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lundi 3 novembre 2025

Après Ansardine AQMI Iyad Ag Ghali miliciens de la bancocratie du Qatar pourrissant la révolution malienne de 2012 et la révolution burkinabè de 2014, les milices FSR de la bancocratie des Emirats Arabes Unis tuent 150 000 Soudanais pour pourrir la révolution soudanaise de 2019 IL FAUT UNE ARMEE SANKARISTE PANAFRICAINE (4 millions de militaires d’active et 4 millions de réserve) POUR OCCUPER LE SOUDAN A LA RESCOUSSE DES CIVILS ET DONC UN GOUVERNEMENT REVOLUTIONNAIRE AFRICAIN #1pour5^10

 

Au Havre 29 juin 2019, rassemblement d'une centaine de Soudanais pour soutenir la révolution
 au Soudan et demander que El Béchir soit jugé par des juges JDR d
ans un tribunal international africain : le Nuremberg de l'Afrique


Après Ansardine AQMI Iyad Ag Ghali miliciens de la bancocratie du Qatar pourrissant la révolution malienne de 2012 et la révolution burkinabè de 2014, les milices FSR de la bancocratie des Emirats Arabes Unis tuent 150 000 Soudanais pour pourrir la révolution soudanaise de 2019

IL FAUT UNE ARMEE SANKARISTE PANAFRICAINE 
(4 millions de militaires d’active et 4 millions de réserve) 
POUR OCCUPER LE SOUDAN A LA RESCOUSSE DES CIVILS ET DONC 
UN GOUVERNEMENT REVOLUTIONNAIRE AFRICAIN #1pour5^10

WIKIPEDIA

La guerre civile soudanaise, parfois nommée la quatrième guerre civile soudanaise ou la guerre des généraux[14], est un conflit armé ayant débuté le  au Soudan opposant les forces armées du pays, dirigées par Abdel Fattah al-Burhan, et les Forces de soutien rapide (FSR), une force paramilitaire principalement soutenue par Ies Émirats arabes unis. Très vite la rébellion se transforme en une guerre d'usure et une guerre par procuration.

Les affrontements commencent lorsque les Forces de soutien rapide (FSR) tentent de s'emparer du pouvoir et lancent des attaques contre des sites clés du gouvernement. Des frappes aériennes, des tirs d'artillerie et des tirs nourris sont signalés dans tout le Soudan, y compris à Khartoum. Le chef des FSRMohamed Hamdan Dogolo, revendique le contrôle de la plupart des sites gouvernementaux, notamment le siège de la télévision d'État, le palais présidentiel, l'aéroport international de Khartoum et la résidence officielle du chef de l'armée, bien que le dirigeant de facto Abdel Fattah al-Burhan revendique également le contrôle de tous ces lieux[15],[16],[17]. Le conflit entre les deux généraux conduit le Soudan à une quatrième guerre civile après celles de 1955-19721983-2005 et 2003-2020[18],[19],[20],[21],[22],[23].

En 2 ans, la guerre a fait des centaines de milliers de morts, entraîné le déplacement de plus de 10 millions de personnes et provoqué une crise humanitaire d'une extrême gravité[24]. La famine est déclarée en juillet dans le camp de déplacés de Zamzam, au Darfour. Plus de 25 des 45 millions de Soudanais ont besoin d’aide humanitaire pour survivre dans un contexte de pénurie chronique de nourriture et d’eau potable selon les Nations unies[25].

AU SOUDAN COMME DANS TOUTE L'AFRIQUE LA POPULATION DOIT FAIRE AUTO ORGANISATION
A PLUS FORTE RAISON DANS LES CIRCONSTANCES CATASTROPHIQUES COMME DANS CE GENOCIDE AU SOUDAN, COMME DANS LES ANTILLES ACTUELLEMENT, COMME EN ESPAGNE PENDANT LES INONDATIONS, COMME A MAYOTTE, COMME PARTOUT PENDANT LE COVID 19



Chaque groupe de 100 citoyen.n.es doit recruter
20 DIB Délégué·e·s Intermédaires de Base
(Dont 5 étudiant·e·s 1 militaire et 3 délégués Sécurité)
4 DB Délégué·e·s de Base
(dont 1 sécurité)
et désigner 1 DIC Délégué·e
Intermédiaire Conseiller·e.

LA BANCOCRATIE IMPERIALISTE SECONDAIRE
(QATAR ARABIE SAOUDITE EMIRATS ARABES UNIS)

Le véritable islam interdit totalement les banques. Ces banquiers des Qatar Arabie Saoudite Emirats Arabes Unis - pays « musulmans » sont d’autant plus psychopathes qu’il savent être des apostats qui brûleraient en enfer selon leurs croyances revendiquées


Ce texte de 2012 vient étayer ce que m'avait expliqué en l'an 2000 Brahim un étudiant musulman au Havre. Il m'avait expliqué que mon projet d'investissement altruiste était la vraie charia en économie. Un fonctionnement économique post-capitaliste où chaque adulte reçoit l'équivalent de 30% du PIB moyen mondial ou local pour investir librement mais sans rien recevoir en retour. Brahim m'avait alors expliqué à quel point tout système de crédit était une infraction extrême grave aux règles édictées dans le Coran. Un Coran dont prescrivant aux musulmans de participer à une révolutionnaire anti-bancocrate et donc anticapitaliste. On comprend alors pourquoi Qaradawi et ses milices en Europe UOIF UOIE font la promotion d'un faux islam et pourquoi des Médine Zaouiche sabotent la révolution avec le financement d'Edouard Philippe, du Parti Socialiste avec le soutien des mélenchonistes LFI, du PCF et des écologistes prétendus.

CE TEXTE QUE JE CITAIS EN 2012 SE TROUVAIT SUR UN SITE AL BADIL DONT LE CNRS ECRIT 
"le riche site al-Badil (http://albadil.edaama.org/) ayant disparu début 2015 (archivé dans la Wayback machine)."

lundi 9 juillet 2012

Un document que doivent connaître tous les athées égalitaristes : "Musulmans, fuyez l'usure (ar-riba) ! " sur le site Al Badil

"Dans un autre hadith, le Messager d'ALLAH
nous a mis en garde :
« Evitez les sept abominations !
Les compagnons demandèrent
quelles sont-elles ô Messager d'ALLAH ?
Il répondit : '' Le polythéisme, la magie,
l'usure, dilapider l'argent de l'orphelin,
la fuite pendant le combat
et la calomnie des femmes mariées sans preuve
 ''».
rapporté par al-Bukhârî (2015) et Muslim (89)"

J'ai découvert cette page par hasard. Un lecteur de RevActu ayant trouvé notre blog par la recherche "Lutter contre la Riba", ce texte se trouvait quelques lignes derrière mon article.
Il expose ce que mon ami Brahim m'avait fait découvrir il y a quinze ans : le vrai musulman devrait combattre avec moi pour l'abolition totale du crédit, la fermeture des banques...
Et donc combattre pour la mise en oeuvre de l'investissement démocratique.
"- Certes la construction d'une maison
peut effectivement amener un
confort matériel amélioré,
mais si c'est en sacrifiant le paradis,
alors le marché est une perte absolue.  "
 Par ailleurs, nous sommes partisans de l'abolition totale de la PROPRIETE IMMOBILIERE. Notre projet consiste à transformer en LOCATAIRES tous les Terriens. Des locataires qui loueront leur logement par des enchères les mettant en concurrence. Mais des enchères dont tous les participants n'auront pour vivre que les 1000 euros mensuels du salaire égal mondial.
L'auteur est possiblement un leader de 
Hizb ut-Tahrir
cliquez ici pour lire le texte original


Musulmans, fuyez l'usure (ar-riba) !PDFImprimerEnvoyer
Au nom de Dieu, Clément et Miséricordieux



Louange à ALLAH. Nous le glorifions et implorons son aide et son pardon. Nous demandons qu'il nous guide vers la rectitude.

