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mercredi 12 novembre 2025

Tract : MANIPULITE !!! RÉVOLUTION OPÉRATION MAINS PROPRES !! Olivier Géron juge de la Cour d'appel de Paris a libéré son COMPLICE SARKOZY l'assassin de Mouammar Kadhafi libéré après 20 petits jours


https://www.youtube.com/shorts/

Je viens de distribuer ce tract à l'université du Havre en expliquant qu'Olivier Géron, juge de la cour d'appel de Paris, a libéré son complice Sarkozy. 

Et un jour, un juge honnête, un procureur honnête mettra Géron en garde à vue et un juge le condamnera comme complice de Sarkozy. 

Pourquoi ? 

Parce que Géron comme toute la magistrature en France, ils savent tous que Sarkozy a organisé l'assassinat de Kadhafi et tout ce qui se passe est une mascarade judiciaire absolument grotesque. 

Nathalie Gavarino a camouflé la responsabilité de Sarkozy dans l'assassinat de Kadhafi avec un témoignage. 

Elle est allée chercher le témoignage de Christophe Gomart qui était l'exécuteur opérationnel. 

C'est Gomart que Sarkozy a missionné pour recruter - ou plutôt il était déjà recruté.- Il l'a missionné en août pour utiliser les djihadistes de Ben Laden, les djihadistes de Abdelhakim Belhadj, l'adjoint de Ben Laden pour organiser le crime. 

C'est une mascarade absolue.

 La brigade des martyrs du 17 février a été entraînée au Qatar -Etat voyou jihadistes pour cette mission.

 C'est le GIC GICL recyclé -ceux qui ont voulu organiser eux-mêmes l'assassinat de Kadhafi pendant des années - que Sarkozy a recrutés et que Gomard a protégé. 

Comment ? 

Gomard a envoyé le commando Hubert débarquer en Libye pour accompagner les jihadistes. Sous le nom de "rebelles", les médias voyous, les médias Franceàfric français camouflent l'organisation du crime. 

C'est une mascarade judiciaire délirante et toute cette bande là devrait être en prison. [Bonjour : Deux sympathiques étudiantes en droit disant bonjour en tendant la main pour avoir mon tract. Elles n'avaient pas remarqué que j'enregistrais cette vidéo.Je leur ai proposé de venir dans le public dans la 17° chambre correctionnelle de Paris quand cette bande de voyous osera porter plainte en diffamation]

LIRE AUSSI

lundi 29 septembre 2025

samedi 11 octobre 2025

SARKOZY EN PRISON ! GAMC !
SES COMPLICES SONT ENCORE EN LIBERTÉ 


GRANDE ASSOCIATION DE MALFAITEURS CRIMINELS FRANCEàFRIC !

Pour les juges honnêtes que les Français accréditeront bientôt,
la seule peine au niveau de l'ensemble de ses crimes,
c'est la prison à vie pour Nicolas Sarkozy

16 DÉCEMBRE 2010 SARKOZY A MISSIONNÉ LES TERRORISTES FORCES NOUVELLES
POUR ATTAQUER LA CÔTE D'IVOIRE A ABIDJAN
(Guillaume Soro et Alassane Ouattara complices de Sarkozy)
Il a envoyé le commissaire Jean-Marie Bourry pour soutenir les terroristes dans l'attaque du 16 décembre 2010


2011 SARKOZY A MISSIONNÉ LES EX AL QAEDA GICL POUR ATTAQUER LA LIBYE
(Abdelhakim Belhadj complice de Sarkozy)



17 JANVIER 2012 SARKOZY A MISSIONNÉ MNLA ANSARDINE
POUR ATTAQUER A MENAKA LE MALI PUIS LE BURKINA FASO
(Bilal Ag Acherif Iyad Ag Ghali Ahmada Ag Bibi complices de Sarkozy)

Les terroristes MNLA ont eu des réunions avec le Quai d'Orsay en août 2011 et avec la DGSE à Genève en septembre 2011.
Le chef MNLA repenti Hama Ag Mahmoud a tout avoué

Les juges actuels seront remplaces par des juges qui condamneront pour crimes terroristes, financement et protection des terroristes
François Hollande, Emmanuel Macron, l'ex général Benoît Puga, Francois Molins, l'ex-général Christophe Gomart, Gérard Larcher, Alain Juppé, Henri de Raincourt, Laurent Fabius et tous leurs complices
Il faudra une révolution pour que tous ceux qui ont recruté, missionné, financé et protégé les terroristes soient condamnés

