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samedi 20 décembre 2014

CIRAf Il faut construire un Comité International de la Révolution Africaine (102 délégués internationaux désignés par 40 millions de CDR, contrôlés par 1 milliard de délégateurs)


par Yanick Toutain
20/12/14


4 délégués mondiaux (DM) pour le gouvernement mondial
102 délégués internationaux (DI) pour participer au CIRAf (Comité International de la Révolution Africaine)
2560 délégués nationaux (DN) pour gérer les Etats africains localement.
64000 délégués députés (DD) (par groupes de 25) pour désigner et contrôler les précédents.
1,6 millions de délégués de conseils (DC) contrôlant les délégués députés

IL FAUT REUNIR 40 MILLIONS DE CDR DE BASE



40 milllions de délégués de base (DB) désignés et contrôlés par 1 milliard de délégateurs (DA) africains.
Ce sont donc 40 millions de CDR de base qu'il faut réunir d'urgence pour chasser les envahisseurs, abolir l'esclavage Bolloré à 50 euros et exporter les biens agricoles, miniers et manufacturés à leur juste prix.
Tout en exportant gratuitement la totalité des Innovations ancestrales et actuelles gratuitement.


Telle est l'école humanocratique que l'Afrique va bientôt offrit à la planète pour sortir de cette barbare démocratie esclavagiste.








texte du 18/11/2014 modifié le 20/12/14

Le CIRAf dirige le continent, les CNR dirigent les pays pour appliquer la volonté du peuple organisé dans des CDR



présentation

Les conseils sont des structures verticales de désignation, de contrôle et de révocation possible.
Les conseils regroupent des délégués en accord sur une plate-forme minimale.
Les conseils ne votent jamais et contrôlent un délégué du niveau supérieur.
Les membres des comités sont aussi, bien évidemment, membres d'un conseil pour choisir leur propre délégué de niveau supérieur.
REVOCATION PAR SIMPLE DEPART
Le moyen pour un participant de révoquer un délégué n'est pas le vote mais le départ du conseil auquel il participait et le choix de construire un autre conseil ou de rejoindre un conseil déjà existant.
Un délégué de base perd donc son pouvoir si l'un des 25 délégateurs quitte le CDR de base qui l'avait désigné.
Les comités dont des structures horizontales d'organisation et de prise de décisions. Ce sont les comités qui gèrent la planète, les continents, les pays, les régions, les villes et les quartiers.
Ce sont les structures législatives et exécutives à tous les échelons.
Les comités regroupent des gens qui sont en désaccord.
Chaque membre d'un comité est sous le contrôle permanent d'un conseil.
Les comités votent en permanence pour prendre des décisions, déterminer les lois institutionnelles, les lois délictuelles et les règles relationnelles entre les citoyens.
Mais les membres de ces comités sont sous le contrôle des membres des conseils.
Les comités dirigent les commissions.
En particulier les commissions militaires qui dirigent les forces d'auto-défense.
Les commissions sont des structures spécialisées regroupant une partie des membres des comités et sont chargées de mettre en œuvre les décisions prises par les comités pléniers.
Chaque comité doit agir dans le respect des décisions prises par le comité de rang supérieur mais avec
1° une certaine autonomie de décision
2° La possibilité de convaincre les membres des conseils de révoquer les membres de ces comités de niveau supérieur.
Il faut noter que les juges, les militaires et plus généralement tous les fonctionnaires bureaucratiques (dont excluant les professions concrètes comme les enseignants, les infirmières etc...) sont des délégués révocables qui ont en dessous d'eux des délégateurs. Chaque fonctionnaire bureaucrate est désigné et surveillé par 3 conseils de rang inférieur.
Il est impossible de devenir fonctionnaire sans avoir des délégateurs qui l'ont désigné comme – au minimum – délégué de base.
Cela implique donc que CHAQUE MILITAIRE actuel doit urgemment former un conseil de délégateurs, un CDR de base, pour le désigner (et le contrôler) en tant que délégué de base.
Sous peine de se retrouver au chômage.
Aucun juge, militaire ou bureaucrate ne peut conserver son statut s'il ne dispose plus du soutien du conseil qui le contrôlait, de celui qui l'avait désigné et de celui qui avait établi la liste dans laquelle il se trouvait. Ou à défaut du soutien d'un autre conseil de rang égal à celui qui avait fait défaut.
Un juge délégué national doit être avoir le soutien de 3 conseils de délégués députés.(représentant donc 1,2 millions de personnes)
Un juge délégué international (l'équivalent chez les esclavagistes de leur Cour suprême) doit avoir le soutien de 3 conseils de délégués nationaux (représentant donc 30 millions de délégateurs)
Si ce quota de 30 millions n'est plus atteint, le juge délégué international TOMBE de niveau et devient juge délégué national.
Un responsable militaire régional (il est un délégué député) doit conserver le soutien de 3 conseils de délégués de conseil.(représentant donc 48000 personnes). Étant entendu que ce responsable militaire comme tous les autres doit exécuter les consignes du comité régional de son lieu d'exercice.
LE C
LE CIRAf
Comité International de la Révolution Africaine
 DIRIGE LE CONTINENT 
LES CNR DIRIGENT LES PAYS POUR APPLIQUER
LA VOLONTÉ DU PEUPLE ORGANISÉ DANS DES CDR

DELEGUE INTERNATIONAL
Le délégué international représente 10 millions de personnes


25 délégués nationaux de plusieurs pays africains qui sont d'accord entre eux désignent un délégué international qui sera membre du COMITÉ INTERNATIONAL DE LA RÉVOLUTION PANAFRICAINE

