Subscribe in a reader

Rechercher dans ce blog

PAGES

Pages vues depuis décembre 2009

Affichage des articles dont le libellé est #HollandeCoupdEtat. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est #HollandeCoupdEtat. Afficher tous les articles

mardi 27 septembre 2016

Un policier de Saint Denis "Je vais venir chez toi, je vais mettre une cagoule et je vais te violer" témoignage intégral du professeur de Sorbonne Guillaume Vadot VS #PoliciersNazis de #Hollande

Conférence de presse Guillaume Vadot
photo Anthony Cortes
par Yanick Toutain
27/9/2016

"On va te tuer, tu es mort, on va te défoncer, je te crève là sur place dans dix minutes »« T’as cru que t’allais jouer avec la police ? Regarde comme on va jouer avec toi""On va te violer, ça te plaît ça ? Je vais te violer et on va voir si après tu filmeras la police""Tu soutiens Daesh c’est ça ?""Quand ils vont venir tu feras quoi ? Tu vas les sucer ?""Faudra pas pleurer et demander qu’on te protège""T’es prof ? Quand l’Etat islamique viendra à la Sorbonne tu vas les regarder en te branlant ? »"Regarde-moi sale pédé. Sale pute. Tu habites là-bas hein ? Je vais venir chez toi, je vais mettre une cagoule et je vais te violer""Maintenant on va te mettre des coups de tazer, tu vas voir comment ça pique""Tu vas crever...Je vais t’enculer""Il faut qu’on chope la meuf, on la charge pour appel à rébellion »."Tu regardes le mur, si tu te retournes, si tu bouges, on t’ouvres le crâne""On va venir à la Sorbonne, on va vous exterminer toi et tes collègues, sale gauchiste""T’es contractuel sale bâtard ? On va te faire un rapport salé, ta titu tu peux te la mettre" "Maintenant tu déverrouilles ton téléphone et tu effaces la vidéo"++++"«Vous voyez on ne fait rien, mais ils tabassent des gens au hasard pour susciter des troubles »


Les Havrais savent que des assassins sont dans la police. Les trois morts du Havre "inexpliquées" sont le résultat de la politique raciste du procureur Nachbar.
Le protecteur des terroristes.
Le protecteur des terroristes Soro, DAECH Qaradawi comme le protecteur des terroristes policiers du Havre.
Ceux qui ont assassiné Abdoulaye Camara.
Les Havrais savent que les policiers normaux laissent agir des psychopathes parmi eux.
Des malades mentaux capables d'aller devant l'école Valmy faire la propagande des violences à enfants
C'est de pareils malades mentaux, en version néonazie aggravée, qu'a été victime un professeur de la Sorbonne


témoignage intégral prof #Sorbonne #GuillaumeVadot VS #PoliciersNazis de #Hollande

DES POLICIERS NEONAZIS SONT CAJOLES PAR CAZENEUVE ET HOLLANDE
ILS SONT LE 3° FASCISME, le STATO FASCISME, celui que la CIA incite Hollande à fabriquer en même temps que l'islamofascisme et l'hitlérofascisme.

Ce fascisme d'Etat n'a aucune limite.
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

