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vendredi 11 février 2011

Effondrement du parti stalino-fasciste NPA ! Après un an de sabotage en faveur de Sarkozy, il doit payer la note politique ! Un commentaire sur Orange :"Sabotage 2010 des mouvements sociaux par le NPA !"

Je poste un commentaire (aussitôt affiché ) sur le site Orange.
Au moins ici, le stalino-fasciste Thierry CSP de Toulouse ne fait pas la loi et ne dispose pas d'un "Yann Guégan" pour effacer ce qui ne plait pas à Olivier Besancenot !

Au  premier jour du congrès des clowns stalino-menchéviks, le désastre est proche !

Pour ceux qui voudraient suivre:
Le NPA en congrès :
le congrès national en textes et en vidéos...
le congrès départemental en photos !

Le NPA face à l'hémorragie des militants

Olivier Besancenot, porte-parole du NPA, a estimé vendredi que son parti avait été ramené à ce qu'il "pèse réellement" après le départ de plus du tiers, voire de la moitié de ses militants, depuis sa fondation en février 2009.


Photographe : Joel Saget :: Olivier Besancenot le 11 février 2011, lors du congrès du NPAphoto : Joel Saget, AFP
Revenant sur l'hémorragie d'adhérents (entre 3 et 4.500 départs sur les 9 à 10.000 personnes recensées au départ), M. Besancenot a reconnu, devant des journalistes, que le NPA a "connu une crise existentielle": "on a été ramené à ce qu'on pèse réellement". "On apprend en marchant" mais "on a gagné en maturité", a-t-il estimé, tout en paraphrasant le groupe de rap NTM : "on est encore là!"
Lors du congrès qui se tient jusqu'à dimanche à Montreuil, les délégués devront par ailleurs avancer sur la piste de nouveaux porte-parole pour seconder M. Besancenot, seul représentant médiatique du NPA.
Un mandat devrait être donné à la nouvelle direction élue dimanche, afin de désigner "un homme et une femme" pour occuper la fonction, lors du prochain conseil politique national (parlement) du parti en mars.
M. Besancenot refuse de dire s'il sera ou non encore porte-parole: "je ne vais pas me retirer sur l'île de Ré" et "quoi qu'il en soit, il faudra compter avec ma voix", assure-t-il, alors que sa candidature pour 2012 semble faire l'unanimité à la direction du parti.
Dimanche pourtant, un "appel public" pour une "candidature de rassemblement" doit être lancé par le congrès du NPA pour "regrouper toutes les forces anticapitalistes" qui "incarnent la radicalité de la lutte", selon M. Besancenot.
Et de renvoyer Jean Luc Mélenchon dans ses cordes alors que le Parti de gauche a lancé une adresse au NPA pour l'unité cette semaine : "il a la main tellement tendue qu'elle est presque crispée sur sa proposition" de candidature, a taclé le facteur de Neuilly.
S'il n'y a "aucun écho" à cet appel, le NPA "discutera d'une candidature" du parti en juin. Et le "camarade Olivier" pourrait alors rempiler pour une troisième candidature d'affilée à la présidentielle.
Mon commentaire :



Sabotage 2010 des mouvements sociaux par le NPA !

Quand on joue les pompiers au service de Sarkozy pendant toute l'année 2010, cela finit par faire fuir TOUS les militants...
La droite a glissé vers Mélenchon (le nouvel ami "à la croûte ! à la croûte !" de Martine Aubry ! 
Le centre s'est sectarisé en allant jusqu'à parcourir les sites pour faire effacer les commentaires déplaisants (cf le blogueur NPA Thierry CSP et l'affaire Yann Guégan sur Rue89)
...et la gauche s'est discréditée en perpétuant une ligne pro-formoisie en faveur des retraités au lieu de défendre la jeunesse et les chômeurs...
Pas étonnant si le refus de la DELEGATION GENERALE REVOCABLE, le refus du "REVOQUONS SARKOZY" a été le ciment entre ces trois groupes..
Pour achever le processus, Abdel Zahiri a prit ses cliques et ses claques..
Ils ne sont même pas parvenus à le convaincre que la REVOLUTION QUI VIENT se contrefiche de VOILES et des BURQAS ! et que l'urgence pour les pauvres c'est une SARKOZY DEGAGE ! et un gouvernement de délégués révocables...
Le NPA a perdu sur sa gauche sans même recruter qui que ce soit sur sa droite !!!
A VOULOIR EMPÊCHER LA REVOCATION DE SARKOZY, Grondt Sabado Krivine and Co ont payé le prix fort !
Tant mieux !
Il faut achever les stalino-menchéviks qui ont la ligne politique de Staline mars 17 sans même que la révolution ait eu lieu !
De YanickToutain - Le vendredi 11 février 2011 à 20H51


mercredi 22 décembre 2010


Lettre à Pierre Haski et Pascal Riché : Faudra-t-il jeter le bébé Rue89 avec l'eau du bain stalino-fasciste de Yann Guégan ?

Bonjour XXXXXXXXXXXXXX
Je vous prie de donner - rapidement - ce lien à Pierre Haski et Pascal Riché.

mercredi 22 décembre 2010

ATTENTION : C'est un militant NPA qui demandait les censures !

Le stalino-fascisme ne passera pas ! Les faux arguments de Yann Guégan censeur fasciste sur RUE 89, après l'effacement d'un commentaire qui dérangeait Julien Bayou élu Europe Ecologie.


COMPLEMENT
Moins de 3600 participants aux votes : le désastre des saboteurs pro-capitalistes est encourageant pour la révolution. Quand les premiers défenseurs de Sarkozy infiltrés dans les mouvements sociaux ne sont plus que 3600 à s'agglomérer pour préparer de nouveaux sabotages, la révolution est à nos portes.
Sarkozy n'a plus ni PCF ni NPA pour se protéger !

Communiqué du NPA. Vote des militants pour le 1er congrès du NPA.

Les militants et militantes du NPA viennent d’achever leurs congrès locaux. 3 550 militantes et militants ont participé au vote. Les résultats provisoires donnent une participation de 70% par rapport aux membres à jour de cotisation.
Ce qui indique un effectif légèrement au-dessus de 6000 membres si on y ajoute celles et ceux qui ont pris leur carte au NPA sans s'être mis à jour de cotisation.
De nombreux votes ont été enregistrés, portant sur des sujets aussi importants que notre orientation, nos réponses à la crise, la question de la laïcité, du féminisme et de la religion. De nombreuses motions ont été également discutées localement. Elles alimenteront le débat de notre congrès.
Un vote a eu lieu pour élire les délégué-E-s sur la base de plateformes liées au débat sur l'orientation.
A l'issue de l'ensemble des congrès locaux et avant la vérification et la validation des résultats par la commission des mandats, les résultats sont les suivants:
P1: 40, 83 %
P2: 28, 29 %
P3: 27, 20 %
P4: 3, 40 %
Plateformes locales: 0, 29%
C'est une première étape dans la discussion, elle se poursuivra durant le congrès lui-même jusqu'à l'élection de la nouvelle direction.
Le 8 février 2011

un autre article provenant du site du NPA

Sans majorité, le NPA se prépare à un premier congrès délicat (Médiapart)

