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Affichage des articles dont le libellé est brigadier-chef Pacciarella. Afficher tous les articles
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mercredi 13 août 2014

L'Havrais Vérité: La fin de l'audition de Julie Amadis (Deux OPJ "républicains" contraints de participer à une opération de terreur contre les témoins de violences : les brigadiers-chefs Scach et Pacciarella (Le réseau OMERTA76 instrumentalise l'obéissance aveugle de fonctionnaires "légalistes") (3))


L'Havrais Vérité
Le site havrais qui dit la vérité !
par Yanick Toutain
L'Havrais Vérité


"C'EST MONSIEUR DEPLANQUE"
FINIT PAR AVOUER LE POLICIER

(sans que Julie Amadis
 n'ait utilisé la moindre violence
 pour obtenir un tel aveu
)
cf infra

"Julie Amadis va tomber de sa chaise
en découvrant que la procédure d'audition
s'étend sur un blog où elle
n'a JAMAIS ECRIT quoi que ce soit !

Comme si un lecteur du Figaro
auteur d'un commentaire litigieux sur le blog du Figaro 
devenait tout à coup témoin
d'une procédure engagée
 contre un journaliste..... du Monde
 concernant le blog ..... du journal Le Monde !!!"
YT cf infra
"J'ATTENDS QUE LES GENS QUI TAPENT
 LES ENFANTS
 DANS LES ÉCOLES SOIENT JUGÉS"
propos tenu par Julie Amadis au cours de son audition
 


Le réseau OMERTA76 est très puissant. Il a même la possibilité d'instrumentaliser, pour protéger les agresseurs d'enfants, des fonctionnaires « républicains ».
Lire la 1° partie et la 2° partie de l'audition de Julie Amadis
Il s'agit en effet de l'enlèvement manu-militari d'une activiste anti-violence, qui, sous la menace des violences les plus extrêmes (menace énoncée POLIMENT) fut contrainte de suivre la Brigade Anti Criminalité.....
Julie Amadis est interrogée par les brigadiers-chefs Pacciarella et Scach, 

VOICI LA 3° PARTIE DE L'AUDITION DE JULIE AMADIS SUITE A SON ENLÈVEMENT PAR LA BAC DU HAVRE

Interpellée dans un café par la Brigade Anti criminalité alors que la convocation n'a pas été reçue

Julie Amadis pose beaucoup de questions aux policiers. Mais ceux-ci en ont aussi quelques unes.
Elle témoigne
"L'interrogateur reprend la parole et amène l'entretien vers un autre sujet, la lettre de convocation policière.
Mr Scach : Pourquoi n'avez vous pas répondu à votre convocation ?
Julie Amadis : Je n'ai pas reçu la lettre.
Mr Scach m'explique que la lettre a été envoyée à une adresse. Mais c'est celle d'un logement que je n'occupe plus. Donc la lettre aurait du me parvenir par la poste en poste restante. Mais ce ne fut pas le cas. Le policier ajoute « elle ne nous a pas été renvoyée »
Julie Amadis  : "Vous m'avez mis un message téléphonique dans lequel vous m'accusez d'avoir refusé de me rendre à ma convocation. Mais comment pouvez vous m'accuser dans la mesure où je n'ai pas reçu cette lettre. J'ai des preuves que je n'habite plus à cette adresse. »
Ce que Julie Amadis ne précise pas c'est que depuis sa condamnation par la "justice" française (une condamnation délirante et basée sur des faux du juge voyou Michael Janas auxquels d'autres juges voyous Miori et Ors en Cour d'Appel de Bordeaux ont ajouté de nouveaux faux en écritures - le pire étant l'invention d'un aveu de Julie Amadis d'avoir contribué à l'article) elle possède officiellement pour la justice française une ADRESSE COURRIEL GMAIL.
En effet, condamnée en septembre 2012 pour une prétendue CONTRIBUTION à un article sur BLOGSPOT, elle a donc OFFICIELLEMENT un COMPTE chez Google à qui appartient blogspot.
Le plaignant Bourry comme les autres plaignants qui tenteraient de se faire passer pour victimes sur L"Havrais Vérité ou sur Revactu devraient commencer par poster un commentaire ou poster un courriel chez Gmail...... Mais ces gens-là cherchent à nuire.... Pas à faire respecter la loi !
C'est que Julie fait remarquer:
"On peut remarquer que ce n'est pas bien légal d'utiliser la coercition physique quand on n'a pas pris toutes les précautions et on ne s'est pas assuré que la personne ait reçu la convocation. "

Des questions privées dans une audition pour un commentaire Youtube

"Viennent ensuite des questions d'ordre privé qui n'ont rien à faire dans une audition de ce type.
Mr Scach : Vous lui avez dit à Mr Toutain que vous aviez reçu un appel téléphonique de la police ?
Julie Amadis : oui
Au début, on ne remarque pas tout de suite l'entourloupe et on répond bêtement.
Le policier continue.
Mr Scach : Est ce que c'est lui qui vous a dit de ne pas y aller ?