Il vient d'arriver cela à un collègue enseignant à Paris-1 (ça n'est pas moi!). Une scène horrible et impensable il y a quelques années. Le discours anti-flic primaire me fatigue. Mais à un moment il faut ouvrir les yeux.
"Je sortais d’une gare de banlieue avec une copine, en fin de journée. Au moment de passer les tourniquets, on entend des hurlements. Pas un cri normal, mais un cri de douleur, intense, et l’on comprend immédiatement qu’il se passe quelque chose. Comme tous les autres à côté de nous, mon regard est capté par la scène qui se déroule sur notre gauche. Une femme noire d’une cinquantaine d’années est menottée, et c’est elle qui hurle que les menottes lui broient les mains, qu’elle n’en peut plus. Entre elle et le petit attroupement d’habitants qui s’est formé, une trentaine de policiers équipés, avec un chien d’assaut. Il y a la sûreté ferroviaire et la police nationale.
Les gens sont inquiets, l’ambiance est très tendue, tout le monde demande ce qui se passe, pourquoi ils torturent cette femme en pleine rue. La scène est marquante, elle ressemble à cet été après l’assassinat d’Adama, ou aux images de la mobilisation aux Etats-Unis : une rangée de policiers, face à une autre rangée d’habitantes et habitants noirs de la ville. Ces derniers sont clairs, ils n’ont aucune confiance. Un homme raconte comment son frère a été interpellé sans raison, mis en garde à vue et violenté. Les flics nous disent de « nous casser ».
J’avais peur pour la victime de cette interpellation, peur de cette scène raciste, je voyais la police déraper à tout moment. J’ai sorti mon téléphone pour filmer, en me disant que cela pourrait cadrer les choses, faire baisser le niveau d’impunité. Ça n’a pas duré plus d’une minute. L’un des flics m’attrape par l’épaule gauche et me fait pivoter : « celui-là on lui fait un contrôle d’identité ». Je demande pourquoi, il m’arrache mon téléphone. Je lui dis qu’il n’a pas le droit de le consulter sans mandat de perquisition.
Mais tout s’accélère : dès qu’ils ont réussi à me tirer de leur côté du cordon formé par leurs collègues, ils se mettent à deux sur moi, chacun me faisant une clé à l’un des bras. Une douleur énorme me traverse les articulations. J’ai les deux bras torsadés dans le dos, avec ces deux hommes dans des positions qu’ils ont apprises, qui pèsent de toute leur force pour me plaquer contre le mur. A plusieurs reprises, ils m’écartent un peu et me rebalancent, pour que je me cogne. J’ai d’abord pensé qu’il s’agissait juste de m’intimider et de me mettre à l’écart. Mais ils ne relâchent pas. J’ai le souffle coupé et je ne proteste plus, je me dis qu’ils vont m’embarquer pour « outrage » ou « rébellion », et sont en train de chercher à créer des faits de toutes pièces.
Le pire en réalité n’était pas la douleur. Les deux flics qui sont sur moi sont surexcités. Et ils se lâchent. Crânes rasés, les yeux brillants, j’ai du mal à croire que la scène qui suit est réelle. « On va te tuer, tu es mort, on va te défoncer, je te crève là sur place dans dix minutes ». Et au fur et à mesure que les cartilages s’étirent sous la torsion, ils remontent mes poignets dans mon dos, et augmentent la torsion. Celui de gauche me met la main sur les fesses. « T’as cru que t’allais jouer avec la police ? Regarde comme on va jouer avec toi ». Et il me met une première béquille. Puis il remet sa main sur mes fesses. Avec les clés de bras, je ne peux plus respirer normalement. Nouvelle béquille. « On va te violer, ça te plaît ça ? Je vais te violer et on va voir si après tu filmeras la police ».
Ça continue. « Tu soutiens Daesh c’est ça ? ». « Quand ils vont venir tu feras quoi ? Tu vas les sucer ? ». « Faudra pas pleurer et demander qu’on te protège ». Je n’ai réalisé que plus tard qu’ils étaient en train de parler de Daesh...pour justifier leur attitude face à une femme racisée qui avait oublié son pass navigo.
Ils ouvrent mon sac et prennent mon portefeuille, le vident dans mon dos. Ils me prennent mes clopes en me disant de m’asseoir dessus. Ils trouvent ma carte de prof précaire à la fac. « T’es prof ? Quand l’Etat islamique viendra à la Sorbonne tu vas les regarder en te branlant ? ». Celui de gauche : « Regarde-moi sale pédé. Sale pute. Tu habites là-bas hein ? (il montre mon immeuble). Je vais venir chez toi, je vais mettre une cagoule et je vais te violer ». Je suis vraiment abasourdi, je pense qu’il a répété les mêmes menaces une bonne vingtaine de fois en tout. J’ai affaire à des flics politisés, des flics de l’état d’urgence permanent, qui se vivent comme en guerre contre Daesh, un Daesh qu’ils assimilent à toute personne racisée, et avec qui j’aurais pactisé en me solidarisant de leur victime du jour.
Ils montent encore d’un cran. « Maintenant on va te mettre des coups de tazer, tu vas voir comment ça pique ». Et, toujours celui de gauche, m’envoie une décharge dans le bras. Je sursaute, et je me mets à trembler. J’essaie de ne pas le montrer, je ne dis rien, mais la pensée qui me vient à ce moment est que la situation va peut-être déraper encore plus. Qu’ils vont me faire une autre clé, ou me frapper avec leur tonfa avant de m’embarquer. « Tu vas crever ». « Je vais t’enculer ». Avec toujours les attouchements. Et la douleur est telle dans les bras, les épaules, le dos, que je me dis que je dois me préparer à ce qu’une de mes articulations lâche.
Derrière, j’entends la copine avec qui j’étais qui crie, qui leur dit de me lâcher. Je voudrais lui dire de laisser tomber. J’ai une boule au ventre : qu’est-ce que ces tarés lui feront s’ils l’interpellent ? Mais entre-temps, l’attroupement a probablement un peu grossi, et le groupe de policiers doit savoir qu’il ne peut pas faire durer indéfiniment la situation. Celui qui me torsade le bras droit me dit : « Il faut qu’on chope la meuf, on la charge pour appel à rébellion ».
J’entends qu’ils discutent entre eux. Un des deux hommes me lâchent le bras et me dit : « Tu regardes le mur, si tu te retournes, si tu bouges, on t’ouvres le crâne ». Je ne bouge pas. « On va venir à la Sorbonne, on va vous exterminer toi et tes collègues, sale gauchiste ». Puis ils me retournent et je me retrouve devant les yeux exorbités du flic qui me tenait le bras gauche. « T’es contractuel sale bâtard ? On va te faire un rapport salé, ta titu tu peux te la mettre ». Je ne dis rien. Ils m’appuient sur la poitrine. « Maintenant tu déverrouilles ton téléphone et tu effaces la vidéo ». Je m’exécute, en me disant que c’est dans ma tête et pas sur ces images de l’attroupement statique que ce qui vient de se passer est gravé. Il m’arrache l’appareil, et ouvre le dossier photo, commence à tout regarder.
Puis tout à coup, le reste de leur groupe charge les habitants qui s’étaient regroupés. C’est rapide et extrêmement violent. Je vois leur chien se jeter sur les gens, et eux avec les gazeuses et les tonfas. Tout le monde fuit, en panique, y compris les personnes âgées. Les deux policiers qui m’ont agressé me jettent mon portefeuille et son contenu à la figure et partent en courant. Je craint pour mon amie, je ne la vois pas. Mais je l’aperçois finalement qui revient, elle avait réussi à s’échapper. Rien à faire d’autre que rentrer chez nous, la rage au ventre, et tout le torse ankylosé et douloureux. Je me dis que cette police raciste serait allée encore plus loin si j’étais racisé. Un homme nous explique que c’est comme ça dans toute la ville depuis ce matin. « Vous voyez on ne fait rien, mais ils tabassent des gens au hasard pour susciter des troubles ». On se réconforte mutuellement, se souhaite bon courage. Il en faudra ; mais on n’en manque pas."