Chers frères, chères soeurs,

Depuis quelques années nous remarquons que les musulmans ont recours de plus en plus souvent aux prêts à intérêts, en observant le comportement des non musulmans qui s'engouffrent toujours plus nombreux et plus profondément dans cette prison.

Il faut dire que les offres sont nombreuses, variées et facilement accessibles.

Les formules et discours employés poussent les gens a souscrire différents types de crédits liés à la consommation. Dans notre sujet, nous prêterons une attention toute particulière au crédit immobilier, qui égare malheureusement de plus en plus de musulmans.

Pour contribuer à la lutte contre cet éloignement de l'Islam, qui prend une proportion alarmante au sein de notre communauté, nous allons, dans un premier temps, décrire les raisons qui poussent les musulmans à succomber à ce type de transaction. Nous verrons ensuite les méfaits de l'usure et le point de vue de l'Islam à ce sujet.

Pourquoi le recours aux crédits usuraires ?

- C'est tout d'abord un moyen qui semble facile et rapide d’acquisition d’un bien. Il est courant de penser que l'on peut ainsi accéder, sans difficultés, à plus de confort.
- Argumenté par des calculs sur plusieurs décennies, le crédit devient une opportunité à saisir. Et avec les avantages fiscaux et autres aides de divers organismes sociaux, l'offre semble encore plus alléchante.
- Des musulmans, se considérant pieux, rajoutent des arguments religieux aux arguments purement matérialistes précités. Ainsi, ils pensent que pour mieux éduquer et préserver leurs enfants des nuisances des quartiers « difficiles », il est urgent et prioritaire, d'acheter, par tous les moyens, une habitation loin de ces quartiers. Ils reconnaissent donc implicitement que l'usure est un grave péché, mais justifient un recours à ce type de crédit, sous l'alibi de la nécessité, en l'occurrence protéger leurs enfants.
- D'autre part, ces compagnons de l'usure trouvent un prétexte supplémentaire en se référant à certaines célébrités contemporaines du monde musulman qui avancent que le prêt a intérêt est devenu permis sous couvert d'une certaine compréhension dévoyée de la « nécessité », encourageant et cautionnant cette pratique .
- Les personnes ayant recours à ces crédits affirment n'avoir aucun scrupule, ni ressentir de culpabilité, car d'après eux, « nous sommes pas en faute car c'est la banque qui tire les profits de l'usure, on n’est pas responsables … ».
- Enfin, certains, qui prétendent être en conformité avec l'Islam, vont encore plus loin, en considérant que l'usure est permise même sans aucune contrainte/difficulté. Pour eux, l'usure n'est plus ni moins qu'une pratique commerciale courante et nécessaire dans la société.

ALLAH nous a pourtant sévèrement mis en garde !

Il est sans rappeler que l'usure en Islam est un péché extrêmement grave, et figurant parmi les premiers péchés capitaux ! Sans aller loin dans l'argumentation religieuse, nous voyons immédiatement un gouffre entre ces musulmans qui pratiquent l'usure avec insouciance, alors qu'à l'opposé les paroles d'ALLAH (SWT) et son Prophète emploient les mots les plus durs et les descriptions les plus choquantes, lorsque le sujet traite de la pratique de l'usure. En effet, celui qui pratique l'usure s'attire la colère divine, une guerre du Tout-Puissant ainsi que Sa malédiction ici-bas, avant même d'encourir au châtiment dans l'au-delà ! Trouve-t-on beaucoup de péchés aussi graves ?

ALLAH (SWT) dit (traduction du sens) : « ALLAH anéantit l'intérêt usuraire et fait fructifier les aumônes. Et ALLAH n'aime pas le mécréant pêcheur. » S2-V276.

Dans ce verset, ALLAH associe la pratique de ce péché à une la mécréance ce qui souligne toute sa gravité.

Tandis que dans le verset qui suit, ALLAH associe le délaissement de ce péché à une preuve de la foi.

ALLAH (SWT) dit :
يَا أَيُّهَا الَّذِينَ آَمَنُوا اتَّقُوا اللَّهَ وَذَرُوا مَا بَقِيَ مِنَ الرِّبَا إِنْ كُنْتُمْ مُؤْمِنِينَ
« Oh les croyants ! Craignez ALLAH, et renoncez au reliquat de l'intérêt usuraire, si vous êtes croyants ». S2-V278

Dans notre Oumma, il reste encore des croyants, sur la voie divine, qui détestent et sont répugnés par le péché capital de l'adultère.

Le Prophète (SAAWS) nous enseigne, en fait, que l'usure est trente-six fois plus grave que l'adultère ! Il a dit, en effet, à ce sujet : « Manger un dirham provenant de l'usure sciemment est plus grave que commettre trente-six fois l'adultère »
rapporté par Ahmed (225/5)

Dans un autre hadith, le Messager d'ALLAH nous a mis en garde : « Evitez les sept abominations ! Les compagnons demandèrent quelles sont-elles ô Messager d'ALLAH ? Il répondit : '' Le polythéisme, la magie, l'usure, dilapider l'argent de l'orphelin, la fuite pendant le combat et la calomnie des femmes mariées sans preuve ''».
rapporté par al-Bukhârî (2015) et Muslim (89)

La gravité de l'usure et son interdiction indiscutable sont tellement évidentes aux yeux de toutes les générations de grands oulémas qui nous ont précédés, que lorsqu'ils cherchaient à donner un exemple de péché évident et marquant, ils citaient systématiquement l'usure !

De quel Islam se revendiquent donc ceux qui cherchent malgré tout à déformer l'interprétation des textes pour autoriser les gens à commettre un si grave péché ?

Sachez donc chers frères et soeurs, que la pratique de l'usure (ar-riba) aura des répercussions dans votre vie présente.