"UN MESSAGE TELEPHONIQUE, CE N'EST PAS UNE CONVOCATION"
C'est ce que l'avocat de Julie Amadis aurait répondu.....
mais elle l'a fait sans conseil ! 

Julie Amadis : Je ne répondrai pas à cette question. C'est une question d'ordre privé.
Et j'ajoute, après un petit lapes de temps de réflexion : "De toutes les façons un message téléphonique n'est pas une convocation. »
Le policier Pacciarella intervient alors : « oui, bien sur »
Et j'ajoute : donc cette question n'a aucune raison d'être.

UN COMMENTAIRE YOUTUBE 


Julie Amadis attend encore une réponse
 du premier président (ex)
de la Cour de Cassation Vincent Lamanda
Une seule question est posée concernant l'objet de la plainte : le commentaire YouTube.
Mr Scach :  C'est vous qui avez écrit ça ?
Julie Amadis : oui bien sur. Personne n'écrit derrière mon dos. Si c'est signé de mon nom c'est que c'est moi qui l'ait écrit. Mais quand c'est le nom de Yanick Toutain, c'est Yanick Toutain qui écrit les articles. Je précise parce que j'ai été condamnée à 31000 euros pour un article que je n'ai pas écrit mais pour lequel les juges ont inventé que j'en étais la co-auteur.

DES DOCUMENTS D'UNE AUTRE PROCÉDURE QUE CELLE CONCERNANT SON PROPRE COMMENTAIRE 

Julie Amadis va tomber de sa chaise en découvrant que la procédure d'audition s'étend sur un blog où elle n'a JAMAIS ÉCRIT quoi que ce soit !
Comme si un lecteur du Figaro auteur d'un commentaire litigieux sur le blog du Figaro devenait tout à coup témoin d'une procédure engagée contre un journaliste..... du Monde concernant le blog ..... du journal Le Monde!!! 
"Ensuite il sort des imprimés d'une chemise en carton. Je remarque qu'il s'agit des pages du blog "L'Havrais vérité", le blog de Yanick Toutain.
Je précise alors : « je ne répondrai à aucune question concernant le blog de Yanick Toutain. C'est son blog. Il écrit ce qu'il veut dessus. »
Mr Scach me pose quand même la question suivante : « Qui a donné ces informations à Monsieur Toutain ? »
Julie Amadis : Je ne répondrai pas à cette question. Yanick Toutain est un journaliste indépendant. Ses sources sont notées sur son blog. Vous n'avez qu'à aller voir sur son blog. Vous n'y allez pas ? »
Mr Pacciarella rigole en répondant qu'ils ont beaucoup de travail et n'ont pas le temps d'aller sur le blog "L'havrais vérité".
Mr Scach : Voulez vous ajouter quelque chose avant la fin de l'audition ? 

JULIE AMADIS FAIT UNE PLAIDOIRIE DEVANT DES POLICIERS "RÉPUBLICAINS"

Julie Amadis : J'ai subi un harcèlement moral, une répression pour avoir témoigné de violences à enfants. Je suis exclue de la fonction publique. Le courrier d'exclusion est un faux en écriture par personne ayant autorité. Le motif est que j'aurai distribué des tracts concernant l’Éducation Nationale. Je n'ai jamais distribué de tracts concernant l’Éducation Nationale. Ils m'ont exclu parce que je gène. J'ai subi un harcèlement moral, une répression pour avoir témoigné de violences à enfants. Ni la police ni l’Éducation Nationale ne fait d'enquête sur les violences dans les écoles alors que vous en êtes informés."

"J'ATTENDS QUE LES GENS QUI TAPENT LES ENFANTS
 DANS LES ÉCOLES SOIENT JUGÉS"


"J'attends que les enseignants qui tapent les enfants dans les écoles soient jugés ! Je continuerai à défendre les enfants tapés dans les écoles tant qu'il en restera un encore tapé et quoi qu'il m'en coûte.
J'ai voulu ajouter une phrase sur le rapport concernant l'implication de la police dans la défense des agresseurs d'enfants. Il n'a pas voulu l'ajouter. Il m'a dit que lui n'avait rien sur cette affaire. Je lui ai répondu qu'il savait puisque je lui disais. Il m'a répondu que oui c'était écrit sur les tracts, qu'il y avait 7 écoles au Havre où il y avait des violences.

