois procès sont enclenchés - contre Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé, Bosco Ntaganda et Dominic Ongwen - le box des accusés pourrait, dans les prochaines années, rester pour longtemps inoccupé. Que ce soit en Centrafrique, au Mali, ou en Côte d’Ivoire, les mandats d’arrêt se font attendre. Quant à l’affaire libyenne, les annonces de la CPI « n’ont pas eu d’effet positif sur les violences » souligne Mark Kersten. Depuis mai 2016, Fatou Bensouda a annoncé au Conseil de sécurité des Nations unies, qui avait saisi la CPI des crimes commis en Libye dès 2011, être prête à lancer des mandats d’arrêt. Si les Kadhafistes sont toujours au cœur des enquêtes, la procureure a, au cours des dernières années, tour à tour évoqué les crimes commis contre les tawerghas, une minorité accusée durant la rébellion de soutenir le régime Kadhafi, ceux perpétrés par les troupes du colonel Haftar, longtemps opposé au gouvernement d’union libyen, devenu aujourd’hui commandant en chef de l’Armée libyenne, puis l’Etat islamique, et récemment, les auteurs de crimes contre les migrants. « Le Bureau du procureur a pris la position de considérer le renvoi de la Libye par le Conseil de sécurité comme étant sans limite, et pour la Cour, cela revient à traiter la Libye comme un Etat membre », analyse Mark Kersten. Et « c’est très décevant de voir que ni Luis Moreno Ocampo, ni Fatou Bensouda, n’ont enquêté sur les crimes de l’opposition », ajoute-t-il. La procureure a signé un accord avec les autorités libyennes, répartissant les poursuites contre les supporters de Kadhafi, en attribuant à la Cour leur traque à l’étranger. Si de nouveaux dossiers sont ouverts, il sera difficile à l’accusation de donner à la Libye un blanc-seing pour juger sur son sol. Le 21 février, le Haut-commissariat aux droits de l’Homme et la Mission des Nations unies en Libye identifiait notamment  « de graves violations des garanties d’une procédure régulière », estimait que de profondes réformes du système judiciaire étaient nécessaires, et réclamaient un moratoire sur la peine de mort. Des conclusions sans surprises. Seule la CPI avaient jugé les procédures fiables en renvoyant l’affaire Senoussi aux libyens, à l’été 2014, après avoir émis un mandat d’arrêt contre cet ancien chef des renseignements militaires en juin 2011. « Je crois que le bureau du procureur aurait dû, depuis longtemps, prendre l’initiative de remettre en cause la recevabilité de l’affaire Senoussi », dit Marc Kersten. Au cours de son mandat, le premier procureur, Luis Moreno Ocampo, « s’est emparé de tous les dossiers faciles, commente un fonctionnaire de la Cour. Des affaires visant des accusés déjà en détention », comme Thomas Lubanga ou Laurent Gbagbo, « et des dossiers visant les milices opposées aux autorités en place, et lui permettant d’obtenir une bonne coopération ». Mais « aujourd’hui, c’est plus compliqué ».

samedi 4 février 2017

Le scandale FillonGATE raconté aux enfants de l'humanocratie (Au temps des délégués irrévocables et des délégateurs irresponsables)


transcrit par Yanick Toutain
REVACTU
4/2/2017


"Déposer un morceau de papier (sur lequel il est même interdit d’écrire son nom)
avec le nom du délégué
dans une boîte
est le système de la démocratie des voyous pour la
désignation des « élus »"
cf infra.

Ce qui suit est un document s’adressant aux jeunes pionniers1, (en particulier aux correspondants justice2 et, en premier lieu, aux jeunes délégués pionniers3) afin de leur permettre de comprendre les événements étranges qui se sont produits en France en 2017 et qui ont accéléré la mise en oeuvre de l’humanocratie et la fin de la démocratie.

Avertissement aux jeunes lecteurs :
Dans ce texte le mot « délégateurs » est remplacé par le mot « électeurs ». Cela veut dire qu’à cette époque les délégateurs d’un bandit ou d’un criminel n’étaient jamais condamnés par la justice.
Électeur signifie « délégateur irresponsable rendu anonyme par la technique du bulletin de vote »
Dans ce texte le mot « délégués » est remplacé par le mot « élus ». Car, à cette époque, les délégués révocables étaient interdits par une « constitution ». Les « élus » étaient irrévocables. La plupart des élus pouvaient voler pendant presque toute leur vie, faire du trafic de drogue, organiser des meurtres sans que jamais ils ne puissent être révoqués.
Jacques Chirac qui a fait tout cela avec Charles Pasqua est maintenant candidat au prix Nobel de la paix.
Comme les délégateurs des « élus » étaient anonymes, ces voyous prétendaient qu’il était trop compliqué de les révoquer.