jeudi 23 juin 2016

23 juin 2016 : 200 000 manifestants contre le coup d'Etat de Hollande (1/3)


par Yanick Toutain


23/6/2016







Les gredins ont tenté. Ils ont perdu. 
Ils ont perdu cette bataille.
Mais ils continueront leur guerre commencée le 16/12/2010 jusqu'à la victoire de la révolution.



DEFAITE des SOCIALOFASCISTES

Des centaines de milliers de manifestations parcourent les rues des villes de France et le trajet concédé autour du bassin de l'Arsenal à Paris.
15h44 : La manifestation parisienne contre la loi travail a réuni 60 000 participants, selon un décompte fourni par FO et la CGT. Le 26 mai, les organisateurs avaient annoncé 100 000 manifestants à Paris. Ils avaient revendiqué un million de personnes le 14 juin dans la capitale
La défaite est cinglante.

L'annonce mercredi matin du préfet de police de Paris - Michel Cadot (oui le même qui protège les terroristes MNLA et a aidé le terroriste Guillaume Soro à échapper au mandat d'amener de la juge Kheris) ..... est tombée dans le ridicule...

NECKER : UNE PROVOCATION FASCISTE ORGANISEE

L'équipe de fascistes installés à l'Elysée et à Matignon a laissé un abruti frapper avec son marteau les vitres de l'hôpital Necker. La police à proximité a laissé faire l'abruti.
Cette action provocatrice devait servir à aggraver le coup d'Etat en cours, et donner un vernis argumentaire à l'interdiction de manifester.
On saura un jour qui était ce provocateur. De la même façon, la révolution identifiera le 2° abruti du Havre qui avait entraîné le CGTiste à fracasser la porte du local PS..... abruti .... que la police n'a même pas poursuivi.... comme par hasard... alors que le chef des RG se trouvait au sein même de la manifestation

VALSE HESITATION DES SOCIALOFASCISTES

Après, mercredi matin, l'annonce du préfet Cadot de l'interdiction - un communiqué "redigé avec l'assentiment de Beauvau et de Matignon".... qui "a même été relu par le Président" (selon le Parisien)... les putschistes du PS ont commencé à prendre peur....
Leurs alliés CFDT - Laurent Berger - les lâchait même (sans toute fois appeler à manifester...... pas de réponse de Berger à la question à lui posée sur Twitter).... Même la CFE-CGC protestait.
Un des fascistes conseillant l'Elysée prenait soudain conscience de la marche à franchir 
"Vous nous voyez passer les menottes à Martinez".
Et, à 13H la tentative fasciste de 9h était annulée....

UN COUP D'ETAT COMMENCE LE 16 DECEMBRE 2010

Mais, il ne faut pas s'imaginer que le coup d'Etat est terminé.
Loin de là.
Ce n'est qu'une péripétie.
Le financement de DAECH par l'entreprise Lafarge et son PDG dirigeant MEDEF depuis , le financement d'AQMI (58 millions de dollars) par Sarkozy et Hollande, le financement par Hollande (20 milions d'euros) de l'école de "petits combattants du jihad du psychopathe Iyad Ag Ghali, l'organisation systématique du sabotage de toutes enquêtes sérieuses sur les réseaux mis en place par Boubakeur Al Hakim (franco-tunisien assassin de Chokri Belaid et Mohamed Brahmi) n'ont pas été faits en vain.
Les milliards investis par le Qatar (le chef terroriste Al Thani formé par l'armée française à Saint Cyr avec le coaching du gredin franco-tunisien renégat Mathieu Guidère transformé en "professeur" à l'université française le 11 février 2011) , les milliards investis par l'Arabie Saoudite pour former et armer les milices Al Qaeda, DAECH, Ansardine, Boko Haram, MUJAO, AQMI, Hamas etc....) ne sont pas des investissements à court terme : il faut que les institutions démocratiques ordinaires en Europe soient mises à bas.
Tel est le plan initié le 16 décembre 2010 par Sarkozy et le général Puga depuis l'Elysée.
C'est ce jour-là que la manifestation prétendument pacifique (dont les gredins HRW font la propagande mensongère) camouflait en réalité des Kalachnikov et des lance-roquettes.
On pouvait le voir sur les images de TF1 ce jour-là (en même temps que les propos mensongers masquait cette attaque terroriste)
Après avoir renversé le socialo-collabo Laurent Gbagbo, Sarkozy et Puga envoyèrent les terroristes MNLA, Ansardine, AQMI à l'attaque du Mali.

