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mardi 27 septembre 2016

Un policier de Saint Denis "Je vais venir chez toi, je vais mettre une cagoule et je vais te violer" témoignage intégral du professeur de Sorbonne Guillaume Vadot VS #PoliciersNazis de #Hollande

Conférence de presse Guillaume Vadot
photo Anthony Cortes
par Yanick Toutain
27/9/2016

"On va te tuer, tu es mort, on va te défoncer, je te crève là sur place dans dix minutes »« T’as cru que t’allais jouer avec la police ? Regarde comme on va jouer avec toi""On va te violer, ça te plaît ça ? Je vais te violer et on va voir si après tu filmeras la police""Tu soutiens Daesh c’est ça ?""Quand ils vont venir tu feras quoi ? Tu vas les sucer ?""Faudra pas pleurer et demander qu’on te protège""T’es prof ? Quand l’Etat islamique viendra à la Sorbonne tu vas les regarder en te branlant ? »"Regarde-moi sale pédé. Sale pute. Tu habites là-bas hein ? Je vais venir chez toi, je vais mettre une cagoule et je vais te violer""Maintenant on va te mettre des coups de tazer, tu vas voir comment ça pique""Tu vas crever...Je vais t’enculer""Il faut qu’on chope la meuf, on la charge pour appel à rébellion »."Tu regardes le mur, si tu te retournes, si tu bouges, on t’ouvres le crâne""On va venir à la Sorbonne, on va vous exterminer toi et tes collègues, sale gauchiste""T’es contractuel sale bâtard ? On va te faire un rapport salé, ta titu tu peux te la mettre" "Maintenant tu déverrouilles ton téléphone et tu effaces la vidéo"++++"«Vous voyez on ne fait rien, mais ils tabassent des gens au hasard pour susciter des troubles »


Les Havrais savent que des assassins sont dans la police. Les trois morts du Havre "inexpliquées" sont le résultat de la politique raciste du procureur Nachbar.
Le protecteur des terroristes.
Le protecteur des terroristes Soro, DAECH Qaradawi comme le protecteur des terroristes policiers du Havre.
Ceux qui ont assassiné Abdoulaye Camara.
Les Havrais savent que les policiers normaux laissent agir des psychopathes parmi eux.
Des malades mentaux capables d'aller devant l'école Valmy faire la propagande des violences à enfants
C'est de pareils malades mentaux, en version néonazie aggravée, qu'a été victime un professeur de la Sorbonne


témoignage intégral prof #Sorbonne #GuillaumeVadot VS #PoliciersNazis de #Hollande

DES POLICIERS NEONAZIS SONT CAJOLES PAR CAZENEUVE ET HOLLANDE
ILS SONT LE 3° FASCISME, le STATO FASCISME, celui que la CIA incite Hollande à fabriquer en même temps que l'islamofascisme et l'hitlérofascisme.

Ce fascisme d'Etat n'a aucune limite.
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