LES ÉLUS ET LES MÉDIAS GLORIFIANT SARKOZY SUICIDENT LA DÉMOCRATIE BOURGEOISE

Alors que les magistrats ont poursuivi Sarkozy a minima, alors que la juge Nathalie Gavarino a utilisé le faux témoignage du chef du COS Christophe pour blanchir celui qui lui a ordonné d'exécuter Kadhafi avec GICL Al Qaeda

LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE EMMANUEL MACRON A OSE RECEVOIR A L'ÉLYSÉE LE VOYOU POLITIQUE
CRIMINEL SARKOZY
LE MINISTRE DE LA JUSTICE GERALD DARMANIN A ANNONCÉ
RENDRE VISITE
AU VOYOU POLITIQUE CRIMINEL SARKOZY

Donc, j'ai un intérêt particulier à distribuer ce tract mettant en lumière les crimes terroristes de Sarkozy puisque j'ai été condamné à 35 000 € - avec Julie Amadis qui n'avait même pas lu l'article pour lequel j'ai été condamné -, j'ai été condamné par les complices de Sarkozy, par sa grande association de malfaiteurs criminels incluant donc le juge, le président du tribunal d'Angoulême en septembre 2012, Michael Janas, donc membre de la grande association de malfaiteurs criminels. 

J'ai été condamné en cour d'appel de Bordeaux par les juges Miori, Bernard Ors et Robert Miori pour avoir, selon ces gens-là, procédure baîllon évidemment, pour avoir porté atteinte à la vie privée de Jean-Marie Bourry.

Jean-Marie Bourry, le commissaire qui avait été missionné par Sarkozy pour coacher, pour aider, pour protéger les terroristes des Forces Nouvelles. 

Ces crimes terroristes de Sarkozy, cette attaque de la télévision de Côte d'Ivoire - qui a fait 10 morts dans les forces légales, parmi les policiers légaux du gouvernement Gbagbo. Cette attaque-là ne figure pas pour l'instant dans les radars de la justice française. Les magistrats français regardent ailleurs. Oui, regardent ailleurs. Sauf quand il s'agit de faire condamner un lanceur d'alerte antiterroriste puisque je suis antiterroriste, alors que le terroriste c'est Nicolas Sarkozy et sa clique.

Sa clique, son gang, son gang politique Franceàfric.

Mais ce gang, les juges ne veulent pas le voir. 

Quand Sarkozy, à la suite de son attaque terroriste réussie du 16 décembre 2010, enchaîné par la suite où finalement il a fallu que l'armée française s'en mêle carrément et participe au coup d'État puisque les forces terroristes, les auxiliaires n'étaient pas suffisants en avril 2011, sur la base de cette réussite terroriste de Sarkozy, Sarkozy a recruté Al-Qaïda.

Il a recruté l'adjoint de Ben Laden, Abdelhakim Belhadj et son groupe, la brigade des martyrs du 17 février, recyclant les djihadistes GIC ou GICL pour Libye. 

Et donc ce sont ces gens-là que Christophe Gomart, le chef du COS à partir d'août, a missionné pour exécuter Kadhafi. La juge Nathalie Gavarino, qui a un sens de l'humour très prononcé ou un niveau de stupidité incommensurable, fait mention dans le jugement de l'interrogatoire du principal témoin à décharge de Sarkozy.

 Est-ce que Sarkozy a effacé des preuves en tuant des gens en Libye ? 

Bien évidemment.

Oui, mais la juge Gavarino interroge qui ? 

Elle interroge Christophe Gomart !

Le témoin à décharge de Sarkozy, qui vient donc étayer l'impossibilité d'incriminer Sarkozy de l'exécution de Kadhafi. Le témoin à décharge - Christophe Gomart - était le chef du COS, c'est-à-dire était celui qui a envoyé le commando Hubert dont je parle, dont je fais mention dans le tract, pour aider, soutenir les terroristes prévus pour exécuter Kadhafi. 

Dans mon tract, je mentionne aussi les réunions d'août 2011 révélées par Hama Ag Mahmoud, un semi-repenti chef du MNLA. 

La réunion avec le Quai d'Orsay en août 2011 pour préparer l'attaque du Mali. 

Réunion suivie en septembre 2011 de réunion avec la DGSE à Genève.

Et on a su aussi par Raincourt que des réunions avaient eu aussi lieu en décembre 2011 pour préparer l'attaque du 17 janvier 2012, qui est donc une attaque de l'Élysée, une attaque terroriste, une attaque Franceàfric pour mater, pour mater les Africains, puisque Sarkozy est le général en chef terroriste pour mater les Africains. 