JUGES VOYOUS EN FRANCE

Dans le même temps, toute une armada de juges voyous, de procureurs menteurs, de flics ripoux organisaient le soutien aux terroristes. Terroristes miliciens Forces Nouvelles, terroristes d'Etat LICORNE de l'armée française, terroristes de l'ONU - soutien logistique des miliciens de Guillaume Soro, créateurs des charniers clandestins pour camoufler les corps des victimes des milices Soro.
Tous cela pour organiser la répression contre les porteurs de la vérité : Les anti-terroristes en France condamnés à des peines exorbitantes. 


xxxd

A SUIVRE JEUDI

jeudi 24 mars 2016

Le Havre Le SO Service d'ordre des dockers du Havre vient d'INTERDIRE à la police politique Hollande-Valls Cazeneuve de filmer la manifestation lycéens-dockers


par Yanick Toutain


24/3/2016

Très grosse tension tout à coup près de l"université du Havre peu après 10h20 ce jeudi matin 24 avril.




Ce ne sont pas les quelques rares (moins de) 50 étudiants mobilisés contre la loi travail ni les quelques centaines de lycéens venus principalement du Lycée Claude Monet et rejoints par quelques dizaines du Lycée François (lycée du centre ville où enseigna Jean-Paul Sartre) qui déclenchèrent cet incident avec la police politique de Hollande-Valls-Cazeneuve.

Ce sont les quelques trois mille* dockers hyper organisés avec leur syndicat CGT qui mirent le hola aux méthodes de voyous de la police politique locale : Filmant sans vergogne la totalité du cortège pendant que les terroristes du Havre, les racailles islamofascistes du réseau Qaradawi-Qatar-CIA-DGSE continuent tranquillement leur prosélytisme dans les quartiers pauvres et sur leur site Havre de Savoir.
Les dockers, agissant, avec anticipation comme les groupes de délégués protection que mettra prochainement en place le comité de ville révolutionnaire sont intervenus pour STOPPER les pratiques des flics de la bourgeoisie.
La tension est montée tout à coup quand un coup de téléphone dissuada les milices de protection de DAECH de continuer leurs provocations fascistes.
Les RG abaissèrent leurs appareils photo et leurs caméras.
Entourés d'un solide rideau de bras musclés et de visages absolument pas souriants.

30 minutes avant, j'avais twitté
xxx
xxxxxxxxxxxx

 POLICIERS POLITIQUES NEUTRALISES



UNE ETRANGE MANIFESTATION RESULTATS DES MANIPULATIONS POLITIQUES PCF PG NPA
UNE OMNIPRESENCE D'ADULTES TERRORISES DE VOIR LES JEUNES DU HAVRE DEMARRER LA REVOLUTION CONTRE HOLLANDE




LE DESTRUCTEUR DEPUIS 10 ANS DES MOBILISATIONS ETUDIANTES
 VINCENT ALES
SYNDICALISTE SNUIPP PRO-PROFS AGRESSEURS D'ENFANTS
 VIENT PARACHEVER SON OEUVRE CONTRE-REVOLUTIONNAIRE








QUASIMENT AUCUN ETUDIANTS
MOINS DE 50 SUR 7500 ETUDIANTS DU HAVRE










*Selon les dockers eux-mêmes ils sont 2500 actifs plus 500 dockers retraités présents ce matin

mercredi 23 mars 2016

Valls ment ! Ils ont aidé les milices terroristes à recruter en France ! "On a fermé les yeux sur la progression des idées extrémistes du salafisme dans des quartiers qui ont perverti une partie de la jeunesse"





ON A FERME LES YEUX MAIS PARTOUT EN EUROPE 
ET AUSSI EN FRANCE SUR
 LA PROGRESSION DES IDEES EXTREMISTES
 DU SALAFISME DANS DES QUARTIERS....

Valls MENT

Ils ont AIDE à propager l'islamofascisme salafiste de 
Youssouf Qaradawi, le mufti de l'OTAN, l'inventeur 
des attentats-suicide, le protégé du Qatar, à se 
répandre en France.
Au Havre, c'est le maire Edouard Philippe porte-
parole d'Alain Juppé qui soutient les islamofascistes 
de "Havre de Savoir" réseau et site de propagande du 
mufti fasciste Youssouf Qaradawi

Chirac, Sarkozy, Hollande, Valls sont les protecteurs 
des réseaux terroristes en France.
Ils ont fabriqué le prétexte de lois sécuritaires fascistes 
comme ils l'ont fait au Mali en envoyé leurs pantins 
en 2012 
Ils ont aidé le faux islam wahhabite de l'Arabie 
Saoudite et du Qatar recruter des bombes humaines.

Ils ont aidé l'UOIF NoorAssur à propager leur faux 
islam de la Riba alors que les banques sont 
strictement interdites dans le vrai Islam
#StopRiba #NoRiba
#AbasLaRiba

"On a fermé les yeux, mais partout en Europe et aussi 
en France, sur la progression des idées extrémistes du 
salafisme dans des quartiers qui à travers ce mélange 
de trafics de drogue et d'islamisme radical ont 
perverti (...) une partie de la jeunesse"

Sarkozy, Hollande, le général Puga ont été les 
ORGANISATEURS de ce complot !