Majorité relative, mais équilibre instable. Après le vote de 3.550 militants (sur 6.000 revendiqués, mais pas tous «à jour de cotisation»), le NPA aborde son premier congrès, deux ans après sa fondation, dans une relative inconnue. Si la direction sortante autour d'Olivier Besancenot arrive en tête des votes militants (avec 40, 8%), elle va devoir composer lors du congrès de ce week-end avec deux autres orientations au poids quasiment similaire: les «identitaires» (28, 3%) partisans d'une ligne plus révolutionnaire, et les «unitaires» (27, 2%) tenants d'un rapprochement avec le Front de gauche. Une dernière position, que l'on pourrait qualifier d'anarcho-syndicaliste (la «P4»), recueille 3, 4% (lire les textes ici).
«La principale inquiétude pour nous est dans la participation, bien plus faible que lors de la dernière consultation (en décembre 2009, avec 4.500 votants et «plus de 8.000 cartes» revendiquées), reconnaît Pierre-François Grond, proche de Besancenot. Cela montre qu'on est aujourd'hui dans un parti à plusieurs vitesses, qui a du mal à intégrer tout le monde dans le collectif, avec des niveaux d'engagement militant différents. Pour autant, la direction progresse en pourcentage et le texte de réponse à la crise (lire ici) est largement majoritaire, ce qui nous laisse entrevoir une certaine stabilité.»
En 2009, le NPA était déjà tiraillé en trois, sur la stratégie électorale à adopter aux régionales (lire notre article d'alors). Cette fois-ci, elle a un poil repris la main (40, 8% contre 36% alors). Mais va toutefois devoir composer, au risque de continuer à ménager la chèvre unitaire et le chou identitaire. «C'est assez classique, tempère Grond, la LCR a longtemps fonctionné comme ça. En 2006 encore, la “majo” de la Ligue n'avait fait que 48%…»
Représentant au conseil politique national pour la «P2», Gaël se félicite de «la vitalité de la discussion et du débat au sein du NPA, ce qui est bien pour un parti neuf». Lui attend du congrès qui arrive qu'il «défini(sse) ce qu'on va dire et faire dans les luttes dès le 14 février, et pas en 2012. Pour cela, on aura une conférence en juin. Il sera bien assez tôt pour parler d'un candidat». Il estime que «ce qui nous rassemble largement, c'est la volonté d'en découdre et d'arrêter de subir. Si on ajoute les contextes tunisien et égyptien, la question de la révolution n'a jamais été autant d'actualité, bien plus en tout cas que de savoir s'il faut Mélenchon ou un candidat du NPA à la présidentielle!».
Quelle volonté unitaire ?
Représentante du courant minoritaire Convergence & alternative (qui a soutenu la «P3»), Danielle Obono estime que «la direction sortante est en partie sanctionnée sur son bilan contrasté, et pas qu'au point de vue électoral. Le NPA garde une capacité de mobilisation non négligeable, mais n'est pas LE parti des luttes, et n'est pas parvenu à être décisif dans une victoire sociale».
Selon elle, les résultats traduisent «une certaine division qui perdure, conséquence des idées vagues et des formulations floues. Le parti navigue à vue depuis un an au moins». Et d'interroger la direction, avant le congrès: «Il faut faire le choix d'un contenu et d'une orientation clairs, qui seraient menés jusqu'au bout. Arrêter le zig-zag entre la “P2” et la “P3”. Là, il faut un signal!» Elle et ses camarades minoritaires espèrent désormais convaincre les délégués, lors des débats du congrès, de pencher vers un rapprochement du Front de gauche.
Plus mesuré, l'ancien candidat aux européennes Omar Slaouti (passé progressivement de la direction à la «P3») se dit «optimiste» pour le congrès: «On risquait de se regarder en chiens de faïence. Finalement, on va juste avoir une direction qui va devoir faire un choix entre deux lignes à légitimité égale, sans qu'aucun débat stratégique soit définitivement tranché non plus, car un événement social peut resurgir à tout moment.» Et d'après lui, les signes envoyés par Besancenot «ne sont pas si négatifs».
Dans une interview donnée lundi à Libération, le porte-parole (qui n'a pas encore décidé s'il quittait son poste à l'issue du congrès) envisage de «proposer de fédérer les forces anticapitalistes qui s’activent au sein du mouvement social, et travailler à une candidature de rassemblement». Tout en rejetant dans la foulée Jean-Luc Mélenchon («Ce qu’il nous propose, c’est un ralliement, pas l’unité»).
Mélenchon et le Parti de gauche ont malgré tout saisi l'occasion du rassemblement anti-capitaliste, en envoyant une «adresse au NPA» ce mardi en début d'après-midi. Il y est notamment écrit: «Nous espérons que vous confirmerez vraiment cette volonté pour que nous puissions ouvrir les discussions. Mais soyons clairs entre nous : cette ouverture doit être une vraie ouverture et non un prétexte pour préparer un nouveau refus après celui des Européennes et des Régionales. Elle ne peut donc être assortie de l’exclusion par principe d’une candidature ou d’un type de candidature qui de facto reviendrait à éviter toute candidature de rassemblement sans le dire.»
Les «unitaires» du NPA espèrent de leur côté «sortir du congrès avec une réponse à cette adresse», sans être sûrs de parvenir à convaincre la majorité. Et il se pourrait qu'un appel à «une candidature de la gauche sociale ou altermondialiste» fasse office de point d'équilibre.
Féminisme et laïcité, puis huis clos...
Autre question qui pourrait agiter le congrès ce week-end, la résolution sur «religion, féminisme et laïcité», alors que les défenseurs de l'une des motions présentées, dites «d'Avignon» (parmi lesquels la candidate au foulard des dernières régionales Ilham Moussaïd), ont récemment quitté provisoirement le NPA. Objet de vifs déchirements internes, qui traversent toutes les tendances et générations du parti, le débat devrait surtout avoir lieu sur «la question de la représentation». En clair: une militante musulmane et voilée qui aurait un discours clair sur la laïcité et le droit des femmes peut-elle être candidate?
Selon une grosse moitié de bulletins dépouillés, le résultat des votes donnerait une majorité à la motion des «féministes historiques intransigeantes», mais une plus grande encore aux amendements soumis par «les Marseillais», prônant un peu d'ouverture, et notamment l'acceptation de la représentation politique pour les femmes voilées, assorties de conditions.
La question, que tous espèrent consensuelle mais que plus encore redoutent conflictuelle, aura lieu au deuxième jour du congrès, samedi matin. Ensuite, les votes et l'élection de la direction se passeront à huis clos. Contrairement au congrès de fondation, où toutes les sessions plénières étaient ouvertes à la presse. «C'est un moment où il faut que tout le monde puisse dire ce qu'il a envie de dire», explique Pierre-François Grond, qui espère «un congrès de sortie de crise». En espérant ne pas endurer dimanche une crise de sortie de congrès.
Stéphane Alliès, le 9 février.

ON PEUT LIRE LES 4 PLATE-FORMES

Tribunes des 4 positions (19 janvier)


Position 1

Rassembler le NPA pour rassembler les anticapitalistes
Ceux qui cherchent à enterrer le NPA en seront pour leurs frais. Rassembler les anticapitalistes relève de la lente impatience. Mais toutes les facettes profondes de la crise du système capitaliste qui produit rejets et luttes conséquentes, soulignent le caractère indispensable de la construction d’une force politique puissante, déterminée et utile pour organiser la rupture et la transition vers l’écosocialisme.
À l’occasion du mouvement de l’automne 2010, des dizaines de milliers de militantEs se sont mobiliséEs sur les mêmes bases de fond que les nôtres, ont développé la même volonté d’un mouvement d’ensemble, ont rencontré les mêmes obstacles, réfléchissent aux mêmes solutions pour les surmonter. Il n’y a pas de question plus fondamentale que de savoir comment cette lame de fond sociale peut se traduire sur un plan directement politique.
Dans le prolongement de l’appel adopté à une large majorité du CPN sortant, le congrès doit être une nouvelle occasion, au-delà des divergences qui s’expriment démocratiquement, de nous adresser ensemble « à celles et ceux qui ne lâchent rien ». Unir les forces, les énergies, la détermination qui se sont retrouvées dans le mouvement de l’automne, dans les luttes contre les licenciements, écologistes, féministes, antiracistes, internationalistes pour préparer l’affrontement avec le pouvoir, imposer nos propres réponses à la crise et non négocier celles des patrons, construire une unité radicalement anticapitaliste donc indépendante du PS, voilà quelle doit être la boussole constante du NPA.
Rien ne sera sérieusement possible si cette « gauche sociale » ne s’engage pas de son propre mouvement dans la traduction politique de ce qu’elle porte comme potentialité, permettant l’unité anticapitaliste dans et pour les luttes bien évidemment mais aussi sur le terrain électoral.
Cela suppose de déjouer les pièges. Celui de l’isolationnisme qui revient au fond à ignorer qu’il existe d’autres forces politiques qui apparaissent comme proches à nombre de celles et ceux qui luttent et que le rassemblement des anticapitalistes se résumerait à l’expression d’une « pureté » dans le dialogue direct et unique avec les masses. Celui de la satellisation consistant à se laisser aller à la tentation d’en rabattre avec l’exigence d’indépendance avec le PS, d’un contenu programmatique de rupture, l’illusion des scores à deux chiffres et de la voie institutionnelle.
Pour un parti comme le nôtre, l’heure est à la fois à la détermination pour ne rien lâcher et à l’audace pour rassembler. La position 1 entend continuer à tenir les deux bouts de ce pari, fondateur du NPA.

Position 2

Osons occuper notre espace politique
La révolution populaire qui commence et a fait tomber le dictateur tunisien – même si tout n’est pas gagné, loin de là – fait prendre la mesure des conséquences de cette crise du capitalisme la plus profonde depuis 1929. Son dernier avatar, la spéculation planétaire sur les ressources alimentaires n’est pas pour rien dans le soulèvement de la jeunesse maghrébine. L’insurrection tunisienne passée du social au politique en quelques jours prolonge les manifestations pour l’avenir de cette même jeunesse en Europe. Elle a levé une barrière et va trouver un écho dans le monde arabe et au-delà. Ce n’est pas seulement un Mai 68 à la puissance 10 qui se prépare au Maghreb ou en Europe mais c’est la question de l’avenir de l’humanité et de la planète que posent la crise et les peuples.
Cette crise et les chemins qu’elle emprunte créent d’évidence un espace pour un projet révolutionnaire.
Nous n’avons pas la politique indépendante à la hauteur de ces défis et capable de répondre aux espoirs des multitudes. Pourtant les promesses éveillées par la création du NPA nous en ont donné les moyens. Nous avons un moment incarné les aspirations et les révoltes populaires de la base tellement éloignées du jeu électoraliste et du syndicalisme de dialogue social. Mais nous avons rompu ce fil et nous trouvons isolés sur une orientation opportuniste. Le mouvement de l’automne a retardé les échéances sans faire disparaître ces problèmes.
Le débat n’est pas entre « unitaires » et « sectaires » comme le caricature la P1 pour se donner la posture d’un centre réaliste et l’apparence d’une politique. La racine de nos difficultés, c’est la complaisance politique de la direction vis-à-vis de la gauche « antilibérale », des directions syndicales, ainsi que sa crainte de toute confrontation sur le fond. D’où une absence de politique propre qui interdit à quiconque de comprendre ce qui nous sépare de ces courants, brouille notre message, ferme notre espace politique et engendre le désenchantement.
La guerre sociale qu’annoncent les politiques de rigueur en Europe nécessite plus que jamais de clarifier notre projet à l’égard de la gauche antilibérale et de nous adresser directement aux classes populaires. Elle nous en donne en même temps l’opportunité. La situation montre que le projet de renversement révolutionnaire du capitalisme peut être largement entendu. Prenons à bras-le-corps ce débat avant que les événements ne nous l’imposent de toutes façons.