Il vient d'arriver cela à un collègue enseignant à Paris-1 (ça n'est pas moi!). Une scène horrible et impensable il y a quelques années. Le discours anti-flic primaire me fatigue. Mais à un moment il faut ouvrir les yeux.
"Je sortais d’une gare de banlieue avec une copine, en fin de journée. Au moment de passer les tourniquets, on entend des hurlements. Pas un cri normal, mais un cri de douleur, intense, et l’on comprend immédiatement qu’il se passe quelque chose. Comme tous les autres à côté de nous, mon regard est capté par la scène qui se déroule sur notre gauche. Une femme noire d’une cinquantaine d’années est menottée, et c’est elle qui hurle que les menottes lui broient les mains, qu’elle n’en peut plus. Entre elle et le petit attroupement d’habitants qui s’est formé, une trentaine de policiers équipés, avec un chien d’assaut. Il y a la sûreté ferroviaire et la police nationale.
Les gens sont inquiets, l’ambiance est très tendue, tout le monde demande ce qui se passe, pourquoi ils torturent cette femme en pleine rue. La scène est marquante, elle ressemble à cet été après l’assassinat d’Adama, ou aux images de la mobilisation aux Etats-Unis : une rangée de policiers, face à une autre rangée d’habitantes et habitants noirs de la ville. Ces derniers sont clairs, ils n’ont aucune confiance. Un homme raconte comment son frère a été interpellé sans raison, mis en garde à vue et violenté. Les flics nous disent de « nous casser ».
J’avais peur pour la victime de cette interpellation, peur de cette scène raciste, je voyais la police déraper à tout moment. J’ai sorti mon téléphone pour filmer, en me disant que cela pourrait cadrer les choses, faire baisser le niveau d’impunité. Ça n’a pas duré plus d’une minute. L’un des flics m’attrape par l’épaule gauche et me fait pivoter : « celui-là on lui fait un contrôle d’identité ». Je demande pourquoi, il m’arrache mon téléphone. Je lui dis qu’il n’a pas le droit de le consulter sans mandat de perquisition.
Mais tout s’accélère : dès qu’ils ont réussi à me tirer de leur côté du cordon formé par leurs collègues, ils se mettent à deux sur moi, chacun me faisant une clé à l’un des bras. Une douleur énorme me traverse les articulations. J’ai les deux bras torsadés dans le dos, avec ces deux hommes dans des positions qu’ils ont apprises, qui pèsent de toute leur force pour me plaquer contre le mur. A plusieurs reprises, ils m’écartent un peu et me rebalancent, pour que je me cogne. J’ai d’abord pensé qu’il s’agissait juste de m’intimider et de me mettre à l’écart. Mais ils ne relâchent pas. J’ai le souffle coupé et je ne proteste plus, je me dis qu’ils vont m’embarquer pour « outrage » ou « rébellion », et sont en train de chercher à créer des faits de toutes pièces.
Le pire en réalité n’était pas la douleur. Les deux flics qui sont sur moi sont surexcités. Et ils se lâchent. Crânes rasés, les yeux brillants, j’ai du mal à croire que la scène qui suit est réelle. « On va te tuer, tu es mort, on va te défoncer, je te crève là sur place dans dix minutes ». Et au fur et à mesure que les cartilages s’étirent sous la torsion, ils remontent mes poignets dans mon dos, et augmentent la torsion. Celui de gauche me met la main sur les fesses. « T’as cru que t’allais jouer avec la police ? Regarde comme on va jouer avec toi ». Et il me met une première béquille. Puis il remet sa main sur mes fesses. Avec les clés de bras, je ne peux plus respirer normalement. Nouvelle béquille. « On va te violer, ça te plaît ça ? Je vais te violer et on va voir si après tu filmeras la police ».
Ça continue. « Tu soutiens Daesh c’est ça ? ». « Quand ils vont venir tu feras quoi ? Tu vas les sucer ? ». « Faudra pas pleurer et demander qu’on te protège ». Je n’ai réalisé que plus tard qu’ils étaient en train de parler de Daesh...pour justifier leur attitude face à une femme racisée qui avait oublié son pass navigo.
Ils ouvrent mon sac et prennent mon portefeuille, le vident dans mon dos. Ils me prennent mes clopes en me disant de m’asseoir dessus. Ils trouvent ma carte de prof précaire à la fac. « T’es prof ? Quand l’Etat islamique viendra à la Sorbonne tu vas les regarder en te branlant ? ». Celui de gauche : « Regarde-moi sale pédé. Sale pute. Tu habites là-bas hein ? (il montre mon immeuble). Je vais venir chez toi, je vais mettre une cagoule et je vais te violer ». Je suis vraiment abasourdi, je pense qu’il a répété les mêmes menaces une bonne vingtaine de fois en tout. J’ai affaire à des flics politisés, des flics de l’état d’urgence permanent, qui se vivent comme en guerre contre Daesh, un Daesh qu’ils assimilent à toute personne racisée, et avec qui j’aurais pactisé en me solidarisant de leur victime du jour.
Ils montent encore d’un cran. « Maintenant on va te mettre des coups de tazer, tu vas voir comment ça pique ». Et, toujours celui de gauche, m’envoie une décharge dans le bras. Je sursaute, et je me mets à trembler. J’essaie de ne pas le montrer, je ne dis rien, mais la pensée qui me vient à ce moment est que la situation va peut-être déraper encore plus. Qu’ils vont me faire une autre clé, ou me frapper avec leur tonfa avant de m’embarquer. « Tu vas crever ». « Je vais t’enculer ». Avec toujours les attouchements. Et la douleur est telle dans les bras, les épaules, le dos, que je me dis que je dois me préparer à ce qu’une de mes articulations lâche.
Derrière, j’entends la copine avec qui j’étais qui crie, qui leur dit de me lâcher. Je voudrais lui dire de laisser tomber. J’ai une boule au ventre : qu’est-ce que ces tarés lui feront s’ils l’interpellent ? Mais entre-temps, l’attroupement a probablement un peu grossi, et le groupe de policiers doit savoir qu’il ne peut pas faire durer indéfiniment la situation. Celui qui me torsade le bras droit me dit : « Il faut qu’on chope la meuf, on la charge pour appel à rébellion ».
J’entends qu’ils discutent entre eux. Un des deux hommes me lâchent le bras et me dit : « Tu regardes le mur, si tu te retournes, si tu bouges, on t’ouvres le crâne ». Je ne bouge pas. « On va venir à la Sorbonne, on va vous exterminer toi et tes collègues, sale gauchiste ». Puis ils me retournent et je me retrouve devant les yeux exorbités du flic qui me tenait le bras gauche. « T’es contractuel sale bâtard ? On va te faire un rapport salé, ta titu tu peux te la mettre ». Je ne dis rien. Ils m’appuient sur la poitrine. « Maintenant tu déverrouilles ton téléphone et tu effaces la vidéo ». Je m’exécute, en me disant que c’est dans ma tête et pas sur ces images de l’attroupement statique que ce qui vient de se passer est gravé. Il m’arrache l’appareil, et ouvre le dossier photo, commence à tout regarder.
Puis tout à coup, le reste de leur groupe charge les habitants qui s’étaient regroupés. C’est rapide et extrêmement violent. Je vois leur chien se jeter sur les gens, et eux avec les gazeuses et les tonfas. Tout le monde fuit, en panique, y compris les personnes âgées. Les deux policiers qui m’ont agressé me jettent mon portefeuille et son contenu à la figure et partent en courant. Je craint pour mon amie, je ne la vois pas. Mais je l’aperçois finalement qui revient, elle avait réussi à s’échapper. Rien à faire d’autre que rentrer chez nous, la rage au ventre, et tout le torse ankylosé et douloureux. Je me dis que cette police raciste serait allée encore plus loin si j’étais racisé. Un homme nous explique que c’est comme ça dans toute la ville depuis ce matin. « Vous voyez on ne fait rien, mais ils tabassent des gens au hasard pour susciter des troubles ». On se réconforte mutuellement, se souhaite bon courage. Il en faudra ; mais on n’en manque pas."