Seul ALLAH, dans sa Puissance et son Omnipotence connaît tous les méfaits de ce fléau, c'est pour cela qu'Il nous met en garde avec insistance. Cependant, certaines maladies consécutives à ce mal se constatent au quotidien.
-1- Nous voyons ceux qui vivent accaparés des dettes de l'usure, rongés par une tourmente incessante, en se sentant redevable (un lourd fardeau) sur une longue période de sa vie (20 ans 30 ans de crédit à rembourser). Leur préoccupations de chaque instant sont : « Que m'arrivera-t-il je ne peux plus payer mon crédit ? Que m'arrivera-t-il si je perd mes revenus ?... ». A l'époque de l'Arabie pré-islamique l'usure dominait la vie des Arabes. Ses tentacules ont fait tellement de dégâts qu'une grande partie de la population ne pouvait plus rembourser de tels crédits de mois en mois plus étouffants. La solution qui avait été trouvé pour celui qui ne pouvait plus rembourser était de donner sa propre personne pour colmater la dette, autrement dit devenir esclave. D'où les très nombreux esclaves dans la société pré-islamique. Or, l'Islam est venu non seulement libérer progressivement ces esclaves, mais est venu attaquer le mal à la racine : l'usure sous toutes ses formes a été interdite. Nous voyons aujourd'hui ces prêcheurs de l'usure faire la promotion pour le retour de cette vieille maladie et replonger les musulmans dans l'obscurantisme anté-islamique. En ayant ce discours, ils ferment les oreilles aux commandements du Tout-Puissant, et ferment les yeux sur les souffrances psychologiques que vivent les non musulmans emprisonnés par l'usure et leur vision du monde matérialiste. Ces pratiquants de l'usure, l'estomac noué par la peur du lendemain, sans cesse en quête de taux renégociés ou de délais supplémentaires marchandés en contrepartie d'un accroissement de la dette, sont tout simplement des esclaves de la société « moderne » capitaliste.
-2- Le prêt usuraire étant conditionné à une source de revenu « stable », nous voyons ces musulmans sous l'emprise de l'usure vivre une peur constante de la perte de l'emploi. En situation normale le musulman n'a pas peur pour les bienfaits qu'ils recevra sur terre : il a pleinement conscience que se tourmenter à ce sujet n'a aucun sens car c'est ALLAH le très Haut qui fixe la quantité de ces bienfaits, et l'être humain le plus actif au monde n'augmentera pas ces bienfaits (son risq) d'un centime. Seulement, le musulmans qui commet le péché abominable de la pratique de l'usure, s'éloigne par la même des conceptions islamiques et apprécie sa situation de manière erronée. Il a donc, à l'instar des incroyants, extrêmement peur de perdre son emploi. Et si cela arrive, il se retrouve dans des situations que sa foi ne supporte pas, comme la saisie des biens et les déchirements familiaux. Nous voyons encore que cette pratique, loin de l'Islam, génère des comportements non islamiques. Par exemple, celui qui vit sous l'emprise des tourmentes de l'usure devient individualiste, car la peur favorise ce type de réaction. On remarque aussi que nombre de musulmans finissent par regretter amèrement cette situation car au fond d'eux un malaise s'installe, mais ils se retrouvent pris au piège.

En réponse aux ''avantages'' que le crédit usuraire est censé apporter

- Certes la construction d'une maison peut effectivement amener un confort matériel amélioré, mais si c'est en sacrifiant le paradis, alors le marché est une perte absolue. Le vrai confort éternel se trouve au Paradis préparé par ALLAH Le Très-Haut à ceux qui suivent ses commandements et fuient ses interdictions.
- ALLAH nous incite à construire, avant tout, notre demeure au paradis. Mais comment acquérir cette magnifique demeure éternelle, si durant toute sa vie ont s'est attiré la colère du Maître des demeures sur terre et au Paradis ?
- Concernant l'argument de faire ce choix pour mieux éduquer ses enfants, rien ne permet d'être catégorique en affirmant qu'une habitation éloignée de ces quartiers populaires, où résident la majeure partie des musulmans, serait un gage de réussite pour l'éducation des enfants. Nous voyons que les enfants des musulmans, qui se sont ainsi isolés dans des demeures privées, sont touchés par d'autres dangers pour leur foi : l'absence de côtoiement de musulmans qui leur feraient le rappel, fréquentations quasi-exclusive de non-musulmans qui leur diffusent des valeurs matérialistes ...

- Nous connaissons tous des situations qui malheureusement prouvent que l'argument de commettre le péché capital de la pratique de l'usure pour une soi-disant meilleure éducation ne tient pas.
-L'acquisition d'une maison n'est pas forcement une source d'économie. En effet de nombreux frais et charges liés à cette nouvelle habitation viennent tordre le coup aux idées reçues. Taxes et impôts viennent ronger le budget, sans parler des frais courants, des travaux d'entretien et autres dépannages lourds.
-D'autre part, ALLAH Le Très-Haut n'apporte aucune baraka à toutes les actions illicites. En s'écartant des commandements divins, le musulman reste soumis aux épreuves de son Créateur. Nous observons beaucoup de ces cas réels de musulmans pensant obtenir une grande capacité financière ''grâce'' au crédit usuraire, se retrouver au contraire dans des situations financières étouffantes.

ALLAH dit :
{Tout ce que vous donnerez à usure pour augmenter vos biens au dépens des biens d'autrui ne les accroît pas auprès d'ALLAH, mais ce que vous donnez comme Zakat, tout en cherchant la Face d'ALLAH (Sa satisfaction)... Ceux là verront [leurs récompenses] multipliées.} (S30-V39)

Oui, ce qu’ils appellent gains n’a aucune valeur positive sur la balance d’ALLAH (SWT). Bien pire, c’est des braises dans l’estomacs de celui qui consomme ce péché.

Sachez également que ces voix médiatisées, parlant au nom de l'Islam, et qui ont rendu licite le prêt à intérêt ne vous déchargent pas de vos responsabilités le jour du grand jugement.

Ils ne prendront pas votre défense devant ALLAH :

إِذْ تَبَرَّأَ الَّذِينَ اتُّبِعُوا مِنَ الَّذِينَ اتَّبَعُوا وَرَأَوُا الْعَذَابَ وَتَقَطَّعَتْ بِهِمُ الْأَسْبَابُ (166) وَقَالَ الَّذِينَ اتَّبَعُوا لَوْ أَنَّ لَنَا كَرَّةً فَنَتَبَرَّأَ مِنْهُمْ كَمَا تَبَرَّءُوا مِنَّا كَذَلِكَ يُرِيهِمُ اللَّهُ أَعْمَالَهُمْ حَسَرَاتٍ عَلَيْهِمْ وَمَا هُمْ بِخَارِجِينَ مِنَ النَّارِ (167)
[2.166] Quand les meneurs désavoueront les suiveurs à la vue du châtiment, les liens entre eux seront bien brisés !
[2.167] Et les suiveurs diront: ‹Ah! Si un retour nous était possible! Alors nous les désavouerions comme ils nous ont désavoués› Ainsi ALLAH leur montra leurs actions; source de remords pour eux ; mais ils ne pourront pas sortir du Feu.

L’interdiction est tellement forte que le péché englobe le créancier (celui qui consomme l’argent de l’usure) mais aussi le débiteur (celui qui doit de l’argent) et même celui qui participe à la rédaction du contrat ou est simple témoin, à un même degré de péché !

En effet, le Prophète (SAAWS) dit :

عن جابر قال: لعن رسول الله صلى الله عليه وسلم آكل الربا وموكله وكاتبه وشاهديه وقال هم سواء

« D’après Jabr, le Prophète (SAAWS) a maudi celui qui consomme l’usure, celui qui lui donne cette consommation et celui qui écrit [le contrat] ainsi que le témoin de la transaction. Et Il a dit qu’ils sont à égalité [dans le péché] »
Rapporté par Muslim.


Chers Frères, Chères Sœurs,

Si vous avez succombé aux sirènes du prêt a intérêt, sachez qu’ALLAH dans sa Clémence et Sa Miséricorde laisse une porte ouverte pour le repentir.