Le général Puga installé à l'Elysée, Sarkozy et Hollande 
ont versé 58 millions de dollars à Al Qaeda AQMI

Sarkozy le général Puga +ONUCI Jean-Marie Bourry 
ont organisé l'attaque terroriste contre la télévision 
ivoirienne le 16 décembre 2010

Sarkozy LICORNE et l'ONUCI ont lancé le putsch 
d'avril 2011 pour renverser le président Gbagbo et 
donner le pouvoir aux terroristes Soro-Ouattara

Sarkozy Puga ont recruté les terroristes MNLA 
Ansardine pour renverser Kadhafi

Ils ont installé Al Qaeda au pouvoir en Libye
Abdelhakim Belhadj Brigade du 17 février

En janvier 2012 Sarkozy et le général Puga ont lancé 
MNLA Ansardine AQMI MUJAO à l'attaque du Mali 
avec le soutien logistique du Croissant Rouge du 
Qatar et de ses avions gros porteurs

Hollande a réinstallé les terroristes MNLA en janvier 
2013

Hollande a versé 20 millions € à l'égorgeur d'Aguel 
Hoc Iyad Ag Ghali leader d'Ansardine qui est revenu 
s'installer au Nord-Mali 

Les généraux Puga et Beth ont soutenu le putsch 
terroriste Diendéré-Bassolé-Soro de sepembre 2015
Un putsch qui recrutait des islamofascistes prévus 
pour des attaques contre des commissariats et des 
gendarmerie au Burkina Faso.

Fabius, Cazeneuve, Hollande ont averti le terroriste 
Guillaume Soro du mandat d'arrêt de la juge Khéris 
pour séquestration et tortures contre Michel 
Gbagbo.
Laurent Fabius a camouflé le terroriste jihadiste Soro 
en pseudo diplomate à la COP21 et l'ont aidé à 
quitter le territoire français.

C'est un coup d'Etat qui est en cours
#HollandeCoupdEtat
#NATOcoup
C'est la suite des #tueursdu Brabant en Belgique.
C'est la suite de la #strategiadellatensione des réseaux 
fascistes de l'OTAN Gladio.

Ils sont en train de faire un coup d'Etat dans toute 
l'Europe en utilisant les services des pantins de Hillary 
Clinton Bush et Obama.
Al Qaeda et DAECH sont des milices auxiliaires des 
USA
Elles sont des milices fascistes annexes à l'armée US, 
CIA-NSA

Pour lutter contre DAECH il faut renverser ses 
protecteurs USA CIA Turquie Qatar Arabie Saoudite
#HOLLANDEDEGAGE
#Révolution
#1pour25

mardi 22 décembre 2015

Le Conseil Constitutionnel valide les assignations à résidence du général Puga,l'organisateur des crimes terroristes MNLA Ansardine du 24 janvier 2012

Michel Gbagbo est victime du terroriste
Guillaume Soro et de ses donneurs d'ordre
Benoit Puga et Nicolas Sarkozy

par Yanick Toutain 
 REVACTU

23/12/2015


Le général Puga peut se frotter les mains. Après les juges voyous faussaires et receleurs de faux en écritures publiques des tribunaux d'Angoulême, Bordeaux (Cour d'appel), Le Havre et Rouen (cour d'Appel), il vient de réquisitionner le Conseil Constitutionnel à sa cause fasciste.

L'ARRET VOYOU DU CONSEIL CONSTITUTIONNEL

D É C I D E : 
Article 1er.- Les neuf premiers alinéas de l'article 6 de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence sont conformes à la Constitution. 
Article 2.- La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française et notifiée dans les conditions prévues à l'article 23-11 de l'ordonnance du 7 novembre 1958 susvisée. 
Délibéré par le Conseil constitutionnel dans sa séance du 22 décembre 2015, où siégeaient : M. Jean-Louis DEBRÉ, Président, Mmes Claire BAZY MALAURIE, Nicole BELLOUBET, MM. Guy CANIVET, Renaud DENOIX de SAINT MARC, Jean-Jacques HYEST, Lionel JOSPIN et Mme Nicole MAESTRACCI. 

NOUS SOMMES TOUS DES ASSSIGNES A RESIDENCE
PAR..... LES PROTECTEURS DU TERRORISTE SORO

L'organisateur des crimes d'Abidjan du 16 décembre 2010 commis par les milices de Guillaume Soro, l'organisateur des attaques de Ménaka Aguel Hoc des 17 18 24 janvier 2012, le donneur d'ordre des terroristes du Mali peut maintenant assigner à résidence n'importe qui !


Pendant que Cazeneuve assignait à résidence les jeunes écolos anti COP21, son protégé, le terroriste Guillaume Soro se voyait - illégalement - accordé un statut diplomatique avec un FAUX EN ECRITURES......