X délégués nationaux sont membres du COMTE NATIONAL DE LA REVOLUTION (CNR) ILS SONT DONC MEMBRES DU GOUVERNEMENT DU BURKINA FASO ET DEMAIN DE TOUS LES PAYS AFRICAINS ET TERRIENS QUI SUIVRONT CE MODELEX délégués nationaux sont membres du COMTE NATIONAL DE LA REVOLUTION
(CNR) ILS SONT DONC MEMBRES DU    GOUVERNEMENT DU BURKINA FASO ET DEMAIN DE TOUS LES PAYS AFRICAINS ET TERRIENS QUI SUIVRONT CE MODELE
DÉLÉGUÉ NATIONAL
Le délégué national représente 390625 personnes
25*25*25*25


25 délégués députés qui sont d'accord entre eux forment un CONSEIL DE DÉLÉGUÉS DÉPUTÉS de DÉFENSE DE LA RÉVOLUTION (CDD-DR) Ils vont désigner un DÉLÉGUÉ NATIONAL révocable qu'ils vont envoyer au CNR
X délégués députés forment un COMITE REGIONAL de défense de la révolution (CRDR) Ils ne sont pas tous d’opinion identique et VOTENT pour diriger la région
délégué député
Le délégué député représente 15625 personnes
25*25*25


25 délégués de conseils qui sont d'accord entre eux forment un CONSEIL DE DELEGUES DE CONSEILS DE DEFENSE DE LA RÉVOLUTION (CDC-DR) pour désigner ensemble un DELEGUE DEPUTE REVOCABLE qu'ils vont contrôler
X délégués de conseil d'une ville forment un COMTE DE VILLE DE DEFENSE DE LA REVOLUTION (CVDR) Ces délégués ne sont pas tous d'opinion identiques et VOTENT pour diriger la ville
délégué de conseil
Le délégué de conseil représente 625 personnes
25*25


25 délégués de base qui sont d'accord entre eux forment un CONSEIL DE DELEGUES DE BASE DE DEFENSE DE LA REVOLUTION (CDB-DR) vont désigner
ensemble mi DELEGUE DE CONSEIL qu'ils vont contrôler.
X délégués de base d'un quartier forment un COMITE DE QUARTIER DE DEFENSE DE LA REVOLUTION (CQDR) Ces délégués ne sont pas tous d'opinion identiques et VOTENT pour diriger le quartier



Structures verticales de désignation
de contrôle
et de révocation
possible
délégué de base
Le délégué de base représente 25 personnes
Structures horizontales d'organisation
25 DELEGATEURS DESIGNENT LEUR DELEGUE DE BASE (DB)
25 délégateurs se réunissent en un CDR de base Ils forment un Comité de Base de Défense de la Révolution CBDR
(Tout citoyen conscient est délégateur dès son plus jeune âge: pour les plus jeunes, le critère unique est de savoir lire. N importe qui peut s'associer avec 24 autres personnes sans critère de lieu, de profession, (le statut, de revenu etc.... on peut même ajouter de nationalité dans certains cas)

jeudi 28 août 2014

Mai 1968 : les délégués révocables étaient le seul pouvoir légitime L'humanocratie en construction ne s'est pas étendue à toute l'Europe ni l'Afrique

"un Comité d’occupation
 de 15 membres,
révocables
chaque jour par elle."

Un texte absolument passionnant !
Pour tous les activistes luttant pour l'humanocratie, un tel texte est une pépite d'or