Position 3

Le temps nous est compté
Nous avons vécu, sur la question des retraites, un mouvement social qui exprime un besoin ardent d’alternatives politiques, solidaires et égalitaires. Le sarkozysme a été profondément délégitimé par les urnes (régionales) et par la rue. Mais les suites positives à cette situation ne sont nullement automatiques. La simple alternance au pouvoir d’une gauche pro-FMI risque d’accroître encore le gouffre entre les politicienNEs de la mondialisation et les aspirations populaires. Si la perspective d’un projet capable de défier le néolibéralisme n’aboutit pas, si un rassemblement social et politique authentiquement à gauche ne prolonge pas la dynamique de l’automne 2010, alors la crise politique et l’exaspération sociale peuvent aussi se dénouer à la faveur des droites les plus extrêmes.
C’est pourquoi le NPA doit prendre conscience de ses responsabilités. Lors de sa fondation, en 2009, beaucoup ont cru à un NPA qui « renouvellerait » l’action politique, qui mettrait son potentiel de radicalité, de rajeunissement au service d’une nouvelle offre à gauche, où la fermeté programmatique n’est pas antagonique à la volonté de marcher ensemble avec celles et ceux qui aspirent fondamentalement aux mêmes buts. Toutes et tous ne l’ont certes pas rejoint, mais un bon nombre ont regardé avec sympathie et espoir sa création. Ces forces militantes, collectives ou individuelles, sont présentes dans les luttes mais aussi dans les partis et les courants qui existent aujourd’hui à gauche du PS. La demande d’unité y est aussi très forte, parce que la conviction est grande qu’il faut faire bloc pour empêcher les reculs et pour ébaucher un projet commun. Mais le NPA n’a pas été à la hauteur de la tâche, notamment en refusant cette démarche de rassemblement aux élections européennes et régionales. Puis, lors du mouvement de l’automne, malgré l’existence de collectifs unitaires réunissant un large arc de forces antilibérales et anticapitalistes, il n’a pas su (pas plus que les autres partis d’ailleurs), donner une puissance politique unitaire à la contestation sociale.
À l’occasion de son congrès de 2011, le NPA peut décider d’être véritablement comme « un poisson dans l’eau », au sein des mouvements sociaux comme sur le terrain politique, autour d’une stratégie de front social et politique avec toutes les forces de la gauche de transformation sociale et démocratique (Front de gauche, Fase, non-organiséEs, etc.).
Il est urgent de faire ce choix. Le temps nous est plus que jamais compté. Nous n’avons plus le droit à l’erreur.

Position 4

Pour un internationalisme révolutionnaire
En forçant Ben Ali à fuir, la mobilisation révolutionnaire des Tunisiens a porté un coup historique au régime et à « notre » impérialisme. Notre parti doit continuer de construire dans l’unité la solidarité politique avec nos frères et sœurs de classe. Mais au lieu de faire pression sur Sarkozy, comme nous y appelle le tract national du NPA, nous proposons une stratégie révolutionnaire : contre le remplacement de Ben Ali par d’autres hommes de son régime, mais aussi contre la prétendue « transition démocratique » visant à empêcher le développement d’un processus révolutionnaire où les travailleurs et les opprimés prendraient en main leurs revendications démocratiques et sociales.
Il n’y aura pas de vraie solution sans l’auto-organisation des travailleurs, leur armement contre les milices du régime, le combat pour en finir avec la tutelle de l’impérialisme français, l’expropriation des grands groupes capitalistes, la reconstruction d’une économie au service des besoins du peuple. Cela passe par la convocation immédiate d’une Assemblée constituante souveraine — à laquelle le gouvernement actuel n’appellera pas et qui dépendra des suites de la mobilisation — et par le combat pour un gouvernement ouvrier et paysan. La situation en Tunisie montre toute l’actualité de la perspective révolutionnaire et combien font défaut des délimitations stratégiques claires pour répondre à la nouvelle étape de la lutte de classe internationale.
En Côte d’Ivoire, nous nous opposons au xénophobe Gbagbo comme aux promesses de Ouattara, l’homme des impérialistes aujourd’hui. Nous exigeons le retrait des troupes françaises et de l’ONU, soutenons inconditionnellement la résistance des masses et nous prononçons pour la défaite des impérialistes. Orientation que nous défendons pour l’Irak, la Palestine et l’Afghanistan, contrairement aux P1, 2 et 3 dont l’orientation internationale est presque identique.
Ici, nous luttons pour en finir avec l’UE, pour les États-Unis socialistes d’Europe. L’Europe des travailleurs ne peut pas naître d’un vague « processus constituant » comme le disent ensemble les P1, 2 et 3, mais suppose la révolution prolétarienne s’étendant de pays en pays. Nous dénonçons la ligne du Bloc de gauche portugais, lié à la direction du NPA, dont les députés ont voté le plan de « sauvetage » de la Grèce, c’est-à-dire les attaques inouïes contre les travailleurs.
Nous luttons pour un parti mondial de la révolution revendiquant le programme historique de la ive Internationale qui, face à la barbarie du capitalisme et à l’horreur du stalinisme, a maintenu vivant le programme marxiste.
http://collectiftrnpa.wordpress.com

Il faut noter que la tendance 4 provient de Claire. Mais tant que les militants qui la composent ne dénonceront pas les pratiques fascistes de la fraction noire du NPA et ne réclameront pas le bannissement politique définitif des gangsters politiques du type du blogueur Thierry CSP de Toulouse ou de la candidate LCR Sylvie Verin, la rechute formoise sera toujours possible. On a vu la Ligne Claire se ridiculiser tout au long de l'année 2010 en suivant comme des toutous les gâteux séniles de la formoisie retraitée ou proto-retraitée..... Les futurs touristes en Tunisie ne voulaient pas que les retraites soient mises en arrière au profit de la question du chômage et les opportunistes pas CLAIR suivirent les exigences des séniles !
Leur prétendu internationalisme devra passer au CRIBLE de leurs positions RELLES en  2010 : QUI d'entre EUX aura tenté de faire VOTER "Troupes Françaises Hors d'Afrique" dans les AG de l'année 2010 ?
La réponse risque d'être PERSONNE !
Qu'ils assument alors les éclats de rires des Africains de voir arriver des anti-esclavagistes de la dernière heure !!!
Quand Julie Amadis et moi-même - Yanick Toutain - luttions pied à pied contre la formoisie pour faire passer le "Dehors Sarkozy", le "Révoquons Sarkozy", le "ZERO CHOMEURS", le "5 MILLIONS D'EMBAUCHE" le "TROUPES FRANCAISES HORS D'AFRIQUE" le "TICKETS DE RATIONNEMENT CARBONE"..... les clowns rebelles de la Ligne CLAIRE se battaient pour .....LEURS RETRAITES !

Le Collectif pour une Tendance Révolutionnaire (CTR) du NPA présente sa propre plate-forme nationale pour le congrès de notre parti, dans le cadre de l’ordre du jour fixé par la direction sortante. Cette plate-forme est constituée pour le moment d’un texte de bilan et d’orientation, « Pour une orientation révolutionnaire du NPA », et d’un texte programmatique, « Nos réponses révolutionnaires à la crise ». Elle est portée par le camarade Vincent Duse au CPN.
Notre Collectif s’est constitué au cours de l’été sur la base de la « Contribution des 62 » pour la réunion nationale de l’ex-position B du 23 mai. Il regroupe les membres de la Tendance CLAIRE, des militants de l’ex-LCR et d’autres militants du NPA qui se revendiquent du marxisme et du programme historique de la IVe Internationale. Il a vocation à regrouper toutes et tous les camarades qui se reconnaîtront dans ses textes pour le congrès et reste ouvert à toute discussion et collaboration avec d’autres camarades qui se réclament de l’anticapitalisme révolutionnaire et qui veulent se battre pour cette perspective au sein de la classe ouvrière et de ses luttes…
Télécharger la plate-forme au format [pdf]

vendredi 14 janvier 2011

Tunisie-France Le clown stalino-menchevik du NPA Olivier Beancenot ne demande même pas "dehors Sarkozy !" Il demande à Alliot-Marie de "s'excuser" !!!

 suite à

jeudi 13 janvier 2011


La criminelle Michèle Alliot-Marie propose son expérience du crime contre les foules au socialo-fasciste Ben Ali, membre de l'Internationale Socialiste (Côte d'Ivoire 2004 - Tunisie 2011)


13h42. , porte-parole du NPA, demande à la ministre des Affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie, de «s'excuser ou démissionner» après ses propos sur la Tunisie, et souhaité que le président Ben Ali quitte dès maintenant le pouvoir. Mme Alliot-Marie avait affirmé mardi qu'«on ne peut que déplorer les violences» survenues en Tunisie dans des manifestations, proposant le savoir-faire français à la police tunisienne pour «régler les situations sécuritaires».
«s'excuser ou démissionner» !!!