Sarkozy, puisque Hollande - par l'intermédiaire du général Puga, son chef d'état-major particulier,- a continué exactement la même politique. 

Tous ces braves gens étaient protégés par le procureur voyou François Molins, puisque François Molins a été nommé en novembre 2011 pour créer le brouillard de fumée, un brouillard de fumée terroriste pour protéger tous ces braves gens-là. 

Le procureur Molins a bien fait son travail puisqu'il a en 2015 laissé s'échapper le terroriste Guillaume Soro que la juge honnête, - il y en a pas beaucoup ou en tout cas j'en ai pas rencontré beaucoup, - que la juge honnête Sabine Kheris voulait interpeller en relation avec torture et séquestration du fils du président Gbagbo. 

Le même procureur voyou Molins, l'homologue, le complice de celui à qui j'ai eu affaire personnellement, le procureur Francis Nachbar du Havre - qui, au lieu d'enquêter sur les comportements criminels de Jean-Marie Bourry, avait avant de classer sans suite tenté de faire un harcèlement judiciaire-. Donc le François Molins a réussi un exploit : il a autorisé un criminel recherché par Interpol suite au mandat d'arrêt du procureur honnête, procureur Tessougué du Mali, mandat d'arrêt du 8 février 2013. 

En avril, le terroriste Bilal Ag Acherif, dirigeant criminel du MNLA, était à Paris où, invité par Gérard Larcher - qui figure aussi dans la liste de gens qu'un procureur honnête utiliserait pour interpeller ces criminels. Donc Gérard Larcher a invité Bilal Ag Acherif dans une commission sénatoriale dont les résultats figurent sur internet, sur le site du Sénat, dans laquelle le criminel recherché par Interpol donnait donc des conseils de lutte antiterroriste.

La Franceàfric a un sens de l'humour criminel assez particulier. 

Donc j'ai distribué pour l'instant environ 150 tracts. J'en ai encore 50 à distribuer. Donc je cesse cette vidéo sur cette bande de criminels qui devrait être tous en tôle. S'il existait un Antonio Di Pietro en France, tous ces braves gens seraient actuellement en prison et pour certains en prison à vie, à commencer par Sarkozy qui devrait donc être en prison pour le restant de ses jours s'il existait quelques magistrats honnêtes en France, mais je les cherche - à part Sabine Kheris évidemment.

lundi 6 mars 2017

Ce sont Sarkozy, Fillon, Juppé, Baroin et le général Puga qui ont envoyé les jihadistes attaquer le Mali avec la complicité du président ATT

Le Capitaine Sékou Traoré Résistant aux jihadistes
Découvre l'alliance entre son Président ATT et les terroristes
Par Julie Amadis
#IPEAVAEAFAF
Le 06/03/2017



"La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne,... en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France.(interview de Hama Ag Mahmoud un des principaux chefs terroristes MNLA)



LIRE :


Les femmes de Kati ont commencé la révolution malienne le 31 janvier 2012


Les terroristes MNLA et leurs homologues 
jihadistes Ansardine Aqmi ont commencé à envahir le Mali le 17 janvier 2012. Pour comprendre comment des terroristes ont pu envahir un Mali qui fait en superficie deux fois la France, il faut accéder aux coulisses de la pièce de théâtre. Il est indispensable de connaître quelles sont les forces derrières ces terroristes, autrement dit qui les a financé, qui leur a apporté une aide logistique et qui leur a donné des ordres.
Cet article s'accompagne d'un second article sur les débuts de la révolution malienne portés par les femmes de Kati lors des manifestations qui se sont déroulées du 31 janvier au 3 février.
Nous allons donc retracer l'historique des événements qui précédent la manifestation des femmes de Kati.

Pourquoi ces djihadistes ont plus de moyens
qu'un État de  1 241 238 kilomètres carrés ? 



La stratégie de la Franceàfric a été de supprimer Kadhafi et d'utiliser l'arsenal militaire de l'ancien régime pour organiser la contre révolution jihadiste dans les pays sous occupation militaire française.