ALLAH dit :
الَّذِينَ يَأْكُلُونَ الرِّبَا لَا يَقُومُونَ إِلَّا كَمَا يَقُومُ الَّذِي يَتَخَبَّطُهُ الشَّيْطَانُ مِنَ الْمَسِّ ذَلِكَ بِأَنَّهُمْ قَالُوا إِنَّمَا الْبَيْعُ مِثْلُ الرِّبَا وَأَحَلَّ اللَّهُ الْبَيْعَ وَحَرَّمَ الرِّبَا فَمَنْ جَاءَهُ مَوْعِظَةٌ مِنْ رَبِّهِ فَانْتَهَى فَلَهُ مَا سَلَفَ وَأَمْرُهُ إِلَى اللَّهِ وَمَنْ عَادَ فَأُولَئِكَ أَصْحَابُ النَّارِ هُمْ فِيهَا خَالِدُونَ (275)

{Ceux qui consomment l'intérêt usuraire ne se tiennent [au jour du Jugement dernier] que comme se tient celui que le toucher de Satan a bouleversé. Cela, parce qu'ils disent : « la vente est semblable à l’usure ». Alors qu'ALLAH a rendu licite le commerce, et illicite l'intérêt. Celui, donc, qui cesse dés que lui est venue une exhortation de son Seigneur, peut conserver ce qu'il a acquis auparavant ; et son affaire dépend d'ALLAH. Mais quiconque récidive... Alors les voilà, les gens du feu ! Ils y demeureront éternellement}
(S2-V275)

يَا أَيُّهَا الَّذِينَ آَمَنُوا اتَّقُوا اللَّهَ وَذَرُوا مَا بَقِيَ مِنَ الرِّبَا إِنْ كُنْتُمْ مُؤْمِنِينَ (278) فَإِنْ لَمْ تَفْعَلُوا فَأْذَنُوا بِحَرْبٍ مِنَ اللَّهِ وَرَسُولِهِ وَإِنْ تُبْتُمْ فَلَكُمْ رُءُوسُ أَمْوَالِكُمْ لَا تَظْلِمُونَ وَلَا تُظْلَمُونَ (279)

{Et si vous ne le faites pas, alors recevez l'annonce d'une guerre de la part d'ALLAH et de Son Messager. Et si vous vous repentez, vous aurez vos capitaux. Vous ne léserez personne, et vous ne serez point lésés. } (S2-V278-V279)


Résistez aux mauvaises influences qui ne feront que vous précipiter dans le péché. Que ni la tentation, ni la jalousie ne viennent vaincre vos coeurs.

Sachez que cette vie d'ici bas est éphémère et passagère.

ALLAH dit :

إِنَّمَا الْحَيَاةُ الدُّنْيَا لَعِبٌ وَلَهْوٌ وَإِنْ تُؤْمِنُوا وَتَتَّقُوا يُؤْتِكُمْ أُجُورَكُمْ وَلَا يَسْأَلْكُمْ أَمْوَالَكُمْ
{La vie présente n'est que jeu et amusement ; alors que si vous croyez et craignez [ALLAH], Il vous accordera vos récompenses et ne vous demandera pas vos biens}
(S47-V36)
 
Complément

Un autre site donne les compléments suivants
L'AUTEUR
Son nom est Chams-Eddine Mohammad Ibn Othman Ibn Qaimaz At-Tourkmani, Al-Fariqi, Dimachqi, Le Chafitite, connu sous le nom de Dhahabi.
Sa famille était originaire de Miyafarqinil , et lui est né à Damas en l'an 637 hégire (1274 JC).

Certains ont dit que les péchés majeurs étaient au nombre de sept, en étayant cette position par la parole suivante du Prophète (paix sur lui et sur sa famille) : "Evitez les sept abominations(...)", citant parmi-elles l'association a Dieu, la sorcellerie, le fait du tuer un être vivant sans aucune légitimité, le fait de dilapider l'argent de l'orphelin dont on est le tuteur, le fait de consommer l'usufruit du "riba" (l'usure), la fuite devant l'ennemi en pleine bataille, et la diffamation des femmes mariées croyantes et innocentes."(2)
Ibn 'Abbess (que Dieu soit satisfait de lui) a dit. "Les péchés majeurs sont plus proches du nombre de soixante-dix que de celui de sept !"(3) Et par Dieu ! Ibn 'Abbess a dit vrai, car le Hadith par lequel on a voulu les limiter à sept, est loin de les avoir énumérés tous ! Il est plus logique d'admettre que la position la plus fondée est de dire que tout acte prohibé que Dieu réprime par une peine dans ce bas-monde, tel que l'assassinat, la fornication ou le vol.; que tout acte pour lequel Dieu a promis Son châtiment, Sa colère et Sa menace, que tout acte dont le Prophète (paix sur lui) a damné l'auteur, doit être considéré comme une "kabira" (péché majeur ou grave).
Par la, il faut reconnaître que certains péchés majeurs sont plus graves que d'autres. Ne voit-on pas que le Prophète (paix sur lui) a considéré le fait d'associer à Dieu comme un péché majeur, celui qui le commet étant éternellement voué en Enfer et jamais pardonné ? Dieu dit : "Certes, Dieu ne pardonne pas qu'on Lui associe d....


DANS CERTAINES CIRCONSTANCES LA FRATERNISATION REVOLUTIONNAIRE DEVIENT IMPOSSIBLE
EN PARTICULIER AU SOUDAN ACTUELLEMENT AVEC LES PSYCHOPATHES RECRUTES PAR LES EMIRATS ARABES UNIS

 Yanick Toutain appelant à faire comme les Algériens et les Soudanais en révolution, à faire fraternisation révolutionnaire avec les forces de l'ordre


"[Fraternisation révolutionnaire] avec la police au lieu de les huer.

Les Soudanais, les Algériens sont plus intelligents que certains Français.

Au lieu de huer la police, il faut les raller à nous.

Il faut raller la police.

Il faut rallier l'armée, comme au Soudan, comme en Algérie.

Il faut rallier les forces de sécurité.

Il faut raller les policiers qui rejoindront les manifestants.

Il faut rallier les militaires qui rejoindront les manifestants.

La tactique des imbéciles - chefs secrets des gilets jaunes - la tactique stupide de la provocation avec la police est une tactique macroniste.

Il faut cesser ces provocations envers la police.

Il faut faire comme au Soudan.

Il faut faire comme en Algérie.

Il faut rallier les forces de sécurité.

Il faut que cessent toutes les violences.

Il faut un service d'ordre interne.

Il faut des délégués de sécurité à l'intérieur des gilets jaunes.

Ça aurait dû être fait depuis le 17 novembre avec des délégués de sécurité, des correspondants sécurité.

Les violences auraient été impossibles pour Castaner.

Les violences auraient été impossibles pour Macron.

Il faut rallier les forces de l'ordre.

Ceux qui n'ont pas compris que les révolutions se font en ralliant les forces de l'ordre sont des imbéciles, des ignares ou ou des provocateurs au service du gouvernement.

Les black blocs sont en réalité des fascistes.

Les black blocs sont des fascistes au service du gouvernement.

Les black blocs ont saboté la fraternisation révolutionnaire !

Les black blocs sont au service de la Bourse.

Les black blocs sont au service de la bourgeoisie, d'ailleurs, pour une bonne part d'entre eux.

Il faut la fraternisation révolutionnaire.

Prendre exemple sur les Soudanais, prendre exemple sur les Algériens et s'organiser pour une véritable révolution humanocrate."

SUR LE BLOG DE JULIE AMADIS 

jeudi 11 avril 2019

#تسقط_بس #TasgotBas au Soudan #ElBéchirDEGAGé #2for23 #2militariesFor23civilians Il faut un comité national révolutionnaire avec seulement 8% de militaires #CMTDEGAGE

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
11/04/2019









  au Soudan    Il faut un comité national révolutionnaire avec seulement 8% de militaires 

Omar el-Béchir vient d'être destitué par son armée au cours d'une révolution victorieuse du peuple soudanais.
"Le président soudanais, Omar el-Béchir, au pouvoir depuis trois décennies, a été destitué par l'armée, a annoncé jeudi 11 avril le ministre de la Défense, Awad Ahmed Benawf. "J'annonce, en tant que ministre de la Défense, la chute du régime et le placement en détention dans un lieu sûr de son chef", a dit ce responsable à la télévision d'Etat." France Info

OMAR EL BECHIR DEGAGE
UNE SECONDE VICTOIRE POUR LES AFRICAINS APRES LA DESTITUTION DE BOUTEFLIKA EN ALGERIE

Après la destitution de Bouteflika il y a neuf jours, la destitution d'Omar el-Béchir est une seconde victoire pour tous les Africains, pour tous les êtres humains.