Les «sages» ont validé, ce mardi, les assignations à résidence décidées dans le cadre de l’état d’urgence. Pas d’entorse à la Constitution, conclut leur décision «Tant par leur objet que par leur portée, ces dispositions ne comportent pas de privation de la liberté individuelle au sens de l’article 66 de la Constitution.»Dans son communiqué, l’institution présidée par Jean-Louis Debré insiste bien sur le fait que ces mesures sont prises dans le cadre d’un régime très exceptionnel justifié par un «péril imminent» : l’état d’urgence, décrété par François Hollande au soir des attentats du 13 Novembre et prolongé pour trois moispar les parlementaires. Dans ce contexte particulier, les sages n’y ont donc pas vu «une atteinte disproportionnée» à «la liberté d’aller et de venir».

On connait ces gens : les complices des terroristes du Qatar, les protecteurs de Guillaume Soro qui viennent voler la liberté de gens n'ayant aucun lien d'aucune sorte avec les terroristes de DAECH
Le rapporteur ayant été entendu ;
1. Considérant qu'aux termes de l'article 6 de la loi du 3 avril 1955 susvisée dans sa rédaction issue de la loi du 20 novembre 2015 susvisée : « Le ministre de l'intérieur peut prononcer l'assignation à résidence, dans le lieu qu'il fixe, de toute personne résidant dans la zone fixée par le décret mentionné à l'article 2 et à l'égard de laquelle il existe des raisons sérieuses de penser que son comportement constitue une menace pour la sécurité et l'ordre publics dans les circonscriptions territoriales mentionnées au même article 2. Le ministre de l'intérieur peut la faire conduire sur le lieu de l'assignation à résidence par les services de police ou les unités de gendarmerie.« La personne mentionnée au premier alinéa du présent article peut également être astreinte à demeurer dans le lieu d'habitation déterminé par le ministre de l'intérieur, pendant la plage horaire qu'il fixe, dans la limite de douze heures par vingt-quatre heures.
« L'assignation à résidence doit permettre à ceux qui en sont l'objet de résider dans une agglomération ou à proximité immédiate d'une agglomération.
« En aucun cas, l'assignation à résidence ne pourra avoir pour effet la création de camps où seraient détenues les personnes mentionnées au premier alinéa.
« L'autorité administrative devra prendre toutes dispositions pour assurer la subsistance des personnes astreintes à résidence ainsi que celle de leur famille.
« Le ministre de l'intérieur peut prescrire à la personne assignée à résidence :
« 1° L'obligation de se présenter périodiquement aux services de police ou aux unités de gendarmerie, selon une fréquence qu'il détermine dans la limite de trois présentations par jour, en précisant si cette obligation s'applique y compris les dimanches et jours fériés ou chômés ;
« 2° La remise à ces services de son passeport ou de tout document justificatif de son identité. Il lui est délivré en échange un récépissé, valant justification de son identité en application de l'article 1er de la loi n° 2012-410 du 27 mars 2012 relative à la protection de l'identité, sur lequel sont mentionnées la date de retenue et les modalités de restitution du document retenu.
« La personne astreinte à résider dans le lieu qui lui est fixé en application du premier alinéa du présent article peut se voir interdire par le ministre de l'intérieur de se trouver en relation, directement ou indirectement, avec certaines personnes, nommément désignées, dont il existe des raisons sérieuses de penser que leur comportement constitue une menace pour la sécurité et l'ordre publics. Cette interdiction est levée dès qu'elle n'est plus nécessaire.
« Lorsque la personne assignée à résidence a été condamnée à une peine privative de liberté pour un crime qualifié d'acte de terrorisme ou pour un délit recevant la même qualification puni de dix ans d'emprisonnement et a fini l'exécution de sa peine depuis moins de huit ans, le ministre de l'intérieur peut également ordonner qu'elle soit placée sous surveillance électronique mobile. Ce placement est prononcé après accord de la personne concernée, recueilli par écrit. La personne concernée est astreinte, pendant toute la durée du placement, au port d'un dispositif technique permettant à tout moment de déterminer à distance sa localisation sur l'ensemble du territoire national. Elle ne peut être astreinte ni à l'obligation de se présenter périodiquement aux services de police et de gendarmerie, ni à l'obligation de demeurer dans le lieu d'habitation mentionné au deuxième alinéa. Le ministre de l'intérieur peut à tout moment mettre fin au placement sous surveillance électronique mobile, notamment en cas de manquement de la personne placée aux prescriptions liées à son assignation à résidence ou à son placement ou en cas de dysfonctionnement technique du dispositif de localisation à distance » ;
2. Considérant que, selon le requérant, l'association Ligue des Droits de l'Homme et M. Joël D., en posant une obligation de ne pas quitter un lieu déterminé et en imposant, le cas échéant, à la personne ainsi assignée à résidence de demeurer dans un lieu d'habitation et de se présenter plusieurs fois par jour aux services de police ou de gendarmerie, les dispositions contestées portent une atteinte inconstitutionnelle à la liberté d'aller et de venir, au droit de mener une vie privée et familiale normale ainsi qu'aux libertés de réunion et de manifestation ; qu'en ne définissant pas avec suffisamment de précision le régime de l'assignation à résidence, le législateur aurait méconnu l'étendue de sa compétence dans des conditions affectant ces droits et libertés constitutionnellement garantis ; que, dès lors que l'assignation à résidence n'est pas placée sous le contrôle de l'autorité judiciaire, les dispositions contestées méconnaîtraient les exigences de l'article 66 de la Constitution ; que selon M. Pierre B., Mme Soizic C., M. Luc G., Mme Marion S., MM. Corentin V., Sid Ahmed G. et Fabien K., les dispositions contestées méconnaissent le droit à un procès équitable, les droits de la défense et le principe du contradictoire ;  (source)