Les USA et la France se sont appuyés sur les salafistes pour supprimer Kadhafi.
Ces combattants vont servir à Sarkozy pour mener sa guerre impérialiste contre le Mali. L'arsenal militaire de Kadhafi va alors être à la disposition de ces mêmes djihadistes contre le Mali. Les militaires au service de Kadhafi l'ont trahi pour la France comme Mohamed Ag Najem, ex colonel de Kadhafi.
Mohamed Ag Najemné à la fin des années 1950 dans l'Adrar des Ifoghas, au Mali1, est le chef militaire du Mouvement national de libération de l'Azawad. (...) Rejoint par plusieurs officiers maliens déserteurs, il prit la tête du MNLA et lança des attaques sur MénakaAguel'hoc et Tessalit les 17 et 18 janvier 20122.
Il est considéré comme un des leaders de la nouvelle rébellion touarègue et l'ennemi public numéro un au Mali1.
Les 17 et 21 mai 2014, il commande les forces du MNLA lors des deuxième et troisième bataille de Kidal qui voient la victoire des forces rebelles contre l'armée malienne3.
Du 26 au 28 octobre, les secrétaires-généraux et officiers du MNLA, du HCUA et du MAA se réunissent à Anéfis et le 29 ils annoncent la mise en place d'une coordination militaire regroupant les forces militaires des trois mouvements. Elle se compose de dix officiers et Mohamed Ag Najem en prend le commandement4,5.


Baba Ahmed et Christophe Boisbouvier détaillent dans Jeune Afrique les moyens que détiennent les djihadistes qui font face à l'armée malienne :
"Le MNLA, lui, a pris ses quartiers dans les collines autour de Zakake, au nord de Kidal, et revendique un millier d’éléments. Il y a là d’anciens soldats de l’armée libyenne revenus au pays et emmenés par Mohamed Ag Najem, ex-colonel de Kadhafi ; ils seraient un peu moins de 400. Dans le nord du Mali, ils ont retrouvé les hommes d’Ag Bahanga. Leurs armes sont des fusils d’assaut, des missiles (sol-sol et sol-air), des lance-roquettes multiples BM-21 (« orgues de Saline ») et des mortiers, tout droit venus des arsenaux libyens. « Les rebelles, fait-on remarquer à Bamako, sont presque mieux équipés que nos soldats. Pas étonnant qu’il y ait des désertions. »" (Jeune Afrique)
En plus de cela, il y a l'argent des otages que la France a remis à AQMI et à Ansardine, des rançons qui cachent un financement déguisé du djihadisme dénoncé par le New York Times.
"C'est l'Europe qui finance une bonne partie des opérations d'Al-Qaïda, selon une enquête publiée mardi 30 juillet par le New York Times. Le quotidien américain évalue à 105 millions de dollars (93 millions d'euros) le montant total des rançons remises aux diverses factions du groupe en échange de la libération de ressortissants enlevés. En tête, la France avec, selon l'enquête, 58 millions de dollars (43 millions d'euros) de versements depuis 2008." Challenges
Cela s'ajoute à l'aide financière et même logistique du Qatar.

 Le Canard Enchaîné, dans un article nommé "Notre ami du Qatar finance les islamistes du Mali" avait dénoncé les financements des groupes islamofascistes, AQMI, MNLA, Ansardine qui ont envahi le Mali, par le Qatar qui dispose de richesses gigantissimes.
«les insurgés du MNLA (indépendantistes et laïcs), les mouvements Ansar Dine, Aqmi (Al-Qaïda au Maghreb islamique) et Mujao (djihad en Afrique de l’Ouest) ont reçu une aide en dollars du Qatar»
Le gouvernement Fillon 3 a lancé
les attaques terroristes contre
Côte d'Ivoire et Mali
Ce même journal mettait en évidence les intérêts partagés et les alliances entre le Qatar et une des plus grande entreprise française, Total.
« des négociations discrètes (qui) ont déjà débuté avec Total », le géant pétrolier français, pour une exploitation prochaine du pétrole de la région !"
LIRE AUSSI :
Mali-Nigeria: Le salaire de 10000 terroristes islamofascistes pour 3 ans : la somme payée par Hollande à Iyad Ag Ghali, le leader des assassins Ansar Eddine du 24 janvier 2012
Mali Attaque à Bamako: le groupe AQMI a été financé 58M$ par Sarkozy & Hollande. Les terroristes Al Qaeda qui ont fait plus de 20 morts à l'hôtel Radisson sont financés par France, Qatar, Oman, Suisse, Espagne, Autriche (Scoop 2014 New York Times Rukmini Callimachi)

LA PREUVE DE L'ALLIANCE D'ATT
AVEC LES DJIHADISTES

L'épisode d'Aguel Hoc et le meurtre de Sékou Traoré sont la preuve de l'alliance entre les djihadistes et le Président franceàfric malien Amadou Toumani Touré. En effet alors que l'armée malienne avait récupéré le téléphone satellitaire appartenant aux djihadistes le capitaine Sékou Traoré décroche ce téléphone et tombe sur le Président ATT. Il découvre donc que son Président est allié avec les terroristes !
L'ami de Sekou Traoré, Adama Sissoko témoigne (rapporté par Aliou Badara Diarra )