LE SCANDALE FILLON


Le scandale Fillon, en réalité est bien plus ancien que les événements de 2017. Mais les médias avaient réussi à camoufler les véritables activités de François Fillon et de ses complices.
Le scandale commence cependant le mercredi 25 janvier 20174. Ce jour-là comme le mercredi 1 février paraît un journal hebdomadaire5 ; le Canard Enchaîné6. Dans ce numéro ne figure aucun gros scandale concernant les activités de l’armée française ni la semaine suivante. Le Canard Enchaîné cache en particulier la perquisition7 organisée le 28 janvier chez le principal chef terroriste africain – Iyad Ag Ghali8. Une perquisition qui donne la preuve de la protection dont le leader « jihadiste » ribiste9 bénéficiait de la part des troupes d’occupation venues de France depuis 4 ans.
Des soldats français ont procédé à une fouille minutieuse de la maison du chef djihadiste pendant que d’autres étaient positionnés sur le toit de la maison et aux alentours.
Les militaires français ont saisi des téléphones portables et des bijoux de la veuve du défunt chef touareg Bahanga laquelle se retrouvait avec ses filles au domicile perquisitionné.
Il s’agit de la première perquisition des forces françaises du domicile de Iyad Ag Aly depuis le déclanchement de l’intervention militaire en janvier 2013 qui a repoussé les djihadistes des principales villes qu’ils occupaient au nord du Mali (source Maliweb)

Le scandale que révèle le journal humoristique10 est un tout petit scandale : En faisant semblant de travailler au service de son mari, Pénélope Fillon a été payée comme « assistante parlementaire ».
C’est un minuscule scandale qui a fait tomber le criminel Fillon chef terroriste de Guillaume Soro, Iyad Ag Ghali, MNLA et autre narco-jihadistes d’Afrique subsaharienne11.

FILLON CHEF TERRORISTE A LANCE L’ATTAQUE
 MNLA ANSARDINE EN JANVIER 2012


Il est vrai que le jihadiste que François Fillon a lancé à l’attaque du Mali est le protégé de l’Elysée malgré le départ de la droite.
Même quand il se vante d’attaquer l’armée française l’Elysée continue à interdire de s’en prendre à lui : Se vanter le 7 juin 2016 d’avoir lancé une attaque contre les soldats français et être perquisitionné le 28 janvier 2017, cela, même Fillon ne pourrait le faire.
Comme quoi, les jihadistes sont mieux protégés que les voleurs.
Iyad Ag Ghali, Touareg et leader emblématique du groupe jihadiste Ansar Dine, a revendiqué, hier, « deux attaques » dirigées contre les soldats français de l’opération Barkhane.
(Afrique sur 7)) 
Naturellement, pionniers de l’humanocratie, vous trouvez cela totalement absurde : Fillon qui a lancé ces jihadistes à l’attaque en 2012 n’est pas poursuivi pour cela.

FILLON CHEF TERRORISTE EN CÔTE D’IVOIRE,
CORROMPU EN EGYPTE

François Fillon ne risque rien pour ses activités de chef terroriste au Mali, comme en Côte d’Ivoire.
François Fillon ne risque rien comme corrompu par l’Internationale Sociale qui l’a invité à Noël 2010 à passer gratuitement ses vacances en Egypte. Invitation du dictateur Moubarak.
François Fillon va être contraint de quitter la politique pour avoir fait croire que sa femme était son assistante.
Et donc pour l’avoir faite payer 900 000 euros ?
Plus 84 000 euros pour ses enfants ?

POURQUOI PAYER UNE ASSISTANTE ?


Pourquoi donc avoir besoin de payer un ou une assistante ?
Vous, pionniers de l’humanocratie, trouvez évidemment cela absurde.
En effet, François Fillon est un délégué député. Et, à ce titre, n’importe quel pionner sait que les assistants d’un délégué député sont ses 4 délégateurs intermédiaires et les 20 délégués conseillers dont il est le représentant.
N’importe quel pionnier, de la même façon, sait qu’un délégué député est assisté par les 624 délégués de base dont il est le représentant. 624 délégués de base entourés par 3125 adjoints DIB12
Ce sont dont 15624 personnes qui sont les assistants de celui ou de celle qui est leur délégué député.