Ce fut la seule activité dont le Comité d’occupation se trouva capable pendant la plus grande partie de la journée, encore en était-on redevable à Riesel. En effet, dès la première réunion du Comité, était apparu un stupéfiant contraste entre la fonction qu’il assumait en principe par délégation expresse de l’assemblée générale, et les conditions réelles qui lui étaient faites. Le Comité d’occupation était composé de quinze membres élus et révocables chaque jour par l’assemblée générale, responsables devant elle seule, et chargés d’organiser et maintenir l’occupation de la Sorbonne.
Tous les services improvisés, ou qui devraient être mis en place, pour le fonctionnement et la défense du bâtiment et de ce qui s’y faisait, étaient placés sous son contrôle. Il s’agissait de rendre possible en permanence la discussion libre, et d’assurer et faciliter la continuation des activités en cours – ceci allant de la distribution des salles à l’organisation du ravitaillement ; de la diffusion démocratique, écrite et orale, des informations au maintien de la sécurité. La réalité était tout autre : des bureaucrates U.N.E.F. en faillite, le vieux tandem Kravetz et Peninou resurgi de l’oubli qui l’avait justement englouti, s’étaient glissés dans les couloirs qu’ils connaissaient bien pour s’installer dans quelque cave, d’où ils s’employaient à ressaisir tous les fils du pouvoir réel, à coordonner l’action de toutes sortes de techniciens bénévoles qui se trouvaient être de leurs amis. C’était le cas d’un «Comité de coordination», qui s’était élu lui-même. Le «Comité de liaison inter-facultés» travaillait pour son propre compte. Le service d’ordre, parfaitement autonome, n’obéissait qu’à son chef, brave garçon au demeurant, qui s’était désigné tout seul et entendait ne discuter qu’à partir de cette position de force. Le «Comité de presse», composé de jeunes ou de futurs journalistes, n’était pas à la disposition de la Sorbonne, mais de la presse française dans son ensemble. Quant à la sonorisation, elle était tout simplement tenue par des éléments de droite, mais spécialistes de la radio.
Dans ce contexte surprenant, le Comité d’occupation éprouvait même quelque difficulté à disposer d’une salle : chaque féodalité déjà installée avait des prétentions sur la totalité des locaux. Sans doute découragés, la plupart des membres disparurent pour s’introduire, en désespoir de cause, dans les différents comités subordonnés mais insoumis, parce qu’ils leur reconnaissaient le mérite d’exister. Il apparaissait à l’évidence que les manipulateurs cités plus haut avaient pensé éterniser leur pouvoir en plaçant dans une position décorative de simples potiches le seul comité élu 25. Les manipulateurs devaient être satisfaits du résultat de leurs manoeuvres pour la journée du 15 car, à l’assemblée générale qui se réunit le soir, ils proposèrent la reconduction en bloc, pour vingt-quatre heures, du fantomatique Comité d’occupation. Les huit membres du «Comité de coordination» furent aussi confirmés, comme simples auxiliaires du Comité d’occupation. Déjà fort des mécanismes pratiques qu’il avait en main, le Comité de coordination pensa achever sa prise du pouvoir en signifiant directement au Comité d’occupation qu’il n’existait plus. Presque tous les membres de ce dernier, qui venaient justement de réapparaître pour s’entendre réélire par l’assemblée générale, pour le coup se résignèrent à se disperser. Seuls deux membres du Comité d’occupation allèrent en appeler à la base, en dénonçant la manière scandaleuse dont le pouvoir de l’assemblée générale était bafoué. Riesel s’adressa, dans la cour, aux occupants, pour les ramener dans l’assemblée générale, afin qu’elle tranche entre les bureaucrates et ses délégués. Quelques minutes après, la tribune était envahie, et les bureaucrates sommés de s’expliquer publiquement. En butte à l’indignation générale, ils se rétractèrent honteusement. Ce qui restait du Comité d’occupation, appuyé par les éléments qui s’étaient tout de suite ralliés à lui, commença d’exister réellement.
25 Quelque temps après, Peninou consterné ne se gênait pas pour exhaler ses plaintes devant témoin : «On était tous d’accord, gémissait-il, pour qu’aucun groupe ne participe au Comité d’occupation. On avait l’accord de la F.E.R., de la J.C.R., des “Chinois”, etc. On avait oublié les situationnistes !»
Pendant la même journée du 15, les ouvriers de l’usine Renault de Cléon, en Seine-Maritime, se mettaient en grève et décidaient d’occuper leur usine, en y enfermant eux aussi les directeurs. Les usines Lockheed à Beauvais et Unulec à Orléans débrayèrent aussi. À la fin de la soirée, deux ou trois cents personnes se portèrent sur l’«Odéon-Théâtre de France» à l’heure de la sortie des spectateurs, et s’y installèrent comme occupants. Si le contenu de cette «libération» resta toujours limité – dominé par les gens et les problèmes de la culture – le fait même de s’emparer d’un bâtiment extérieur à tout alibi universitaire n’en signifiait pas moins un élargissement du mouvement : c’était une mise en scène bouffonne de la décomposition du pouvoir étatique. Dans la nuit qui suivit, les plus belles inscriptions de l’époque surgirent partout dans la Sorbonne.
Fenêtres de la salle Jules-Bonnot, côté rue de la Sorbonne
Au matin du 16 mai, l’occupation de Renault-Cléon fut connue, et une partie des travailleurs des «Nouvelles Messageries de la Presse parisienne» commencèrent, eux aussi, une grève sauvage, en essayant de bloquer la distribution des journaux. Le Comité d’occupation de la Sorbonne, qui siégeait dans la salle Jules Bonnot (anciennement Cavaillès) lança à 15 heures le communiqué suivant :
«Camarades, l’usine Sud-Aviation de Nantes étant occupée depuis deux jours par les ouvriers et les étudiants de cette ville ; le mouvement s’étendant aujourd’hui à plusieurs usines (N.M.P.P.-Paris, Renault-Cléon, etc.) le Comité d’occupation de la Sorbonne appelle à l’occupation immédiate de toutes les usines en France et à la formation de Conseils ouvriers. Camarades, diffusez et reproduisez au plus vite cet appel.»
L'appel à l'occupation des usines, fac-similé de l'original
Le Comité d’occupation, comme on l’a dit, se trouvait dépourvu de tout moyen matériel pour exercer la moindre activité. Pour diffuser son appel, il se mit donc en devoir de ressaisir ces moyens.
Il pouvait compter sur l’appui des Enragés, des situationnistes, et d’une quinzaine d’autres révolutionnaires. Des fenêtres de la salle Jules Bonnot, on demanda dans la cour, au moyen d’un mégaphone, des volontaires, qui se présentèrent nombreux. Ils recopièrent le texte qui n’était pas encore tiré, et allèrent le lire dans tous les amphithéâtres, et dans les autres facultés. Le tirage étant volontairement ralenti par les services du C.L.I.F., le Comité d’occupation dut réquisitionner des machines pour l’impression, et organisa son propre service de diffusion.
(...)
page 196