On connait ces gens : ils sont les complices de l'assassin terroriste Guillaume Soro

JEUDI 10 DÉCEMBRE 2015


Vérité sur le terroriste ivoirien Guillaume Soro rétablie par Me Habiba Touré pour le Collectif des avocats de Michel Gbagbo victime de enlèvement, séquestration et traitements inhumains et dégradants

présentation Yanick Toutain
REVACTU
10/12/2015

La Franceàfric de Sarkozy et du général Puga a mis au pouvoir un groupe de terroristes - Soro, Ouattara & co - en Côte d'Ivoire.

J'ai été condamné par 4 tribunaux successifs à 31000 euros pour avoir écrit cette vérité le 2 janvier 2011.

Deux TGI et 2 coup d'Appel ont fabriqué et recélé des faux en écritures pour arriver à ce résultat COINTELPRO
On sait qui sont ces gens : ceux qui font semblant de lutter contre le terrorisme

MERCREDI 16 DÉCEMBRE 2015

On sait qui sont ces gens : les complices de Sylvie Andrieux.
Cette voleuse condamnée à UN an de prison FERME siège toujours à la COMMISSION DEFENSE de l'Assemblée !
xxx

ANNEXE

3. Considérant que la question prioritaire de constitutionnalité porte sur les neuf premiers alinéas de l'article 6 de la loi du 3 avril 1955 ; 
- SUR LE GRIEF TIRÉ DE LA MÉCONNAISSANCE DES DROITS GARANTIS PAR L'ARTICLE 66 DE LA CONSTITUTION : 
4. Considérant qu'aux termes de l'article 66 de la Constitution : « Nul ne peut être arbitrairement détenu. - L'autorité judiciaire, gardienne de la liberté individuelle, assure le respect de ce principe dans les conditions prévues par la loi » ; que la liberté individuelle, dont la protection est confiée à l'autorité judiciaire, ne saurait être entravée par une rigueur qui ne soit nécessaire ; que les atteintes portées à l'exercice de cette liberté doivent être adaptées, nécessaires et proportionnées aux objectifs poursuivis ; 
5. Considérant, en premier lieu, que les dispositions contestées permettent au ministre de l'intérieur, lorsque l'état d'urgence a été déclaré, de « prononcer l'assignation à résidence, dans le lieu qu'il fixe, de toute personne résidant dans la zone fixée » par le décret déclarant l'état d'urgence ; que cette assignation à résidence, qui ne peut être prononcée qu'à l'égard d'une personne pour laquelle « il existe des raisons sérieuses de penser que son comportement constitue une menace pour la sécurité et l'ordre publics », est une mesure qui relève de la seule police administrative et qui ne peut donc avoir d'autre but que de préserver l'ordre public et de prévenir les infractions ; que cette assignation à résidence « doit permettre à ceux qui en sont l'objet de résider dans une agglomération ou à proximité immédiate d'une agglomération » ; qu'elle ne peut en aucun cas « avoir pour effet la création de camps où seraient détenues les personnes » assignées à résidence ; que, tant par leur objet que par leur portée, ces dispositions ne comportent pas de privation de la liberté individuelle au sens de l'article 66 de la Constitution ; 
6. Considérant, en second lieu, que, dans le cadre d'une assignation à résidence prononcée par le ministre de l'intérieur, la personne « peut également être astreinte à demeurer dans le lieu d'habitation déterminé par le ministre de l'intérieur, pendant la plage horaire qu'il fixe, dans la limite de douze heures par vingt-quatre heures » ; que la plage horaire maximale de l'astreinte à domicile dans le cadre de l'assignation à résidence, fixée à douze heures par jour, ne saurait être allongée sans que l'assignation à résidence soit alors regardée comme une mesure privative de liberté, dès lors soumise aux exigences de l'article 66 de la Constitution ; 
7. Considérant qu'il résulte de ce qui précède que le grief tiré de la méconnaissance de l'article 66 de la Constitution doit être écarté ; 
- SUR LES GRIEFS TIRÉS DE LA MÉCONNAISSANCE DES DROITS ET LIBERTÉS GARANTIS PAR LES ARTICLES 2 ET 4 DE LA DÉCLARATION DE 1789 ET DE L'ARTICLE 34 DE LA CONSTITUTION : 
8. Considérant que la Constitution n'exclut pas la possibilité pour le législateur de prévoir un régime d'état d'urgence ; qu'il lui appartient, dans ce cadre, d'assurer la conciliation entre, d'une part, la prévention des atteintes à l'ordre public et, d'autre part, le respect des droits et libertés reconnus à tous ceux qui résident sur le territoire de la République ; que parmi ces droits et libertés figurent la liberté d'aller et de venir, composante de la liberté personnelle protégée par les articles 2 et 4 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 ; 
9. Considérant que la méconnaissance par le législateur de sa propre compétence ne peut être invoquée à l'appui d'une question prioritaire de constitutionnalité que dans le cas où cette méconnaissance affecte par elle-même un droit ou une liberté que la Constitution garantit ; qu'aux termes de l'article 34 de la Constitution : « La loi fixe les règles concernant... les garanties fondamentales accordées aux citoyens pour l'exercice des libertés publiques » ; 