FRANÇOIS FILLON A ÉTÉ DÉSIGNÉ DÉLÉGUÉ INTERMÉDIAIRE INTERNATIONAL PAR 1953125 DÉLÉGATEURS ANONYMES IRRESPONSABLES


Comme l’idée que Fillon ait pu avoir été désigné « candidat » est une notion incompréhensible au premier abord par vous, les jeunes pionniers de l’humanocratie, cette étrange procédure va être décrite dans un vocabulaire panstitutionnel13
En janvier 2017 , près de 2 millions de délégateurs14 se sont réunis et ont désigné François Fillon au statut15 de Délégué Intermédiaire International (ou DII prononcé D2I)
Normalement, ce sont donc 5 délégués nationaux qui auraient du publier leur nom sur la page officielle du DII (François Fillon et ses quatre co-délégués). Mais cela ne s’est pas passé comme cela.
Normalement, chacun des 5 délégués nationaux aurait du publier la liste de 25 délégués députés qu’il représente (24 plus lui ou elle-même). Mais rien de cela ne s’est produit.
Les 125 délégués députés que François Fillon représente n’ont pas publié officiellement leur soutien.
Normalement, sur la même page, on devrait pouvoir lire le nom des (25*25*25*25*5) 1953125 délégateurs qu’un Délégué Intermédiaire International représente.
Mais rien de cela n’a été fait.


LE « VOTE », RUSE EN 2017 POUR PERMETTRE AUX DÉLÉGATEURS DE FRANÇOIS FILLON D’ÉCHAPPER AUX POURSUITES PÉNALES


C’est par une stupide procédure appelée « vote » que la désignation de François Fillon a été faite.
En janvier 2017, les voyous utilisaient une procédure permettant de cacher aux juges la liste des délégateurs qui l’ont désigné.
Déposer un morceau de papier (sur lequel il est même interdit d’écrire son nom) avec le nom du délégué dans une boîte est le système de la démocratie des voyous pour la désignation des « élus ».
Un élu c’est un délégué qui a eu des morceaux de papier en plus grand nombre dans une boîte. Et qui ne connaît même pas le nom de ses délégateurs.
François Fillon qui a eu 2 919 874 morceaux de papier avec son nom (966 749 de plus que le quota pour être désigné délégué intermédiaire international) a eu plus de morceaux de papier que son collègue voyou Alain Juppé (qui en a eu 1 471 898).
En humanocratie, François Fillon et Alain Juppé aurait pu être désigné tous les deux comme DII – Délégués Intermédiaires Internationaux. Mais en démocratie des voyous, cela ne se passe pas comme ça.
Et donc, maintenant que les morceaux de papier ont été déposés, les voyous ne savent plus comment faire.

IL SUFFIRAIT QUE LES 4 DELEGUES NATIONAUX
QUI ONT DESIGNE FRANCOIS FILLON DESIGNENT UN AUTRE DELEGUE INTERMEDIAIRE INTERNATIONAL DII.

A l’époque de la démocratie des voyous, des procédures extraordinairement simples en humanocratie était l’occasion de millions de discussions inutiles et absurdes.
En humanocratie, si un délégué est considéré comme suspect – quelle que soit la suspicion – ses délégateurs le quittent dans l’heure qui suit.
Ils le quittent en espérant une réduction de peine pour les délits commis dont ils n’avaient pas été capables de deviner que leur délégué allait les commettre.
Et, si les délégués qui l’avaient désigné au rang juste en dessous n’ont pas perdu la confiance de leurs propres délégateurs, il suffit qu’un d’entre eux soit désigné à la place.
Dans le cas de Fillon, celui-ci chassé de son statut de DII serait immédiatement remplacé par un des 4 délégués nationaux.


FRANCOIS FILLON A PROBABLEMENT
PERDU 3/10 DE SES DELEGATEURS

Avant l’humanocratie, avant que la désignation et la révocation de délégués ne permette au peuple de donner en permanence son opinion, pour savoir ce que pensait la population, les voyous utilisaient une étrange méthode. Un tout petit nombre de gens était interrogé (souvent 1000, parfois 2000) pour donner l’opinion du reste de la population. (qui ne pouvait donc pas donner son avis, à part en twittant et en retwittant son mécontentement)
On a donc appris le 1 février (par un sondage fini le 31 janvier) que 3 électeurs (potentiels) de François Fillon sur dix avaient décidé ne plus vouloir voter pour lui.
Avec des délégateurs ce sont donc 600 000 délégateurs qui aurait exigé sa révocation.
Mais il serait toujours délégué Intermédiaire international.

POURQUOI CE CIRQUE ?