LA FRATERNISATION REVOLUTIONNAIRE AVEC LES FORCES DE L ORDRE A PERMIS AU SOUDANAIS DE REMPORTER
UNE PREMIERE VICTOIRE


Les Soudanais ont gagné une première victoire car ils ont utilisé la même stratégie que les Algériens, la fraternisation révolutionnaire avec les forces de l'ordre.


Le mouvement a démarré le  19 décembre 2018 à Atbara avec pour revendication la baisse des prix.
La répression a été féroce et le mot d'ordre est devenu "Omar el-Béchir Dégage".
Le mouvement a pris une autre ampleur après la chute de Bouteflika.
En France au Havre au tout début de la révolution algérienne, nous avons participé à un rassemblement de Soudanais pour Omar El Béchir Dégage.


UNE BATAILLE DE GAGNÉE MAIS PAS LA GUERRE


Les Soudanais ont gagné une bataille, la destitution d'Omar el-Béchir mais pas la guerre.

Comme en Algérie, les membres du régime tentent de réaliser une révolution de palais pour empêcher une véritable révolution système dégage.

A peine Omar El Bechir était dégagé que l'armée imposait un mois de couvre feu.


Et un conseil de transition militaire a été instauré.

Un "conseil militaire de transition" succède à Omar el-Béchir pour une durée de deux ans. France Info

"LES GENS NE VEULENT PAS D UN CONSEIL DE TRANSITION"
(ALAA SALAH )


Les Soudanais ne sont pas dupes et continuent la révolution.
L'étudiante leader de la révolution au Soudan, Alaa Salah a déclaré :
"The people do not want a transitional military council. Change will not happen with Bashir’s entire regime hoodwinking Sudanese civilians through a military coup. We want a civilian council to head the transition. "
Traduction en Français :

Les gens ne veulent pas d'un conseil militaire de transition. Aucun changement ne se produira avec le régime entier de Bashir, qui a fait sombrer des civils soudanais dans le coup d’un coup militaire. Nous voulons un conseil civil pour diriger la transition. #Soudan

Les Soudanais continuent de manifester. Ils ne veulent pas d'une nouvelle dictature sous une autre forme. Ils veulent que le peuple ait le pouvoir.

"Nous ne partons pas" ou encore "un voleur a été remplacé par un autre voleur", scandaient jeudi les manifestants devant le QG de l’armée, lieu emblématique de la contestation depuis samedi 6 avril. "Nous ne quitterons pas le site jusqu'à ce que nous emportions la victoire", pouvait on également lire sur une banderole.
Les Soudanais prévoient de continuer de manifester les prochaines heures et prochains jours "si les militaires les laissent faire", rapporte Bastien Renouil, correspondant de France 24 au Kenya. France 24

COMME EN ALGERIE LES SOUDANAIS DOIVENT CONSTRUIRE UN GOUVERNEMENT DU PEUPLE FORME DE DELEGUES REVOCABLES
Conseil Militaire de Transition Dégage

Comme en Algérie, les élections sont une imposture permettant aux impérialistes de mettre de nouveaux pantins en place.
Il faut comme en Algérie et partout sur la planète un gouvernement du peuple avec des délégués révocables.






Les révolutionnaires soudanais doivent exiger que les militaires au pouvoir aient leur quota de délégateurs correspondant à leur grade. S'ils ne les ont pas, ils ne peuvent pas garder leur poste.








mardi 4 juin 2019

Soudan : Le général Abdel Fattah al-Burhane tue plus de 30 personnes pour saboter la fraternisation révolutionnaire peuple-armée

Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
04/06/2019








Soudan : Le général Abdel Fattah al-Burhane tue plus de 30 personnes pour saboter la fraternisation
révolutionnaire peuple-armée


Plus de 30 morts au Soudan et des centaines de blessés parmi les manifestants anti Al-Burhane qui participaient à un sit  in à Khartoum pour dégager les militaires qui ont pris le pouvoir après la chute du dictateur El Béchir le 11 avril.


 La violence a été extrême contre les manifestants. Ces vidéos le montrent :



BURHANE AIDÉ PAR L'ARABIE SAOUDITE LES ÉMIRATS ARABES UNIS L’ÉGYPTE ET TOUS LES IMPÉRIALISTES OCCIDENTAUX POUR RÉPRIMER ET TUER LES RÉVOLUTIONNAIRES SOUDANAIS


Burhane a donné l'ordre de tuer des manifestants.

Pour Jean Philippe Rémy du Monde Burkhane a tombé le masque de sa responsabilité directe dans la mort des contestataires en révélant quelques heures après le massacre en affirmant que toutes les négociations avec les civils étaient annulées et que des élections auraient lieu bientôt.
Plus tard, les responsables du Conseil militaire de transition (TMC), au pouvoir depuis le 11 avril, affirmeront que ces hommes en uniforme étaient en train de poursuivre des délinquants installés dans une zone contiguë du sit-in, baptisée Colombie, et où circule un peu de drogue. Il s’agit bien entendu d’un prétexte ou, compte tenu du nombre de morts décomptés à la fin de cette journée (plus de trente), d’une insulte.
Plus tard, aux premières heures de mardi, le général Abdel Fattah Al-Burhane, qui préside le TMC, a tombé le masque, confirmant à la télévision nationale que toutes les avancées des négociations avec l’opposition civile étaient considérées comme nulles (concernant la transmission du pouvoir et l’organisation d’une transition de trois ans) et remplacées par des élections mises en place dans les neuf prochains mois. Le Monde
D'après Hala Kodmani de Libération si le conseil militaire de transition agit avec une telle violence c'est qu'il obéit aux injonctions de forces bien plus puissantes que sont les pays islamofascistes Arabie Saoudite, Emirats Arabes Unis et Egypte.
Ces violences interviennent peu après le retour du chef du Conseil militaire soudanais, Abdel Fattah al-Burhan, en visite la semaine dernière en Egypte, aux Emirats arabes unis et en Arabie Saoudite. En vertu de la lutte contre l’islamisme et le terrorisme, ces trois pays arabes s’emploient à soutenir les régimes autoritaires face à toute revendication démocratique. Cet axe contre-révolutionnaire qu’ils forment bénéficie du soutien occidental au nom de la stabilité de la région et des intérêts économiques. Et les deux pétromonarchies du Golfe usent de leur puissance financière pour faire valoir leurs vues, y compris au Soudan, auquel elles ont promis 3 milliards de dollars (2,7 milliards d’euros) d’aides. Libération

DES OFFICIERS REFUSERAIENT DE PARTICIPER AUX MEURTRES DE MANIFESTANTS;

IL FAUT FAIRE DE CES OFFICIERS COURAGEUX DES DÉLÉGUÉS SÉCURITÉ RÉVOCABLES AU SERVICE DE LA RÉVOLUTION

Des officiers de l'armée ne soutiendraient pas Burhane et seraient prêts à venir soutenir les opposants dans la rue pour empêcher de nouveaux meurtres.

Ce qui a permis la victoire le 11 avril en virant El Béchir, la fraternisation révolutionnaire avec les forces de l'ordre doit être poursuivie.
Tous les militaires n'ayant pas de sang sur les mains doivent être récupérés dans le camp de la révolution.