" Leur téléphone satellitaire communément appelé Thuraya  est resté dans le bureau du capitaine. C’est dans la journée du 20 janvier au matin que le téléphone satellitaire extorqué  aux chefs rebelles a sonné, au bout du fil c’était  le Président ATT qui appelait, mais tombe sur le capitaine Traoré. C’est ce coup de fil gênant qui est à la base du massacre d’Aguel-Hoc du 24 janvier.
Ce coup de fil dont mon ami, le capitaine, m’a fait écouter dans la cour PC ou toutes communications sont enregistrées sur une unité centrale. Dans cette conversation on entendait le président ATT se présenter et dire : « Allô !  Il y a quoi chez-vous ? Il y a quoi chez-vous ?». Subitement le capitaine, pris de  panique ou habité par la colère ou l’effet de surprise, se présente en ces termes : «vous vous trompez mon général. C’est le capitaine Sekou Traoré, commandant de l’unité méhariste d’Aguel-Hoc ». Bien entendu ATT a racroché brusquement et brutalement. C’est cette connivence du chef suprême des armées avec l’ennemi que le capitaine n’a pas du tout compris."(Maliweb par Aliou Badara Diarra, information reprise par Revactu)
Ces militaires résistants ont été tués. Le Capitaine avait la preuve de la supercherie du Président qui pactisait avec les terroristes. Il fallait donc l'éliminer. Yanick Toutain résume :
Massacre d'Aguel-Hoc
De nombreux indices convergents indiquent que c'est
ATT lui-même qui réclama de ses complices du Qatar que l’exécution du témoin gênant Sékou Traoré soit programmée par Ançar Eddine. Il fallait que l'attaque Ançar Eddine par le nord puisse se dérouler sans anicroches pour que l'attaque CEDEAO par le sud puisse être "vendue" aux naïves opinions publiques occidentales. (Revactu)

C'EST SARKOZY QUI ENVOIE LES DJIHADISTES ATTAQUER LE MALI

Le Qatar, ami de la France, finance, organise, arme, les groupes djihadistes MNLA, Ansardine, AQMI qui envahissent le Mali et y installent un régime fasciste criminel anti-vie.
Sarkozy s'allie à ces timbrés faux musulmans pour attaquer la Libye et dézinguer Kadhafi.


Un des principaux chefs MNLA Hama Ag Mahmoud a témoigné en 2014 :
- La France aurait donc poussé le MNLA à occuper les villes du Nord du Mali ?


- Oui tout à fait. La France a demandé au MNLA de l’aider à faire déserter tous les combattants de l’Azawad qui étaient dans l’armée libyenne, pendant la guerre de Libye. Ensuite de bloquer le recrutement des libyens dans l’Azawad et dans l’Aïr au Niger.(Hama Ag Mahmoud terroriste chef MNLA)
"La France nous avait donné son feu vert pour l'indépendance de l'Azawad"

Et en contrepartie, elle nous avait donné son feu vert pour l’indépendance de l’Azawad. C’est l’accord qui a été conclu avant la guerre entre le MNLA et la France. Et immédiatement la guerre gagnée par le MNLA, la France a changé complètement de politique. Elle a mis tout son dispositif diplomatique contre le MNLA. Alors conclusion, l’objectif de la France était tout simplement d’affaiblir le gouvernement malien et je peux vous assurer que ce n’était pas pour donner raison au MNLA. (Malijet)



Si la France envoie les djihadistes au Mali, c'est parce qu'elle y a des intérêts colonialistes.Pour que les plus gros patrons français puissent continuer à verser des salaires d'esclavagistes à 50€/mois, il faut un régime suffisamment répressif pour tuer toute contestation. La mise en place de dictateurs franceàfric ne suffit pas, l'Etat français envoie maintenant en plus des tortionnaires sanguinaires islamofascistes pour terroriser les populations.
Secondairement, comme nous le dit l'ancien chef MNLA, Hama Ag Mahmoud, la France recherche à exploiter la richesse des ressources minières que convoitent aussi de nombreux autres pays.
- A vous entendre, les enjeux de cette guerre sont cachés. Quels sont-ils, selon vous ?