UNE FAUTE D'ORTHOGRAPHE AU NOM DU PRESIDENT GBAGBO INDIQUE QUE LA POLICE REPUBLICAINE NE SUIT PAS ASSEZ LA POLITIQUE DE LA FRANCE EN CÔTE D'IVOIRE 

Il a imprimé les feuilles dactylographiés. Je les ai lues, ai fait modifier quelques phrases mal formulées , la faute d'orthographe au nom de Gbagbo...
Mr Scach a corrigé, réimprimé. J'ai relu et n'ai pas signé.
Mr Pacciarella s'est permis une remarque. "C'est dommage de ne pas signer si vous avez répondu aux questions".
Je m'attendais à recevoir une copie de ce rapport d'audition.
J'ai demandé aux policiers pourquoi je ne pouvais en recevoir une copie ? On m'a dit que c'était comme ça.
"ON EST  GENTILS. ON VOUS LAISSE RELIRE ALORS QUE NORMALEMENT QUAND LA PERSONNE NE SIGNE PAS, ON NE DOIT PAS LA FAIRE RELIRE" (OPJ PACCIARELLA)
Et Mr Pacciarella a ajouté : «Vous avez vu. On est gentils. On vous laisse relire alors que normalement quand la personne ne signe pas, on ne doit pas la faire relire. »
Je ne sais plus par quel biais mais on reparle de façon informelle des actes illégaux commis par l'Education Nationale. Je répète que Mr Carrière a écrit un courrier qui est un faux en écriture et ajoute « c'est grave ».
Mr Pacciarella répond : « bien sûr que c'est grave ! »

"EST-CE QUE L'ON EST DES POLICIERS REPUBLICAINS ?"
 DEMANDE L'OPJ PACCIARELLA 

Alors est ce que l'on est des policiers républicains ? demande Mr Pacciarella.
Pourquoi vous me posez cette question ?
Parce que Mr Toutain, il nous a parlé de l'importance d'être des policiers républicains.

Je suis sortis de l’Hôtel de police du havre vers 18H45.
Pour ce qui concerne la réponse à la question, mon enquête n'est pas terminée.
Surtout pour ce qui concerne les auditions de la traître Séverine Breton. Une traître collabo retournée par OMERTA76 et qui s'est mise à insulter Julie Amadis sur les réseaux sociaux à un tel point que celle-ci a été contrainte de la bloquer sur Facebook !
Mais il certain que la courtoisie de ces deux policiers tranche étonnement avec l'attitude des voyous néonazis que j'avais croisé auparavant !



LIRE AUSSI

mardi 29 juillet 2014


Interpellée par la police dans un café à cause d'.... un commentaire sur YouTube (Une plainte de Patrick Deplanque OMERTA76)

Les 3 policiers de la BAC du Havre furent
courtois mais menaçants. Sur ordre du
procureur Nachbar, ils auraient agi comme sur
la photo si Julie Amadis et l'auteur de ce
blog n'avaient pas obéi immédiatement à
leurs exigences de les suivre sans explication
par Yanick Toutain

Hier lundi, vers 17h10, l'institutrice Julie Amadis travaillait au chapitre 6 du livre qu'elle a commencé à écrire. Elle était assise dans un café-bar du Havre en haut de la plage – le Week-End- quand elle vit surgir devant elle trois hommes qui exigèrent qu'elle les suive.
Elle apprendra une heure et demie plus tard, assise au dernier étage de l'hôtel de police, que c'est un simple commentaire écrit sur YouTube qui sera l'unique motif de cette interpellation musclée.

mardi 5 août 2014

En France, quand des puissants veulent votre perte, un simple commentaire YouTube et vous êtes attrapé manu-militari par la police nationale

dimanche 10 août 2014

L'Havrais Vérité: La suite de l'audition de Julie Amadis (Deux OPJ "républicains" contraints de participer à une opération de terreur contre les témoins de violences : les brigadiers-chefs Scach et Pacciarella (Le réseau OMERTA76 instrumentalise l'obéissance aveugle de fonctionnaires "légalistes") (2))

par Yanick Toutain
Au Havre, port de tradition esclavagiste, port de départ du triangle de la traite dans les siècles passés, port receleur du butin esclavagiste, l'ampleur de certains scandales - en particulier la banalisation de la violence par la police et les enseignants barbares justifierait une audience internationale à ce qui s'y passe. C'est précisément la raison pour laquelle Bolloré et toute la racaille franceàfric contrôle puissamment l'AFP et tous les médias ! Rien ne doit être connu de ce qui se passe au Havre !
Ceci est un article du blog L'Havrais Vérité !
Un blog dont le nombre de visiteurs dépasse maintenant les 200 par jour. (pour une ville de 200 000 habitants). Un total de plus de 28000 visites. Et ce nombre ne fait que croître constamment.

LIRE AUSSI : L'Havrais Vérité: Deux OPJ "républicains" contraints de participer à une opération de terreur contre les témoins de violences : les brigadiers-chefs Scach et Pacciarella (Le réseau OMERTA76 instrumentalise l'obéissance aveugle de fonctionnaires "légalistes") (1)

LA SUITE DE L'AUDITION DE JULIE AMADIS (L'Havrais Vérité)


par Yanick Toutain


"C'EST MONSIEUR DEPLANQUE"
FINIT PAR AVOUER LE POLICIER

(sans que Julie Amadis
 n'ait utilisé la moindre violence
 pour obtenir un tel aveu
)