mercredi 25 février 2015

Mourir à 30 ans sous les balles des policiers (Hommage à Abdoulaye Camara, un poème par Julie Amadis)

dessin représentant
Abdoulaye Camara tué par des policiers
au Havre le 16 décembre 2014
 Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
Le 25/02/15







Mourir à 30 ans sous les balles des policiers 


Étaient-ils six vers minuit  ?
Ils cassent la porte par effraction
Chez Abdoulaye en pleine nuit
Il est victime d'une agression

Il cherche de l'aide dans le couloir
De son immeuble chez des voisines
Visage en sang il sort hagard
Son appart détruit en ruine

Mourir à 30 ans
Avenue du Bois au Coq au Havre
Sous les balles des policiers
Abattu dans son quartier
Le corps plein de sang

16 décembre un mardi
Vers 1 heure du matin 
Abdoulaye marche dans la nuit
Arrive police et ses chiens

Ils le suivent aucun secours
Juste des gaz lacrymogènes
Aucune aide ils restent sourds
3/4 d'heures dura la scène
 Mourir à 30 ans
Sous les balles des policiers
Abattu dans son quartier
Le corps plein de sang

Abdoulaye est dans la rue
Dans les mains, un couteau à huitres
En short et les pieds nus
Les flics tirent, c'est la suiteLes policiers l'ont abattu
Abdoulaye est mort
Il était là, allongé sur l'avenue
Avec dix balles dans le corps

 


Mourir à 30 ans
Sous les balles des policiers
Abattu dans son quartier
Le corps plein de sang
* * * * * * * * * *

Son frère aurait voulu l'approcher
Mais les flics l'ont écarté
Abdoulaye mort est emmené
Famille, amis ne peuvent que pleurer

 * * * * * * * * *
Pour protéger les policiers
Des articles messages de haine
Abdoulaye est un "forcené"

 Le Procureur Nachbar qui ment
Dit qu'Abdoulaye était "en état de démence"
Quand les tireurs n'ont pas une tâche de sang
Il parle de "légitime défense"

Mourir à 30 ans
Sous les balles des policiers
Abattu dans son quartier
Le corps plein de sang

 
Quand on est policier
On a le permis de tuer
Quand on a la peau foncé
On peut être assassiné

Vingt six coups de feu
Ce n'est pas un accident
Leurs armes ne sont pas des jeux
Elles l'ont tué et on nous ment

Mourir à 30 ans
Sous les balles des policiers
Abattu dans son quartier
Le corps plein de sang

Quand on est un policier

On n'a pas de permis de tuer
Quand on a la peau foncé
On veut vivre à égalité


Vingt six coups de feu
Ce n'est pas un accident
Leurs armes ne sont pas des jeux
Elles l'ont tué et on nous ment

Mourir à 30 ans
Sous les balles des policiers
Abattu dans son quartier
Le corps plein de sang



Julie Amadis
25 février 2015,
Le Havre



samedi 21 février 2015

samedi 18 janvier 2014

Sting et la corruption innovoise (Compromission avec les Parasites de la bancocratie)

par Yanick Toutain


J'étais, pour la ixième fois en train d'étudier l'équation de Galilée-Newton.

 a/2 t²

La distinction entre vitesse immédiate et vitesse moyenne quant à l’accroissement donnée par l'accélération.
En même temps, je venais d'étrenner le casque audio à 5 euros qui allait me permettre d'entendre d'anciens YouTube stockés sur le mini ordinateur (150€ d'occasion) que j'utilise pour bosser.
Et je venais de faire un copier coller.
J'écoutais donc chanter Sting et Josh Groban (avec Chris Botti (in Boston))

« Shape of my heart » « I know that the spades are the swords of a soldier, I know that the clubs are weapons of war, I know that diamonds mean money for this art, but that's not the shape of my heart. »
Pensée : il y a bel et bien des innovois au sein de la strate des Innovants.
Mais quel gâchis !
Quel fonctionnement stupide que celui qui organise la corruption des Innovants les plus diffusé !