Ces policiers et militaires contestataires doivent devenir des délégués révocables sécurité.

Comme en Algérie, il faut que les militaires soient accrédités par 92% de civils.


Soudanaises Soudanais n'attendez pas que les militaires aient construit une nouvelle casemate impérialiste compradore, prenez votre pouvoir, choisissez vos délégués révocables #1pour25 pour un Gouvernement révolutionnaire CNR-Soudan

COMME EN ALGÉRIE L'IMPÉRIALISME COMPTE SUR LES ÉLECTIONS POUR TUER LA RÉVOLUTION ET IMPOSER
LEUR GOUVERNEMENT ESCLAVAGISTE

IL FAUT UN COMITE NATIONAL RÉVOLUTIONNAIRE DU SOUDAN FORME DE DÉLÉGUÉS RÉVOCABLES

Comme en Algérie, l'impérialisme compte sur des élections rapides pour y imposer leurs pantins et tuer la révolution.
En pleine nuit après le massacre contre les révolutionnaires qui a fait plus de 30 morts, Burhane déclare que dans quelques mois des élections auront lieu.


Leur démocratie esclavagiste va de pair avec leurs crimes.
Des crimes et des élections pour faire taire le peuple...

La population avait commencé à construire un début d'autoorganisation avec notamment des comités de quartiers.
Ils ont détruit les scènes où se produisait chaque soir le grand bouillonnement démocratique, pillé ce qui pouvait l’être, et mis le feu aux grandes tentes de cette foire de la démocratie, avec ses « exposants », organisations professionnelles, comités de quartiers, des mouvements de femmes, d’avocats, d’ingénieurs et même des délégations de groupes armés qui espéraient voir enfin s’imposer la paix au Soudan. Le Monde

Une seule solution face à leurs crimes, construire un gouvernement du peuple formés de délégués révocables.

"Pour prendre votre pouvoir, c'est simple.
Il suffit que chacune chacun réunisse 25 personnes. En formant un conseil de base de 25 et que chacun chacune d'entre vous se fasse choisir par ce groupe comme délégué de base révocable. Ce ou cette déléguée siègera dans une comité de quartier ou de village.
Avec 24 autres délégués de base de ce ou cette délégué(e), un délégué de l'étage du dessus, un délégué d'Arouch ou délégué conseiller représentant 625 personnes sera choisi.
Ce délégué siégera au comité de ville avec les autres délégués d'Arouch.
Le délégué d'Arouch se réunira avec  24 autres délégués d'Arouch pour désigner un délégué député représentant 15625 personnes.
Les délégués députés se réunissent à 25 délégués députés pour désigner un délégué national représentant 390 625 personnes.
Les délégués nationaux sont membres du Comité National de la Révolution Soudanaise" IpEaVaEaFaF




jeudi 20 juin 2019

La révolution soudanaise doit dégager du Soudan Fatou Bensouda complice des terroristes de Côte d'Ivoire et bourreau du président Gbagbo

Par Julie Amadis
et Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
20/06/2019










La révolution soudanaise doit dégager du Soudan Fatou Bensouda complice des terroristes de Côte d'Ivoire et bourreau du président Gbagbo


L'ONU ressort de son chapeau Fatou Bensouda la procureur de la CPI complice des terroristes de Côte d'Ivoire et bourreau du président Gbagbo pour tuer la révolution soudanaise.
Fatou Bensouda a fait un discours hier à l'ONU - l'instance mondiale de défense de l'impérialisme - soi-disant en faveur d'une justice pour les victimes du Darfour.
El Béchir, le dictateur du Soudan destitué le 11 avril, est un criminel sans limite responsable de milliers de morts au Darfour.
Il devient officiellement président de la République du plus grand pays d’Afrique le 16 octobre 1993. Sous l’influence d’Hassan al-Tourabi, Béchir oriente le pays vers un islam radical. Il envoie les Forces populaires de défense, armée créée après le coup d’Etat, au sud du pays pour combattre les «infidèles» et imposer la charia : le sud du Soudan est alors à majorité chrétienne et animiste. Il ouvre ainsi un nouveau chapitre d’une guerre civile amorcée en 1983 et qui a fait deux millions de morts jusqu’en 2005.
Dans les années 90, Khartoum devient la plaque tournante de l’internationale islamiste avec la présence de nombreux jihadistes ayant combattu en Afghanistan y compris le chef d’Al-Qaeda, Oussama ben Laden, plus tard expulsé sous la pression des Etats-Unis. Libération
Bensouda est l'ex ministre de la justice du dictateur de Gambie,  devenue procureur de la Franceàfric terroriste, qui a emprisonné Gbagbo pour que la Franceàfric y installe les terroristes Ouattara et Soro.

BENSOUDA EX MINISTRE DE LA JUSTICE DU DICTATEUR DE GAMBIE DEVIENT PROCUREUR GÉNÉRAL DE LA CPI POUR JUGER GBAGBO RENVERSE PAR UN COUP D’ÉTAT FRANCEAFRIC INSTALLANT LES TERRORISTES SORO OUATTARA

MINISTRE DE LA JUSTICE D'UN DICTATEUR QUI TUAIT LES OPPOSANTS POLITIQUE


Bensouda la procureur qui a décidé de mener l'enquête contre les soldats US était la ministre de la justice en Gambie de Yahya Jammeh, un dictateur qui avait imposé une République islamique s'attaquant aux droits humains les plus élémentaires.

Yahya Jammeh n'a pas seulement menacé de morts des défenseurs des droits de l'homme, il est responsable de la disparition de nombreux opposants politiques.

"Le , Yahya Jammeh menace de mort les défenseurs des droits de l'homme, lors d'un entretien à la télévision d'État, accusant ceux qui aideraient ces derniers de vouloir « déstabiliser le pays »23Alors qu'elle en était membre depuis 1965, la Gambie annonce le 2 octobre 2013 son retrait du Commonwealth24, le pays refusant les injonctions du Royaume-Uni au sujet des droits de l'homme alors que le régime du président Jammeh se fait plus autoritaire25En 2016, en réponse à la demande d'Amnesty International et de Ban Ki-moonsecrétaire général des Nations unies, que soit ouverte une enquête sur la mort de l'opposant politique Solo Sandeng, Yahya Jammeh déclare26 : « Ban Ki-moon et Amnesty International peuvent aller en enfer ! Qui sont-ils pour exiger cela ? […] Où est le problème ? Des gens qui meurent en détention ou pendant un interrogatoire, c’est très commun. Personne ne me dira que faire dans mon pays »" Wikipédia

TRAVAILLER AUPRÈS DUN TYRAN EST UN BON CV POUR LA CPI QUI LA RECRUTE POUR JUGER LA VICTIME D UN COUP D'ÉTAT TERRORISTE FRANCEAFRIC GBAGBO


Travailler au service d'un tyran est un bon CV pour la CPI !

Au moins la Bourgeoisie esclavagiste avait l'assurance que Bensouda ne deviendrait jamais une lanceuse d'alerte et qu'elle allait participer à tous les complots et magouilles !

Ainsi Fatou Bensouda est nommée Procureur Générale de la Cour Pénale Internationale le 15 juin 2012, en plein procès contre Gbagbo.

Gbagbo le Président de Côte d'Ivoire élu par la population ivoirienne en 2010 avec 57,58% des suffrages a subi un coup d'Etat Franceàfric en avril 2011 parce qu'il ne refusait de laisser la totalité du port d'Abidjan à Bolloré.