Parce que, en démocratie, il faut que des gens n’aient pas de représentant. Et donc, une élection présidentielle (cela a disparu depuis la panstitution) va désigner un délégué international (10 millions de délégateurs) mais en gaspillant des millions de « votes ».
Au lieu de désigner autant de délégués internationaux qu’il est possible (chaque délégué international ayant 25 délégués nationaux pour le soutenir), la démocratie fait un système absurde dans lequel des millions de Français ne peuvent plus rien décider.
C’est comme ça que le capitalisme, les banques, les centrales nucléaires, les émissions carbone, les violences contre les enfants, les viols dans les familles, le harcèlement professionnel conduisant au suicide et surtout, le pillage esclavagiste de l’Afrique par Bolloré et ses collègues qui payaient 50 euros par mois leurs esclaves africains….. a pu continuer jusqu’en 2017.
Mais, comme vous le savez, les vols de François Fillon ont accéléré le démarrage de la révolisation et donc la mise en place de la panstitution et des délégués révocables.







1Pionniers : tous les jeunes de 7 à 13 ans
2Correspondants justice : 1 jeune sur 5 chargé d’informer les 4 autres de leurs droits et obligations..
3Délégués pionniers : 5 % des jeunes de 7 à 13 ans. Chaque délégué de base a 24 délégateurs.
4Le 25 janvier 2017 de l’ancien calendrier. Vous, jeunes lecteurs, auront été rapidement capables de faire la transcription dans le nouveau calendrier de l’humanocratie.
5Hebdomadaire : qui paraît (ou se répète) chaque semaine.
6Canard Enchaîné : journal qui était contre les armées et les guerres créé pendant la guerre 1914-1918. Il fut souvent interdit par les esclavagistes capitalistes pour que la vérité reste cachée du public.
7Perquisition : fouille de la maison ou des locaux où se trouve un délinquant. Alros que François Hollande fait croire qu’il a envoyé l’armée française pour lutter contre les terroristes, en réalité, son plan consistait à faire semblant de se battre, en tuer quelques uns et désigner les principaux chefs comme chefs du nord du Mali (une chef terroriste MNLA a même été nommée ministre par IBK l’allié de François Hollande.
8Iyad Ag Ghali a été recruté au printemps 2011 par Nicolas Sarkoy, François Fillon et le général Puga comme terroriste allié secret de la France pour aller attaquer le Mali en janvier 2012. Tous les journaux français camouflent cette vérité malgré les aveux de son allié, le chef terroriste Hama Ag Mahmoud dirigeant du MNLA.
9Ribiste. Les terroristes ribistes sont les mercenaire de la Riba (le nom des banques en langue arabe). Pour protéger les banques contre la colère des peuples, la CIA des USA, la DGSE française et le MI britannique ont recruté des voyous comme miliciens avec l’aide des familles Seoud et Al Thani en les faisant passer pour musulmans. Alors que l’Islam est une religion anticapitaliste.
10Journal humorisitique : journal qui fait des blagues pour pouvoir dénoncer des petits scandales en cachant les gros. En particulier les crimes des dirigeants de la France. Aucun des journaux « humoristiques » n’a dénoncé les crimes de Fillon, Sarkozy, Hollande avec leurs mercenaires terroristes du Mali et de Côte d’Ivoire. Pendant que les gens riaient, ils avaient l’impression d’avoir su toute la vérité.
11Afrique subsaharienne désigne la parie de l’Afrique au sud du Sahara mais
12Les DIB sont les délégués intermédiaires de base. Chaque DIB est désigné par un groupe de 5 dont il est membre . Un DIB a donc 4 délégateurs. Il est DIB adjoint pédagogie, DIB adjoint sécurité, DIB adjoint santé ou DIB adjoint justice.

13Panstitutionnel adj. Relatif à la panstitution.
14François Fillon, on le verra ensuite a eu 2 919 874 bulletins de vote. On ne parle ici que des 5*25⁴ qui l’auraient désigné délégateur si l’humanocratie avait fonctionné en janvier 2017.

15Statut : un délégué révocable a un statut (qui correspondant à son rang et donc au nombre de délégateurs qu’il représente) et une f

lundi 26 septembre 2016

Incroyable : l'armée française aurait "pris ses distances" avec ses protégés terroristes MNLA-Ansardine Iyad Ag Ghali

Militaires maliens victimes de Sarkozy
et Puga, les vrais chefs des terroristes
de Ménaka Aguel Hoc
par Yanick Toutain
26/9/2016

Les premières menaces de l'armée française contre les terroristes MNLA viennent de se produire
« Le colonel nous a dit que celui qui a un problème avec l’armée malienne a un problème avec l’armée française et que, s’il le faut, les Français utiliseront la force pour que les soldats maliens rentrent dans Ber, soutient Ousmane Ould Sidi, un officier de la CMA. C’est la première fois que les Français nous menacent de la sorte. On ne se laissera pas faire.
(article abject de Rémi Carayol)

Au sujet des terroristes MNLA invités par Fabius au Quai d'Orsay,
 Rémi Carayol écrit écrit

"les figures du mouvement se font plus rares à Paris." 