- Tout le monde convoite notre territoire. Il y a une guerre pour les ressources minières. La France a pris les devants pour obliger le Mali à signer un accord de défense et ensuite s’octroyer des concessions minières et protéger celles qui existent déjà. C’est ça l’essence de cette guerre. Les autres puissances ne sont pas dupes. Et ça pourrait ouvrir la porte à une intervention étrangère avec une implication des américains, des russes et même des chinois. Je vois mal ces pays laisser la France faire une OPA sur les ressources de l’Azawad et de la région.(Malijet)

Pendant que les amis djihadistes de la France attaquent le Nord du Mali, la France fait croire à l'opinion publique qu'elle vient "libérer" le pays en attaquant par le Sud.

En fait il s'agit qu'une même invasion avec des mercenaires différents. Il s'agit d'une invasion impérialiste installant des djihadistes au pouvoir pour protéger les plus grosses entreprises françaises.

LE 17 JANVIER LES TERRORISTES DU MNLA ET ANSAR DINE COMMENCENT A ENVAHIR LE MALI

Le MNLA avec à sa tête Assalat Ag Habi et les salafistes du groupe d'Ansar Dine attaquent le 17 janvier 2012 l'armée malienne à Melaka.
Les djihadistes prennent d’assaut la caserne de la ville. L'armée malienne résiste.
Melaka sera complétement entre les mains des djihadistes fin janvier.


Le 18 janvier 2012 ces mêmes terroristes attaquent Aguel'hoc et Tessalit près de la frontière algérienne. Aguelhoc est situé en zone désertique au nord de la vallée du Tilemsi, dans l’Adrar des Ifoghas, sur la route transsaharienne, à 430 km au nord de Gao, 80 km au sud de Tessalit et à 150 km au sud de la frontière algérienne.


Le 20 janvier, des militaires maliens réussissent à s'accaparer le téléphone satellitaire des terroristes. Et le 20 janvier le Capitaine Sekou Traoré jeune leader étudiant décroche le téléphone s'attendant à recevoir des informations sur l'ennemi...
Mais ... il tombe sur son Président Amadou Toumani Touré (ATT).
Le Président Malien Franceàfric sait donc que le capitaine Sékou Traoré connait la vérité sur son alliance objective avec les terroristes. C'est à ce moment que commence la répression sanglante contre ceux qui avaient les preuves de la traîtrise du Président ATT auprès de la population malienne.


Puis le 24 janvier ce sont 153 militaires du camp d'Aguelhoc qui sont égorgés ou tués par balle dans la tête par le MNLA et Ansardine.



Le 25 janvier, la totalité de la ville est prise par Ansar Dine (Al Qaeda au Maghreb islamique) et le MNLA. La charia est mise en place. Les crimes qui s'abattent contre la population malienne sont nombreux comme par exemple ce couple mis à mort par lapidation parce qu'ils avaient conçus des enfants hors mariage !
La colère des femmes de Kati s'explique par l'alliance du Président ATT avec les djihadistes mis en lumière lors du massacre d'Aguel-Hoc et de l'assassinat du héros de la résistance malienne, Sékou Traoré.
La colère gronde dans la population malienne. Les femmes de Kati seront les premières à se révolter.

LIRE LA SUITE :

Les femmes de Kati ont commencé la révolution malienne le 31 janvier 2012





 

Le rôle trouble de la France dans l’indépendance proclamée de l’Azawad en 2012

(FILES) A picture taken on January 22, 2012 show ex-members of the Tuareg rebellion holding a sign which reads "Peace is an attitude", at the "Forum for Peace and Development" in Arlit. Niger is worried about fallout from the Toureg rebellion in the north of Mali which could have repercussions in Niger. Niger has intensified its military presence along its border with Mali but fears Touareg ex-commabatants in the 2007-2009 Niger rebellion who may be tempted to take up cause with their neighbours.AFP PHOTO / Boureima HAMA
L’indépendance autoproclamée de l’Azawad, début avril 2012, n’a jamais été reconnue malgré le rôle ambigu que la France officielle a joué dans les coulisses pour soutenir les Touaregs.

Une enquête de Lemine Ould M.Salem pour l’agence d’information africaine « APA NEWS » que Mondafrique reprend avec l’autorisation de l’auteur.

 

La 5 avril 2012, le Mouvement national de l’Azawad (Mnla), fer de lance de la rébellion touarègue déclenchée quelques semaines plus tôt dans le nord du Mali, venait, tout juste, de décréter, un cessez-le-feu unilatéral après avoir contraint les forces gouvernementales à vider tout le septentrion malien.

