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jeudi 7 juillet 2016

Le putsch terroriste de Sarkozy VS Gbagbo en Côte d'Ivoire Le témoignage de Sidiki Bakaba en 2011

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JEUDI 7 JUILLET 2016

Le Nouveau Courrier du 21 Juin 2011



QUAND SIDIKI BAKABA TEMOIGNE – COMMENT IL S’EST RETROUVE À LA RESIDENCE

« Je n’avais pas forcément l’intention de faire un film sur la crise postélectorale. Contrairement à ce qu’une légende bien orientée prétend, je ne suis pas allé sur le front avec l’intention de me battre arme au poing. C’est le front qui est venu vers moi ! Ma maison se trouve dans le pourtour présidentiel, à quelques minutes à pied de la Résidence présidentielle. Progressivement, les bruits de guerre se sont rapprochés. Un jour, je me réveille, et je vois devant mon domicile quelques centaines de jeunes combattants loyalistes. Ils m’expliquent qu’Abidjan est divisée, et que seuls les combattants sont dans la rue. Ils se reconnaissent par des noms de code bien spéciaux. Les uns, c’est « ami ami », les autres c’est « miaou miaou ».
Bref, ils m’expliquent que je ne peux pas sortir seul même pour acheter du pain. Et ils me proposent de m’escorter, de me protéger d’une certaine manière. J’écoute ces jeunes soldats, qui sont mes compagnons par la force des choses. Et il me semble que je retrouve dans leur bouche les mêmes mots que ceux des jeunes qui, les mains nues, ont affronté les chars français en novembre 2004. Sauf que là, ils sont armés. Ils disent qu’ils sont prêts à mourir… Ils répètent : « Nous voulons libérer la Côte d’Ivoire, nous voulons libérer l’Afrique. L’indépendance que vous, nos oncles, avez eue, elle n’est pas réelle. Nous avons la mémoire de 2004. Cette fois, cela ne se passera pas comme ça, ils ne nous trouveront pas les mains nues ». La phrase « il faut libérer l’Afrique » crée une résonance en moi. Nous l’avions prononcée il y a longtemps, quand j’étais jeune, quand nous commencions à remettre en cause les indépendances dans nos pays. Je suis donc allé voir, sentir, et pourquoi pas témoigner de ce qui apparaissait déjà comme un remake de novembre 2004 ».
VIVRE L’HISTOIRE
« Je ne voulais pas travailler à partir de ce qui a été écrit ou raconté par d’autres, mais vivre cette histoire-là, à l’endroit où je me trouvais. Comme les équipes de la chaîne de télévision franco-allemande Arte ont filmé la descente sanglante des FRCI à Abidjan, moi, je filmais ce qui est très vite apparue comme une résistance « héroïque » : quelques centaines de combattants qui font face aux assauts répétés d’adversaires soutenus logistiquement par l’armée française et par l’ONUCI. Mais qui, systématiquement, battent en retraite, perdent des hommes en masse, s’enfuient en laissant des liasses de faux billets offerts par leurs commanditaires poli- tiques – un mensonge fondamental qui explique sans doute aujourd’hui les actes de sabotage économique et de pillage forcené des FRCI.
Moi, qui ne peux plus dormir chez moi dans ce contexte explosif, filme également le petit monde qui s’est aggloméré autour de Laurent Gbagbo à la Résidence, préparé à partager une destinée tragique. Je vois arriver là les généraux Philippe Mangou (chef d’état-major des Armées) et Edouard Tiapé Kassaraté (patron de la gendarmerie). Des généraux que la rumeur accuse déjà de trahison. Très vite, Laurent Gbagbo nous éconduit, le cameraman de la RTI et moi. « Nous avons à nous dire des choses qui ne se disent pas devant les caméras », explique le chef de l’Etat. (…)
LES BOMBARDEMENTS SUR LA RESIDENCE
« À partir du 7 avril, les attaques des hélicos se sont intensifiées. On était obligés de se réfugier au sous-sol. Le 9 avril, la dégradation s’est accélérée. La bibliothèque de la Résidence a pris feu, contaminée en quelque sorte par des voitures qui se trouvaient dans la cour et qui, bombardées, avaient explosé littéralement.
Le vendredi, le bureau du président a été mitraillé au moment où il venait d’y entrer pour travailler un peu, comme si ses ennemis maîtrisaient ses mouvements. Miraculeusement, Gbagbo s’en sort, et retourne au sous-sol.
QUAND UN HELICO LE VISE
Le dimanche 10 avril, en milieu d’après-midi, l’amiral Vagba Faussignaux annonce que les forces internationales vont venir chercher l’ambassadeur d’Israël, et demande aux soldats de ne pas tirer sur leurs hélicos. Il est 16h40. Très rapidement, une intense campagne de bombardements – la plus terrible ! – est engagée. Et moi qui me trouve dans la cour, au niveau de la guérite, à l’entrée de la Résidence, je suis pris pour cible, contrairement à un canon bitube, qui ne se trouve pas trop loin. Une caméra accusatrice est sans doute une arme lourde bien plus menaçante… Je sens quelque chose d’animal.
Je me dis : « Cet hélico va me tirer dessus ». Je rentre dans le poste de contrôle. Je me couche par terre, et le mur s’effondre. Je suis comme projeté en l’air. Je retombe par terre. Je psalmodie. « Il n’y a de Dieu que Dieu ». Trois fois. Je me lève : une de mes jambes ne répond plus. Je sautille. Je me traîne jusqu’à l’infirmerie. Mon sang gicle de partout. Ils essaient de me soigner. Mais mon instinct de survie me pousse à ramper jusqu’au bâtiment principal. Je veux aller y mourir dignement.