La CPI était là pour légitimer le coup d'Etat.

L'article de Fanny Pigeaud a démontré que le complot mêlant la CPI aux dirigeants français Franceàfric a démarré bien avant que Gbagbo soit jugé.

#ICC #CPI : Ce ne sont pas la procureur Bensouda complice de Compaoré et les juges complices des terroristes de Côte d'Ivoire du Burkina

 LIRE AUSSI

Le #Procèsdelahonte de Gbagbo : la CPI est le tribunal de la bourgeoisie esclavagiste

Le discours de Bensouda hier pour juger El Béchir à la CPI pour ses crimes au Darfour est d'une hypocrisie complète.
« Il est désormais temps d’agir », a déclaré mercredi Fatou Bensouda devant les membres du Conseil de sécurité des Nations Unies.
Le Soudan connait depuis plusieurs mois des manifestations antigouvernementales. Ces dernières ont contraint le Président Omar el-Béchir à quitter le pouvoir le 11 avril dernier.
Consciente que le Soudan traverse actuellement une « période de transition politique incertaine », Mme Bensouda a dit ne pas sous-estimer la complexité et la fluidité des événements qui se déroulent dans ce pays d’Afrique de l’Est.
La Procureure estime cependant que « le temps est venu pour le peuple soudanais de choisir le droit au détriment de l'impunité et de veiller à ce que les suspects de la CPI dans la situation au Darfour soient finalement traduits en justice devant un tribunal ».
A l’instar du Conseil de sécurité, Mme Bensouda a demandé la cessation immédiate des violences à l’égard des civils au Soudan et demandé à ce que les responsables des crimes présumés répondent de leurs actes. « Il est impératif que les autorités soudanaises enquêtent rapidement et efficacement sur les allégations de violence à l'encontre de civils, y compris de violence sexuelle et sexiste, et que les responsables soient traduits en justice », a-t-elle dit.
Pour la Procureure, le Soudan « est maintenant à la croisée des chemins » et peut choisir d’entrer « dans un nouveau chapitre » de coopération avec son bureau et ainsi rendre des comptes pour les victimes du Darfour.
Mme Bensouda a rappelé que les cinq mandats d'arrêt de la CPI concernant la situation au Darfour restent en vigueur mais que les circonstances ont radicalement changé. « L'ancien statu quo est terminé », a-t-elle dit, rappelant qu’Omar el-Béchir a été déposé, arrêté, placé en détention et inculpé d'infractions nationales. Abdel Raheem Hussein et Ahmad Harun, deux autres suspects dans la situation au Darfour, seraient également détenus à Khartoum, a-t-elle indiqué.
Selon la Procureure, le Soudan reste légalement tenu de déférer ces suspects à la CPI pour y être jugés, à moins que les nouvelles autorités du pays puissent démontrer aux juges de La Haye qu’elles sont capables de véritablement les traduire en justice pour les mêmes affaires.
Conformément au principe fondamental de complémentarité inscrit dans le Statut de Rome, Mme Bensouda s’est dit prête à dialoguer avec les autorités soudanaises pour que les suspects du Darfour soient traduits en justice de manière indépendante et impartiale, soit devant la CPI à La Haye, soit devant un tribunal au Soudan.
Mais « le maintien de l’impunité n’est pas une option », a-t-elle prévenu, soulignant que les victimes du Darfour méritent d’être enfin entendues au tribunal. « Les victimes de la situation au Darfour attendent depuis trop longtemps que justice soit rendue », a dit la Procureure. « Nous ne devons pas les laisser tomber ». ONU info
Une hypocrisie complète car  cela  fait 10 ans que la CPI a lancé un mandat d'arrêt contre El Béchir !
10 ans sans qu'il soit jugé !
El Béchir serait "actuellement en fuite" pour la CPI (c'est ce qui est inscrit sur leur site)
Il vient pourtant d'être arrêté il y a quelques jours au Soudan par le régime militaire en place !



Quand il s'agissait de répondre aux intérêts des esclavagistes de la Franceàfric en arrêtant Gbagbo, cela n'a pas pris 10 ans !

Et maintenant que les Soudanais ont viré El Béchir par une révolution, la CPI s'inquiète ....
La CPI s'inquiète pour l'impérialisme qu'elle a pour fonction de défendre.
Car dans toute véritable révolution, la population s'organise pour créer une justice populaire.
Une justice du peuple.
Des juges accrédités par la population soudanaise jugeront El Béchir....



Mais ces juges accrédités par les Africains jugeront aussi Bensouda ....
C'est cela dont a peur Bensouda et tous les impérialistes esclavagistes.
C'est cela que cache le discours de Bensouda en faveur d'une justice contre les crimes d'El Béchir ....
C'est pour SABOTER la révolution et donc la justice humanocrate que Bensouda mets ses mains pleines de sang sur le Soudan




samedi 29 juin 2019

Au Havre ce 29 juin, rassemblement d'une centaine de Soudanais pour soutenir la révolution au Soudan et demander que El Béchir soit jugé par des juges JDR dans un tribunal international africain : le Nuremberg de l'Afrique

Par Julie Amadis
avec Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
29/06/2019










Au Havre ce 29 juin, rassemblement d'une centaine de Soudanais pour soutenir la révolution au Soudan et demander que El Béchir soit jugé par des juges JDR dans un tribunal international africain : le Nuremberg de l'Afrique


Les Soudanais étaient bien plus nombreux que les Gilets Jaunes devant l’Hôtel de Ville du Havre ce samedi 29 juin 2019.

Ils étaient une centaine à se rassembler pour soutenir la révolution au Soudan, dénoncer les massacres de résistants et revendiquer le jugement de El Béchir le dictateur sanguinaire destitué par le peuple du Soudan le 11 avril, soit jugé par des Juges Délégués Révocables au Nuremberg de l'Afrique !




Les manifestants dénoncent aussi l'ingérence de l'Arabie Saoudite et des Emirats Arabes Unis qui sont derrière les massacres de civils et qui organisent la contre révolution.



De nombreuses affiches dénonçant les massacres.





A la demande des militants organisateurs, Yanick Toutain est intervenu pour appeler le peuple du Soudan à s'auto-organiser et à se choisir des délégués révocables pour un gouvernement du peuple et une armée du peuple fusionnant le peuple et les militaires en un seul bloc







lundi 17 juin 2019

Soudan et Algérie : la justice de dictature comme casemate auxiliaire pour protéger le système compradore


Par Julie Amadis
avec Yanick Toutain
#IpEaVaEaFaF
17/06/2019






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Soudan et Algérie : la justice de dictature comme casemate auxiliaire pour protéger le système compradore

Bouteflika est viré le 2 avril par les Algériens en révolution. Omar Béchir est viré par les Soudanais le 11 avril - 7 jours plus tard.Les deux révolutions ont viré les dictateurs mais pas l'Etat dictatorial.
Ce ne sont pour l'instant que des révolutions de palais - sans embryon d'humanocratie -, où d'ex dignitaires de l'ancien régime ont toujours les manettes du pouvoir.
Les manifestations et sit-in pacifiques au Soudan continuent pour réclamer le départ du conseil militaire au pouvoir dans la répression la plus féroce. Des centaines de personnes ont été tuées le 3 juin.
Les manifestations tous les mardis et tous les vendredis en Algérie se poursuivent pour réclamer que Gaid Salah et Bensala dégagent.

Dans les deux pays, la justice de la dictature sous la pression populaire juge quelques uns des plus corrompus du régime Bouteflika et El Béchir.
Il est accusé "de possession de devises étrangères, d'avoir acquis des richesses de façon suspecte et illégale et d'avoir ordonné (l'état) d'urgence".