Le 6 avril Moussa Ag Attaher, actuellement ministre des Sports du gouvernement de la junte au pouvoir à Bamako, alors un des porte-paroles du MNLA en Europe se présentait sur un plateau de télévision française pour confirmer une annonce parue quelques heures plus tôt sur le site internet de son organisation. Celle-ci, signée par le secrétaire général du Mnla, Bilal Ag Cherif, proclamait « l’indépendance de l’Azawad », cet immense territoire aride du nord du Mali grand comme la France et la Belgique réunies, qui depuis l’indépendance du pays en 1960 est régulièrement secoué par des rébellions.

« Nous proclamons solennellement l’indépendance de l’Azawad à compter de ce jour », déclarait alors Moussa Ag Attaher sur la chaîne France 24. « Nous venons de terminer un combat très important, celui de la libération », ajoutait-il, sans préciser qu’un autre groupe rebelle disputait à ses compagnons le contrôle de la région: le mouvement Ansardine, une formation d’inspiration islamiste dirigée par Iyad Ag Ghali, héros d’une précédente rébellion touarègue qui avait déstabilisé le pays dans les années 1990, mais qui rêve désormais d’un Mali entièrement islamique, donc hostile à l’indépendance de la région, et récemment allié aux combattants d’Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) qui depuis plusieurs années s’étaient installés dans le coin.

Un démenti officiel de la France

La France, ancienne puissance coloniale du Mali, par la voix de son ministre de la Défense, Gérard Longuet, avait immédiatement affirmé qu’« une déclaration d’indépendance unilatérale qui ne serait pas reconnue par les Etats africains n’aurait pas de sens ». Se voulant plus précis, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Bernard Valero déclarait, lui, que le Quai d’Orsay considérait comme « nulle et non avenue » cette proclamation d’indépendance. Des propos qui tranchent nettement, pourtant, avec les confidences que le site « APA news » a recueillies auprès de plusieurs hauts cadres fondateurs du Mnla, dont Hamma Ag Mahmoud, premier « chef de la diplomatie » du mouvement, désormais éloigné de l’organisation.

« La France n’est pas étrangère à cette rébellion, comme elle a toujours été impliquée, en fonction de ses propres intérêts, dans les toutes les insurrections passées, notamment en 1963 et 1990. A la veille de la rébellion de 2012, beaucoup de Touaregs maliens, installés en Libye depuis plusieurs décennies, étaient engagés dans l’armée de Mouammar Kadhafi. La France qui venait d’engager une guerre en Libye pour chasser Kadhafi du pouvoir avait eu l’idée de faire déserter ces militaires touaregs de l’armée libyenne, en leur suggérant d’abandonner Kadhafi. En contrepartie, la France leur a promis de les soutenir pour libérer leurs frères dans le Nord du Mali du joug de Bamako» assure cet ancien préfet, ministre et conseiller à la présidence malienne qui assume à la fois son passage au sein de la rébellion et son attachement au Mali.

Des réunions à Paris et Genève

Et le même de poursuivre: « Il y a eu plusieurs réunions, dont une au Quai d’Orsay a Paris, vers fin août ou début septembre 2011, à laquelle ont pris part des figures importantes de la communauté touarègue du Mal, comme Nina Wallet Intallou, qui sera plus tard ministre du gouvernement malien et l’ancien député Ibrahim Ag Mohamed Assalah. Quelques semaines plus tard, en septembre, j’ai moi-même participé à une seconde réunion qui avait été organisée par les services français à Genève. C’est là où nous avons convenu avec les Français que nous allions travailler à convaincre nos frères engagés dans l’armée de Kadhafi pour qu’ils désertent et rentrent dans le Nord du Mali, avec armes et bagages ».

Selon lui, contrairement à une idée largement répandue depuis 2012 soutenant que c’est l’aile arabophone de la rébellion formée par les anciens de la Libye, comme le Colonel Mohamed Najim, « chef d’état-major » du Mnla ou son secrétaire général, Bilal Ag Chérif, qui avaient imposé l’idée de couper le Nord du reste du Mali, une fois l’armée malienne chassée de la région, la proclamation de l’indépendance de L’Azawad revient essentiellement à des cadres francophones formés, éduqués et ayant fait carrière au Mali.

« Je fais partie du groupe qui avait imposé cette idée d’indépendance. Nous étions presque tous des anciens responsables politiques ou cadres touaregs ayant travaillé au Mali. Nous connaissons très bien le système du pouvoir et les élites établies dans la capitale, Bamako. Plusieurs accords de paix ont été signés avec eux par les rébellions passées. Après le moment de la signature, ces accords ont tous été immédiatement ignorés par le pouvoir et les élites de Bamako (…). Mais les élites modernes de Bamako, entièrement formées à l’école française sont bloquées depuis la colonisation sur le modèle de l’Etat centralisé à la française », justifie l’homme politique touareg, aujourd’hui réfugié dans un pays voisin.