extrait de CONSEIL POUR LE MAINTIEN DES OCCUPATIONS Paris, le 19 mai 1968

Le seul pouvoir dans la Sorbonne était l’assemblée générale de ses occupants. À sa première séance, le 14 mai, elle avait élu, dans une certaine confusion, un Comité d’occupation de 15 membres, révocables chaque jour par elle. Un seul d’entre ces délégués, appartenant au groupe des Enragés de Nanterre et Paris, avait exposé un programme : défense de la démocratie directe dans la Sorbonne, et pouvoir absolu des conseils ouvriers comme but final. L’assemblée générale du lendemain reconduisit en bloc son Comité d’occupation, lequel n’avait jusqu’alors rien pu faire. En effet, tous les organismes techniques qui s’étaient installés dans la Sorbonne suivaient les directives d’un occulte Comité, dit «de coordination», composé d’organisateurs bénévoles et lourdement modérateurs, ne rendant de comptes à personne. Une heure après la reconduction du Comité d’occupation, un des «coordinateurs» essayait en privé de le déclarer dissous. Un appel direct à la base, fait dans la cour de la Sorbonne, entraînait un mouvement de protestation qui obligea le manipulateur à se rétracter. Le lendemain, jeudi 16, treize membres du Comité d’occupation ayant disparu, deux camarades seulement, dont le membre du groupe des Enragés, se trouvaient investis de la seule délégation de pouvoir consentie par l’assemblée générale, alors que la gravité de l’heure imposait des décisions immédiates : la démocratie était bafouée à tout moment dans la Sorbonne, et à l’extérieur les occupations d’usines s’étendaient. Le Comité d’occupation, regroupant autour de lui tout ce qu’il pouvait réunir d’occupants de la Sorbonne décidés à y maintenir la démocratie, lançait à quinze heures un appel à «l’occupation de toutes les usines en France et à la formation de conseils ouvriers». Pour obtenir la diffusion de cet appel, le Comité d’occupation dut en même temps rétablir le fonctionnement démocratique de la Sorbonne.
Il dut faire occuper, ou recréer parallèlement, tous les services qui étaient en principe sous son autorité : haut-parleur central, impression, liaison inter-facultés, service d’ordre. Il méprisa les criailleries des porte-parole de divers groupes politiques (J.C.R., maoïstes, etc.) en rappelant qu’il n’était responsable que devant l’assemblée générale. Il entendait rendre compte le soir même, mais la première marche sur Renault-Billancourt (dont on avait appris entre-temps l’occupation), unanimement décidée par les occupants de la Sorbonne, reporta la réunion de l’assemblée au lendemain, à quatorze heures. Dans la nuit, pendant que des milliers de camarades étaient à Billancourt, des inconnus improvisèrent une assemblée générale, qui se dispersa d’elle-même quand le Comité d’occupation, ayant appris son existence, lui eût envoyé deux délégués pour en rappeler le caractère illégitime. Le vendredi 17, à quatorze heures, l’assemblée régulière vit son estrade longuement occupée par un service d’ordre factice, appartenant à la F.E.R., et dut en outre s’interrompre pour la deuxième marche sur Billancourt, à dix-sept heures. Le soir même, à vingt et une heures, le Comité d’occupation put enfin rendre compte de ses activités. Il ne put en aucune manière obtenir que soit discuté et mis aux voix son rapport d’activité, et notamment son appel sur l’occupation des usines, que l’assemblée ne prit pas la responsabilité de désavouer, et pas davantage d’approuver. Devant une telle carence, le Comité d’occupation ne pouvait que se retirer. L’assemblée se montra tout aussi incapable de protester contre un nouvel envahissement de la tribune par les troupes de la F.E.R., dont le putsch semblait viser l’alliance provisoire des bureaucrates J.C.R. et U.N.E.F. Les partisans de la démocratie directe constataient, et ont fait savoir sur-le-champ, qu’ils n’avaient plus rien à faire à la Sorbonne. C’est au moment même où l’exemple de l’occupation commence à être suivi dans les usines qu’il s’effondre à la Sorbonne.
Ceci est d’autant plus grave que les ouvriers ont contre eux une bureaucratie infiniment plus solide que celle des amateurs étudiants ou gauchistes. En outre les bureaucrates gauchistes, faisant le jeu de la C.G.T. pour se faire reconnaître là une petite existence en marge, séparent abstraitement des ouvriers les étudiants qui «n’ont pas à leur donner de leçon». Mais en fait les étudiants ont déjà donné une leçon aux ouvriers : justement en occupant la Sorbonne, et en faisant exister un court moment une discussion réellement démocratique. Tous les bureaucrates nous disent démagogiquement que la classe ouvrière est majeure, pour cacher qu’elle est enchaînée, d’abord par eux (présentement, ou bien dans leurs espérances, selon le sigle). Ils opposent leur sérieux mensonger à «la fête» dans la Sorbonne, mais c’est précisément cette fête qui portait en elle le seul sérieux : la critique radicale des conditions dominantes. La lutte étudiante est maintenant dépassée. Plus encore dépassées sont toutes les directions bureaucratiques de rechange qui croient habile de feindre le respect pour les staliniens, en ce moment où la C.G.T. et le parti dit communiste tremblent. L’issue de la crise actuelle est entre les mains des travailleurs eux-mêmes, s’ils parviennent à réaliser dans l’occupation de leurs usines ce que l’occupation universitaire a pu seulement esquisser. Les camarades qui ont appuyé le premier Comité d’occupation de la Sorbonne : le «Comité Enragés-Internationale situationniste», un certain nombre de travailleurs, et quelques étudiants, ont constitué un Conseil pour le maintien des occupations : le maintien des occupations ne se concevant évidemment que par leur extension, quantitative et qualitative; qui ne devra épargner aucun des régimes existants.
CONSEIL POUR LE MAINTIEN DES OCCUPATIONS Paris, le 19 mai 1968

DOCUMENTS EXTRAITS DE
COMPILATION MAI 68

samedi 14 juin 2014

Révocabilité : Édouard Philippe refuse. Il dénonce « la dictature du temps présent et l'instantanéité de « qu'est-ce que vont dire les gens si je prends une décision » (Journées du Havre du Nouvel Observateur)

par Yanick Toutain


J'avais publié hier sur L'Havrais Vérité le texte entier :

Ma question à Jean-Marie Le Guen et Edouard Philippe : "Au Havre la révolution est commencée, les citoyens aspirent à désigner des délégués révocables à tout moment "(Journées du Havre Nouvel Observateur)


LE THÈME  :Peut-on encore réformer l’action publique en France ?