La totalité de la présence française au Mali est une bavure
Et l'article lamentable visant à protéger les assassins de AGUEL HOC vaudra convocation en garde à vue à l'auteur de cette bavure au service des terroristes - Rémi Carayol 

(en cours de rédaction-maquettage)

L'ARMEE FRANCAISE PRENANT SES DISTANCES
 AVEC LES TERRORISTES MNLA-ANSARDINE ?



Un article de Jeune Afrique nous fait une annonce incroyable : l'armée française venue "sauver" le Mali en janvier 2013 aurait "pris ses distance


L’armée française a pris ses distances avec les ex-rebelles touaregs, à qui elle reproche un double jeu permanent. Désormais, c’est front uni avec les militaires maliens.

Pour ceux qui suivent le dossier malien depuis 2012, cette annonce sonne comme un aveu terrible : prendre ses distances en 2016 avec les terroristes, cela revient à avouer la vérité : Serval a installé les terroristes au Nord-Mali en interdisant à l'armée malienne de pénétrer dans les villes que la France réservait aux assassins d'Aguel Hoc.
Pire encore, ces terroristes MNLA avec lesquels Barkhane annonce une prise de distance sont ceux-là mêmes que Sarkozy et le général Puga, son âme damnée militaire, son chef d'Etat-major particulier ont lancé à l'attaque du Mali en 2011 : les criminels de Aguel Hoc, qui ont assassiné 82 militaires maliens alliés avec Ansardine du psychopathe Iyad Ag Ghali et AQMI.
C'est ce même Iyad Ag Ghali que Hollande et Puga viennent le 9 octobre dernier de lancer à l'attaque de la gendarmerie Samorogouan afin d'essayer de sauver le putsch Diendéré-Compaoré-Puga-Beth-Soro-Bassolé.














L’armée française a pris ses distances avec les ex-rebelles touaregs, à qui elle reproche un double jeu permanent. Désormais, c’est front uni avec les militaires maliens.









La tension est retombée aussi vite qu’elle était montée à Ber. Quelques heures durant, le 7 septembre, des habitants de cette localité, située à l’est de Tombouctou et contrôlée depuis plus de deux ans par les ex-rebelles de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA), ont manifesté leur colère en brûlant un drapeau du pays. Moins habituel : ils ont scandé des slogans anti-Barkhane, du nom de l’opération militaire française en cours depuis 2014, qui était en fait le réel objet de leur courroux.










L'auteur de l'article écrit
contrôlée depuis plus de deux ans par les ex-rebelles de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA), 


au lieu d'écrire : par les terroristes MNLA que Sarkozy et Puga ont lancé à l'attaque du Mali le 17 janvier 2012 et que Hollande a réinstallé après leur défaite face au Mujao soutenu par le Qatar



L’armée française, une menace pour la CMA
La veille, une colonne de l’armée française avait pénétré dans la ville, et un officier avait, au cours d’une longue discussion, exigé des hommes qui la contrôlent de laisser l’armée malienne y entrer à son tour. Une opération conjointe des armées française et malienne est prévue à Ber et dans ses environs depuis plusieurs semaines, mais au dernier moment, fin août, la CMA s’y était opposée.

Les lecteurs français n'y comprendront rien !
Il faut leur expliquer que Serval et Barkhane étaient des opérations terroristes visant à faire semblant de combattre Mujao pour réinstaller MNLA (Ansardine au Nord Mali)

Ber est un carrefour stratégique pour les trafiquants et – cela va souvent de pair – une base logistique de première importance pour les ex-rebelles. C’est surtout l’une des dernières positions contrôlées par la CMA. Il est donc hors de question pour cette coalition, qui regroupe le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), le Haut Conseil pour l’unité de l’Azawad (HCUA) et une aile du Mouvement arabe de l’Azawad (MAA), de la perdre.
Ne pas rappeler que le MNLA a attaqué Aguel le 18 janvier 2012 puis le 24 est une honte


MARDI 12 JUILLET 2016



Aveux d'un chef MNLA : Les terroristes sont dirigés et financés depuis l'Elysée. Sarkozy, Hollande, Puga sont les chefs des criminels Soro, MNLA, Ansardine, Iyad Ag Ghali, AQMI etc....