Là-bas, les médecins commencent à m’inciser avec des rasoirs, sans anesthésie. Ils sortent des éclats d’obus tout noirs de mon corps. C’est atroce. J’ai des moments de perte de connaissance. Et des fois je reprends connaissance. Je dis des choses, je les chante. Je répète que cette indépendance réelle, dont ces jeunes qui sacrifient leurs vies rêvent, deviendra réalité un jour. A titre personnel, je suis persuadé que je vais mourir. Des rideaux brûlent. Les personnes les plus religieuses parmi nous semblent partagées entre transe et peur.
Je sens que c’est fini, avec la force des explosions. J’accepte le principe de ma mort. Je me dis que j’ai atteint plus de 60 ans, sur un continent où l’espérance de vie est de moins de 50 ans. Je n’ai ni le sentiment d’être un héros ni celui d’être un lâche, mais un homme qui meurt dignement ».
LE FAMEUX 11 AVRIL
Le lundi 11, les bombardements ont repris avec une force inédite. Trente chars français et six hélicos. Ce sont les chars qui détruisent le portail d’entrée à la Résidence. Les hélicos crachent leur déluge de flammes… et le sous-sol prend feu à nouveau. On veut remonter par la buanderie. Mais un commandant de l’armée nous dit que si on le fait, ils vont nous canarder. Nous sommes coincés dans un tunnel. Avec le chef de l’Etat, son épouse, les ministres. Il n’y a pas d’issue de secours.
Le portail de secours est bloqué. Celui qui en avait les clés a disparu. Avec les clés. Notre seul choix : mourir canardés ou asphyxiés. Pendant près de trente minutes, le commandant mitraille ce portail. Il réussit à le défoncer. Nous cachons le chef de l’Etat dans un endroit pas loin de la bibliothèque. C’est à ce moment-là que Désiré Tagro appelle les Français pour demander l’arrêt des tirs. On lui remet un drapeau blanc pour qu’il sorte négocier. Quand il sort, on lui tire dessus. Il revient pour dire au chef de l’Etat : « ils vont nous tuer ».
xdd
Cinq minutes après, des rebelles pénètrent dans la Résidence. »Le carnaval de violence commence, malgré le fait qu’Hervé Touré dit « Vétcho », s’oppose à l’assassinat des civils. Des personnes ont été tuées au rez-de-chaussée. Des coups de kalach, des coups de couteau, des balles dans les fesses… Les nouveaux “prisonniers”, y compris les religieux, mis entièrement nus, sans le moindre cache-sexe, doivent chanter, “On va installer ADO”. Certaines personnes sont mitraillées dans la cour. Et tombent. Mortes ? très probablement.
Les autres n’ont pas le temps de voir s’ils sont récupérables. Un homme filme sans relâche ce spectacle macabre. C’est un militaire français, un Blanc, le seul qui est franchement visible aux côtés des FRCI, qui est descendu des chars avec eux. Ce sont ses images à lui qui seront présentées par le ministre de la Défense française, Gérard Longuet, comme ayant été prises par la troupe d’Alassane Ouattara.
SAUVE PAR PAUL MADYS ET UN MILITAIRE FRANÇAIS
Quand je reprends conscience avant de m’évanouir à nouveau quelques temps après – je suis face à trois personnes, habillées en treillis. Chacune est coiffée d’un bonnet et d’une plume sur la tête. L’un d’entre eux dit, comme dans une scène de western : “Ah ! Sidiki Bakaba, toujours fidèle ! Fidèle jusqu’au bout ! Moi, j’aime les gens fidèles !” Il a un drôle de sourire aux lèvres. Il informe une personne par téléphone et par talkie walkie, de la présence du premier directeur général du Palais de la Culture d’Abidjan. “Au moins, il me connaît”, me dis je. Le plus jeune des trois hommes en treillis dévisage le “kôrô” mal en point, incapable de se défendre, à l’article de la mort. Il m’insulte en malinké, soulève la crosse de sa kazakh, me donne un violent coup sur la tête, puis en plein dans l’arcade sourcilière, me promettant de me bousiller un oeil. Malgré mon état, je sens une agression terrible. Il me prend ma montre et un talisman en argent. Il ne me reste que le chapelet de ma mère. Je retombe dans les pommes. Après avoir entendu dire : “On l’a attrapé, on le tient maintenant, Gbagbo.”
Quand je me réveille, je suis dans une brousse que je ne parviens pas à distinguer. En réalité, nous nous trouvons à proximité de le brigade de gendarmerie en contrebas de la résidence de Madame Thérèse Houphouët-Boigny avec d’autres blessés considérés comme trop amochés pour arriver à l’hôtel du Golf, où les caméras des journalistes de la presse internationale sont déjà allumées. Il est donc question, pour l’armée de Ouattara, de nous achever là. Mais les FRCI se heurtent au refus des soldats français. Derrière nous, il y a plusieurs soldats des FRCI avec des kazakhs qui nous promettent une mort certaine.