J'avais fait, hier, la remarque à JA qui découvrait le film « LeCapital » de Costa-Gavras, qu'il y a une sorte de traîtrise de la part de certains Innovants corrompus, lorsqu'ils accoquinent avec la bourgeoisie. Traîtrise vis-à-vis de leur propre strate.

(présentation du film de Costa-Gavras sur le "Robin des Bois moderne qui prend aux pauvres pour donner aux riches sur le site de .... Bloomberg  )




BANCOCRATIE ET INNOVOISIE:
PARASITES ET INNOVANTS

En effet, la corruption innovoise a pour résultat de laisser croire aux Parasites (et en particulier aux banquiers du film) qu'ils pourraient avoir quelque chose de commun avec des Créateurs en art, avec des Inventeurs de logiciels ou des Découvreurs (quoi que la corruption des Découvreurs par la bourgeoisie Parasite soit moins profonde).
Voir des inutiles absolus – les Parasites de la bancocratie - trouver un semblant d'auto-crédibilité est insupportable.
En effet, les banquiers sont des “plus qu'inutiles”. Ils le sont puisqu'ils même lorsque ils ne sont pas occupés à financer des choses inutiles ou carrément destructrices du genre humain - comme les armes ou les outils cataclysmiques - (incluant outils carbone, nucléaire etc...), ils sont des inutiles.
Car même quand – de façon minoritaire – leur argent sert à quelque chose qui pourrait contenir de la productivité historique, le fait que cela soient eux, et pas les humains, le fait ce cela soit le crédit et non pas le financement anthropocratique* (les 300€ ou 400$ versés chaque mois) qui fasse les versement en question est anti-productif*.



Ce texte a été écrit le 13/1/14 à partir de 13h
Il y a depuis 2 post scriptum : un autre texte “La fanfare du Titanic” et, surtout, hier et aujourd'hui 18/1, la découverte (à paraître) d'une équation modélisant le lien entre les niveaux de PIB moyen par pays et les niveaux de mortalité.
Cela permettra (en cours de travaux) de calculer le niveau de “crime consumériste” de ces innovois corrompus. A terme x euros consommés en plus du PIB moyen rendra coupable de X morts de bébés.




COMPLEMENTS
*”anti-productif” : Il me vient que cet espèce de néologisme qui m'est venu spontanément à la place de “contre-productif” contient autre chose. Le “contre-productif” serait local et momentané. Le “anti-productif” serait structurel et durable. Le fait de voler aux humains leur droit à investir a aussi comme conséquence de leur désapprendre à la faire. Ce n'est pas seulement une question de mauvais choix, c'est aussi une question d' “accumulation de capital humain innovant/gestionnaire”
Il faut que les humains apprennent, dès le plus jeune âge (1€ par jour, 1,3$/d ) à investir est quelque chose de fondamental.
Et il est donc ANTI-productif de prendre des mesures qui empêchent les êtres humains à apprendre à le faire.
Les banquiers ne sont pas seulement contre-productifs avec leurs choix d'investissement imbéciles, ils sont anti-productifs.
Il faudra revenir sur ce “pré-concept” et le lisser pour le conserver éventuellement.


18/1 "financement anthropocratique" néologisme publié pour la première fois ici. Il remplace "investissement démocratique" à cause de la véritable étymologie du mot "démocratie". Un mot qu'il faut dénoncer comme paravent des esclavagistes.

mercredi 9 octobre 2013

jeudi 9 décembre 2010

Sihem Souid est courageuse - Caniveau est en Traction. Une chanson par Yanick Toutain FAJEAE

24 heures après le poéme déposé sur RUE89, la chanson est enregistrée (bande son sur MIDI : piano, deux pizzicatI, nappes violons, ) 4 voix.

=
=

Il pue le Caniveau
Caniveau putréfaction
Français le veau
Caniveau est en faction

[recherchez sur Internet "La chasse aux enfants",
 "La brute soutient la brute","Les esclaves de Bolloré",
 "Hôtel Ivoire","Juge honnête",
 "3 millions de bébés" en Afrique,
des chansons et des textes qui donnent
 les clés de la propagande raciste

Caniveau veille
Les révolutions
Il les surveille
Caniveau est en Traction

La fonctionnaire était lucide
Et pas peureuse
Sihem Souid
Est Courageuse

La fonctionnaire était lucide
Et pas peureuse
Sihem Souid
Est Courageuse
   
Cani vomit
Pierre Dac revient
Radio Paris
Refait ses listes

Cani vautour
La bave du chien
Raciste toujours
Est sarkozyste

La fonctionnaire était lucide
Et pas peureuse
Sihem Souid
Est Courageuse

La fonctionnaire était lucide
Et pas peureuse
Sihem Souid
Est Courageuse

Il pue le Caniveau
Caniveau putréfaction
Français le veau
Caniveau est en faction