Militaires maliens victimes de Sarkozy
et Puga, les vrais chefs des terroristes
de Ménaka Aguel Hoc
présentation Yanick Toutain
REVACTU
12/7/2016



chef terroriste MNLA Hama Ag Mahmoud :
 "La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne, pendant la guerre de Libye. Ensuite de bloquer le recrutement des libyens dans l’Azawad et dans l’Aïr au Niger.
"La France nous avait donné son feu vert pour l'indépendance de l'Azawad"
Et en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France




« Le colonel nous a dit que celui qui a un problème avec l’armée malienne a un problème avec l’armée française et que, s’il le faut, les Français utiliseront la force pour que les soldats maliens rentrent dans Ber, soutient Ousmane Ould Sidi, un officier de la CMA. C’est la première fois que les Français nous menacent de la sorte. On ne se laissera pas faire. »
Vous ne rêvez pas ! Les terroristes MNLA se plaignent d'entendre les PREMIERES MENACES....



L’armée française a déjà été la cible de critiques des groupes armés issus de la rébellion et de la colère d’une frange de la population du Nord-Mali. En avril, exaspérées par une vague de fouilles et d’arrestations menées à Kidal, et encouragées par les hommes du HCUA – et peut-être même par ceux d’Ansar Eddine, le groupe jihadiste d’Iyad Ag Ghaly –, des dizaines de personnes avaient violemment manifesté devant l’aéroport.
Groupes armés issus de la rebellion est l'exact synonyme de GROUPES TERRORISTES PROTEGES et MISSIONNES par SARKOZY et HOLLANDE
Quant à la prétendue frontière entre MNLA et Ansardine (comme avec HCUA CMA etc...) , elle fait rigoler tous les résistants maliens informés.
Un coup d'oeil à la page Facebook du fils du terroriste le jour de sa mort montrait que ses amis facebook étaient MNLA - ANSARDINE AQMI
C'est un GROUPE TERRORISTE avec plusieurs devantures.
Ces trafiquants jihadistes ou laïcs ne cessent de fabriquer des sigles derrière lesquels leurs troupes glissent d'une semaine à l'autre.


Les accusations des groupes armés confirmées par BamakoDepuis, les relations sont glaciales entre l’armée française et les groupes armés signataires de l’accord d’Alger. Un jour, c’est une source anonyme au sein du ministère français de la Défense qui souligne une réalité évidente depuis des années : le « double jeu » du HCUA, un mouvement dirigé par plusieurs anciens lieutenants d’Ag Ghaly, dont certains n’ont jamais rompu avec lui. Un autre, ce sont des membres du MAA ou des proches du HCUA qui dénoncent, images de corps déchiquetés à l’appui, les « bavures » de l’armée française

Double jeu ?
 est totalement hypocrite !!
Ansardine, les jihadistes viennent d'être MISSIONNES par SORO pour le compte des généraux Puga et Beth pour attaquer une gendarmerie

Quand Guillaume Soro, le protégé de Laurent Fabius dit au téléphone ON FRAPPE c'est de l'attaque ANSARDINE qu'il parle


 Voilà ce que je voulais te proposer : on frappe dans une ville en haut, quelque part là-bas ; on récupère un commissariat ou bien une gendarmerie. Eux, ils vont fuir. Ils ne peuvent pas résister. Et comme on me dit que l’armée est autour de Ouagadougou, si on frappe à un bout là-bas, l’armée va vouloir se réorganiser pour y aller. Si un centimètre carré est pris, ils sont obligés d’aller se battre. Au moment où ils décollent là, on refrappe dans un autre coin. (source Jeune Afrique Verbatim des écoutes de Zida VS Soro)

xxc

Un complice de Soro a révélé récemment que Soro protestait que tout cela était en réalité une mission pour Ouattara.
On s'en doutait.
Que les généraux Puga depuis l'Elysée et Emmanuel Beth puissent missionner Soro pour recruter Ansardine dans le dos de Ouattara aurait été étonnant.


L'attaque jihadiste visait à protéger le putsch Diendéré Beth Puga



Burkina, feu orange de la France en faveur des putschistes



24 septembre 2015 
L’ancien chef de la garde présidentielle de Blaise Campaoré et chef des putschistes burkibabés, le général Gilbert Diendéré posséde de nombreux réseaux au plus huat niveau, Elysée et ministère français de la Défense. Le militaire félon a bénéficié du soutien discret à Paris de deux hommes clés: l’ancien ambassadeur français au Burkina, le général Emmanuel Beth et, le chef de l’Etat Major particulier de l’Elysée, le général Benoit Puga. Les trois généraux se connaissent depuis leurs années de formation; et les liens ne se sont jamais démentis. Il arraivait au général Diendéré de sauter en parachute avec son ami l’ambassadeur Beth.
Notons que le 24 septembre, les écoutes téléphoniques accusant Soro n'étaient pas encore publiques.