En face de moi, je vois trois silhouettes de militaires français, qui semblent s’opposer. À ma gauche, le chanteur Paul Madys. Avec toute son énergie, il est en train de plaider pour nous auprès des soldats français. Il dit : “On vous demande pardon, ne nous laissez pas. Ceux qui sont derrière, là, vont nous tuer.” En désespoir de cause, il offre sa vie pour la mienne. Il me regarde et dit aux soldats français : “Celui-là, vous ne pouvez pas le laisser. Prenez-le et laissez-moi, je vais mourir à sa place.” À ces mots, entre la vie et la mort, je ressens une sorte de “bouffée”, un “élan de foi en l’homme”. “C’était le contraire de l’inhumanité, de la violence que m’avait infligée le “blakoro” des FRCI à la résidence présidentielle. Dans cette Côte d’Ivoire, à ce moment-là, un homme, un frère, qui n’avait rien d’un mandingue, qui avait au moins vingt ans de moins que moi, donnait sa vie pour moi…” Alors que ses collègues veulent s’en aller, promettant aux blessés agglutinés là que l’ONUCI viendra les chercher, un militaire français fait le tour de son visage de son doigt, regarde Paul Madys dans les yeux et lui fait le serment de ne pas les abandonner, quand bien même ses collègues le feraient.
Il se débrouille pour trouver un char pour conduire les blessés au CHU de Cocody. (…) “Pour la première fois depuis longtemps, je ressens de la fraîcheur, je me sens bien, je perds connaissance.”À son réveil, je suis dans un tout autre décor. J’ouvre les yeux, je suis dans un hôpital. Les gens qui s’occupent de moi représentent l’espoir. Le médecin est akan, il y a là un gars de l’ouest, là une femme du Nord. Des fois, ils vont jusqu’à me prodiguer quatre heures de soin. Comme pour symboliser une Côte d’Ivoire unie par-dessus tout. Si j’étais mort dans cet hôpital, je serais parti avec cette image-là de mon pays, tout en me souvenant que celui qui a failli m’achever de ses coups de crosse sur le crâne était du nord.”
Au Chu, l’inquiétude règne. Et pour cause : les FRCI viennent enlever les malades pour les achever. Ceux qui le peuvent s’enfuient, avec la force qui leur reste. Je ne peux pas bouger. Une rumeur opportune, sans doute suscitée par ses protecteurs hospitaliers, me tient pour mort.Mais je vis. Dans le secret, mon épouse Ayala, qui se trouve en France, engage des démarches auprès du HCR à Paris, qui contacte la cellule africaine de l’Élysée, qui ne peut plus dire qu’elle ne savait pas. Nos polices d’assurance permettent une évacuation sanitaire. Mais ma femme doit rédiger, au travers de l’ambassadeur Ally Coulibaly à Paris, une lettre affirmant que son époux sort du pays en tant que Français et non en tant qu’Ivoirien.
Arrivé à l’aéroport dans une ambulance, je me déplace en fauteuil roulant. A ma vue, la petite foule des voyageurs et du personnel en service fond en larmes. « Mon Dieu ! On nous a dit que vous étiez mort ! », crient certains. Je m’engouffre dans l’avion, rempli à 70% de militaires français rentrant au pays, leur «mission» accomplie. Marqué par la haine selon son expression, je me prépare à de longs mois de soins et de rééducation.
POURQUOI IL NE RENIE PAS GBAGBO
Je retiens qu’aux derniers moments avant son arrestation, il m’aura vu. L’ami est l’ami, dans ma culture. Aujourd’hui qu’il est dans une situation difficile, je ne crache pas sur Gbagbo. Il a certes des défauts, mais il n’est pas le monstre qu’on dépeint. Je n’aurais pas composé avec un monstre. Il y a une sagesse qui dit chez nous « le fou de quelqu’un ici est le sage de quelqu’un ailleurs ».
L’homme que je connais est un homme qui m’a respecté, qui a respecté mes créations même s’il n’en a pas toujours fait une promotion à la mesure de ce que j’attendais. Je retiens qu’il m’a respecté, qu’il a respecté mon travail en se refusant à interférer, et c’est très important pour un homme de culture soninkée. Je pense que ces derniers jours là, il a dû penser aux petites anecdotes que je lui rappelais quand on avait l’occasion d’avoir des moments d’intimité.
Comme celle du rapport entre Samory, le dernier empereur résistant face à la pénétration coloniale, avec son ami et aîné Morifindian Diabaté, griot, mémoire vivante du pays et capitaine. Quand Samory a été arrêté à Guélémou en Côte d’Ivoire, Diabaté a proposé d’aller avec lui en prison. Les Français ont dit « non », et sont allés avec Samory au Gabon. Plusieurs mois plus tard, Morifindian est arrivé au Gabon par ses propres moyens. Ils se sont parlé, se sont rappelé les moments de gloire et les moments tristes. Quand Samory est mort, Diabaté l’a enterré.
Les Français lui ont proposé de le ramener en Côte d’Ivoire. Il a refusé. Il a creusé sa propre tombe à côté de celle de Samory. Et il leur a dit : « Quand je mourrai, vous m’enterrerez ici ». Et ses dernières volontés ont été respectées. Ce n’est qu’à la fin de son règne que Sékou Touré a ramené leurs cendres dans leur terroir ancestral mandingue, en Guinée. Ce n’est pas leurs faits de guerre, leur gloire, qui ont alors été célébrés, mais leur serment d’amitié, la valeur du serment d’amitié.
Là où il est, peut-être mon grand-frère se dira que je ne suis pas Louis Sépulvéda, romancier et compagnon de route d’Allende jusqu’à sa fin tragique au palais de la Moneda. Je ne suis pas Morifindian Diabaté, mais je suis Sidiki Bakaba avec mon histoire. Ceux qui racontent que j’ai combattu les armes à la main doivent savoir que je ne suis pas André Malraux qui s’est engagé et s’est battu dans un avion militaire contre le franquisme en Espagne. Il l’a fait par conviction. Il n’a pas été diabolisé pour autant. De Gaulle en a fait son ministre de la Culture. Moi, Sidiki Bakaba, j’attends mon De Gaulle »
in Le Nouveau Courrier du 21 Juin 2011