Jean-marie le Guen,
secrétaire d’Etat chargé des Relations avec le Parlement
Pierre Mongin, président-directeur général de la RATP
Edouard Philippe, maire du Havre
Débat modéré par SylvanN Courage, le Nouvel observateur

Question à laquelle le maire du Havre avait répondu ensuite. Voici le texte de sa réponse et mes commentaires.

LE TEXTE DE LA RÉPONSE D'EDOUARD PHILIPPE
« Sur les changements des institutions, je suis trop attaché à la démocratie représentative c'est probablement mes limites pour aller jusqu'à la révocabilité immédiate. Je pense qu'on a besoin de temps et la dictature du temps présent et l'instantanéité de « qu'est-ce que vont dire les gens si je prends une décision » n'est pas la bonne solution aujourd'hui. Je suis pas trop pour votre système mais ça ne vous surprendra pas mais donnez quand même tout à l'heure le nom de votre blog, car je suis toujours prêt à réfléchir »

CETTE REPONSE EST INACCEPTABLE !

Je remarque qu'il n'y a aucune réponse sur sa non élection (on n'est pas élu avec 23% des électeurs d'une ville, cela n'a aucun sens)
Il n'y a aucune réponse sur la division par 2 du score de la droite en 2 mois (passant de 23% à 11% des inscrits)
Aucune réponse sur la division par 4 de son score UMP en deux mois (passant de 23% à ...5%)
Une liste UMP dirigé par un délinquant menteur – Jérôme Lavrilleux – menteur patenté tentant de protégé son mentor Copé avec des mensonges délirants et son patron Sarkozy avec des élucubrations que seuls des juges voyous accepteront comme motifs de ne pas l'envoyer direct au gnouff !

LA "DICTATURE DU TEMPS PRÉSENT"
C'EST LA VOLONTÉ DU PEUPLE

Le fait que le maire appelle « dictature du temps présent » ce qui est la volonté des boycotteurs actuels écœurés par un système de corruption généralisée dans lequel le propre dirigeant s'exhibait corrompu par le Premier Esclavagiste de France à Malte ;

EDOUARD PHILIPPE REFUSE D'OBÉIR AU PEUPLE

Une telle réponse est de l'ordre du caprice !
Si les Havrais décidaient de révoquer Édouard Philippe, ce serait LEUR CHOIX !
Il n'a pas à utiliser le mot dictature pour ce qui est le choix.du peuple...


GÉRER DANS LA DURÉE, CELA SE MÉRITE !

Après la révolution des dirigeants seront désignés par 25 personnes et deviendront délégués de base. Ils trouveront le soutien de 625 personnes et seront choisis comme délégués de conseil, puis comme délégués députés s'ils sont soutenus par 15625 personnes (et contrôlés par 25 délégués de conseil)
Certains parmi eux (4%) seront considérés comme tellement performants (en productivité historique) qu'ils seront désignés comme délégués nationaux pour représenter 25²² personnes (près de 400 000) et qu'ils seront les ministres des futurs gouvernements révocables. Ce seront leurs projets qui les rendront indéboulonnables. Pas un trucage des règles par un De Gaulle héritier du Thiers en tant qu'assassin de la révocabilité.

DES DÉLÉGUÉS RÉVOCABLES POUR INCULPER
 SARKOZY, HOLLANDE ET BOLLORÉ

Si les Havrais choisissent un Edouard Philippe au lieu de désigner des gens honnêtes réclamant l'inculpation immédiate de Sarkozy, Copé, Lavrilleux et toute la clique des corrupteurs c'est parce que les médias sont contrôlés par la strate des Parasites.
Et, surtout, parce que les juges n'ont pas encore mis en prison ceux qui bafouent les lois actuelles.
Un Sarkozy qui s'affichait à Malte aurait du être envoyé en prison instantanément pour corruption.
Une corruption dont le but était de protéger les plantations esclavagistes de Bolloré : payer 50 euros par mois 10 000 planteurs d'huile de palme à Kienké au Cameroun, cela méritait de protéger Paul Biya le dictateur constipé éternel. Et cela méritait de prépositionner en permanence l'armée française en Afrique.
Cela méritait de financer Ansar Eddine et MNLA, de financer Iyad Ag Ghali comme vient de le faire François Holllande.
Il est sur que celui-là en finançant le terrorisme islamofasciste au Mali il refuse la dictature du temps présent et l'instantanéité de « qu'est-ce que vont dire les gens si je prends une décision » 

LA RÉVOLUTION VIENDRA REMETTRE LES PENDULES A L'HEURE


COMPLEMENT
LIRE AUSSI SUR 

Avec Coté Rouen Le Havre Infos

Le HavreCrise à l'UMP : Edouard Philippe réclame la lumière sur les sommes disparues

Interrogé par les chaînes nationales sur la sortie de crise de l'UMP, après les révélations de l'affaire Bygmalion, le député-maire du Havre Edouard Philippe prône la transparence.

Dernière mise à jour : 10/06/2014 à 16:05
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Edouard Philippe pense que le pouvoir doit être redonné aux militants, dans le choix du nouveau président de l'UMP (©E. Houry).
Edouard Philippe pense que le pouvoir doit être redonné aux militants, dans le choix du nouveau président de l'UMP. (©E. Houry)
Le député-maire du Havre, Édouard Philippe, a été interviewé par LCI, sur le possible retour de Nicolas Sarkozy à la présidence de l’UMP. Un retour ardemment souhaité et plébiscité par Brice Hortefeux, l’actuel vice-président de l’UMP.