« La France savait très bien qu’en nous demandant d’intervenir auprès de nos frères engagés dans l’armée de Kadhafi, elle nous devait une contrepartie. Et C’est bien le groupe des cadres touaregs formés au Mali qui avait imposé l’idée d’indépendance, même s’il savait que cela ne sera accepté par personne en dehors du mouvement », confirme un autre fondateur du Mnla, réputé pour ses relations étroites avec les milieux diplomatiques, du renseignement et militaires français.

«La France ne pouvait pas ignorer qu’une rébellion était en gestation depuis au moins 2007 quand le groupe d’Ibrahim ag Bahanga était entré en rébellion dans le Nord du pays. En contrepartie d’un coup de main de notre part en Libye, Paris ne pouvait pas refuser au minimum d’appuyer l’idée d’une certaine autonomie ou décentralisation poussée qui pourrait garantir aux Touaregs plus de liberté politique et de droits culturels. Mais la France a toujours été claire avec nous sur la question de l’indépendance. Tous les responsables français avec lesquels nous étions en contact nous ont toujours dit de manière claire qu’ils étaient contre la partition du Mali », nuance ce responsable touareg qui assure avoir tout fait pour dissuader ses compagnons de proclamer la partition du Mali.

Levée de boucliers 

Toujours est-il que l’indépendance autoproclamée de l’Azawad n’a jamais réussi à trouver le moindre soutien en dehors du cercle restreint des sympathisants du Mnla.

Au nom de l’Union africaine (UA), dont il présidait la Commission, le gabonais Jean Ping, avait alors évoqué « une plaisanterie » et déclaré que l’organisation continentale rejetait « totalement la prétendue déclaration d’indépendance » et « condamnait fermement cette annonce qui est sans aucune valeur».

Les Etats-Unis avaient, eux aussi, rejeté la déclaration d’indépendance. « Nous répétons notre appel à préserver l’intégrité territoriale du Mali », avait à l’époque déclaré Patrick Ventrell, un porte-parole du département d’Etat américain.

La Grande-Bretagne, elle, décidait tout simplement de fermer « temporairement » son ambassade à Bamako et d’en « retirer » son personnel diplomatique, avait alors indiqué un communiqué du Foreign Office.

Les voisins du Mali membres de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao), eux, clamaient leur attachement à l’intégrité territoriale de ce pays membre de l’organisation, alors qu’ils venaient d’imposer un embargo diplomatique et économique total au Mali après qu’un groupe de militaires, évoquant l’échec du président Amadou Toumani Touré (ATT) alors en fin de mandat à prévenir la débâcle de l’armée face aux rebelles, venait de faire un coup d’état quelques semaines plus tôt.

La Cedeao avait même annoncé qu’elle s’apprêtait à envoyer au Mali une force militaire de 2.000 à 3.000 hommes pour restaurer l’unité du pays. Ses chefs d’état-major des armées réunis à Abidjan, en Côte-d’Ivoire, vingt-quatre heures avant la proclamation unilatérale d’indépendance par les rebelles, avaient d’ailleurs élaboré un « mandat » pour cette force.

Habituée à jouer les pompiers lors des rébellions passées chez son voisin du Sud, la puissance militaire régionale qu’est l’Algérie dont six diplomates venaient de se faire enlever par des islamistes à Gao, avait, de son côté, déclaré qu’elle « n’acceptera jamais une remise en cause de l’intégrité territoriale du Mali », appelant au « dialogue » pour régler la crise, selon les mots de son Premier ministre de l’époque, Ahmed Ouyahia, interrogé par le journal français Le Monde.

Homme fort du moment à Bamako, le capitaine Amadou Sanogo, le chef de la junte qui venait de renverser ATT, s’était contenté, lui, de reconnaître, implicitement, son impuissance à protéger les populations du Nord, les appelant « à résister » par leurs propres moyens.

La suite est connue: Ansardine et ses alliés se revendiquant d’Al Qaïda avaient fini par prendre le dessus sur le Mnla. Durant près d’une année, les islamistes étaient les seuls maîtres du Nord du Mali. Chassés, à partir de janvier 2013, des villes qu’ils occupaient par une intervention militaire internationale dirigée par la France, ils n’ont pas pour autant été vaincus.

Toujours actifs au Mali, ils sont désormais présents au Burkina-Faso et au Niger voisins et affichent l’ambition de s’installer partout en Afrique de l’Ouest.

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