10. Considérant que les dispositions contestées permettent à l'autorité administrative prononçant une assignation à résidence d'accompagner cette mesure d'une astreinte à demeurer dans un lieu d'habitation déterminé pendant une plage horaire ne pouvant excéder douze heures par vingt-quatre heures, de prescrire à la personne assignée à résidence de se présenter aux services de police ou aux unités de gendarmerie jusqu'à trois fois par jour, de lui imposer de remettre à ces services son passeport ou tout document justificatif de son identité, de lui interdire de se trouver en relation, directement ou indirectement, avec certaines personnes dont il existe des raisons sérieuses de penser que leur comportement constitue une menace pour la sécurité et l'ordre public ; que ces dispositions portent donc atteinte à la liberté d'aller et de venir ; 
11. Considérant, en premier lieu, que l'assignation à résidence ne peut être prononcée que lorsque l'état d'urgence a été déclaré ; que celui-ci ne peut être déclaré, en vertu de l'article 1er de la loi du 3 avril 1955, qu'« en cas de péril imminent résultant d'atteintes graves à l'ordre public » ou « en cas d'événements présentant, par leur nature et leur gravité, le caractère de calamité publique » ; que ne peut être soumise à une telle assignation que la personne résidant dans la zone couverte par l'état d'urgence et à l'égard de laquelle « il existe des raisons sérieuses de penser que son comportement constitue une menace pour la sécurité et l'ordre publics » ; 
12. Considérant, en deuxième lieu, que tant la mesure d'assignation à résidence que sa durée, ses conditions d'application et les obligations complémentaires dont elle peut être assortie doivent être justifiées et proportionnées aux raisons ayant motivé la mesure dans les circonstances particulières ayant conduit à la déclaration de l'état d'urgence ; que le juge administratif est chargé de s'assurer que cette mesure est adaptée, nécessaire et proportionnée à la finalité qu'elle poursuit ; 
13. Considérant, en troisième lieu, qu'en vertu de l'article 14 de la loi du 3 avril 1955, la mesure d'assignation à résidence prise en application de cette loi cesse au plus tard en même temps que prend fin l'état d'urgence ; que l'état d'urgence, déclaré par décret en conseil des ministres, doit, au-delà d'un délai de douze jours, être prorogé par une loi qui en fixe la durée ; que cette durée ne saurait être excessive au regard du péril imminent ou de la calamité publique ayant conduit à la déclaration de l'état d'urgence ; que, si le législateur prolonge l'état d'urgence par une nouvelle loi, les mesures d'assignation à résidence prises antérieurement ne peuvent être prolongées sans être renouvelées ; 
14. Considérant qu'il résulte de ce qui précède que les dispositions contestées, qui ne sont pas entachées d'incompétence négative, ne portent pas une atteinte disproportionnée à la liberté d'aller et de venir ; 
- SUR LES AUTRES GRIEFS : 
15. Considérant que les dispositions contestées ne privent pas les personnes à l'encontre desquelles est prononcée une assignation à résidence du droit de contester devant le juge administratif, y compris par la voie du référé, cette mesure ; qu'il appartient à ce dernier d'apprécier, au regard des éléments débattus contradictoirement devant lui, l'existence de raisons sérieuses permettant de penser que le comportement de la personne assignée à résidence constitue une menace pour la sécurité et l'ordre publics ; que, par suite, ne sont pas méconnues les exigences de l'article 16 de la Déclaration de 1789 ; 
16. Considérant que, pour les motifs mentionnés aux considérants 11 à 13, les dispositions contestées ne méconnaissent ni le droit au respect de la vie privée ni le droit de mener une vie familiale normale ; 
17. Considérant que les dispositions des neuf premiers alinéas de l'article 6 de la loi du 3 avril 1955, qui ne méconnaissent ni la liberté d'expression et de communication ni aucun autre droit ou liberté que la Constitution garantit, doivent être déclarées conformes à la Constitution, 
D É C I D E : 

Article 1er.- Les neuf premiers alinéas de l'article 6 de la loi n° 55-385 du 3 avril 1955 relative à l'état d'urgence sont conformes à la Constitution. 

Article 2.- La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française et notifiée dans les conditions prévues à l'article 23-11 de l'ordonnance du 7 novembre 1958 susvisée. 

Délibéré par le Conseil constitutionnel dans sa séance du 22 décembre 2015, où siégeaient : M. Jean-Louis DEBRÉ, Président, Mmes Claire BAZY MALAURIE, Nicole BELLOUBET, MM. Guy CANIVET, Renaud DENOIX de SAINT MARC, Jean-Jacques HYEST, Lionel JOSPIN et Mme Nicole MAESTRACCI.