Caniveau veille
Les révolutions
Il les surveille
Caniveau est en Traction

mercredi 8 décembre 2010

Caniveau mit sur une policière courageuse Sihem Souid (un commentaire sur Rue89)

Sihem Souid à la rédaction de Rue89 (Audrey Cerdan/Rue89).

sur rue89

Une policière en colère, surtout contre Jeannette Bougrab

    

Suspendue, Sihem Souid, qui signe « Omerta dans la police », se dit victime d'une « manœuvre » de l'ex-présidente de la Halde.

Vous l'avez forcément vue, lue, entendue. Depuis octobre, Sihem Souid, auteure d'un ouvrage dénonçant la loi du silence et les dérives racistes au sein de la police aux frontières (PAF), est partout.
"L'Omerta dans la police" de Sihem Souid (éd. Le Cherche-Midi).Son livre, « Omerta dans la police », raconte sa mauvaise expérience à la PAF et des mois de lutte pour que les agissements de ses collègues soient sanctionnés : racisme, homophobie, sexisme, etc.


==
Un anonyme commentateur se précipite, en tête de fil, pour déposer son commentaire puant.
Portrait de Caniveau89
18H40 | 08/12/2010 | Permalien
Il faut que cette policière assume : quand on est flic, on ne prend pas des positions politiques en public, comme tous les fonctionnaires !


==Un caniveau pareil - qui se décrit avec justesse - a manqué aux années 40 !
Il faudrait pouvoir lui faire subir le traitement inverse d'Hibernatus et le transplanter rue des Saussaies ou à Radio Paris
Caniveau pue
Caniveau putréfaction
Français le veau
Caniveau est en faction

Caniveau veille
Les révolutions
Il les surveille
Caniveau est en Traction
 
La fonctionnaire était lucide
Et pas peureuse
Sihem Souid
Est Courageuse

 
Cani vomit
Pierre Dac revient
Radio Paris
Refait ses listes

Cani vautour
La bave du chien
Raciste toujours
Est sarkozyste
 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Rue_des_Saussaies
http://fr.wikipedia.org/wiki/Gestapo
http://fr.wikipedia.org/wiki/Radio_Paris



jeudi 21 octobre 2010

A-t-on, OUI OU NON ?, les preuves indiscutables de la présence de provocateurs sarkozystes dans les destructions actuelles imputées aux jeunes ? un commentaire sur RUE89

Un commissaire de police témoigne sur RUE89
Il faut lire cet article et regarder attentivement les vidéos qui l'accompagnent.

Décryptage

Maintien de l'ordre en manif, le décryptage d'un commissaire


Un article très très intéressant mais incomplet sur ce qui fait le coeur du dossier actuel : Y A T-T-IL DES PROVOCATEURS SARKOZYSTES QUI DETRUISENT LES VITRINES ?
OUI OU NON
Interviewer le commissaire Jean-François Herdhuin aurait du avoir comme fonction principale de FAIRE AVANCER CE DOSSIER....
Le reste est intéressante mais secondaire pour l'instant.....

J'ai passé plus d'une heure et demie, cette nuit, à essayer de comprendre la vidéo que l'on voit, ici, publiée de nouveau.

J'ai même - sur la version ralentie qu'on trouve sur Youtube - fait des copies image par image avec mon (freeware) VLC de trois des séquences.
Celle où l'adulte barbu casse la vitrine...
Celle où son "ami" arrive et donne un violent coup de pied au passant qui arrive pour sermonner le premier
Celle où des policiers - DONT CERTAINS SONT SANS BRASSARDS, - déguisés en anarcho-autonomes avec CAPUCHES (et même un qui ne prend même pas la peine d'oter son cache-nez) sont occupés à procéder à des interpellations........ séquence où le "jumeau" du premier barbu provcateur apparait...