Jadis accusée, à Bamako, dans la presse comme au sein du gouvernement, de partialité en faveur des ex-rebelles, voilà que l’armée française est désormais perçue, par les groupes armés et leurs soutiens, comme un acteur trop engagé en faveur des autorités maliennes.
Rémi Carayol parle de GROUPES ARMES ?
Mais ce sont les TERRORISTES !!
Rémi Carayol nous raconte que les TERRORISTES SE PLAIGNENT
Alors qu'ils ont eu l'impunité grâce à ATT SARKOZY ET HOLLANDE


Le capitaine Sékou Traoré a payé de sa vie l'attaque du Qatar contre le Mali sur ordre de Sarkozy et l'accord de Hollande.
La Révolution Africaine n'a pas fini de lui rendre hommage

LES PHOTOS DES VICTIMES DU COMPLOT SARKOZY-HOLLANDE-QATAR
LES ASSASSINS ONT ETE RECOMPENSES : ADMISSSION ACCELEREE DANS LA FRANCOPHONIE !

Crise au Nord : Les photos du massacre d’Aguelhock

Hommage au capitaine Sékou Traoré alias Bad et à tous ses hommes qui ont combattus les bandits armés, les mains vides.


Bad et ses hommes ont préférés la mort plutôt qu’à l’abandon d’une partie du territoire national.

Vous êtes de vrais héros, vous êtes morts pour une cause noble.
Le peuple Malien tout entier se souviendra de vous

De la Flash à l’EMIA de koulikoro ou je t’ai connu, de Sévaré au bataillon Para, de la chine à Aguel Hoc ou tu as rendu l’âme, à seulement une trentaine d’année de ta vie ! tu as toujours su t’imposer ton ardeur, ton courage et surtout ton amour pour la défense de l’intégrité du territoire national. Que Dieu est pitié de toi et de tes hommes.
Séga Diarrah le 03 février 2012 pour maliactu.net


2 NOVEMBRE 2012

MALI : Massacre d’Aguelol-hoc - haut trahison de Président Amadou Toumani Touré

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Massacre d’Aguelol-hoc - Un rescapé mouille ATT
Aliou Badara Diarra,
  
La ville d’Aguelhok est contrôlée par le groupe armé islamiste Ansar Dine

La ville d’Aguelhok est contrôlée par le groupe armé islamiste Ansar DineL’ami d’un capitaine se souvient. Il y a beaucoup de non-dits dans le massacre d’Aguel-Hoc qui a vu l’assassinat froid de 118 soldats de l’armée malienne sur place par les éléments du MNLA, en a fait partie le commandant de l’unité méhariste de la localité, le capitaine Sékou Traoré dit Bad, ancien leader estudiantin.
Lui avait vu la mort venir, mais a préféré la défense de la patrie. Ce snipper hors pair victime d’un complot d’Etat de la part d’ATT, a confié ceci à sont ami  avant de mourir : « ce pays va fonctionner comme ça, mais si nous voulons, c’est à nous de changer l’ordre des choses. Restez ici,  je viendrai vous chercher » et fait référence avec sa conversation avec le général ATT sur le téléphone satellitaire des rebelles. 
Neuf mois après le massacre d’Aguel-Hoc, un enseignant rescapé,  Adama Sissoko, ami inséparable et confident du capitaine Sékou Traoré dit Bad, commandant de l’unité méhariste d’Aguel-Hoc, parle et revient sur les dernières heures du capitaine Traoré qui a défendu sa patrie au prix de son sang. Lisez plutôt le récit de ce rescapé.
Sur cette histoire très récente, les gens laissent circuler beaucoup de rumeurs. Il ya eu deux attaques à Aguel-Hoc, celle du 18 janvier et celle du 24 janvier 2012. Ces attaques ont été commanditées par les éléments déserteurs de l’armée avec le soutien des éléments d’Aqmi avec d’autres complicités non identifiées qui donnaient la position de l’armée aux bandits armés. La preuve, un élément de la garde nationale promotion 2007, avait tenté de saboter en mettant des bâtons dans  les obus du 12-7 qui se trouvait au portail du camp, le jour même de l’attaque du 18 janvier 2012.