Le réseau OMERTA76 est très puissant. Il a même la possibilité d'instrumentaliser, pour protéger les agresseurs d'enfants, des fonctionnaires « républicains ».
Lire la 1° partie de l'audition de Julie Amadis
Il s'agit en effet de l'enlèvement manu-militari d'une activiste anti-violences à enfants, qui, sous la menace des violences les plus extrêmes (menace énoncée POLIMENT) fut contrainte de suivre la Brigade Anti Criminalité.....
Julie Amadis est interrogée par les brigadiers-chefs Pacciarella et Scach,

JULIE AMADIS VEUT SAVOIR QUI A PORTÉ PLAINTE

"La partie identification administrative terminée, l'interrogatoire commence.
"Avez vous des choses à dire ?" me demande Mr Scach. 
-Je voudrais connaître les questions que vous avez prévu de me poser, répondis-je
Mr Pacciarella prend la parole.
«ce n'est pas comme cela que se mène une audition Mlle Amadis ».
Alors je demande qui a porté plainte et quels sont les faits reprochés.
Mr Scach commence par me donner le qualificatif juridique des faits reprochés. Je note sur ma feuille :
« diffamation envers personne chargée de mission de service publique par moyen de communication par voie électronique entre le 1er avril et le 27 juin 2014 au Havre. »
La chanson La Brute
Soutient la Brute
fut la réponse à la
scandaleuse plainte
en diffamation de
Véronique Combret
et Carole Hervieu
Une plainte classée
sans suite en 2008
Le lecteur attentif - et le juriste efficace - remarquera que les dates correspondent à 7 AUTRES PLAINTES ! Ce n'est pas pour son commentaire YouTube..... évènement singulier dans le temps..... mais pour PLUSIEURS DE MES ARTICLES que cette plage de temps m'a été signifiée....
Quel est donc le statut réel de Julie Amadis ?
Témoin contre moi ou mise en cause pour ces écrits !
Toutes ces imprécisions sont des élucubrations juridiques....
"Je répète à nouveau la même question.

NE PAS ETRE INFORME DU NOM DES PLAIGNANTS !
TEL EST LE STATUT DES MIS EN CAUSE
 DANS CETTE FRANCE BARBARE  

Mais Julie Amadis est tenace !
"Mr Scach refuse de me dire dans un premier temps qui a porté plainte. Je rétorque alors que en 2008, le policier avait commencé l'audition en me nommant les personnes qui avaient porté plainte et en lisant la plainte. J'ajoute que c'est un droit et qu'il est obligé de me répondre.
Il me lit alors l'écrit qui est l'objet de la plainte. Il s'agit d'un commentaire youtube mais le policier ne semble pas avoir remarqué. Il pensait que c'était un article ! Je lui donne alors le qualificatif de mon commentaire « un commentaire youtube sous la vidéo la brute soutient la brute ».
Le policier n'aurait pas remarqué le statut de l'écrit ?
On est en France .... il est vrai..... qu'il serait préférable que le brigadier-chef Scach soit occupé à poursuivre les voleurs et les dealers du Havre plutôt que de vérifier les élucubrations des amis des agresseurs d'enfants !
"Je reviens à la charge :
"qui a porté cette plainte ?"
Mr Scach : Vous pouvez deviner me répondit-ilJulie Amadis : Oui mais je veux que vous me donniez le nom

"C'EST MONSIEUR DEPLANQUE"
 FINIT PAR AVOUER LE POLICIER
(sans que Julie Amadis n'ait utilisé
 la moindre violence pour obtenir un tel aveu)

Mr Scach : C'est Mr Deplanque.Julie Amadis : Il est gonflé ! Après ce qu'il m'a fait, oser porter plainte pour un commentaire youtube !
Le lecteur admirera l'obstination. Et aussi le comportement -in fine - républicain du subalterne du procureur voyou Nachbar.
"J'argumente alors que cette plainte et cette poursuite policière est un véritable scandale
Je leur dit qu'il n'y a aucune diffamation dans ce commentaire.
Mr Scach lit le mot « menteur ».
Julie Amadis :  C'est la vérité. Mr Deplanque a dit que les faits que j'avais vus (la fessée et la directrice qui se vante d'en faire autant avec un autre petit) étaient faux. C'est donc qu'il ment et c'est un menteur. J'ajoute  « Ce que j'ai écrit est informatif » et Mr Scach tape sur son clavier mes propos.
Mr Pacciarella, peut être pour m'aider, dicte ce que Mr Scach pourrait écrire : « j'ai communiqué sur ma situation administrative ».
Je fais remarquer à Mr Pacciarella que c'est à moi de dire ce qu'il faut écrire. (même si son attitude était plutôt sympathique ….)