Le communiqué publié mercredi 12 n'appelait même pas au départ de Ben Ali.
AU LIEU DE DIRE "BEN ALI DEHORS ! LES CLOWNS MENCHEVIKS DU NPA DEMANDAIENT GENTIMENT AU DICTATEUR SOCIALO-FASCISTE DE taper moins fort !!! Ils osaient "exiger du gouvernement tunisien l'arrêt de la répression et le respect de toutes les libertés démocratiques en Tunisie."

En somme, en exigeant que Ben Ali tape moins fort, il lui DEMANDAIT DE RESTER !!!

Communiqué du NPA. Assez de répression en Tunisie.

Ben Ali, président en exercice depuis 23 ans, souffle le froid et le chaud. D'un côté, il fait annoncer la libération des manifestants arrêtés et de l'autre, sa police politique arrête Hamma Hammami, porte-parole du parti communiste des ouvriers de Tunisie (PCOT), ainsi que plusieurs militants et syndicalistes et l'armée se déploie à Tunis soumise au couvre-feu.
Le mouvement de révolte contre le pouvoir en place se poursuit et s'étend à de nouvelles villes, avec malheureusement de nouvelles victimes.
La jeunesse et la population en ont assez d'un pouvoir corrompu, de la misère, du chômage.
Il faut arrêter la spirale de la répression en Tunisie.
Le NPA renouvelle sa solidarité avec la jeunesse, la population, les partis, syndicats et associations qui se sont levés contre le pouvoir de Ben Ali.
Le NPA exige la libération immédiate d'Hamma Hammami et de tous les manifestants et militants arrêtés.
Le gouvernement français doit sortir de son silence complice et exiger du gouvernement tunisien l'arrêt de la répression et le respect de toutes les libertés démocratiques en Tunisie.
Le 12 janvier 2011

virage hier de la "commission Maghreb" du NPA

Ben Ali assassin, Sarkozy complice !



(...) Ces haussements de sourcils ne sauraient satisfaire un mouvement qui affirme de plus en plus vouloir se débarrasser d’un régime honni. C’est sur les autres peuples et non sur les États complices de la dictature que le peuple tunisien doit pouvoir compter.
De nombreuses manifestations de solidarité avec la révolte en cours ont eu lieu dans les pays arabes et les principaux pays où réside une immigration tunisienne. En France, des rassemblements se sont tenus à Paris, Toulouse, Nantes, Lyon, Marseille, Lille… avec la présence de la communauté tunisienne, de militants du monde arabe et d’organisations de la gauche française qui ont dénoncé tant la dictature de Ben Ali que la complicité de Sarkozy. On a vu affluer de nouveaux visages, le plus souvent jeunes, dont c’était la première apparition publique. Les barbouzes des ambassades et consulats tunisiens, habitués à harceler les opposants, ne montrent plus le bout de leur nez. Et c’est déjà un signe qui ne trompe pas.
La crise qui frappe les pays de la rive nord de la Méditerranée est celle-là même qui déstabilise les pays de la rive sud. Une raison de plus d’être solidaires. Ne relâchons pas notre pression, à commencer par l’exigence de la libération de tous les emprisonnés du mouvement !
Commission Maghreb du NPA

MAIS LE "DEHORS BEN ALI ! ARRESTATION DU SOCIALO-FASCISTE" n'apparait même pas dans le titre !
MAIS LE "FAITES DES DELEGUES REVOCABLES N'APPARAIT PAS !

C'est normal : la BASE SOCIALE diplômée de Besancenot ce sont des salariés EXPLOITEURS PROPRIETAIRES IMMOBILIERS !
Le genre de vautours qui allaient voir leurs esclaves tunisiens pour 200 euros la semaine !!!


IL N'Y A RIEN A ATTENDRE DES FAUX TROTSKYSTES DE  LA FORMOISIE NPA !

FAITES UN DELEGUE POUR 25 !
SANS EUX
!

lundi 15 mars 2010

sur Rue89, une réponse à pseudo ioio : actes pré-révolutionnaires et sabotage Krivine-Sabado-Besancenot. Il faut la délégation générale révocable !

En réponse à un commentaire critiquant mon précédent texte

De ioio

philosophe canin | 11H29 | 15/03/2010 | Permalien
"L'abstention de la moitié des INSCRITS est un acte pré-révolutionnaire !"
quand tu vois la tetes des abstentionniste (ils s'abstiennent aussi de faire grève de manifester ...) si c'est ça pour vous la révolution alors la je dit bravo quel analyse les mecs .
hasta la victoria simpre

==
Je dépose un commentaire



Humain sur Terre | 20H42 | 15/03/2010 | Permalien





Il y a une accumulation d'actes pré-révolutionnaires depuis 5 ans en France
Manifestations monstres contre les réformes gouvernementales.
Émeutes des jeunes des quartiers pauvres
Défaite de la TOTALITÉ des partis politiques colonialistes dans le référendum sur l'Europe capitaliste
Un gouvernement qui gouverne de façon minoritaire après une présidentielle véritable escroquerie médiatique dans laquelle les principaux médias ont participé à une campagne de propagande mensongère.(en se couchant littéralement lorsque, à peine élu, le président se rend coupable de forfaiture et de corruption avec son corrupteur Vincent "Crassus" Bolloré.
Les élections européennes de l'an denier ont eu un taux de 59,37 % d'abstentions.
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lections_europ%C3%A9ennes_de_2009#R.C...
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lections_europ%C3%A9ennes_de_2009_en_...
Et le gouvernement GAGNE avec moins de 12 % des électeurs inscrits !!!
Et, en ce mois de mars 2010, la clique pro-capitaliste Sarkozy obtient moins de 14 % des électeurs inscrits
Avec 53,7 % d'abstentions, le parti de la dictature capitaliste n'obtient que 29,48%
Et ce parti se permet de donner des ordres !!! De faire ses réformes , de réduire le nombre d'enseignants, d'occuper militairement l'Afrique etc....
Avec UN électeur SUR 7 !!!
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Mais alors, pourquoi des symptômes PRÉ-révolutionnaires SANS que ça n'explose ?
Pour exactement les mêmes raisons qu'en mai 68 : l'ABSENCE D'ORGANISATION POPULAIRE !
La différence, c'est que les traitres ne sont plus le PCF. Le parti stalinien n'a pas la force de l'empêcher ...et il n'a jamais eu de "soviets révocables" dans son programme ... (à part dans les petites lignes post 1920 !!!)
Les traitres sont les dirigeants du NPA-LCR.
Les Alain Krivine, les François Sabado etc... et leur pantin Olivier Besancenot, le clown stalino-menchévique.
Cette organisation s'est construite à partir de mars 1973 (LC-FCR-LCR) en impulsant des COORDINATIONS DÉMOCRATIQUES.
C'est le SABOTAGE de cette représentation, c'est le sabotage visant la mise en place de la DELEGATION RÉVOCABLE qui permet à Sarkozy de NARGUER LE MOUVEMENT PRÉ-RÉVOLUTIONNAIRE.
Depuis 1995, les pseudo-trotskystes sabotent systématiquement toute possibilité de construction d'un gouvernement populaire basé sur des soviets formés de délégués révocables.
La classe formoise des salariés privilégiés représentée par le NPA a peur de la révolution, cette formoisie exploiteuse a PEUR du GRAND PARTAGE ÉGALITARISTE !
C'est la raison pour laquelle il faut que cela parte de la base. Il faut que ce soit le peuple qui se groupe par 25 pour désigner ses délégués révocables.

jeudi 14 janvier 2010

Daniel Bensaïd est un charlatan qui fabrique de l'idéologie bourgeoise mystique : "Une histoire... sans garantie scientifique"



Daniel Bensaïd est un charlatan qui fabrique de l'idéologie bourgeoise mystique : "Une histoire... sans garantie scientifique"

L'auteur de "Politique de Marx" est une variété de ces clowns que dénonçait Lénine dans son Matérialisme et empiriocriticisme.
Un clown titré "philosophe" !

Par Yanick Toutain
06/12/08 01:50

Le décès de Daniel Bensaïd est l'occasion de republier ce texte récent rédigé en décembre 2008.

"Daniel Bensaïd enseigne la philosophie à l’université Paris VIII Saint-Denis. Il a récemment publié à La Fabrique Les Dépossédés. Karl Marx, les voleurs de bois et le droit des pauvres."

Il y a plus de 25 ans que j'ai renoncé à lire cet escroc intellectuel.
En 1992, dormant chez un camarade de la LCR (un des rares à pouvoir se regarder dans la glace quant à mon combat contre l'Éducation Nationale), j'eus l'occasion nocturne de feuilleter sa bibliothèque. Un livre récent du charlatan s'y trouvait.
Des mots, du baratin, de la rhétorique, des nuages de fumée. L'absence totale de réflexion sérieuse, l'absence totale de science, l'absence totale de faits classifiables, de thèses critiquables freinait la lecture. Ses bouquins ressemblent à des devoirs à corriger écrits par un élève fâché avec l'écriture.
Mais Daniel Bensaïd n'est pas fâché avec l'écriture, il est fâché avec la réalité.
Sa rupture - ancienne - avec la réalité est la cause fondamentale de sa rupture avec Marx et le marxisme.