PARIS "RECONNAIT AVOIR DURCI LE TON"
 AVEC LES TERRORISTES MNLA



À Paris, si l’on assure n’avoir jamais varié de position, on reconnaît avoir durci le ton vis-à-vis de ces groupes. « Les relations avec les Français ne sont plus aussi bonnes qu’avant, admet un cadre du MNLA. La collaboration sur le terrain s’est beaucoup amoindrie. Et ils arrêtent régulièrement certains de nos hommes. » Autre signe qui ne trompe pas : les figures du mouvement se font plus rares à Paris.
Ces gens relèvent des tribunaux !
Ces militaires qui protègent les assassins d'Aguel Hoc sont indignes de la nationalité française !
Au sujet des terroristes MNLA invités par Fabius au Quai d'Orsay, Rémi Carayol écrit écrit
"les figures du mouvement se font plus rares à Paris."


Une fois n’est pas coutume, les tenants du pouvoir à Bamako font le même constat que les insurgés à Kidal. « Depuis quelques mois, on perçoit un assouplissement dans nos relations avec Barkhane, souligne un “sécurocrate” proche du président Ibrahim Boubacar Keïta. Il reste beaucoup à faire, en matière d’échanges d’informations notamment, mais il y a du mieux. » Selon cette même source, « les Français ont enfin compris qu’il y avait beaucoup de porosité entre les groupes armés signataires de l’accord de paix, le HCUA notamment, et les groupes jihadistes qu’ils combattent ».
Ils prennent Puga et Hollande pour des imbéciles !!
Comme si les deux lascards, et l'amiral Bernard Rogel ne savaient pas EXACTEMENT que MNLA et ANSARDINE sont un monstre à tête multiple.Un monstre missionné par Sarkozy et Hollande.
un monstre qui a assassiné à Samorogouan







Une méfiance progressive à l’égard de Barkhane




« On n’était pas dupes, mais notre patience a des limites », explique-t-on à Paris. « Au début de Serval, les militaires français se servaient des Touaregs pour traquer les jihadistes sur un terrain qu’ils ne maîtrisaient pas, précise un officier ouest-africain qui s’est battu au Mali. Ils savaient très bien à qui ils avaient affaire, mais ils en avaient besoin. S’ils ont changé de discours, c’est parce que le MNLA est affaibli et leur est devenu moins utile. Mais c’est aussi parce qu’ils ont perdu trop d’hommes sur le terrain. »

C'est sur que les gens qui ont missionné les terroristes pour attaquer le Mali en 2012 n'étaient pas dupes !!


Les troupes françaises sont en effet régulièrement la cible d’attaques, et Paris a tapé du poing sur la table en avril, lorsque trois soldats n’ont pas survécu à l’explosion d’une mine. Barkhane a accentué la pression sur les groupes armés. Elle s’est également rapprochée de l’armée malienne, dont elle s’est longtemps méfiée.
Comme si il n'était pas possible en TROIS JOURS NE NETTOYER le MALI de toute la racaille terroriste !!!


À N’Djamena, au sein de l’état-major de Barkhane, le discours n’est ainsi plus tout à fait le même qu’avant. « À Ber, nous n’avons menacé personne, assure un cadre de l’opération. Mais on se déplace où l’on veut, quand on veut et, si besoin, accompagnés des Forces armées du Mali. Ceux qui se mettraient en travers de notre route ou de celle des Fama pourraient être considérés comme des ennemis. »

Donc, depuis le Tchad, pas de menaces contre les terroristes !!
il faut savoir !!



Des bavures ? Quelles bavures ?
Une guerre sans bavures est-elle possible? C’est en tout cas ce que l’armée française aimerait faire croire depuis le déclenchement de l’opération Serval en 2013 au Mali. Mais si aucun cas avéré n’a entaché la réputation des militaires français, des doutes subsistent sur quelques opérations. Dans la nuit du 19 au 20 décembre 2015, l’armée française est allée au feu dans la région de Ménaka (nord du Mali) contre des éléments qualifiés de « terroristes ».
Bilan : douze morts. Sauf que la Plateforme, la coalition qui regroupe notamment le Gatia (Groupe autodéfense touareg Imghad et alliés) et une aile du Mouvement arabe de l’Azawad, affirme qu’il s’agissait de ses combattants. La frontière entre tous ces groupes est poreuse, et la vérité pourrait être des deux côtés. Mais pour le MAA, « c’est une bavure ».
Deux mois plus tôt, le 10 octobre 2015, la communauté touarègue déplorait la mort d’un enfant de 10 ans qui accompagnait son père, un commandant d’Ansar Eddine, lorsque leur véhicule a été attaqué par les Français. Plusieurs observateurs des droits de l’homme ont également dénoncé quelques (rares) arrestations d’enfants.

La totalité de la présence française au Mali est une bavure
Et l'article lamentable visant à protéger les assassins de AGUEL HOC vaudra convocation en garde à vue à l'auteur de cette bavure au service des terroristes