On constate, en effet, que le barbu qui casse la vitrine a une étrange ressemblance avec un des policiers que l'on voit dans une des séquences suivantes.
Est-ce le même ?
Quand le commissaire Jean-François Herdhuin  dit
==
Pour moi, l'homme à la matraque, on dirait un policier. Mais je ne suis pas sûr à 100%, car son comportement est anormal, il s'isole dans la foule. Normalement, il devrait avoir un brassard… Parfois, pour ne pas se faire lyncher, les policiers en civil ne le mettent pas. C'est toujours dangereux de pouvoir confondre policiers et manifestants. Le brassard sert à les différencier. Des actions isolées comme celle-là, c'est interdit. (Voir la vidéo)
==
.... on est là au coeur du dossier....
Ce que RUE 89 aurait du faire, c'est interroger le commissaire sur les indices qui justifie son "on dirait que"...... impression troublante que partage le spectateur....
Quels sont les indices ?
Par exemple, la matraque dont il se sert pour menacer les journalistes et les passants semble d'un diamètre inférieur à celle que l'on voit dans les mains des "policiers déguisés en manifestant autonomes" des séquences suivantes.
Il devrait avoir - au moins la réponse à cette question : est-ce un modèle connu ?
Par ailleurs, les techniques de "combat" devraient pouvoir être décryptées...
Enfin (provisoirement) sa gestuelle évoque la psychologie d'un individu gravement perturbé - mélange de comportement empreint de haine, de comportement démonstratif vantard et de technique de combats simulés mal digérées....
Un tel fou furieux - s'il est bel et bien fonctionnaire de police - doit avoir été l'objet d'un signalement antérieur : son attitude aura déjà déclenché des bavures boeuf-carottes...
Par ailleurs, les individus à visage découvert que l'on semble voir "l'exfiltrer" qui sont-ils ?
Le commissaire témoin ne pourrait-il pas suggérer à ses collègues de - éventuellement - nous donner les noms des complices du provocateur présumé et de son complice gesticulant...
Quant au paragraphe suivant :
=
Si vous suggérez que la police laisse commettre des violences, je suis sûr que ce n'est pas possible. Le chef du dispositif est informé. Il y a des syndicats dans la police qui désapprouverait ce genre de choses.
==
Il est absurde et tend à nous faire douter de l'honnêteté intellectuelle de l'interlocuteur.
Le Service d'Odre de feue la Ligue Communiste avait eu l'occasion d'interpeller de tels provocateurs. Avant 1974 et après (devenue LCR)
Des crétins .... ayant oublié de vider leurs poches et interpellés avec leurs .... papiers de policiers....
RUE89 pourrait interroger des Krivine ou de Filoche sur de telles anecdotes..... (dont nous, à la base, n'avions pas connaissance en totalité)

Pour conclure, RUE89 pourrait offrir une RÉCOMPENSE à QUICONQUE pourrait apporter la preuve que SARKOZY envoie des PROVOCATEURS dans la mobilisation actuelle....

Un discours tel que
==
Les provocations datent des années 60, avec des groupes parallèles type SAC [service d'action civique], mais aujourd'hui ça ferait scandale en interne… La manip dans une manif, c'est dangereux pour tout le monde : pour les politiques et pour les manifestants. A part l'extrême droite et l'extrême gauche, je ne vois pas qui a intérêt à faire ce genre de choses.
==
n'est qu'une farce absolue.... Les sbires de Poniatowski et de Marcellin nous servaient les mêmes fariboles pour naïfs abonnés de la Bibliothèque Rose,



lire aussi
dimanche 16 novembre 2008
Lois scélérates, manipulateurs bourgeois, provocateurs policiers, le cas du terroriste Auguste Vaillant.

=
à la recherche, sur Google, du témoignage d'un ancien provocateur, je suis tombé sur une perle...
Sur le site du journal L'Express
http://www.lexpress.fr/informations/mai-68-nouveaux-temoignages_628518.html
Outre le paragraphe mentionnant la présence connue des agents- provocateurs, l'ensemble du témoignage est une ECOLE pour les jeunes de la mobilisation actuelle.
==
Dans la Sorbonne
Vous me citez comme le responsable du service d'ordre de la Sorbonne occupée en Mai 68. Etudiant en histoire à la Sorbonne à cette époque, j'ai effectivement partagé cette responsabilité avec d'autres de mes camarades. Le service d'ordre a été constitué à l'origine par le groupe Unef des étudiants d'histoire et son quartier général se situait dans la bibliothèque Lavisse, escalier C, troisième étage. L'objectif était, au-delà du maintien de l'ordre dans la Sorbonne occupée, de protéger l'outil de travail universitaire, en particulier les nombreuses bibliothèques et centres d'études. (...) M. Bourjac, secrétaire général de l'université, considérait notre action comme solide et efficace; c'est la raison pour laquelle il m'a confié les clefs de la maison et a facilité une collaboration avec le personnel administratif et leurs représentants syndicaux. Nous avons par exemple récupéré le tampon sec permettant d'authentifier les diplômes, que M. Bourjac a mis à l'abri. Quand la Sorbonne fut «libérée» par les forces de police, M. Bourjac a fait effectuer un inventaire et m'a personnellement donné acte que l'ensemble de l'outil de travail n'avait pas souffert des événements. La présence parmi nous d'indicateurs de police et de provocateurs nous était connue. Cela nous a conduit à «réprimer» débordements et trafics divers. Lors d'un début d'incendie dans les combles de la Sorbonne, côté rue des Ecoles, nous avons fait fonctionner un plan d'évacuation et collaboré avec les pompiers. Le commandant de la brigade de pompiers nous a verbalement félicités de notre action et nous a incités à une grande prudence, compte tenu du caractère suspect du sinistre, qui s'est soldé par quelques vieilles copies brûlées. J'ai aussi le souvenir d'avoir saisi du hasch, de l'avoir détruit et d'avoir fait procéder à l'expulsion du dealer hors de la Sorbonne. Nous avons accueilli bon nombre de paumés en tout genre, du pseudo-médecin au gamin en fugue. Nous avons, avec l'aide de médecins, de psys, tenté de faire face à ces situations, y compris, quand c'était nécessaire, en employant la force. Les «Katangais» étaient un mélange de voyous et de chômeurs qui se prétendaient anciens smercenaires au Katanga. Ils s'étaient installés dans une des galeries de la Sorbonne et rançonnaient tous ceux qui s'y aventuraient. (...) Avec le soutien du Comité de coordination des comités étudiants, nous avons décidé de leur expulsion; l'opération a été menée à bien le 14 juin 1968. A cette occasion, l'ensemble de leur «armement» a été saisi - quelques barres de bois, trois ou quatre couteaux et un, un seul, vieux fusil de chasse à canon scié complètement hors d'usage. (...) C. Géraud, Paris.
==
POST SCRIPTUM :
Bien que totalement opposé au Parti de Gauche, que je caractérise conceptuellement comme un parti formois-bourgeois-colonialiste, je republie en complèment de ce texte cet article (signé Jean-Pierre) montrant en action les CASSEURS SARKOZYSTES - provocateurs néo-fascistes