Les images TF1 montrent les milices terroristes de Sarkozy-Soro attaquant la Côte d'ivoire le 16 décembre 2010

Les commentaires de Harry Roselmack et Anne-Claire Coudray sont totalement mensongers mais les images sont impitoyables pour Sarkozy, Obama, Ban Ki Moon et les miliciens terroristes FN et ONUCI qu'ils ont envoyé attaquer la Côte d'Ivoire le 16 décembre 2010.
Ce sont les miliciens psychopathes terroristes Forces Nouvelles illégales et les troupes de Jean-Marie Bourry qu'on voit sur ces images. Des terroristes munis de lance-roquettes pour attaquer la police loyaliste du pays.
Un putsch téléguidé par la DGSE depuis l'Elysée avec l'aide des terroristes de l'ONU et de la CIA d'ObamaCe qui arrive en ce moment à Tony Blair sera ce qui se produira pour les criminels Obama, Sarkozy et Ban Ki Moon
Ils seront lourdement condamnés au Nuremberg de l'Afrique.

UN PUTSCH A MAINS ARMEES SUR CES IMAGES AVEC DES COMMENTAIRES TOTALEMENT MENSONGERS







mardi 10 mai 2016

Le 14 août 2011 le muezzin de la mosquée Doukouré Abidjan avait fait assassiner Aboubacar dit "Papa" un jeune musulman. Il l'avait pris pour un partisan de Gabgbo





par Yanick Toutain 
REVACTU
10/5/2016

"la famille du jeune a porté plainte mais il a été protégé et c'est resté sans suites" Source Résistance



DERNIERE HEURE : les résistants s'interrogent sur une SUBSTITUTION de TEMOIN





Au moment où le président du tribunal voyou CPI, Cuno Tarfusser menace les réseaux sociaux en leur interdisant de spéculer sur l'identité des (faux) témoins de l'accusation, remonte à la surface des événements criminels dont s'est rendu coupable le muezzin de la mosquée Doukouré.
Si les déductions logiques du blogueur Steve Beko sont avérées, c'est un assassin que le procureur Eric Macdonald est en train d'utiliser pour le complot au service des terroristes Soro-Ouattara.

Selon la résistance c'est la photo du faux témoin de la CPI
Sans doute le muezzin de la mosquée Doukouré à Abidjan
Naturellement, on attend que le procureur MacDonald convoque comme témoins les parents du jeune Aboubacar ainsi que les auteurs du crime.
On n'attend rien du tout !
C'est une bande criminelle CPI qui séquestre un président !
La justice est pour eux une vaste farce.
Selon la résistance :
la famille du jeune a porté plainte mais il a été protégé et c'est resté sans suites



VOICI LA COPIE EXACT DE CET ARTICLE PARU LE LENDEMAIN DU CRIME


Par la faute du muezzin de la mosquée du quartier ‘’Doukouré’’, située juste en face de cet autre quartier précaire dénommé‘’Yaosséhi’’, des jeunes musulmans de cette zone de la commune de Yopougon ont lynché à mort leur jeune coreligionnaire, Aboubacar, connu dans le quartier sous le nom de ‘’Papa’’. Selon des témoins de la scène, la victime qui souffre d’un palu aigu, aurait quitté le domicile familial, hier samedi 13 Août, aux environs de 22 heures pour, dit-il, « faire les cent pas » qui l’ont amené à se reposer dans la mosquée où il a passé sa dernière nuit sur terre. Nos sources ajoutent que le muezzin de la mosquée qui s’y est rendu, ce dimanche vers 5 heures du matin, a été effrayé par la présence du jeune homme qu’il a pris pour l’un des partisans de Gbagbo qui ont rendu la vie dure aux soldats de Ouattara, à l’ONUCI et à la Licorne dans la commune de Yopougon, après la chute de l’ex-chef de l’Etat, le lundi 11 Avril 2011. Le muezzin, pris de peur, ne s’est pas fait prier pour alerter les jeunes musulmans du quartier qui étaient déjà réveillés pour la prière de l’aube. Ceux-ci, sans hésiter, ont battu le jeune homme à mort. La famille de la victime qui l’a formellement identifié réclame, à présent, justice à la famille du muezzin de la mosquée de ce quartier précaire de Yopougon. Saisis de cette situation, des soldats de Ouattara qui se sont érigés en policiers, depuis l’installation forcée de Ouattara à la tête de ‘’Dioulabougou-cafouillagekro’’, par la France s’y sont rendu. A l’absence du muezzin, ils auraient interpelé et conduit au commissariat de police du 16ème arrondissement, l’un des responsables de la mosquée pour l’entendre sur ce meurtre qui est une preuve irréfutable de la persécution et des exécutions dont sont quotidiennement victimes les Ivoiriens qui se reconnaissent en Laurent Gbagbo.