LA FANFARE IDÉOLOGIQUE DU GANG POLITIQUE FORMOIS

Pour accompagner la dégénérescence politique de Krivine et Sabado, pour accompagner les expulsions hors de la Quatrième Internationale, les exclusions des rebelles, il fallait des baratineurs idéologues.
Il fallut une fanfare pour masquer le bruit des coups de Jarnac.
Il fallut une fanfare pour masquer les bruits de l'emprisonnement des trotskystes sud-américains par les crapules formoises sandinistes au Nicaragua, sous les applaudissements et à la probable demande des crapules Sabado, Krivine et de tous ces gangsters néostaliniens qui poursuivaient les vrais révolutionnaires dans toutes les vrais révolutions.
Le rôle des idéologues faux trotskystes du genre Bensaïd consistait à couvrir les bruits des coups.
Leur rôle consistait à fabriquer un nuage de fumée pour masquer leur adaptation politique, leur dégénérescence humaine.

Ce monsieur est professeur de philosophie.
S'il l'avait été, un tant soi peu, il m'aurait épargné des milliers d'heures de travail que je fus contraint de faire à cause de la parfaite fainéantise intellectuelle de ces gens, de ces "clowns titrés professeurs" comme les appelait Lénine.

Puthagoras comme précurseur de l'atomisme ?
Puthagoras et Democritos comme précurseurs de la physique atomique ?
Titus Lucretius comme constructeur de la compréhension rationnelle du vide ?
Titus Lucretius comme constructeur de la conception scientifique du vide et des atomOs ?
Newton comme précurseur de la conversion masse énergie ?
Newton comme scientifique comprenant que le photon est la brique de la matière ?
Newton comme matérialiste comprenant que la gravitation est le choc des photons ?

Le clown Bensaïd, tout comme le clown de Caen, Michel Onfray - le militant de l'apologie du capitalisme - n'en connaissent rien, absolument rien !
Ces fainéants, tout occupés à la construction de leur gloire médiatique, occupés à la construction de leurs réseaux d'influence, n'eurent jamais le temps d'y travailler.

Je dus tout faire.

De Lénine comme continuateur de Newton ?
De Lénine en tant que dernier défenseur de l'existence du vide en soi ?
De Lénine en tant que dernier défenseur de la possibilité des vitesses objectives, des vitesses absolues de Newton, des vitesses de la matière par rapport au vide.
Les deux clowns titrés philosophes n'en ont pas la moindre idée.

Les prétendus matérialistes étaient en réalité des ennemis infiltrés dans les lignes de la science, des ennemis infiltrés dans nos lignes révolutionnaires.
Daniel Bensaïd est, en fait, l'idéologue de la formoisie exploiteuse, il est le fabriquant de fumée de la classe exploiteuse dont Besancenot est devenu le héraut.
Daniel Bensaïd est le fabriquant de la bonne conscience de la formoisie de Montivilliers pour que puisse y mourir les SDF, un mardi de décembre.
Il faut que la formoisie ait bonne conscience.
Pour qu'elle puisse réclamer ses 1500 euros, ses augmentations des salaires de pilotes d'avion, ses augmentations des salaires des crapules du SAMU - les adhérents du syndicat de Patrice Pelloux, la crapule qui gagne 4200 euros et qui veut plus !
Pour que les Patrice Pelloux aient bonne conscience, il leur faut des marchands de fumée, des Bensaïd, il leur faut des fanfares pour que le bruit de la répression qui s'abat sur les pauvres ne vienne pas gâcher leur plaisir de recevoir un joli salaire en "respect de leurs qualifications acquises".

Mais, le brouillard de fumée que le charlatan Bensaïd fabrique depuis plus de 30 ans avait la même caractéristique que les charlataneries de Lacan ou d'Althusser. Soit une recopie pure et simple des textes des auteurs de références, soit un salmigondis incompréhensible qui aurait nécessité des heures de travail à décortiquer pour parvenir à y découvrir un semblant de noyau rationnel.
Le combat scientifique avait autre chose à faire.
Quand bien même Lénine, lui, fit un tel travail de bénédiction pour retrouver le semblant de raison qui subsistait dans les écrits imbéciles des partisans de Mach et de Berkeley, l'océan à explorer, l'océan de retard rendait absurde un tel travail à la loupe.
Mais aujourd'hui, il se trouve que l'ouverture du dernier ouvrage du charlatan - une réédition de textes de Marx - laissa apparaître, au beau milieu d'une page, une citation qui avait le mérite de montrer, en toute lumière, l'absolue dégénérescence intellectuelle du néostalinien Daniel Bensaïd.
Qui plus est une dégénérescence poussée jusqu'au point où l'idéologie formoisie du stalinisme en vint à rejoindre la dégénérescence intellectuelle de la bourgeoisie : L'idéologie proto-fasciste de la fin du déterminisme absolu.
Le charlatan de la LCR en est arrivé à un tel point de dégénérescence intellectuelle qu'il peut, aujourd'hui, écrire cela :





"La centralité de la lutte des classes et leur issue incertaine exigent en effet une part de contingence et une notion non mécanique de causalité, une causalité ouverte en somme, dont les conditions initiales déterminent un champ de possibles sans déterminer mécaniquement lequel l'emportera"



Une part de contingence ?
Pauvre crétin réformiste passé à l'adversaire.
Rappelons au lecteur égalitariste - ou simplement au lecteur honnête - que la contingence est le mot universitaire, le terme huppé signifiant "hasard".
Le verbe romain contingere signifie - le Larousse en atteste - "arriver par hasard".
L'imbécile Bensaïd s'arroge le droit de rééditer Marx. Il le fait dans une collection sponsorisée par la région Ile de France.
Qu'il vernisse son image "avec le concours" et les subventions contrôlées par les gangsters colonialistes ne peut que nous révéler la façon dont fonctionnent les réseaux du système bourgeois-formois.
Mais qu'il préface Marx en exigeant "une part de contingence" est une imposture absolue.
N'importe quel scientifique sait que le hasard n'est rien d'autre que l'ignorance provisoire.
Même Planck - celui qui ajouta "moins un" à la formule de Wien, et fut, pour cela considéré comme l'inventeur de la physique quantique -, même Planck refusait les aberrations intellectuelles dont le charlatan Bensaïd est l'apologiste.

Une notion "non mécanique de causalité" ?

Ces charlatans encaissent en fin de mois le virement bancaire que la bourgeoisie met, généreusement, à leur disposition, pour les récompenser du baratin qu'ils mettent dans le cerveau de malheureux étudiants de Jussieu et des universités bourgeoises.
Ils sont donc les bons larbins de la bourgeoisie, les gentils toutous bien obéissants.

Quelles sont ces causalité non mécaniques ?
N'importe quel matérialiste qui a compris ce que Laplace expliquait sait que les causalités sont absolues.
Il sait que les lois de causes et d'effets ne souffrent d'aucune restriction. Il sait, qu'au niveau des particules, tout s'explique.

Je vais rappeler ici les thèses fondamentales du "Manifeste matérialiste" de janvier 2006 :