Après avoir organisé un harcelement professionnel, une répression et une exclusion de la témoin de violences à enfants, l'inspecteur Deplanque porte plainte contre son souffre douleur

"J'énumère tous les actes illégaux de l'administration. De mémoire : Faux témoignages, en particulier de 2 collègues Émilie Roehm et Delphine Dufau, qui m'accusent, de faits qui ne se sont jamais déroulés (vol de fiche de préparation, oublie d'un enfant sur le trottoir ….), harcèlement moral de la part de Mr Deplanque et Mr Clabaut (son ami), dénonciation calomnieuse de Mr Clabaut, injure publique de Mr Tillmann (antisémite) et Mr Clabaut (intelligence au service d'une puissance étrangère), faux en écriture par personne ayant autorité (Philippe Carrière). Tout cela a été bien orchestré. On m'a mise dans une école dans laquelle le directeur est ami de l'inspecteur qui a étouffé une affaire de violence, m'a harcelée et m'a virée, une école dans laquelle un enseignant utilise la violence physique depuis 20 ans (il y a des témoignages oraux et écrits que l'on peut vous donner).
Mr Pacciarella rétorque :
« mais vous avez porter plainte contre eux pour tout ça ?»
Julie Amadis :  Non

"JE N'AI PLUS AUCUNE CONFIANCE DANS LA JUSTICE"
- VOUS AVEZ BIEN TORT RÉPOND LE BRIGADIER-CHEF PACCIARELLA

Mr Pacciarella : Pourquoi ?
Julie Amadis : Après ce que j'ai vécu, être condamnée à 31000 euros pour un article que je n'ai même pas écrit - un jugement avec des faux en écritures – je n'ai plus aucune confiance dans la justice !
 Mr Pacciarella : Vous avez bien tort
Je pose des questions concernant les violences à enfants.
Julie Amadis : Les parents d'élèves peuvent-ils porter plainte contre l'enseignant agresseur. Ils ont des témoignages écrits.
Mr Scach : Non. Il faut que ce soit les parents des enfants tapés qui portent plainte.
Oui mais vous êtes au courant de la situation. Vous avez des moyens. Vous pourriez convoquer tous les parents et enfants de cette classe.

AUCUNE ENQUÊTE SUR DES ENFANTS AGRESSES
EN L'ABSENCE DE PLAINTE
 DES PARENTS DES ENFANTS TAPES 

Mr Scach : Non. Comme je l'ai expliqué à Séverine Breton, aucune enquête ne sera faite puisque nous n'avons pas de plainte des parents des enfants tapés.
Julie Amadis : « la police protège les agresseurs d'enfants.Vous êtes au courant. Vous ne faites pas d'enquête. Et les témoins on vient les chercher dans un café pour venir vous parler. Celui qui tape à Valmy, lui, on ne vient pas le chercher quand il est en train de prendre son café au milieu de tout le monde ! »

LIRE AUSSI

mardi 29 juillet 2014


Interpellée par la police dans un café à cause d'.... un commentaire sur YouTube (Une plainte de Patrick Deplanque OMERTA76)

Les 3 policiers de la BAC du Havre furent
courtois mais menaçants. Sur ordre du
procureur Nachbar, ils auraient agi comme sur
la photo si Julie Amadis et l'auteur de ce
blog n'avaient pas obéi immédiatement à
leurs exigences de les suivre sans explication
par Yanick Toutain

Hier lundi, vers 17h10, l'institutrice Julie Amadis travaillait au chapitre 6 du livre qu'elle a commencé à écrire. Elle était assise dans un café-bar du Havre en haut de la plage – le Week-End- quand elle vit surgir devant elle trois hommes qui exigèrent qu'elle les suive.
Elle apprendra une heure et demie plus tard, assise au dernier étage de l'hôtel de police, que c'est un simple commentaire écrit sur YouTube qui sera l'unique motif de cette interpellation musclée.

mardi 5 août 2014

En France, quand des puissants veulent votre perte, un simple commentaire YouTube et vous êtes attrapé manu-militari par la police nationale
A

samedi 9 août 2014

L'Havrais Vérité: Deux OPJ "républicains" contraints de participer à une opération de terreur contre les témoins de violences : les brigadiers-chefs Scach et Pacciarella (Le réseau OMERTA76 instrumentalise l'obéissance aveugle de fonctionnaires "légalistes") (1)

par Yanick Toutain
Au Havre, port de tradition esclavagiste, port de départ du triangle de la traite dans les siècles passés, port receleur du butin esclavagiste, l'ampleur de certains scandales - en particulier la banalisation de la violence par la police et les enseignants barbares justifierait une audience internationale à ce qui s'y passe. C'est précisément la raison pour laquelle Bolloré et toute la racaille franceàfric contrôle puissamment l'AFP et tous les médias ! Rien ne doit être connu de ce qui se passe au Havre !
Ceci est un article du blog L'Havrais Vérité !
Un blog dont le nombre de visiteurs dépasse maintenant les 200 par jour. (pour une ville de 200 000 habitants). Un total de plus de 28000 visites. Et ce nombre ne fait que croître constamment.