mardi 29 mars 2016

Un ferme démenti du président Laurent Gbagbo aux élucubrations du mythomane girouette Sam l'Africain alias Mohamed Sam Jichi


par Yanick Toutain
REVACTU
29/3/2016

"Ces propos sont faux et dangereux eu égard au procès en cours à la CPI.

Ils sont faux parce que, au cours de son séjour à La Haye en tant que témoin à charge convoqué par le Procureur de la CPI, je n’ai eu aucun contact, ni direct, ni indirect avec l’auteur de ces propos. Par conséquent, je n’ai pu lui remettre un quelconque message de quelque objet que ce soit à remettre à qui que ce soit.
Ces propos sont dangereux parce qu’ils laissent croire que j’aurais rencontré un témoin convoqué par la partie adverse pour déposer à charges contre moi, ce qui est strictement interdit par les us et coutumes en la matière."

On vous l'avait dit : Sam l'Africain n'est pas assez intelligent pour savoir rester à sa place et savourer son triomphe : sa mythomanie de petit pantin Franceàfric a repris le dessus.
Il faut donc un démenti absolu du président Gbagbo aux complots de l'ONUCI qui a créé un 2° parti FPI à la botte de la bourgeoisie esclavagiste



« Je n’ai eu aucun contact, ni direct, ni indirect avec vous… Vos propos n’engagent que vous » (Communiqué)


Dans leurs parutions du Vendredi 25 Mars 2016, plusieurs organes de presse ont rendu compte d’une conférence de presse animée par le sieur Mohamed Jichi Sam dit Sam l’Africain. Au cours de cette conférence, ce dernier a affirmé ce qui suit:
• » Laurent Gbagbo reconnaît un seul FPI, celui dirigé par Affi N’Guessan »
• » il m’a donné un message pour ses parents et pour l’ensemble des ivoiriens. Je compte donner ce message le 2 Avril prochain au cours d’un meeting à Gagnoa »
Ces propos sont faux et dangereux eu égard au procès en cours à la CPI.

Ils sont faux parce que, au cours de son séjour à La Haye en tant que témoin à charge convoqué par le Procureur de la CPI, je n’ai eu aucun contact, ni direct, ni indirect avec l’auteur de ces propos. Par conséquent, je n’ai pu lui remettre un quelconque message de quelque objet que ce soit à remettre à qui que ce soit.
Ces propos sont dangereux parce qu’ils laissent croire que j’aurais rencontré un témoin convoqué par la partie adverse pour déposer à charges contre moi, ce qui est strictement interdit par les us et coutumes en la matière.

C’est pourquoi, j’apporte par le présent communiqué un démenti ferme à ces propos qui n’engagent que leur auteur.

Que Dieu bénisse la Côte d’Ivoire.

Le Président Laurent Gbagbo.
P/o Son Porte-parole
Le ministre KONE Katinan Justin


LIRE AUSSI

MARDI 8 MARS 2016


8 mars 2016 au procès de la Honte ! La France "accusée à 100%" Sarkozy accusé ! assassins de l'hôtel Ivoire accusés ONU véhiculant les rebelles accusée ! Et Sam l'Africain a fait tout ça en étant visiblement malade !


Bensouda Macdonald avaient un cheval de Troie 
Mais Sam L'Africain fait le procès
 de la France, de Sarkozy, de l'ONU etc
présentation Yanick Toutain
REVACTU
8/3/2016

REVACTU avait annoncé hier que Sam l'Africain n'avait plus peur d'être torturé par les assassins de Mahan Gahé !!

LUNDI 7 MARS 2016




Il vient de le prouver brillamment aujourd'hui

C'est quoi ce bordel ???LA JOURNEE D'AUJOURD'HUI A ETE MISE EN ACCUSATION DE LA FRANCE MISE EN ACCUSATION DE SARKOZY RAPPEL DES CRIMES DE l'HOTEL IVOIRE MISE EN ACCUSATION DE L'ONU TRANSPORTANT LES REBELLES DU GOLF





xxx

LUNDI 7 MARS 2016


MARDI 1 MARS 2016

JEUDI 18 FÉVRIER 2016


France : La trahison, spécialité Franceàfric (Gbagbo , Canard Enchaîné, Valls, Villepin, Chirac, Cosse, Hollande ….)


par Yanick Toutain

REVACTU
18/2/2016
Robert Boulin:
Un crime précipité
pour camoufler le financement du parti gaulliste
par les réseaux africains de la Franceàfric
le 30 octobre 1979