Gestion de crise de l’UMP

Le président de l’UMP, Jean-François Coppé, a annoncé qu’il comptait donner sa démission au 15 juin 2014, après les révélations de l’affaire Bygmalion dans laquelle le tout nouveau député européen de Seine-Maritime, Jérôme Lavrilleux, serait impliqué. L’UMP est en crise. Et il lui faut trouver rapidement une solution temporaire, jusqu’à l’élection d’un tout nouveau président, lors d’un prochain congrès annoncé en octobre prochain.
Édouard Philippe, un proche d’Alain Juppé, est pressenti pour assurer l’intérim, en qualité de sectétaire général, à l’intérieur d’un collège qui pourrait réunir deux autres secrétaires généraux, Valérie Pécresse (Filloniste) et Luc Chatel (Copéiste).

Un possible retour ?

C’est dans ce contexte que le député-maire du Havre était interviewé par plusieurs chaînes nationales pour donner son avis sur un possible retour de l’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy, à la tête de l’UMP.
 
Ce retour est possible. Il lui suffit de le dire et de se présenter à l’élection d’octobre prochain », a répondu le député-maire aux journalistes de LCI. « Nous sommes dans une famille politique qui traverse une crise grave. Il est donc important que les militants reprennent le pouvoir. De fait, personne ne s’impose à l‘UMP. »
 

« Toute la lumière doit être faite »

Et le député-maire d’étayer son propos, en faisant le rappel de l’affaire Bygmalion :  « 11 millions d’euros de dépenses liées à la campagne de Nicolas Sarkozy ont été ventilées sur d’autres opérations », selon les récents aveux de Jérôme Lavrilleux.
 
L’UMP traverse une crise majeure, une crise judiciaire. Il faut faire la lumière sur toute cette affaire. Ce sont des sommes importantes qui ont été détournées. Il faut dire la vérité aux militants et je tiens à ce que la nouvelle équipe puisse la leur dire », a déclaré le maire du Havre.
 
Cet échange avait lieu à quelques jours de la tenue du bureau politique de l’UMP, programmé ce mardi 10 juin, en fin de journée. Un bureau qui tente le tout pour trouver rapidement une sortie de crise.

lundi 24 mars 2014

L'Havrais Vérité: BOYCOTT REVOLUTIONNAIRE ! juges à vendre ! Hollande DEGAGE !

L'Havrais Vérité Ce tract a été distribué à 1000 exemplaires au Havre de 10h30 à 19h : dans les quartiers de Caucriauville, de MontGaillard (censure empêchant l'accès à la galerie marchande par la milice d'Auchan cf la vidéo), du Rond-Point, de la gare et de l'Hôtel de Ville.
Le verso donnait les paroles de la chanson La BRUTE SOUTIENT LA BRUTE, un Youtube publié en 2008 et dénoncant les ENSEIGNANTES AGRESSEUSES d'enfants et leurs protecteurs de l'inspection académique de Rouen et du Rectorat !

EXCELLENT ACCUEIL. LE HAVRE EST PRES POUR LA REVOLUTION !
BOYCOTT REVOLUTIONNAIRE
JUGES A VENDRE ! DEMANDEZ GILBERT AZIBERT !
PRIX MODIQUE ! MARCHE A SUIVRE : SARKOZY

HOLLANDE DÉGAGE !!!
SARKOZY CORROMPU PAR KADHAFI a ACHETE GILBERT AZIBERT MAGISTRAT DE LA COUR DE CASSATION !
HOLLANDE A VERSE 20 MILLIONS à Iyad Ag Ghali CHEF DES ISLAMISTES COUPEURS DE MAINS DU MALI
RÉVOLUTION FRANÇAISE 2014
A BAS LA DÉMOCRATIE DES ESCLAVAGISTES !
A BAS L’ÉTAT VOYOU !
POLITICIENS POURRIS DÉGAGENT
Un procureur voyou délinquant Francis Nachbar réclame 6 mois de prison pour les syndicalistes CGT du Havre.
Un fasciste laissé en place par Hollande pour mater les représentants du peuple !
Caucriauville Varlin
Rufenacht pendant 6 ans protège deux enseignantes agresseuses d'enfants
avec l'inspection Académique et le Rectorat
FORMEZ DES GROUPES DE 25
25 POUR 1 délégué de base
Désignez vos délégués révocables ! Formez des groupes de 25 !
Rédigez vos cahiers de revendication ! Un délégué de base pour 25 !
25 délégués de base = 1 délégué de conseil,25 délégués de base = 1 délégué de conseil,
25 délégués de conseil = 1 délégué-député, 25 délégués députés = 1 délégué national pour gouverner
25 délégués nationaux= 1 délégué international
Et pendant ce temps, les pollueurs criminels écologiques aggravent le couvercle carbone de milliards de tonnes au-dessus de nos têtes en détruisant notre Terre !
UNITÉ
CONTRE LES BARBARES
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dimanche 23 février 2014

Excellent accueil chez les jeunes dockers CGT vendredi matin: Ils sont prêts pour le Hollande DEGAGE, pour les délégués révocables et pour la révolution anticapitaliste

dimanche 23 février 2014

Excellent accueil chez les jeunes dockers CGT vendredi matin: Ils sont prêts pour le Hollande DEGAGE, pour les délégués révocables et pour la révolution anticapitaliste

Je suis allée à la manifestation de vendredi 21 février devant le Palais de Justice du Havre.
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Avec 300 tracts (coût : 30€ merci pour les donateurs éventuels), je suis allé distribuer dans la manifestation appelée par la CGT locale avec la présence de quelques rares militants de SUD, de FO etc... Je n'ai vu personne de la CNT....
Un accueil débonnaire chez les quinqa-sexagénaires qui formaient la plus grosse masse des 1000 premiers arrivés.
Absolument aucune réaction évoquant le crétinisme archéo-stalinien de certains en 2010. Il semble que l'eau soit passée sous les ponts !
Mais surtout, lorsque ce sont les milliers de dockers en grève qui ont fait irruption sur la place, le climat a totalement changé : des jeunes de 18, 25, 30 ans ! Ils sont prêts à en finir avec la POURRITURE SARKOZYSTE, il SONT PRETS A EN FINIR AVEC LA POURRITURE HOLLANDISTE !