Il est révélateur que El Béchir ne soit pas poursuivi pour ses crimes, très nombreux ! La CPI cette institution au service de l'impérialisme est pourtant bien plus sévère que les militaires au pouvoir au Soudan. Il est accusé par la CPI de 5 crimes contre l'humanité !

Lors de la délivrance de ce mandat, la Chambre préliminaire I a estimé qu'il y a des motifs raisonnables de croire que :
  • De mars 2003 au 14 juillet 2008 au moins, le Darfour a connu un conflit armé ne présentant pas un caractère international, qui a opposé de manière prolongée le gouvernement soudanais et plusieurs groupes armés organisés, en particulier le Mouvement/Armée de libération du Soudan (M/ALS) et le Mouvement pour la justice et l'égalité (MJE).
  • Peu après l'attaque de l'aéroport d'El Fasher en avril 2003, Omar Hassan Al Bashir et d'autres dirigeants politiques et militaires soudanais de haut rang ont adopté un plan commun visant à mener une campagne anti insurrectionnelle contre le M/ALS, le MJE et d'autres groupes armés s'opposant au gouvernement soudanais au Darfour.
  • Une composante centrale de cette campagne consistait à attaquer illégalement la partie de la population civile du Darfour, appartenant principalement aux groupes four, massalit et zaghawa, qui était considérée comme proche des groupes armés organisés s'opposant au gouvernement soudanais au Darfour. La campagne a été menée au moyen de forces gouvernementales, notamment des Forces armées soudanaises et de leurs alliés des milices janjaouid, des forces de police soudanaises, du Service du renseignement et de la sécurité nationale et de la Commission d'aide humanitaire. Elle s'est poursuivie au moins jusqu'à la date du dépôt de la requête de l'Accusation, à savoir le 14 juillet 2008.
  • Au cours de cette campagne anti-insurrectionnelle, les forces du gouvernement soudanais auraient commis des crimes contre l'humanité, des crimes de guerre et des crimes de génocide, et en particulier :
    1. elles auraient mené de nombreuses attaques illégales, suivies par des actes systématiques de pillage de villes et de villages principalement peuplés de civils appartenant aux groupes four, massalit et zaghawa ;
    2. elles auraient fait subir des actes de meurtre ainsi que des actes d'extermination à des milliers de civils appartenant principalement aux groupes four, massalit et zaghawa ;
    3. elles auraient fait subir des actes de viol à des milliers de civils de sexe féminin appartenant principalement à ces groupes ;
    4. elles auraient fait subir des actes de transfert forcé à des centaines de milliers de civils appartenant principalement à ces groupes ;
    5. elles auraient fait subir des actes de torture à des civils appartenant principalement à ces groupes ; et
    6. elles auraient contaminé les puits et les pompes à eau des villes et des villages principalement peuplés de membres des groupes four, massalit et zaghawa qu'elles attaquaient ; et encouragé des membres d'autres tribus, alliées du Gouvernement soudanais, à s'installer dans les villages et sur les terres où vivaient précédemment principalement des membres des groupes four, massalit et zaghawa.
La Chambre préliminaire I a conclu qu'il y a des motifs raisonnables de croire que :
  • Omar Hassan Al Bashir, dans la mesure où il était en droit et en fait le Président de l'État du Soudan et le commandant en chef des Forces armées soudanaises pendant toute la période concernée par la requête de l'Accusation, a joué un rôle essentiel dans la coordination de l'élaboration et de la mise en œuvre du plan commun ;
  • À titre subsidiaire, Omar Hassan Al Bashir a également :
    1. joué un rôle dépassant la coordination de l'élaboration et de la mise en œuvre de ladite campagne anti-insurrectionnelle menée par le gouvernement soudanais ;
    2. exercé un contrôle total sur toutes les branches de « l'appareil d'État » du Soudan, notamment les Forces armées soudanaises et leurs alliés des milices janjaouid, les forces de police soudanaises, le Service du renseignement et de la sécurité nationale et la Commission d'aide humanitaire ; et
    3. utilisé ce contrôle pour assurer la mise en œuvre de ladite campagne anti-insurrectionnelle menée par le gouvernement soudanais.Site de la CPI
La Chambre préliminaire I a également conclu qu'il y a des motifs raisonnables de croire qu'Omar Al Bashir a agit avec l'intention spécifique de détruire, en partie, les groupes ethniques des Four, Masalit et Zaghawa.
Mais la CPI ne semble pas faire grand effort pour le poursuivre, il est indiqué sur le site de la CPI qu'il est "actuellement en fuite"
"Le premier mandat d'arrêt à l'encontre d'Omar Hassan Ahmad Al Bashir a été délivré le 4 mars 2009, le second le 12 juillet 2010. Le suspect demeure en fuite.
Prochaines étapes : en attendant l'arrestation d'Omar Al Bashir et son transfèrement au siège de la Cour à La Haye, l'affaire reste au stade préliminaire. La CPI ne juge pas les personnes tant qu'elles ne sont pas présentes dans la salle d'audience." Site de la CPI
Cela fait 10 ans que la CPI a lancé un mandat d'arrêt contre Omar El Bechir !!!!
10 ans sans qu'il soit jugé !
El Béchir serait "actuellement en fuite" pour la CPI.
Il vient pourtant d'être arrêté hier au Soudan  !




En Algérie, Ahmed Ouyahia et Abdelmalek Sellal, deux anciens Premiers ministres ainsi que Amara Benyounès, ancien ministre du Commerce, ont été placés sous mandat de dépôt et emmenés à la prison de El Harrach pour corruption il y a une semaine.
Hier Karim Djoudi, ex-ministre des Finances, et Amar Tou, ex-ministre des Transports, en poste sous l’ex-président Abdelaziz Bouteflika, ont été entendus dimanche 16 juin dans le cadre d’une enquête sur des faits de corruption.


Pour vraiment juger Ouyahia et tous les gredins du système, il faut 1200 délégués justice parmi les 15 000 délégués d'arouch #1pour625 ! Les juges actuels sans accréditation du peuple seront au chômage !

 

Les juges qui ont laissé les crimes impunis et la corruption se faire craignent d'être eux aussi jugés par la population pour leurs compromissions.
Alors ils jugent les plus corrompus, histoire de faire oublier tout CE dont ils sont responsables.
Et .... le nouveau "régime" en place en Algérie comme au Soudan cherche à camoufler le fait qu'ils sont eux même des dignitaires de l'ancien régime. Il faut donc que leur pseudo-justice se limite à juger une poignée des ex dirigeants.
El Béchir devrait être jugé pour tous ses crimes il n'est jugé que pour corruption...
Tous craignent plus que tout une vraie justice populaire et c'est pour cela qu'ils font une partie du travail que feraient des juges révolutionnaires.
Tous craignent que la population ne s'organise et ne désigne ses juges délégués révocables pour juger les criminels et les corrompus ...
Les juges doivent être révocables et avoir une liste de délégateurs les soutenant.
Ce sont les délégués d'Arouch qui doivent juger tous les corrompus.
8% des membres de chaque comité doivent être des délégués justice et des délégués défense

Il faut 1200 délégués d'arouch justice représentant chacun 625 délégateurs


A LIRE:

Lettre ouverte à Mostefa Bouchachi : comment devenir un des 2 délégués justice du comité exécutif provisoire du CNRA (Comité National de la Révolution Algérienne) gouvernement provisoire révocable… sans imiter Kerensky