LUNDI 15 FÉVRIER 2016


#ProcèsdelaHonte Coup de tonnerre à la CPI ! Le témoin de l'accusation accuse IB "On a dit que IB est dangereux. On disait qu'il a tué beaucoup de personnes " L'allié politique de Ouattara et Soro sous les projecteurs de la résistance

par Yanick Toutain
REVACTU
15/02/2016
"C’est ainsi que Guillaume Soro s’est retrouvé auprès de moi comme porte-parole. Nous avons fait 2 ans et demi à Ouagadougou. Mais pour préparer mes hommes à l’attaque du 18 septembre, nous nous sommes retirés dans un camp et je les ai préparés pendant 6 mois (…) Il faut préciser que l’Etat Burkinabé nous a donné des villas. 
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX 

VENDREDI 12 FÉVRIER 2016


JEUDI 11 FÉVRIER 2016


JEUDI 11 FÉVRIER 2016


MERCREDI 10 FÉVRIER 2016

MERCREDI 10 FÉVRIER 2016


MARDI 9 FÉVRIER 2016


MARDI 9 FÉVRIER 2016


VENDREDI 5 FÉVRIER 2016


JEUDI 4 FÉVRIER 2016

MERCREDI 3 FÉVRIER 2016


#ProcèsDeLaHonte Le premier témoin de l'accusation révèle que l'appel se rendre vers la RTI le 16 décembre 2010 a été lancé par Soro sur la radio de l'ONUCI

Les VRAIS terroristes étaient sur TF1 le soir même
 de leur attaque. On apprend que c'est l"ONUCI
qui avait relayé l'appel de Soro à l'attaque !
présentation Yanick Toutain
REVACTU
3/2/2016

On a eu confirmation de l'implication terroriste de l'ONUCI dans une phrase que le procureur voyou MacDonald n'avait pas fait apprendre par coeur au "témoin" :


MARDI 2 FÉVRIER 2016




MARDI 2 FÉVRIER 2016

Toutes les citations et commentaires sur les interventionssont sur ce lien


VENDREDI 29 JANVIER 2016

Laurent Fabius s'est rendu à La Haye pour interdire à la CPI de libérer le président Gbagbo ! Un scoop de Michel Galy sur la nouvelle chaîne d'information africaine LGTV

MERCREDI 27 JANVIER 2016

condamnation 31000 euros avant de démissionner ! Taubira s'est vengée avec ses juges voyous de ma chanson 2007 "Pompiers de la révolte"

VENDREDI 22 JANVIER 2016


CET ARTICLE DU 2 JANVIER 2011 A ETE CONDAMNE EN FRANCE PAR DES JUGES VOYOUS DE 5 TRIBUNAUX ANGOULEME BORDEAUX LE HAVRE ROUEN
GOOGLE PROTEGE LA LIBERTE D'EXPRESSION ET NE L'A PAS EFFACE




DIMANCHE 2 JANVIER 2011


Jean-Marie Bourry : criminel fasciste ONUCI en Côte d'Ivoire. Protège des harki-putschistes, défend le fasciste FMI Ouattara. Coupable du génocide sanitaire contre l'Afrique. Il sera jugé avec Chirac, Sarkozy, Bouygues, Bolloré dans le Nuremberg de l'Afrique !!!

Dans un commentaire sur Abidjantalk concernant les méthodes à utiliser pour procéder à l'arrestation du nid fasciste de l'Hôtel du Golf, pour mettre hors d'état de nuire les putschistes ouattaristes qui ont attaqué les forces de police et l'armée régulière de Côte d'Ivoire, je préconise de mettre en lumière les noms des criminels qui, en toute illégalité, protègent un groupe de putschistes au service de capitalisme mondial.
En particulier un militaire français - Jean-Marie Bourry - qui, non content d'être une force supplétive aux fascistes Licorne, se permet de tenter un coup d'Etat en faveur d'un fasciste avéré Alassane Ouattara. Il protège un  Ouattara fasciste qui, en 1992, au service du capitalisme étranger imposait la misère aux Ivoiriens et emprisonnait l'opposant Laurent Gbagbo.
En tant que Premier ministre, il mène une politique de rigueur budgétaire qui est durement ressentie par la population ; mais il finit par assainir les finances publiques et redonner confiance aux bailleurs de fonds.  (wikipédia Alassane Ouattara)
Il protège un fasciste qui tente un coup d'Etat contre Laurent Gbagbo.

En mai 1991 puis en février 1992 ont lieu d'importantes manifestations étudiantes. Le 18 février, le Premier ministreAlassane Ouattara fait arrêter Gbagbo, après avoir fait signer la veille au chef de l'État une loi anti-casseurs[10]. Gbagbo est condamné le 6 mars à deux ans de prison[11] ; il est finalement libéré en août de la même année.(Wikipédia)
Déjà, en 1990 Laurent Gbagbo était un "opposant" qui aurait du gagner les élections si les résultats n'avaient pas été truqués par les fascistes étrangers. (FX Vershave nous en donnait les preuves)

Dites à Laurent Gbagbo qu'il fera 18 % !