HOLLANDE UN PRESIDENT VOYOU 
QUI FINANCE SECRETEMENT LES TERRORISTES AU MALI


Lorsque je leur ai expliqué l'imposture africaine : les salaires de Bolloré 1/20° du SMIC, les MILLIONS de MORTS PAR AN, lorsqu'il ont entendu la révélation du CRIME DE HOLLANDE qui finance le terrorisme islamofascisme au Mali, qui finance ceux qui ont tué les 82 MILITAIRES MALIENS en janvier 2012, ils ont confirmation de ce qu'ils pensaient déjà : LA POURRITURE TOTALE de l'ETAT VOYOU et de ses REPRESENTANTS Hollande, Valls, Le Drian etc...

PLUS DE 50 JEUNES DOCKERS SONT D'ACCORD :
IL FAUT METTRE EN PLACE LES GROUPES DE 25
et DESIGNER DES DELEGUES DE BASE

50, c'est , au minimum, le nombre de ceux qui manifestaient leur accord , oralement, dans des discussions qui durèrent un total de 3 heures par petits groupes de 5 à 10.... Ces jeunes dockers ne savaient pas encore quel allait être le réquisitoire du procureur Nachbar contre les dirigeants de la CGT du Havre 6 MOIS DE PRISON FERME RECLAMES CONTRE DEUX SYNDICALISTES !
Il est temps de rappeler à tous ces gens qu'ils répondront du CRIME DE COMPLICITE DE CRIME ESCLAVAGISTE .... DEVANT NOS JUGES REVOLUTIONNAIRES




21/02/2014

HONTEUX ET SCANDALEUX, c'est certain, la CGT n'en restera pas là !!

Aujourd'hui avait lieu, au tribunal du Havre, ce matin, l'audience concernant nos 4 camarades, Reynald, Jacques, Pierre et Dominique, suite aux actions des retraites et du conflit de SPB. Soutenus, par près de 3.000 militants et syndiqués (dont des militants de FSU, Solidaires, FO et ligues des droits de l'homme), devant le tribunal, le procureur, sur la deuxième affaire n'a pas hésiter, il a requis une condamnation à 6 mois ferme pour Reynald et Jacques pour des bousculades lors du conflit, purement scandaleux, pire que tueurs de la Route voire délinquant sexuels ! Les jugements seront rendus le 31 mars, comme par hasard (juste après les municipales...). La CGT n'en restera pas là, la justice en fait une affaire politique, avec, sans doute, l'aval des politiques c'est une certitude ! Des actions et autres verront le jour d'ici le 31 mars ! Ci-dessous, le message de Soutien de Pierre Laurent (Secrétaire PCF).
Touchez à un militant de la CGT,
c'est toucher à la CGT, ON LACHE RIEN, ON LES AURA...
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Message de soutien de Pierre Laurent à Reynal Kubecki et Jacques Richer

le 21 février, Tous au Havre, dans la rue, contre la discrimination syndicale, en soutien aux camarades réprimés !

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Après les cinq de Roanne, c'est au tour des  secrétaires généraux de l'UL, et d'autres camarades, d'être jugés comme des criminels ou délinquants sexuels ! Le 21 février, la justice rendra ses jugements au Havre. Les cinq de Roanne, hier, maintenant Reynald, Jacques, Pierre et DominiqueCA SUFFIT !!!
Le 21 février, Tous Ensemble
8h30 au TGI du Havre (bld de Strasbourg)  
pour le respect des libertés syndicales.
pas criminels.jpg
 La priorité des priorités c'est d'être nombreux avec drapeaux, portes voix,sirènes,tambours,...Il faut faire le maximum de bruit, la pression doit-être maximum pour accompagner nos camarades

Quémandeurs et bagarreurs à Notre Dame des Landes. Les 2 impasses contre la Délégation Générale Révocable DGR

http://www.mediapart.fr/journal/france/230214/manifestation-dampleur-contre-notre-dame-des-landes-violences-en-fin-de-cortege?onglet=commentaires#comment-4481456