L'Havrais Vérité: Deux OPJ "républicains" contraints de participer à une opération de terreur contre les témoins de violences : les brigadiers-chefs Scach et Pacciarella (Le réseau OMERTA76 instrumentalise l'obéissance aveugle de fonctionnaires "légalistes") (1)


Le réseau OMERTA76 est très puissant. Il a même la possibilité d'instrumentaliser, pour protéger les agresseurs d'enfants, des fonctionnaires « républicains ».
LIRE AUSSI

mardi 29 juillet 2014

Interpellée par la police dans un café à cause d'.... un commentaire sur YouTube (Une plainte de Patrick Deplanque OMERTA76)

Les 3 policiers de la BAC du Havre furent
courtois mais menaçants. Sur ordre du
procureur Nachbar, ils auraient agi comme sur
la photo si Julie Amadis et l'auteur de ce
blog n'avaient pas obéi immédiatement à
leurs exigences de les suivre sans explication
par Yanick Toutain

Hier lundi, vers 17h10, l'institutrice Julie Amadis travaillait au chapitre 6 du livre qu'elle a commencé à écrire. Elle était assise dans un café-bar du Havre en haut de la plage – le Week-End- quand elle vit surgir devant elle trois hommes qui exigèrent qu'elle les suive.
Elle apprendra une heure et demie plus tard, assise au dernier étage de l'hôtel de police, que c'est un simple commentaire écrit sur YouTube qui sera l'unique motif de cette interpellation musclée.

mardi 5 août 2014

En France, quand des puissants veulent votre perte, un simple commentaire YouTube et vous êtes attrapé manu-militari par la police nationale
Après notre enlèvement par la Brigade Anti Criminalité dans un café du Havre, les deux OPJ vers lesquels nous avons été conduits ont été aussi polis et courtois que leurs prédécesseurs de la BAC.
A condition bien sûr d'admettre passivement de se faire enlever sans tenter de prévenir qui que ce soit sur les réseaux sociaux : ils m'ordonnèrent de ne pas poster le message sur YouTube « Nous sommes interpellés ».

ILS OBÉISSAIENT AU PROCUREUR FRANCIS NACHBAR


Mais si les premiers nous avaient fait comprendre qu'ils avaient ordre d'utiliser la plus extrême brutalité pour nous contraindre à les suivre, les seconds ne cessèrent de répéter qu'ils obéissaient à des ordres.
C'est l'OPJ Scach qui nous interrogea – fort poliment – Julie Amadis (la témoin des violences de 2008) et l'auteur de ce blog, Yanick Toutain.
L'autre victime de l'enlèvement, Julie Amadis, était très très en colère de cette nouvelle aggravation du harcèlement qu'elle subit depuis 2008.
« Le prétexte pour moi était cette plainte en diffamation déposée par Patrick Deplanque. Une plainte pour un commentaire YouTube résumant ma situation administrative.

Voici le commentaire Youtube qui a fait l'objet d'une arrestation en pleine ville par la police :


La chanson La Brute
Soutient la Brute
fut la réponse à la
scandaleuse plainte
en diffamation de
Véronique Combret
et Carole Hervieu
Une plainte classée
sans suite en 2008

Julie Amadis

   il y a 3 mois
   
MOI (Julie Amadis) QUI CHANTE SUR CETTE VIDEO, j'ai été SUSPENDUE 6 ANS PLUS TARD. L'inspecteur Deplanque (le menteur de 2008dont parle la chanson de Yanick Toutain) s'est vengé 6 ans plus tard en fabriquant un harcèlement professionnel avec son ami Patrick Deplanque, le directeur de l'école Valmy 1 du Havre sur laquelle l'IA de Rouen m'a diaboliquement nommée en septembre 2013.
Une école où je suis harcelée depuis 7 mois par le réseau OMERTA76. Les responsables de l'Education Nationale et les gens qui protègent les agresseuses d'enfants.
Un complot bien organisé !!!
L'inspecteur d'académie de Rouen Philippe Carrière m'a nommée en septembre 2013 sur l'école Valmy du Havre , une école dirigée par UN AMI PERSONNEL de mon BOURREAU de JUIN 2008 qui avait inventé que j'avais menti.
OMERTA 76 FABRIQUE ET DIFFUSE MAINTENANT UN TISSU DE MENSONGES !
Je découvre avec stupéfaction que mon directeur d'école raconte aux parents d'élèves une version complétement fausse de la chronologie des faits.
AU LIEU DE MENTIONNER SO HARCELEMENT DEPUIS LE DEBUT DE L'ANNEE AVEC SON AMI ET SUPERIEUR HIERARCHISQUE PATRICK DEPLANQUE POUR QUE JE SUPPRIME CETTE VIDEO DE YOUTUBE EN AVOUANT DE FAIT QUE J'AVAIS MENTI EN 2008....
LE DIRECTEUR M'A ENVOYE CONTACTER UN AMI A LUI SYNDICALISTE RESPONSABLE DE l'UNSA Jean-Denis Leuk QUI M'A INCITE A ALLER M'EXCUSER AUPRES DU MENTEUR DE 2008 l'IEN Deplanque.
"Je sens que monsieur Deplanque ferait un effort si vous vous excusez"
Un syndicaliste qui répond à une victime de harcèlement moral sur son lieu de travail qui conseille à la victime d'aller s'excuser auprès du harceleur !