"Dites à Laurent Gbagbo qu'il fera 18 % [à l'élection présidentielle de 1990 contre Flélix Houphoüet]
- Mais les sondages lui donnent plus de 60 %
- On ne vous dit pas le score qu'il vaut, mais le score qu'il fera"

Dialogue entre un conseiller élyséen et l'avocat de Laurent Gbagbo, Me Sylvain Maier, rapporté par ce dernier.
extrait de Noir Silence de François Xavier Verschave
qui cite Pierre Prier Les grandes manœuvres de l'après Bédié.
dans Le Figaro du 29/12/1999
Une nouvelle fois, ce sont les fasciste étrangers, cette pourriture qu'est la France à fric - munie de ses bras armés - qui vient IMPOSER SON TALON DE FER aux malheureux Africains.
"En divers endroits, dispersés dans tout le pays, il y avait eu des révoltes et des massacres d’esclaves. La liste des martyrs s’accroissait rapidement. D’innombrables exécutions avaient lieu un peu partout. Les montagnes et les contrées désertes regorgeaient de proscrits et de réfugiés traqués sans merci. Nos propres refuges étaient bondés de camarades dont la tête était mise à prix. Grâce aux renseignements fournis par les espions, plusieurs de nos asiles furent envahis par les soldats du Talon de Fer. " 
Le but, c'est FAIRE CREVER TOUJOURS DAVANTAGE DE BEBES AFRICAINS POUR AUGMENTER LES PROFITS DES BOLLORE, BOUYGUES ET AUTRES ESCLAVAGISTES !!

L'esclavagiste de Rome - Marcus Licinius Crassus- commandait l'armée qui vint écraser Spartakos, ici, les esclavagistes envoient Jean-Marie Bourry !
Celui-ci portera le signe de l'infamie fasciste pour le restant de ses jours.
Voici le commentaire que j'ai posté tout à l'heure sur Abidjantan.com
Son Excellence Kouassi Foly-vi a écrit:
Djati, je suis d'accord avec toi concernant l'Afghanistan, mais la différence entre les Afghans et Ivoiriens c'est le fait d'être prêt à mourir au nom de sa religion. Aucune armée au Monde ne peut vraiment gagner face à des gens qui n'ont pas peur de la mort.
Mais à Abidjan, qui est prêt à cela? Qui est prêt à accepter que cette ville et son Plateau devienne un champ de ruine? Qui est prêt à aller vivre comme un paria en brousse , et de ne réapparaitre que pour se jeter sur un char avec une ceinture d'explosif autour de la taille?
Quand je vois Blé Goudé appeler à prendre d'assaut l'hotel du Golf , je me dis que c'est du délire complet. En effet , les casques bleus sont issus de plusieurs pays dont l'opinion nationale n'acceptera absolument pas leur mort. La Côte d'Ivoire est-elle prête à faire la guerre à chacun de ces pays ?????
Quel est le but de tout ces messages haineux , vindicatifs , guerriers? Couler définitivement la CI, ou quoi??


Pour les nouveaux lecteurs, j'informe que ce monsieur est un harki qui, depuis des années tente de démoraliser TOUS CEUX et TOUTES CELLES qui combattent la France à fric, la colonisation, l'esclavagisme qui ECRASE L'AFRIQUE.
Les combattants patriotes - qu'ils soient d'origine africaine proche ou lointaine (enfants de nos ancêtres africains Adam et Eve) sont l'objets des quolibets et des insultes de cet agent touristique de Nice la ville de l'ancien secrétaire d'État chargé de l'Outre-merChristian Estrosi, ce traitre qui, entre deux dépenses virtuelles de kérosène,vient faire un petit tour sur Abidjantalk pour nous insulter.
C'est à cause de ce genre d'iudividu que j'ai demandé à son auteur d'effacer son imbécile proposition terroriste.
C'est UNE FORCE LEGITIME qui  doit procéder à l'ARRESTATION DU PUTSCHISTE OUATTARA.

Et donc TOUS les pays qui ont ENVOYE des MILICES ONUCI pour DEFENDRE LE FASCISTE dans sont HOTEL doivent VOIR LEURS GOUVERNEMENTS ETRE RENVERSES PAR LE PEUPLE !

Gbagbo doit dire : CE FASCISTE-PUSTCHISTE est protégé par les contingents envoyés par les gouvernements de ces pays
IL FAUT DONNER LA LISTE DE CES PAYS ET APPELER A DES MANIFESTATIONS INSURRECTIONNELLES : APPELER A LA DELEGATION GENERALE REVOCABLE.

LA CARTE AVEC LA LISTE DES PAYS OCCUPANTS ZONE PAR ZONE EST SUR CE LIEN

VOS GOUVERNEMENT NOUS ENVOIENT DES TROUPES FASCISTES POUR OCCUPER NOTRE PAYS : DESIGNEZ VOS DELEGUES REVOCABLES ET RENVERSEZ VOS GOUVERNEMENTS !

EN COMMENCANT PAR RENVERSER LE CRIMINEL IDRISS DEBY

IL FAUT RENVERSER L'EXECUTEUR DEBY.
ET ENVOYER EN PRISON ABOU MOUSSA !!!!
UN HARKI TRAITRE A L'AFRIQUE, AU SERVICE DES PUISSANCES ESCLAVAGISTES !!!
IL AURAIT DU DEMISSIONNER DES L'ANNONCE DE L'OCCUPATION !