SCIENCE DU MOUVEMENT DES ATOMOS
Cette science du mouvement des atomos s'appellera Mécanique de base.
Cette Mécanique de base est la brique de toutes les autres sciences.
Aucune science ne peut prétendre être en contradiction avec la Mécanique de base.
Les sciences physiques (mouvement des particules et des corps de l'Espace), les sciences biologiques et les sciences humaines étudient des corps, qu'ils soient inanimés ou vivants ou vivants - humains, dont le fonctionnement correspond à la Mécanique de base.
Un champion olympique gagne une épreuve parce que ses atomos (organises en vivant), mis au contact des atomos de la nature [socialisée partiellement] (stade, terrain, bateau etc.) organisée en inanimé, lui ont permis d'avoir la performance la "meilleure".
Connaître tous les atomos concernés par un "cent mètres sprint" permet évidemment de prévoir à l'avance le résultat de la course.
Cette assertion, cette affirmation est la base de toute science.
Celui qui la refuse quitte le groupe des scientifiques pour, rejoindre la horde de la crédulité superstitieuse.
Et cela, quand bien même cette horde obtiendrait des labels de la prétendue "communauté scientifique".
"Communauté scientifique" à laquelle Isaac Newton a craché, par avance, tout son mépris.(*)
* * *
LE TRAJET DES ATOMOS
Lorsqu'il l'a fait, en 1706, la Terre se trouvait à des milliards de kilomètres plus loin qu'aujourd'hui (des dizaines de milliers de milliards de kilomètres quasi certainement. (*)
Les atomos de la Terre de 1706, il y a 300 ans, ainsi que les atomos des êtres vivants qui s'y trouvent, se sont déplacés dans le vide à un vitesse probable de plusieurs millions de kilomètres à l'heure (possiblement vingt *)
* * *
Tous ces atomos ont fait un trajet. Trajet dont rend compte la Mécanique de base.
Ces trajets ont provoqué la Révolution Française, les molécules d'encre des pages des livres "Candide" édités (ouvrage de Voltaire), ont provoqué les creux des CD ROM nous permettant d'écouter la symphonie n°40 de W. A. Mozart.
La Mécanique de base explique tout cela : Avec les règles et les données, la Mécanique de base aurait même pu prévoir tout cela. Laplace, à la fin du 18° siècle, avait totalement raison.
Ses adversaires sont des imposteurs, des charlatans, des mystiques déguisés.
* * *
La seule science de base c'est la Mécanique des atomos (atomostikos => atomostique)
Ce sont les mouvements réels des atomos dans le vide qui sont la seule réalité qui existe. Il n'en existe pas d'autre.
Quiconque refuse cela est un idéaliste masqué.
* * *
BRIQUES PHYSIQUES, BRIQUES BIOLOGIQUES
La science a consisté à découvrir les briques de l'Univers. Ces briques sont physiques (électrons, protons, etc.) ou biologiques (ADN, etc.)
Mais les briques biologiques ont des briques physiques. Les briques de la matière vivante ont elles-mêmes des briques non-vivantes.
Dans un corps vivant, à un moment déterminé, il y a un nombre précis d'électrons et aussi, un nombre précis d'atomos.
Mais chaque électron, lui-même, contient un nombre précis d'atomos [on peut supposer que les modifications de l'orbite de l'électron de l'atome d'hydrogène sont liées à la variation de ce nombre d'atomos, précisément.]
Dans un corps vivant, à un moment déterminé, il y a un nombre déterminé de cellules. Chacune contient un nombre précis d'électrons, d'atomos, etc.
* * *
MODALITÉS PARTICULIÈRES DE DÉPLACEMENT
Les lois de la Mécanique de base permettront, lorsqu'elles seront complètes, de définir ce que signifie "vivant".
En effet, ce sont des modalités particulières de déplacement des atomos qui fabriquent du "vivant".
La matière vivante, faite de briques vivantes, est faite d'atomos. Mais ces atomos sont groupés d'une certaine façon, se déplacent d'une certaine façon. Et ce sont ces regroupements et ces déplacements qui donnent les briques de la matière vivante.
La clé de la biologie doivent donc être conformes, en conformité, avec les règles de la Mécanique de base, de la Mécanique atomostique.
C'est du domaine de la philosophie que de traiter de cette conformité.
* * *
TRANSFORMATION QUANTITE QUALITE
A titre d'exemple, une des lois fondamentales de la philosophie scientifique, c'est la loi de transformation Quantité Qualité (L.T.Q.Q.)
La L.T.Q.Q. est issue des travaux de Hegel, Marx et surtout Engels.
Elle décrit le fait que toute augmentation quantitative provoque une modification qualitative.
Augmenter la chaleur de l'eau d'une casserole induit un gaz, la vapeur d'eau.
La vapeur d'eau est une transformation qualitative de l'eau liquide."


Ce sont ces thèses que nie le charlatan. Il nie le fait que la causalité existe à tous les étages de la science.
Le fonctionnement du vivant est aussi un fonctionnement du non-vivant.
Les causalités absolues qui existent à l'étage des atomOs, à l'étage des photons, à l'étage des électrons, des noyaux, des atomEs, des molécules sont tout aussi absolues que les causalités qui existent à l'étage des particules du vivant.
Les lois qui régissent les cellules du vivant sont des RÉSUMÉS des lois de base.
Il n'existe aucun hasard ! Nulle part !
Ni à l'étage du non-vivant, ni à l'étage du vivant, ni à l'étage des sciences humaines.
La psychologie est une manière de résumer les sciences physiques : il n'existe aucun élément matériel qui fasse fonctionner un être humain autre que le noyau d'hydrogène et son électron.
De la même façon que l'atome d'hydrogène est formé d'un noyau et d'un électron et qu'il s'est complexifié pour devenir atome d'autre chose quand son noyau au grossi et qu'un deuxième électron, puis un troisième électron, puis un quatrième électron ... sont arrivés pour s'adjoindre aux constituants initiaux, en formant les atomes d'Hélium, de Lithium, de Berylium, l'accumulation de cellules a formé un être vivant de plus en plus complexe.
De la même façon que l'adjonction de 5 électrons à l'atome d'hydrogène a constitué un atome de carbone et que celui de 15 électrons a permis la formation d'un atome d'oxygène, par la présence de noyaux de plus en plus gros, de la même façon, l'adjonction de familles supplémentaires a fait passer l'humanité au stade des tribus, puis des peuples, puis des nations.
Mais ces évolutions sont descriptibles en termes biologiques, elle sont descriptibles en termes moléculaires, en termes photoniques.
Les lois qui régissent les déplacements des photons permettent AUSSI de décrire la réalité des sociétés humaines.
Le couteau qui frappe Henri IV détruit la vie, mais il est aussi métal.
Il est métal qui s'enfonce dans des cellules faites de carbone, d'hydrogène, d'eau.
Le sang du roi qui coule dans la rue de la Ferronnerie est aussi fait de molécules H2 O. Il est aussi une agglomération de non-vivant.
Et le cerveau de Ravaillac est aussi une formation de cellules, mais aussi une formation d'atomes.
Le complot réactionnaire des agents du Vatican prit aussi la forme des vibrations qui firent le trajet depuis le larynx des émissaires du catholicisme triomphant jusqu'au tympan de l'imbécile assassin.
Ces molécules aériennes restèrent sur place mais firent vibrer leurs voisines en transmettant le signal anti-protestant, le signal anti-bourgeois qui se matérialisa dans le geste musculaire de la marionnette meurtrière.

Il existe - et le marquis de Laplace serait le premier à le comprendre - un ordinateur potentiel qui contiendrait la totalité des informations des atomes des protagonistes - lieux, objets, humains.
Et cet ordinateurs partirait des mêmes causes pour aboutir aux mêmes effets.
Les mêmes déterminants produiraient les mêmes résultats.
Seuls les imbéciles anti-scientifiques sont incapables de comprendre cela !

Mais non, le crétin Bensaïd, corrompu par le joli salaire que la bourgeoisie lui verse, a quitté les rives du marxisme.
Naturellement, pour jouer son rôle de traître efficace, il rira encore prétendre qu'il serait marxiste !
Mais pour cela il lui faut introduire le hasard bourgeois, le hasard fasciste, dans la science !
Car le hasard est fasciste !

Quand l'abruti larbin de la bourgeoisie écrit :




"(...) les conditions initiales déterminent un champ de possibles sans déterminer mécaniquement lequel l'emportera"



Il permet l'arrivée du Führer, il permet l'arrivée du héros, il permet l'arrivée du Protagoniste Miraculeux.
Le scientifique, le marxiste, sait que les conditions initiales déterminent .... la conclusion !
Le scientifique sait que les conditions initiales sont les causes de la suite des évènements et que la suite est UNIQUE.
Le scientifique sait que TOUT EST ÉCRIT !




TOUT EST DÉTERMINÉ : L'HISTOIRE EST ÉCRITE
Car ce qui effraye les moineaux peureux de la science falsifiée c'est cela : L'Histoire est "écrite".


Tout est prévisible.

Tout est déterminé.

Depuis le probable Big-Bang (à clarifier) jusqu'en 2007 tout était écrit.

Prévisible.

Évidemment.

Oui, mais par qui ?

Effectivement, ce ne sont pas x milliards de photons partis en goguette à l'instant t0 + 5 Temps de Planck qui vont pouvoir prévoir Mozart, ni, même ce texte lumineux.

Ils ne sont même pas encore capables de s'agglomérer pour former un atome d'hydrogène, ni même un électron.

Tout était prévisible ...

Par personne.

Et alors !

Tout cela est parfaitement logique.

Connaître, en direct, le cerveaux de 2 grands maîtres des échecs permet de prévoir les 20 premiers demi coups de la finale.(...)
Si Louis XVI avait marché sur une crotte de chien dans le parc de son château le 14 juillet 1789, cela n'aurait pas modifié l'agglomération de troupes contre-révolutionnaires étrangères contre le peuple parisien.



Le scientifique sait que TOUT EST ÉCRIT !
La suite du manifeste de janvier 2006 anticipait même sur le degré de dégénérescence intellectuelle qui allait être celui de Bensaïd

PROPORTIONNALITÉ DES CAUSES ET DES EFFETS, CHAOS, ET CYCLES RÉPÉTÉS

Les partisans de la dernière goutte d'eau sont des imbéciles.
Si "elle fait déborder le vase", c'est au même titre que toutes les autres.
L'étincelle ne fait exploser que de la poudre, pas de la crotte de chien.
Les Crottoriciens du Chaos se prennent pour de grands découvreurs.
Ils ont redécouvert la TQQ pour les meilleurs, sans le dire, sans l'avouer (Thom est un pillard). Les autres font mumuse avec des pitreries.
Le papillon qui devait empêcher le cyclone Katerina est tombé à l'eau.
Pour ce coup-là (est-ce bien lui ?) Pascal avait raison : Les causes et les effets sont proportionnels.
Lorsqu'un avalanche se produit, la cause et les effets s'analysent en terme de Mécanique de base et de mécanique supérieure : Rien ne se perd, tout se transforme.
L'imbécile cahotique qui skie hors piste pour prouver qu'il déclenche des avalanches ne prouve rien :
il est le facteur ridicule.
Ces braves gens, valets serviles, veulent protéger la bourgeoisie putride par une bouillie idéelle : faire croire à la non proportionnalité des causes et des effets, faire croire à l'apparition hasardeuse des nouveautés, pour masquer l'inéluctabilité de sa faillite.
Les mêmes servent aussi la soupe de la "fin de l'Histoire", de l'"Histoire se répète" : La preuve - disent-ils - la Terre reste à tourner autour du Soleil (Soleil bien évidemment immobile) Combien d'ailleurs de "physiciens" connaissent la vitesse orbitale du Soleil ?
"La Terre revient au même endroit chaque année"
(...)