Je découvre que mes collègues de l'école Valmy 1 et 2 mentent aux parents. Mais plus grave encore, des parents ont fait parler leurs propres enfants (d'autres classes que la mienne) devant moi pour me signaler que leurs enseignants mentaient aux enfants de l'école.
MA REMPLACANTE a été dire aux enfants que "J'ETAIS PARTIE" et que je "NE REVIENDRAI PAS".
Elle a fait croire aux enfants que CE SERAIT MA PROPRE DECISION !!
C'est une honte de MANIPULER mes PROPRES ELEVES en leur mentant de façon aussi scandaleuse. (Ce sont des parents de ma classe qui m'ont informé de ces propos mensongers de ma remplaçante)
Ils ont même tous été raconter aux enfants de l'école Valmy que je ne reviendrai JAMAIS. Alors que dans le TEXTE OFFICIEL de ma SUSPENSION.... il n'y avait pas de DELAI.(ni de MOTIF)

La chronologie du harcèlement de septembre par l'inspecteur Deplanque est totalement camouflée : cela fait 7 mois que le directeur de l'école Patrick Clabaut et son supérieur IEN Patrick Deplanque (celui de la chanson) me harcèlent pour me faire effacer cette chanson. Leur intention méchante est de pouvoir proclamer ensuite que j'aurais menti en 2008.
Ils propagent un rumeur qui diraient que mon avertissement par l'IA Carrière serait causé par mon refus d'inspection. Alors que c'est le CONTRAIRE ! LA SANCTION a pour MOTIF OFFICIEL le fait que j'ai DEMANDE DE L'AIDE A LA RECTRICE SCHMIDT-LAINE.
J'ai été sanctionnée parce que je me suis plainte du harcèlement. C'est CELA LE MOTIF OFFICIEL.
Le MOTIF OFFICIEL de mon avertissement c'est MON COURRIER à la RECTRICE.
Alors que la VRAIE RAISON c'est le fait que je SIGNALAIS 4 AUTRES CAS de VIOLENCE d'enseignantes EN PLUS du HARCÈLEMENT PROFESSIONNEL que je subis depuis le début de l'année."

Le lecteur honnête homme ou femme remarquera que la victime d'un tel harcèlement professionnel était tout à fait en droit de répondre pareillement en informant le public - en particulier les parents d'élèves d'un tel scandale. Le juge qui verra de la "diffamation" dans ce texte nous expliquera combien de fois dans sa carrière, il aura appliqué l'article 222-13. Il est facile de pronostiquer que la réponse sera proche de la nullité ! Ce sont les agresseurs d'enfants et leurs protecteurs qui voient de la diffamation quand on dénonce ces crimes !

EN 2008, TÉMOIN D'UNE FESSÉE

Tout avait commencé pour Julie Amadis en janvier 2008
"Patrick Deplanque est l'inspecteur qui m'a traitée de menteuse quand j'ai témoigné d'une fessée d'une ATSEM sur un enfant de 3 ans, et de l'affirmation de la directrice de l'école d'en faire de même avec un autre enfant de 4 ans et de ne pas culpabiliser pour autant. C'est aussi l'inspecteur qui a organisé en 2008 une opération de dénigrement et de harcèlement professionnel. On a interdit aux professeurs de m'ouvrir leur porte de classe."

EN 2008, MISE EN DEMEURE AVEC MENACE ILLÉGALE
 DE RETENUE SUR SALAIRE POUR FAIRE TAIRE
LA TÉMOIN DES VIOLENCES
A L'ÉCOLE MATERNELLE VARLIN 

"J'ai reçu une mise en demeure avec menace de retenue sur salaire totalement illégale, on a modifié ma mission afin que j'aille travailler dans la classe du collège la plus difficile, une classe de SEGPA dans laquelle la professeur que j'assistais a reçu un compas dans le dos.
Mon contrat de travail n'a pas été renouvelé. Je me suis retrouvée au chômage. Et le privé catholique m'a embauchée comme institutrice suppléante en novembre 2008. Le rectorat - qui n'a répondu à aucun de mes courriers et a donc, de fait, validé les propos de l'inspecteur qui me traitait de « menteuse »- donné son accord pour que je puisse travailler dans le privé ! Il ne considérait donc pas que j'étais une menteuse. »
LE HARCÈLEMENT DE 2008 RECOMMENCE EN 2013
NOMME ET PROTÉGÉ PAR PHILIPPE CARRIÈRE, 
PATRICK DEPLANQUE A RECRUTE D'AUTRES MARIONNETTES
...... POUR EXIGER "DES EXCUSES"
Julie Amadis poursuit ses explications :
"Ce même inspecteur est revenue de Russie et a été nommé sur la même circonscription que la mienne. Dès la pré-rentrée, il a commencé sa campagne de dénigrement à mon égard auprès de l'Inspection académique, du personnel de la circonscription, des directeurs de mes écoles et de mes collègues. En plus de cette campagne, il a mis en place un programme de harcèlement professionnel.
C'est ce personnage, protecteur des agresseurs d'enfants et terroriste des témoins de violence qui n'en a pas encore fait assez contre celle qui a dénoncé. Il manquait une plainte. C'est chose faite maintenant."