POUR MENER LA GUERRE PSYCHOLOGIQUE DE RESISTANCE, IL FAUT PHOTOGRAPHIER TOUS LES SOLDATS DE L'ONUCI ET METTRE EN LIGNE LEURS PHOTOS !
POUR QU'ILS SOIENT MIS AU PILORI PAR LEURS CONCITOYENS COMME DES FASCISTES BARBARES

Jean-marie BOURRY
Nom:Jean-marie  BOURRY
Naissance:21 Octobre 1953
Lieu:Poitiers (France)

Nationalité:
Française
Occupation:Commissaire divisionnaire, Chef de la Police de l`Onuci
Famille:Met père de 3 enfants

Jean-marie  BOURRY

 Commissaire divisionnaire, Chef de la Police de l`Onuci




Qui est Jean-marie  BOURRY
?


Le Commissaire
Jean-Marie Bourry, de nationalité Française, assure la fonction de Chef
de la composante de la police de l’Opération des Nations unies en Côte
d’Ivoire (ONUCI) depuis le 10 septembre 2009.

Biographie

Commissaire
divisionnaire et policier spécialisé en sécurité publique en unités
territoriales, depuis 1984, Jean-Marie Bourry a exercé différentes
fonctions au sein des Nations unies où il est entré en novembre 1994 en
tant qu’adjoint au Commandant de la Police de la région de port au
Prince- Mission des Nations unies en Haïti jusqu’en octobre 1995. De
janvier 2008 à juillet 2009, il assure la fonction de Directeur des
opérations de Police de la MINUSTAH dont cinq mois d’intérim sur la
fonction de commissaire adjoint
M Bourry avait déjà eu des contacts avec les gendarmes et policiers
ivoiriens avec lesquels il avait travaillé durant 18 mois, dans le cadre
de la MINUSTHA (Mission des Nations unies pour la stabilisation en
Haïti) où les plus gradés des ivoiriens ont été nommés a des postes de
responsabilités octroyées par la Direction de la Police Onusienne.
Le Commissaire Jean-Marie Bourry a étudié les Sciences économiques à
l’Université de Poitiers où il a obtenu une Maitrise en 1977. Il est
également diplômé de l’Ecole Nationale Supérieure de Police de Saint-Cyr
au Mont d’Or en 1984.
En France, le Commissaire Bourry a servi dans diverses régions notamment
l’Ouest, la région parisienne et le Nord. Ses fonctions l’ont conduit à
occuper de multiples postes de Chef de service territoriaux avec un
cursus ayant évolué vers des commissariats de Police d’envergure
croissante, alternant cités sensibles et circonscriptions plus
provinciales.
Il est décoré des Médailles de la MINUHA (Mission des Nations unies en
Haïti) et de la MINUSTAH ainsi que de la Médaille d’honneur de la
police Française.
++++++++++++
FASCISTES PAKISTANAIS DONT LE GOUVERNEMENT PROTEGE LES ISLAMO-FASCISTES


125 policiers pakistanais de l’ONUCI honorés de la médaille des Nations Unies


Guiglo, le 18 janvier 2010... Le

Chef de la police de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire
(ONUCI), Jean-Marie Bourry, a remis, vendredi 15 janvier, la médaille de
l’ONU aux 125 membres de l’Unité des Forces Spéciales pakistanaise,
PAK-FPU 3, basée à Guiglo.

« Cette médaille que vous recevez est la
reconnaissance de vos efforts exceptionnels déployés dans le cadre de
la mission des Nations Unies », a indiqué M Bourry aux récipiendaires.

Le commandant du PAK-FPU 3, le
lieutenant colonel Gohar Zaman, a réitéré l’engagement de son unité au
processus de sortie de crise en Côte d’Ivoire. « Nous apportons notre
assistance et des valeurs humanitaires aux populations de cette
région », a –t-il souligné.

Le PAK-FPU 3 fournit, notamment, des
consultations médicales gratuites, de l’assistance aux enfants
défavorisés et de l’aide alimentaire aux populations de Guiglo et des
localités environnantes.

Une minute de silence a été observée,
lors de la cérémonie de remise des médailles, à la mémoire de tous les
soldats tombés aux champs d’honneur sous le drapeau des Nations unies.

- Voir les photos


125 policiers pakistanais de l’ONUCI honorés de la médaille des Nations Unies
Publie le:lundi le 18 janvier 2010




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Ce Jean-Marie Bourry est un FASCISTE qui tente d'IMPOSER UN GOUVERNEMENT D'OCCUPATION A LA CÔTE D'IVOIRE.
Ce sont ces CRIMINELS qui sont RESPONSABLES DE LA MORT DE 3 MILLIONS DE BEBES AFRICAINS.
QUAND LEUR PAYS SOUTIENT LE TRAFIQUANT DE DROGUE HAMID KARZAI, ils viennent en Afrique DONNER DES LECONS DE MORALE dont la fonction est d'assurer les PROFITS DE VINCENT BOLLORE.

Ce Jean-Marie Bourry, CRIMINEL de l'ONUCI sera jugé par le NUREMBERG DE L'AFRIQUE.
Il sera sur le banc d'infamie en compagnie des Chirac, Sarkozy, Bolloré, Bouygues etc etc.... dont les crimes sont PLUSIEURS DIZAINES DE MILLIONS DE MORTS DE BEBES AFRICAINS. (2,6 millions actuellement, 3 millions par an jusqu''en 2005. Source INED)