Qui a écrit cela ?
(...)



Entre les partisans du cahot chaotique et ceux des cycles à l'infini, il y a l'épaisseur d'une feuille pelure. S'y niche l'esprit réincarné des bouddhistes : Tran Xinh Thuan, le méchant qui insulte Newton en profitant de la naïveté de G. Gleick, lui, vend sa camelote : Dieu existe parce que les fleurs sont belles.
Quels groupes sociaux payent de pareils crétins des sommes telles ?
"La Terre revient au même endroit"
"La bourgeoisie règne éternellement, sur les siècles des siècles, dans l'espace claustrophobique d'une poubelle surchauffée : la Terre".
Bien heureusement, la TQQ va balayer tous ces gens.
Bien heureusement, dans quelques centaines de milliards de kilomètres, dans un ou deux zigzags terrestres, l'accumulation du principe de pauvreté, du principe d'insupportabilité va fusionner avec le principe novateur (mal) porté par la classe innovoise et développé par la strate innovante. Et, comme en 1789, à l'échelle mondiale, on verra balayer les classes bourgeoises, on verra fermer les Bourses.
"La Terre revient au même endroit" se rassurent-ils !
Les cahotiques vous le diront alors :
"C'était imprévisible"
Ces ignares n'auront même pas remarqué qu'au 2900ième mensonge de Georges Bush II, propagé mondialement, en vue d'attaquer un peuple supplémentaire, la révolution anti-capitaliste mondiale se propagera.
Certes, je le concède, il se trouvera une partie de la "communauté" "scientifique" qui réussira à prouver, pliures à l'appui, que cette 2900ième inanité de Georges Bush II avait un caractère particulier qui la rendait précisément déterminante.
Et qui la rendait, à elle seule, responsable de cette mobilisation planétaire.
Une autre partie de la toujours "communauté" toujours "scientifique" ira prétendre que ce 2900ième mensonge était totalement imprévisible.
Un sous groupe déviant ira même prétendre que ce n'est pas tant le mensonge proféré pendant son allocution qui a créé cette hostilité déterminante contre Georges Bush II que l'éternuement qui l'a saisi au milieu de la phrase.
(...)




Il est frappant de constater que les partisans du cahot et ceux du cycle répété pour l'éternel ont en commun de détester Laplace et Épicure, en l'avouant, de détester Newton (en le cachant) et de prier Saint Einstein, qui, grâce au refus de l'anisotropie, leur permet de continuer à faire leur petite tambouille "comme si" la Terre restait immobile. La seule question qui reste posée est celle-ci : La diffusion de masse des éléments de base pour une nouvelle science matérialiste précédera-t-elle la révolution sociale et la révolution civilisationnelle ?


Le scientifique sait que TOUT EST ÉCRIT !
La réponse de l'imbécile Bensaïd à ce plaidoyer en faveur de la science est son propre plaidoyer en faveur des imbécillités du fasciste Heisenberg.




"La logique historique s'apparente alors davantage au chaos déterministe qu'à la mécanique classique"
écrit le crétin.
La même haine que celle des Bohr, des Heisenberg et tous ces imposteurs, tous ces clowns diplômés qui se prétendent physiciens depuis 1927.
La mécanique classique est la science, la physique classique est le socle de la science.
Et les crétins du genre de Thom cessent de dire des âneries quand ils commencent - sans le dire - à piller Engels.



"Pour départager les interprétations, les écrits politiques sur les luttes des classes en France, sur la colonisation anglaise en Inde, sur les révolutions espagnoles ou sur la guerre de Sécession sont certainement plus utiles que les spéculations logiques. La centralité de la lutte des classes et leur issue incertaine exigent en effet une part de contingence et une notion non mécanique de causalité, une causalité ouverte en somme, dont les conditions initiales déterminent un champ de possibles sans déterminer mécaniquement lequel l'emportera. La logique historique s'apparente alors davantage au chaos déterministe qu'à la mécanique classique : tout n'est pas possible, mais il existe une pluralité de possibilités réelles entre lesquelles c'est la lutte qui tranche. Ici encore, il faut faire appel au Blanqui de l'Éternité par les Astres
pour qui, après les défaites récurrentes de 1832, 1848, 1871, "seul le chapitre
des bifurcations" restait "ouvert à l'espérance".


Les bifurcations des charlatans sont les ruptures du déterminisme du fasciste Heisenberg et de la mécanique quantique.
Ces charlatans sont les ennemis du déterminisme, les ennemis des causalités, les ennemis de la science.
Il n'est point un hasard de voir, ici, apparaître l'idiot Blanqui.
Quand Marx et Engels travaillaient à la science, quand Darwin travaillait à la science, les crétins Napoléon Bonaparte et Blanqui travaillaient à leurs petits complots de crétins.

Il n'est pas un hasard de voir la Fabrique être devenu le repaire de Blanqui, le repaire de Bensaïd, le repaire de Coupat-le-raciste.

L'idéologie de la rupture des causalités est l'idéologie du refus de la science. Les classes exploiteuses craignent de se voir démasquées, elles craignent de voir leur ignominie apparaître sur la scène de l'histoire, elles craignent de voir leur destinée être inscrite dans l'inéluctabilité.
Le salaire de Bensaïd sera annulé, il touchera 1000 euros comme tout le monde et devra rembourser les droits à polluer de sa surconsommation de grand formois - surconsommation qui aura contribué à la destruction de la Terre.
C'est cela que craignent toutes ces crapules néostaliniennes : l'inéluctabilité de leur faillite.
Le fascisme de la formoisie a pour nom "stalinisme".
On en voit déjà les activités dans la pratique politique de la LCR. Comme sous le stalinisme, les orateurs égalitaristes se font huer dans les assemblées générales, comme sous le stalinisme, la menace de l'internement psychiatrique est devenue la formation de base de leur abruti militant débutant. Il suffit de lire leur site revolution-celeonet pour les voir déverser leur haine : dessins, photos d'ambulances psychiatriques.
Ils appellent de leurs vœux le goulag pour leurs adversaires. Ils défendent avec acharnement les assassins trafiquants de drogues des FARC.
Ils instrumentalisent pour leurs basses œuvres les crétins néostaliniens du PCF arracheurs d'affiches.

Ce n'est que le mensonge des historiens qui laissa croire que la relativité était compatible avec le matérialisme : les faits nous démontrent que Staline persécuta les partisans de Lénine et du matérialisme.
Ce n'est que le mensonge des historiens qui masqua le fait que la victoire de la mécanique quantique fut, au sein de la gauche, la défaite du siècle des Lumières, la défaite de tout progrès scientifique.
Il est amusant de comparer les propos de l'éditeur de Bensaïd - Éric Hazan -avec ceux de la veuve Kennedy. Il fait l'apologie du "possible", des "individus", de l'"évènement".
Le crétin Hazan apprécie - à moins que ce ne soit Bensaïd lui-même qui ait rédigé son texte apologétique - il apprécie "une histoire ... sans garantie scientifique" !
Le label lui convient bien.



"ce n’est “ pas une mécanique du progrès, ni l’accomplissement d’un destin, mais une histoire où l’événement, les individus, les caractères ont toute leur place, où le possible n’est pas moins réel que le réel (…) Une histoire profane, sans prédestination divine ni garantie scientifique. Une histoire stratégique, qui se joue dans le conflit, aux points de bifurcation ”.


Le crétin Hazan n'aime pas l'histoire avec "prédestination", il préfère les histoires où les héros peuvent découvrir des "points de bifurcation" !
Il nous décrit un Bensaïd dont les élucubrations seraient "À l’opposé d’un Marx figé dans le déterminisme".

Les deux crétins n'aiment pas le déterminisme, ils aiment les héros.
Les deux crétins Hazan et Bensaïd ont, en cela, une illustre devancière !