Provocations policières : la preuve par l’exemple!

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violence_policre
Chambéry 19/10/2010, 18h00 avenue De Boigne, des jeunes encagoulés jettent des pierres sur un cordon de robocops (CRS ou gendarmes mobiles). Ça dure un bon moment... Puis trois des ces jeunes, l'instant d'avant les plus hardis à jeter des pierres, remontent un brassard orange sur leur manche droite, foncent sur l'un d'entre eux et l'immobilisent. Remarquable coordination car immédiatement surgissent une dizaine de robocops qui protègent le groupe. Et devant les commerçants médusés on voit trois jeunes encagoulés embarquer un de leurs potes sous la protection des robocops.
Sur la photo jointe, un de ces "brassards oranges", sweat à cagoule gris et bandeau noir, APRÈS l'interpellation ci-dessus racontée.
(Petite parenthèse : Je me trouvais là pour montrer à un petit jeune comment les choses se passent. En gros j'étais un peu dans le rôle du vieux mustang qui montre à un jeune poulain quelle herbe ne pas brouter. Avec un peu d'expérience et les policiers étant si prévisibles, je savais où me mettre pour montrer, en toute sécurité, la fameuse scène à mon jeune protégé. Merci aux policiers d'avoir été fidèles au rendez-vous. Sans quoi la leçon n'aurait pas été complète.).
brassards_oranges
Question de la poule et de l'œuf, ou déduction politique logique : Les mecs en brassard orange, ils entraînent quelques écervelés pour provoquer les violences dont le gouvernement a besoin pour casser la protestation contre une réforme injuste ? Ou sont-ce de gentils policiers "infiltrés" pour arrêter de vilains et bêtes "casseurs" ?
En tous cas, je vous le dis, ces "casseurs", ils tombent chaque fois rudement bien pour arranger les affaires d'un gouvernement désapprouvé par 71% des Français sur ce projet des retraites, mais certainement approuvé par une majorité pour "maintenir l'ordre".
Dernière précision : Ce jour, d'après les syndicats, il y avait près de 4 millions de manifestants, et Nicolas Sarkozy mesure 163cm.
Selon le Ministère de l'Intérieur, il y n'y aurait eu que 825.607 manifestants, et Nicolas Sarkozy mesure 2,03 mètres...


Post Scriptum (27/10/2010) Cette affaire a beaucoup fait buzzé sur le net. On trouve, sur le site "Arrêt su images" un article assez complet sur les deux principales affaires.
enquête le 21/10/2010 par Dan Israel

Policiers casseurs ? Une vidéo fait débat sur le net

Avec les témoignages reproduits du principal intervenant, Bertrand de Quatrebarbes, qui a tenté d'interrompre la casse de la vitrine, de sa fille, Sophie de Quatrebarbes, qui fut la première sur rue89-éco89 à témoigner sous le pseudonyme de Sophie24Barbes",
ainsi que d'un manifestant narrant de quelle façon la fin de la manifestation s'est terminée à l'Opéra avec une possible majorité de flics en civils infiltrés dans les manifestants anarcho-autonomes.

