Une réponse à to “DECLARATION DE LA COPAM : Non au coup d’Etat contre les Concertations Nationales Souveraines”
Nous préconisons un système basé sur l’expérience de tous les mouvements populaires, depuis Spartakos aux cousins enchainés dans les bateaux de la traite, en passant par Thomas Munzer, basé sur les expériences de la Commune de Paris, des révolutions de 1905 et 1917 en Russie, sur les expériences cubaines avant stalinisation et sur l’expérience sankariste de 1983-1987.
Cela debouche sur un sytème appelé DGR, délégation générale révocable.
Il se résume de la façon suivante :
LE PEUPLE EST SOUVERAIN
IL EXPRIME SA VOLONTE EN FORMANT DES GROUPES DE 25 personnes (délégateurs à la base puis délégués) qui désignent, contrôlent et révoquent un délégué de l’étage supérieur.
On a donc
délégué de base
délégué de conseil
délégué-député
délégué-national
délégué international
Ce système REND INUTILE tout autre REGLE CONSTITUTIONNELLE puisque le peuple est SOUVERAIN.
L’étage supérieur commande l’étage inférieur. Mais l’étage inférieur peut révoquer l’étage supérieur.
Nous travaillons activement à la mise en oeuvre de ce système au Togo, au Cameroun et en Côte d’IVoire.
Les freins mis par la formoisie (classe formoise) à la diffusion de ce système sont peu à peu détruits.
Nous vous le préconisons.
Un tel gouvernement de délégués nationaux obtiendrait alors facilement l’obéissance du capitaine Sanogo et de ses officiers légitimistes et patriotes.
Les Maliens du Nord aurait le droit de s’associer entre eux ou avec des délégateurs du Sud pour avoir des délégués.
Les bandits seraient facilement isolés et dénoncés comme faux musulmans par des croyants sincères ennemis de la Riba, des banques et du crédit. Telle est notre position.
Le partage du PIB malien, puis africain en parts égales permettra un ralliement facile de la base trahie des agents Compaoré infiltrés dans le MNLA (qui trahirent leur propre sondage toujours visible sur leur site)
QUANT AUX MERCENAIRES DU QATAR, un pays qui fait la guerre au Mali, ils seront interpellés et traduits comme bandits.
Leurs aveux des crimes de leurs commanditaires banquiers (Qatar, Sarkozy puis Hollande comme hommes de paille et organisateurs) pourront leur valoir un traitement thérapeutique conciliant : leur psychopathologie les incitant à couper les mains des Africains leur vaudra une formation historique complète sur les pratiques du Roi des Belges.
QUANT AUX BANDITS CEDEAO qui voulaient OCCUPER BAMAKO, leurs PEUPLES vont leur régler leur compte…
A COMMENCER PAR LE FASCISTE OUATTARA qui a déporté le président Gbagbo dans une des capitales de l’esclavage batave !
En continuant par l’ASSASSIN…. Blaise Compaoré, le tueur qui devint le pantin de Foccart, Houphouet et Kadhafi…. le tout sous l’égide de la CIA qui libéra (par une fausse évasion) le tueur Charles Taylor et le transfera en Afrique…
En continuant par l’hypocrite pleurnichard Yayi Boni….. celui-là rien n’est jamais de sa faute…
ON EN PROFITERA POUR DEGAGER BIYA, DEBY, BONGO, KABILA, LES AGENTS DGSE DE MAURITANIE, et toute les racailles du nord de l’Afrique : trafiquant M6 fils de H2, racketteurs mafieux Bouteflika, dingo faux musulmans de Ennahda et agents US faux frères faux musulmans de la clique bigote PRO-RIBA de Morsi le tricheur !!!
IL FAUT PREPARER LE GRAND MENAGE !!!!
EN AVANT !!!
La Terre est notre Patrie
Nous vaincrons
Ma réponse était une réaction a cet étrange communiqué de la COPAM dans lequel on ne voit aucun soutien à l'action saine du capitaine Sanogo et, au contraire, une sorte de mise en garde diffuse non explicitée..
DECLARATION DE LA COPAM : Non au coup d’Etat contre les Concertations Nationales Souveraines
Après
plus de sept (7) reports des Concertations Nationales, le peuple malien
vient d’être témoin d’un véritable coup de théâtre à 48 heures de ces
assises. Des soi-disant représentants de la société civile manipulés par
d’obscurs commanditaires ont proclamé que les conditions optimales
n’étaient pas réunies et ont exigé un nouveau report.
En conséquence, un communiqué rendu public le lendemain au nom des « autorités de la Transition» a reporté sine die les Concertations « à la demande de la société civile ». Par la suite, le Président de la République par intérim fait annoncer que les Concertations sont maintenues avec pour seul changement l’heure d’ouverture. Le même soir un autre communiqué du même Président rejette les dates aux 12, 13 et 14 décembre 2012.