Une enseignante témoin de violences est
l'objet d'attaques répétées
 de la Franceàfric et de l'Etat voyou :

"Après avoir été arrêtée par la BAC lundi 28 juillet manu militari dans un café où je me trouvais, je me suis retrouvée dans un bureau de l’hôtel de police du Havre vers 17h25. Yanick Toutain a été le premier a être interrogé avec Mr Scach, brigadier chef. 
Pendant une demie-heure , j'ai attendu mon tour dans le bureau d'à côté en compagnie du brigadier chef Mr Pacciarella et une autre policière dont je ne connais ni le nom ni le statut.
Mr Pacciarella m'a cité les lois concernant l'entretien que j'allais avoir :
« vous pouvez choisir de partir, de rester et répondre aux questions, de rester et ne pas répondre aux questions. »
Il ajoute que l’intérêt d'une audition c'est quand même de répondre. Quand je lui relate factuellement le harcèlement subi, les faux en écriture par personne ayant autorité, les faux témoignages des collègues qui ont porté plainte contre la mère d'élève qui me soutient, il me répond
« tout ça vous pourrez le dire lors de l'audition. »
Je demande s'il est possible de prendre des notes pendant l'audition. Le policier confirme. Je sors une feuille de mon sac et lui demande un stylo."

APRÈS SON ENLÈVEMENT ARBITRAIRE,
JULIE AMADIS VA APPRENDRE QUE LE PRÉTEXTE
 EST UN COMMENTAIRE YOUTUBE

"Quand j'ai vu Yanick Toutain sortir du bureau, j'ai entendu un des policiers dire « vous attendez votre ami ici ou quoi ? » J'ai alors crié du bureau où je me trouvais « ce n'est pas mon ami mais mon camarade ».
Ces précisions d'état civil sont importantes : après l'invention d'un couple par Jean-Marie Bourry et ses avocats, c'est maintenant la menteuse Monique Béaur, adjointe de l'inspecteur d'académie Philippe Carrière qui, dans un coup de folie, s'est crue autorisé à écrire "son conjoint" me concernant. Alors que Julie Amadis n'eut jamais, de toute sa vie, aucune relation officielle d'aucune sorte avec qui que ce soit. Mariage, PACS, concubin etc.... ne sont que des inventions de la police secrète esclavagiste dans l'unique but de lui faire payer son soutien aux Africains.
"A 17H40, j'entre dans le bureau de Mr Scach. Il y a 3 policiers Mr Scach, Mr Pacciarella et une jeune femme policière je suppose (elle ne m'a pas été présentée). 
Mr Pacciarella est debout tandis que Mr Scach est assis en face de moi. C'est lui qui note sur son ordinateur le rapport et qui mène l'interrogatoire. Mr Pacciarella complète les questions, ajoute quelques commentaires, cherche parfois à arrondir les angles quand je m'offusque du caractère privé de la question, par exemple, utilise l'humour pour détendre l'atmosphère (mon nom est italien, on le prononce (et il prononce …)).
Les lois me sont rappelées (les mêmes mots que ceux utilisés par Mr Pacciarella dans leur bureau). Je fais référence à la possibilité d'être témoin assisté. Mr Pacciarella me fait un long discours explicatif sur les raison de cette impossibilité d'avoir le statut de témoin assisté et en rigolant me dit
« J'espère que je fais preuve de pédagogie. Vous savez ce que c'est la pédagogie vous êtes enseignante. »
L'entretien officiel commence. Mr Scach énumère ma situation administrative. Mon nom, mon adresse, ma profession, mon salaire. Je confirme et ajoute les informations manquantes. Je lui demande de relire ce qui est tapé. Je remarque qu'il a été inscrit « connue des services de police »

CONVOQUÉE EN 2008 POUR AVOIR TÉMOIGNÉ
 DE VIOLENCES A ENFANTS JULIE AMADIS
 EST CONNUE DES SERVICES DE POLICE

"Interloquée par cette expression, je leur demande pourquoi il est noté "connue des services de police".
On me répond, que dans la mesure où j'avais été convoquée en 2008 par la police, je suis connue de ses services et que c'est une formalité inscrite dans tous les rapports d'audition.
En 2008, j'étais convoquée comme témoin pour des écrits de Yanick Toutain concernant des violences subies par des enfants de l'école Varlin de la part de la directrice et d'une Atsem. Je n'avais rien écrit mais j'avais été quand même convoquée. Drôle de méthode policière !!!!
Cette convocation sans motif leur servira 6 ans plus tard à me créer un dossier policier."
Il résulte de cette affirmation que des Français par centaines de milliers seraient "connus des services de police" pour des procédures n'ayant jamais débouché sur quoi que ce soit. Y compris de simples témoins. On comprend maintenant la servilité des "journalistes" OMERTA utilisant sans vergogne cette formule pour désigner les coupables probables.... selon eux....