On remarquera, au passage, que depuis une semaine, la quantité de "policiers républicains" ayant participé à la "défense des valeurs républicaines" dans ce cortège et s'étant manifesté pour TÉMOIGNER - même anonymement est proche (égale) au zéro absolu !
On a juste vu apparaitre un "témoignage" chipoteur d'un policier de Chambéry - Olivier Combes - venu faire une remarque sur les chaussures. Sur le même site "Arrêt sur images" dans un autre article :
14h11 ça reste à vérifier
Policier-casseur à Chambéry ?
Par Dan Israel le 25/10/2010

Mise à jour - 27 octobre : Un policier basé à Chambéry, Oliiver Combes, nous envoie un message pour signaler qu'en améliorant la qualité des photographies, il devient clair que les deux personnes prises en photo ne sont pas les mêmes : "On découvre que le casseur, et non le policier comme il est dit dans votre reportage, possède des baskets blanches et non grises. Qu'il a un tee-shirt manches courtes, qui flotte a la base du dos".
... mais on aurait pu espérer que ce policier Olivier Combes vienne nous raconter par le détail son activité professionnelle de la journée, ainsi que celle de ses collègues.
On aurait souhaité qu'il vienne nous expliquer QUI sont les policiers qu'on voit sur la photo, quelle fut leur mission de la journée et les raison pour lesquelles SON COLLÈGUE de la photo (en vue nette) est photographié avec le visage masqué ?



PPS 27/10 13:05 Je viens de poster un message (sur le site Arrêt sur Images) au journaliste auteur des deux dossiers mentionnés, Dan Israël.
à Dan Israël

Bonjour
Je pensais vous signaler publiquement avoir reproduit votre "mise au point" et quelques extraits de votre texte, ainsi que une des photos.
... en post scriptum d'un de mes articles
http://revolisationactu.blogspot.com/2010/10/t-on-oui-ou-non-les-preuves.html
jeudi 21 octobre 2010
A-t-on, OUI OU NON ?, les preuves indiscutables de la présence de provocateurs sarkozystes dans les destructions actuelles imputées aux jeunes ? un commentaire sur RUE89

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en tentant de trouver d'autres éventuels témoignages du policier de Chambéry Olivier Combes en utilisant Google, j'ai fait plusieurs "découvertes" concernant UN AUTRE DOMAINE, celui de votre RÉFÉRENCEMENT.
.... donc.... à transmettre à votre webmaster...

1° Je suis référencé plus rapidement que vous pour les nouvelles pages.... et les rectifications
http://www.google.fr/search?num=100&hl=fr&newwindow=1&safe=off&tbo=1&tbs=qdr%3Aw%2Csbd%3A1&q=%22olivier+combes%22&aq=f&aqi=&aql=&oq=&gs_rfai=

on remarque que la ligne qui apparait a été déposé il y a moins d'une demi-heure, aujourd'hui 27/10

2° Il y a une faute d'orthographe dans l'énoncé de son prénom
http://www.google.fr/search?num=100&hl=fr&newwindow=1&safe=off&tbo=1&tbs=qdr%3Ad&q=site%3A%2F%2Fwww.arretsurimages.net+olivier+combes&aq=f&aqi=&aql=&oq=&gs_rfai=

"Oliiver Combes"
http://www.google.fr/search?num=100&hl=fr&newwindow=1&safe=off&tbo=1&tbs=qdr%3Ad&q=site%3A%2F%2Fwww.arretsurimages.net+Oliiver+Combes%2C&btnG=Rechercher&aq=f&aqi=&aql=&oq=&gs_rfai=

3° Vous auriez un scoop en obtenant ce que dont je signalais l'absence dans son "témoignage" de chipotage sur la couleur des baskets....
en effet......
.... je concluais tout à l'heure , mon post scriptum par :
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... mais on aurait pu espérer que ce policier Olivier Combes vienne nous raconter par le détail son activité professionnelle de la journée, ainsi que celle de ses collègues.
On aurait souhaité qu'il vienne nous expliquer QUI sont les policiers qu'on voit sur la photo, quelle fut leur mission de la journée et les raison pour lesquelles SON COLLÈGUE de la photo (en vue nette) est photographié avec le visage masqué ?
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BRAVO pour VOS DEUX DOSSIERS dont le sérieux documentaire et la clarté du style (et de la mise en page) sont des modèles de ce qu'est le journalisme. Il ne manque plus que la mise en lumière totale des poubelles des classes spoliatrices pour s'inscrire totalement dans la tradition Washington Post
 

jeudi 3 décembre 2009

2000 selon la police, 800 selon la police


A Paris aujourd'hui, il n'est pas si facile de compter …. les manifestants policiers.


"La police dans la rue" (Europe 1)
"En France 5 à 6000" (Europe 1)


Au delà du gag, rappelons aux militants révolutionnaires  anti-capitalistes et aux militants révolisationnaires que la police devra être coupée en trois. N'oubliez pas que certains resterons ennemis du genre humain, d'autres passeront neutres, et le troisième groupe ralliera la révolution anticapitaliste.
Idem pour la révolisation.

Evitez le crétininsme de l'anti-fliquisme primaire n'est pas un préalable, il est une obligation impérative. Idem pour les gendarmes, idem pour les militaires... et même .... au légionnaire (salut à ceux qui y verront une allusion)