Au beau milieu de ce jeu de théâtre des « autorités de la Transition » une déclaration lue par le Premier Ministre annonce sa démission et celle de son gouvernement le 11 décembre à 4 heures du matin. La COPAM prend solennellement acte de tous ces évènements. Elle dénonce le coup d’Etat rétrograde orchestré contre les Concertations Nationales et exige leur tenue immédiate pour garantir le droit souverain du peuple malien à décider de son propre sort. Alors que le Président de la République par intérim n’a pas cessé de tergiverser quant à leur tenue, le Premier Ministre a fini par proclamer qu’il se passe desdites Concertations Nationales.
Il se préparait à voyager la veille en témoignant de son mépris le plus absolu vis-à-vis de ces assises. Il a de même usé et abusé de l’argent public pour piéger les Concertations Nationales en l’infiltrant une flopée d’associations fantômes destinées à proclamer son droit personnel à présenter sa candidature lors des prochaines élections présidentielles. L’arrestation suivie de la démission de ce personnage est assurément une victoire des forces du changement.
La COPAM réaffirme son soutien patriotique indéfectible aux forces de défense et de sécurité. La lutte doit se poursuivre contre la gestion clanique et l’impunité qui alimentent la corruption et l’instabilité dans notre pays. La COPAM réaffirme que les Concertations Nationales doivent immédiatement se tenir pour mettre fin aux ingérences inadmissibles de la CEDEAO dans les affaires intérieures du Mali et aux querelles de clocher de ses créatures illégales et illégitimes.
La COPAM appelle le peuple malien à se mobiliser plus que jamais pour instaurer à leur place le Conseil National de Transition pour le Changement (CNTC), organe politico-législatif composé de civils et militaires et chargé d’élire en son sein un président de la transition et même un Haut Conseil d’Etat collégial. Les Concertations Nationales Souveraines auront lieu et donneront ainsi naissance à un pouvoir fort capable de défendre les intérêts du peuple malien. Vive la Concertations Nationales Souveraine ! Non à toute intervention des troupes étrangères sur notre sol !
Bamako, le 11 décembre 2012
Pour la COPAM
Le Président Prof. Younouss Hameye DICKO
En conséquence, un communiqué rendu public le lendemain au nom des « autorités de la Transition» a reporté sine die les Concertations « à la demande de la société civile ». Par la suite, le Président de la République par intérim fait annoncer que les Concertations sont maintenues avec pour seul changement l’heure d’ouverture. Le même soir un autre communiqué du même Président rejette les dates aux 12, 13 et 14 décembre 2012.
Au beau milieu de ce jeu de théâtre des « autorités de la Transition » une déclaration lue par le Premier Ministre annonce sa démission et celle de son gouvernement le 11 décembre à 4 heures du matin. La COPAM prend solennellement acte de tous ces évènements. Elle dénonce le coup d’Etat rétrograde orchestré contre les Concertations Nationales et exige leur tenue immédiate pour garantir le droit souverain du peuple malien à décider de son propre sort. Alors que le Président de la République par intérim n’a pas cessé de tergiverser quant à leur tenue, le Premier Ministre a fini par proclamer qu’il se passe desdites Concertations Nationales.
Il se préparait à voyager la veille en témoignant de son mépris le plus absolu vis-à-vis de ces assises. Il a de même usé et abusé de l’argent public pour piéger les Concertations Nationales en l’infiltrant une flopée d’associations fantômes destinées à proclamer son droit personnel à présenter sa candidature lors des prochaines élections présidentielles. L’arrestation suivie de la démission de ce personnage est assurément une victoire des forces du changement.
La COPAM réaffirme son soutien patriotique indéfectible aux forces de défense et de sécurité. La lutte doit se poursuivre contre la gestion clanique et l’impunité qui alimentent la corruption et l’instabilité dans notre pays. La COPAM réaffirme que les Concertations Nationales doivent immédiatement se tenir pour mettre fin aux ingérences inadmissibles de la CEDEAO dans les affaires intérieures du Mali et aux querelles de clocher de ses créatures illégales et illégitimes.
La COPAM appelle le peuple malien à se mobiliser plus que jamais pour instaurer à leur place le Conseil National de Transition pour le Changement (CNTC), organe politico-législatif composé de civils et militaires et chargé d’élire en son sein un président de la transition et même un Haut Conseil d’Etat collégial. Les Concertations Nationales Souveraines auront lieu et donneront ainsi naissance à un pouvoir fort capable de défendre les intérêts du peuple malien. Vive la Concertations Nationales Souveraine ! Non à toute intervention des troupes étrangères sur notre sol !
Bamako, le 11 décembre 2012
Pour la COPAM
Le Président Prof. Younouss Hameye DICKO
Voir aussi:
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