La veuve Jackie Kennedy voulait influencer un des biographes de son mari assassiné, le journaliste Teddy White, qui rédigeait un article pour le magazine Life.***



“ " L'histoire n'est écrite que par des hommes amers et vieux, déclara-t-elle. La vie de Jack [surnom de John Kennedy, NdY] tient davantage du mythe, de la légende magique, de la saga et de l'histoire que de la théorie ou de la science politique. " C'est là qu'elle me parla de sa théorie de Camelot, rêve utopique de la célèbre comédie musicale américaine. Elle croyait, et John Kennedy partageait cette croyance, que l'histoire appartenait aux héros et que les héros ne devaient pas être oubliés. Elle ne voulait pas que John soit oublié, ni que ses actes soient fixés par la postérité sous une lumière défavorable. Elle voulait qu'on se souvienne de lui comme d'un héros. Elle me confia que souvent, la nuit, il écoutait Camelot sur leur phonographe et qu'il s'identifiait personnellement à travers les paroles de l'air final :" Que l'on n'oublie pas qu'il y eut un jour, pendant un bref moment étincelant, un lieu connu sous le nom de Camelot."
“ Elle en parlait avec une telle passion que, sous un certain angle, cela prenait presque un sens. J'avais bien conscience que c'était là une mauvaise interprétation de l'histoire, mais j'étais piégé par l'habileté
de Jackie à présenter la tragédie en des termes si humains et si romantiques. Il y avait aussi quelque chose d'extrêmement convaincant en elle. A ce moment précis, elle aurait pu me vendre n'importe quoi, une Cocotte minute ou le pont de Brooklyn.
" Mais, tout ce qu'elle voulait, c'était que je construise l'épilogue de Life autour du concept de Camelot. Ca ne semblait pas une demande si extravagante. Et je me dis en moi-même : pourquoi pas ? Si c'est tout ce
qu'elle veut, donnons-lui satisfaction. C'est ainsi que l'épitaphe de l'administration Kennedy est devenue Camelot - un épisode magique de l'histoire américaine, au cours duquel des hommes galants dansèrent avec des femmes superbes, de grandes actions furent accomplies et la Maison-Blanche devint le centre de l'univers."



En conclusion, chers lecteurs et lectrices égalitaristes, si vous n'aviez pas compris, dans les délires anti-scientifiques de Daniel Bensaïd, où se trouvait cachée l'opération Besancenot, la magouille Besancenot, il ne vous reste plus qu'à imaginer, chez eux, la nuit, Sabado, Krivine, Bensaïd et toute la clique, écouter, tout émus, la musique de Camelot, avec dans le rôle principal, le charmant prince Arthur Cendrillon : Olivier Besancenot, dans le rôle du maître d'hôtel Michel Drucker, et dans celui de la citrouille le NPA et tous les rats néostaliniens qui nous ont insulté ou s'apprêtent à le faire.
Là, alors, tout s'éclaircit !

Les honnêtes et naïfs adhérents de la LCR - il y en eut encore - se retrouvèrent à acheter à Sabado et Krivine une Cocotte minute et le pont de Brooklyn !

Nous leur ferons ouvrir les yeux en leur imposant des motions exigeant 1000 euros pour tous les Terriens.
Les honnêtes voteront pour et les malhonnêtes iront rejoindre la chorale des charlatans, des escrocs et des gangsters formois :"Que l'on n'oublie pas qu'il y eut un jour, pendant un bref moment étincelant, un lieu connu sous le nom de Camelot."


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NOTES ET SOURCES

Un lecteur de rue 89, en réponse à un texte apologétique (et mensonger) sur Besancenot nous présente Bensaïd comme un des actuels dirigeants de la IV° internationale.
La référence qu'il en donne est un article de l'Express du 24 mai 2004.
Pour L’Express (24 mai 2004), il “ serait le dirigeant le plus influent de la Ligue ”. Il siège au bureau de la IVe Internationale, signe de son rôle majeur, tout comme Alain Krivine, et trois autres presque inconnus, Christophe Aguiton (fondateur de Sud et pilier de l’altermondialisme), Daniel Bensaïd et Janette Habel.


Par ailleurs, Michel Onfray, le traître qui passa de la candidature Bové au soutien à Besancenot quand il vit que les sondages avaient varié, balance sur son blog les charlatans :

"Dans un dîner qui nous rassembla avec Alain Krivine et Daniel Bensaïd, Olivier Besancenot affirmait ne pas être trotskyste, et je le crois volontiers, car lui-même et ses deux comparses savent que les temps ont changé et que la cristallisation d’une gauche mouvementiste peut constituer une identité nouvelle pour une Ligue rénovée."
http://michelonfray.blogs.nouvelobs.com/

John Mullen (LCR Montreuil) démasque partiellement Bensaïd :

"Il poursuit en accusant les bolcheviques d’avoir sous-estimé l’importance de la démocratie, le pluralisme et la décentralisation. Nous trouvons là pourtant que Bensaïd tombe dans un piège. Critiquer les bolcheviques est tout à fait légitime. Mais quand les critiques sont extrêmement vagues, comme cela nous semble être le cas ici, elles ne permettent pas de clarifier l’avenir, elles ouvrent simplement la porte aux conclusions anti-révolutionnaires de nos adversaires. Les critiques que nous faisons de Lénine doivent être précises, et nous croyons qu’une présentation précise permet de défendre la ligne générale du gouvernement bolchevique dans les premières années après la révolution. On peut également regretter la diffusion ridiculement réduite de la brochure de Bensaïd, et son ton parfois excessivement universitaire (la citation de Kant contient une phrase de 72 mots). L’extrême gauche a sous-estimé l’importance de cette bataille idéologique. Il est déjà à noter à quel point l’anticommunisme a avancé quand on voit les défenseurs du marxisme devant écrire des brochures de réponse, à petite diffusion, à des best-sellers anticommunistes. On aurait préféré que la droite soit obligée de répondre à un best-seller “ En défense de Lénine ” ! Ceux qui connaissent la tradition théorique d’où sort la présente revue ne seront pas surpris de nous entendre ajouter un argument supplémentaire. Et si les crimes de Staline ou de Mao en Chine ou de Hoxha en Albanie…, et les horreurs décrites dans Le livre Noir du capitalisme avaient la même cause ? En effet, la définition des États de ce type comme une nouvelle variante, non de communisme, mais du capitalisme, le capitalisme d’État d’État, peut permettre d’éclairer le lien entre dictature et conditions économiques. Les camps de travail, le massacre des opposants, la collectivisation forcée et le stakhanovisme sont tous des phénomènes liés entre eux et causés par la décision de Staline de permettre à l’économie d’être entièrement dominée par la concurrence - le ‘besoin’ de ‘rattraper, puis dépasser’ les économies occidentales. Le livre noir du communisme est évidemment une partie d’une campagne idéologique qui vise à défendre le capitalisme. Mais son succès est aussi en partie le prix que paie la gauche radicale pour avoir défendu une analyse fausse des États dits communistes.
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bibliographie

sur le site de La Fabrique Le baratin des charlatans

Inventer l’inconnu
Karl Marx, Friedrich Engels
Textes et correspondance autour de la Commune
Précédé de Politiques de Marx, par Daniel Bensaïd
Dès avant la guerre franco-allemande de 1870, Marx et Engels échangent toute une correspondance sur les événements d’Europe, qui se poursuit pendant les combats, le siège de Paris et la Commune. Ce livre présente ces lettres peu connues, avec les textes célèbres autour de la Commune, dont l’Adresse à l’Internationale du 30 mai 1871, souvent appelée La Guerre civile en France. Cet ensemble poursuit le travail de Marx entrepris vingt ans plus tôt avec Le Dix-huit Brumaire de Louis Bonaparte et Les Luttes de classes en France. On voit s’y élaborer les thèmes de l’État moderne, des guerres nationales, du bonapartisme, de la république, de la démocratie, de la transfiguration des classes sociales dans leur représentation politique. L’impératif de solidarité envers les insurgés parisiens n’interdit jamais la lucidité et la critique devant l’écheveau de contradictions, les hésitations ou les inconséquences des acteurs, la tragédie du trop tôt ou trop tard. Que Marx soit autre chose qu’un théoricien de l’économie, que chez lui “ l’action politique ne se réduit jamais à la plate traduction d’une logique historique ”, c’est le sujet principal du texte de Daniel Bensaïd, Politiques de Marx. À l’opposé d’un Marx figé dans le déterminisme, ce qui se passe dans ces textes, ce n’est “ pas une mécanique du progrès, ni l’accomplissement d’un destin, mais une histoire où l’événement, les individus, les caractères ont toute leur place, où le possible n’est pas moins réel que le réel (…) Une histoire profane, sans prédestination divine ni garantie scientifique. Une histoire stratégique, qui se joue dans le conflit, aux points de bifurcation ”. Un passionnant dossier sur la Commune, qui “ a anticipé en actes sur le possible et l’impossible, de sorte que même ses projets et décisions inapplicables gardent un sens profond ”.
Daniel Bensaïd enseigne la philosophie à l’université Paris VIII Saint-Denis. Il a récemment publié à La Fabrique Les Dépossédés. Karl Marx, les voleurs de bois et le droit des pauvres.
Sortie le 14 novembre
300 pages /18 euros
ISBN 978-2-91-3372-85-6

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Je n'ai pas lu l'ouvrage au titre crétin :
Et cela ne me manque pas
Karl Marx. Les hiéroglyphes de la modernité. Daniel Bensaïd, Textuel, Paris, 2001. Une biographie complète, enrichie d’extraits de ses textes et de sa correspondance.


*** source "Jackie" page 338 par David HEYMAN Stuart-Laffont 1989. Un livre passionnant ! (20 centimes aux vide greniers)