Quémandeurs et bagarreurs à Notre Dame des Landes. Les 2 impasses contre la DGR

Les premiers vont voir "not' bon roi" le chapeau à la main, les seconds, bons pantins des agents provocateurs de Manuel Valls - le porte-voix de la clique Dieudonné-Ayoub-Soral-AubeDorée - vont détruire le mobilier urbain comme symbolique étrangère de l'abolition du capitalisme et de la Riba...
Les deux groupes sont les deux faces de la même (fausse) pièce réformiste.
Il suffisait de former 2400 groupes de 25 personnes et d'appeler les Français à agir de même et ce soir... HOLLANDE FAISAIT SES BAGAGES !
Il suffisait de désigner 2400 délégués de base, 96 délégués de conseil, pour avoir quasiment QUATRE DELEGUES DEPUTES REVOCABLES et ABATTRE LA DEMOCRATIE !
C'est ce que disent mes deux commentaires sur Mediapart
Le premier portait sur l'aspect policier des violences commises. Le second sur le responsabilités politiques de ceux qui excitent la colère des jeunes sans jamais offrir la VRAIE SOLUTION : prendre le pouvoir. Abolir la démocratie :
Il y a 2 types de réponse à votre débat. et DEUX responsables disctincs.
1° L'analyse "militaro-policière" . En réponse à votre
"Est-ce aux organisateurs de canaliser les éléments venus éventuellement de l'extérieur pour en découdre "
Voici ma réponse : il y une quinzaine d'années, au Havre, deux meurtres racistes des fascistes locaux avaient été le déclencheur de plusieurs manifestations. L'une d'entre elle arriva à l'Hôtel de Ville. Plusieurs anciens LCR improvisèrent alors et reprirent les BONNES VIEILLES HABITUDES.... un SO dont la PRINCIPALE FONCTION n'était pas de PROTEGER la manif d'une éventuelle attaque du cordon de policier qui bloquaient l'entrée du batiment..... MAIS BIEN PLUTOT un CORDON SANITAIRE tourné VERS LES MANIFESTANTS et visant à DISSUADER les PLUS EXCITES à s'en prendre aux policiers.
Le SO de la LC et de la LCR ont fait plein de fois des trucs similaires... Y compris attaquer des saboteurs/provocateurs à Paris (je n'y étais pas , on m'a raconté.... mon "maitre es trotskysme" en 1973, au début de mon militantisme, était le chef du SO de la ligue communiste de Rouen, feu Jacques Truong)
UN SERVICE D'ORDRE AGIT CONTRE LES ATTAQUES DE L'EXTERIEUR ET CONTRE LES PROVOCATIONS ET SABOTAGES VENANT DE L'INTERIEUR ! 

NOUVEAU23/02/2014, 16:11 | PAR YANICK TOUTAIN EN RÉPONSE AU COMMENTAIRE DE DOMINIQUE C LE 23/02/2014 À 11:57
Sur la fin et les Blacks BLocs, je suis d'accord MAIS....... ils sont les "sots suivants".....
Leur irresponsabilité est le fille de l'irresponsabilité des organisateurs irresponsables !
Ceux-ci roulent INCONSCIEMMENT pour la DEMOCRATIE !
Ils vont voir le roi en lui montrant leur nombre.... AU LIEU DE PRENDRE LE POUVOIR !
Et ils s'étonnent de rencontrer des blanquistes irresponsables sur leur chemin !!!
LA SEULE SOLUTION c'est la DELEGATION !
Si les organisateurs n'étaient pas les valets secrets de la DEMOCRATIE ESCLAVAGISTES  .... ON AURAIT CET APRES-MIDI QUATRE DELEGUES DEPUTES représentant 60 000 PERSONNES.
On aurait 4 délégués députés révocables !
Et ces 4 là auraient appelé TOUS LES FRANCAIS A FORMER DES GROUPES DE 25 !
Moi, quand je croise des "excités" et que je leur explique que TRANQUILLEMENT, SANS VIOLENCE,  NOUS ALLONS PRENDRE LE POUVOIR....... ils sont TRES TRES TRES rares les "excités" qui me répondent qu'ils PREFERENT LA BAGARRE !!!

Je débattais tout à l'heure , pendant 3/4 d'heure avec 3 SDF avec leur chien.... Ils ont pris mon tract. Ils OK pour le système des délégués révocables.... NOUS NOUS REVERRONS !!!
ET LA REVOLUTION EST POUR BIENTÔT !!

Notre Dame des Landes: Les "sourds" finiront en prison, quand les délégués révocables du peuple les y mettront !

blog Yanick Toutain sur Mediapart Notre Dame des Landes: Les "sourds" finiront en prison, quand les délégués révocables du peuple les y mettront !

En réponse à un commentaire au sujet de la manifestation de Notre Dame des Landes
Qui reste sourd à l'opposition à un projet stupide pour le seul profit d'une poignée d'oligarques?
Je viens de répondre que le pouvoir se prend. Il ne se quémande pas. Et il est absurde de demander au tyran qu'il adapte telle ou telle mesure ! HOLLANDE DEGAGE !
NOUVEAU23/02/2014, 15:39 | PAR YANICK TOUTAIN EN RÉPONSE AU COMMENTAIRE DE VICTORINOX LE 23/02/2014 À 11:18
La notion de "rester sourd" à est une notion archaïque qui est liée à la persistance d'un modèle obsolète (et esclavagiste) : la démocratie.
Abolir le pouvoir du démos, des propriétaires d'esclaves (et de la bancocratie qui vit en symbiose avec - cf Nicolet & la classe des Chevaliers-banquiers de la Rome Antique qui finançaient les guerres esclavagistes), c'est rendre le pouvoir au peuple. Et la surdité de certains n'aura plus d'influence sur nos destins : les SOURDS SERONT REVOQUES dans la minute.
Si 60 000 personnes veulent la même chose
23 FÉVRIER 2014 |  PAR LA RÉDACTION DE MEDIAPART
La manifestation samedi contre l’aéroport Notre-Dame-des-Landes a rassemblé entre 50 et 60 000 personnes, 

Si elles ont une volonté à exprimer qu'elles forment 2400 de 25 personnes pour désigner 2400 délégués de base (qu'elles pourront révoquer à TOUT MOMENT)
Ces 2400 délégués de base pourront choisir 96 délégués de conseil en formant 96 conseils de délégués de base. 
En allant chercher quelques personnes de plus, on peut former 4 GROUPES de 25 DELEGUES DE CONSEIL et donc désigner 4 DELEGUES DEPUTES REVOCABLES !!

C'est cela qu'il fallait faire !
Marcher ou se bagarrer était AUSSI INUTILE..... LA SEULE CHOSE IMPORTANTE consistait à DESIGNER QUATRE DELEGUES DEPUTES REVOCABLES !! 
Et les SOURDS finiront en PRISON !