par Yanick Toutain
12/09/2011
12/09/2011
« Pendant trente ans, Jacques Foccart
a été en charge, entre autres choses,
des transferts de fonds
entre les chefs d’État africains et Jacques Chirac.
Moi-même,j'ai participé à plusieurs
remises de mallettes à Jacques Chirac,
en personne, à la mairie de Paris. (…)
«Il y a du lourd ?» demandait Chirac
quand j'entrais dans le bureau. (…)
Il prenait le sac et se dirigeait
vers le meuble vitré au fond de son bureau
et rangeait lui-même les liasses.
Il n'y avait jamais moins
de 5 millions de francs [760 000 euros].
Cela pouvait aller jusqu'à
15 millions [2,3 millions d'euros] . »
Témoignage de Robert Bourgi
dans le JDD 11/09/2011 p.2
« Par mon intermédiaire, et dans son bureau, cinq chefs d'Etat africains – Abdoulaye Wade (Sénégal), Blaise Compaoré (Burkina-Faso), Laurent Gbagbo (Côte d'Ivoire), Denis Sassou Nguesso (Congo-Brazzaville) et, bien sûr Omar Bongo (Gabon) – ont versé environ 10 millions de dollars pour cette campagne de 2002. »
Témoignage de Robert Bourgi
dans le JDD 11/09/2011 p. 3
On rirait volontiers de ces anecdotes,
dignes des Pieds Nickelés,
si elles ne transpiraient pas
la dictature et le pillage,
si elles n'étaient cautionnées par
le chef d'un État
membre permanent
du Conseil de sécurité,
chef d'une armée dotée
de l'arme nucléaire,
accoutumée à l'arme ethnique.
(François-Xavier Verschave
mars 2000 « Noir Silence »)
Pour tout Africain informé, pour tout habitant éclairé de la planète Terre, le cas de ce convoyeur d'abus de biens sociaux qu'est Robert Bourgi est connu depuis plus d'une décennie.a été en charge, entre autres choses,
des transferts de fonds
entre les chefs d’État africains et Jacques Chirac.
Moi-même,j'ai participé à plusieurs
remises de mallettes à Jacques Chirac,
en personne, à la mairie de Paris. (…)
«Il y a du lourd ?» demandait Chirac
quand j'entrais dans le bureau. (…)
Il prenait le sac et se dirigeait
vers le meuble vitré au fond de son bureau
et rangeait lui-même les liasses.
Il n'y avait jamais moins
de 5 millions de francs [760 000 euros].
Cela pouvait aller jusqu'à
15 millions [2,3 millions d'euros] . »
Témoignage de Robert Bourgi
dans le JDD 11/09/2011 p.2
« Par mon intermédiaire, et dans son bureau, cinq chefs d'Etat africains – Abdoulaye Wade (Sénégal), Blaise Compaoré (Burkina-Faso), Laurent Gbagbo (Côte d'Ivoire), Denis Sassou Nguesso (Congo-Brazzaville) et, bien sûr Omar Bongo (Gabon) – ont versé environ 10 millions de dollars pour cette campagne de 2002. »
Témoignage de Robert Bourgi
dans le JDD 11/09/2011 p. 3
On rirait volontiers de ces anecdotes,
dignes des Pieds Nickelés,
si elles ne transpiraient pas
la dictature et le pillage,
si elles n'étaient cautionnées par
le chef d'un État
membre permanent
du Conseil de sécurité,
chef d'une armée dotée
de l'arme nucléaire,
accoutumée à l'arme ethnique.
(François-Xavier Verschave
mars 2000 « Noir Silence »)
Il est l'un des membres d'un réseau mafieux international qui dirige à la fois un pays « démocratique » comme la France et une nuée de pays en Afrique, tous sous botte fasciste : Sénégal, Burkina-Faso, Côte d'Ivoire, Gabon, Congo-Nguesso, Guinée équatoriale Congo-Zaïre, etc...
En 2000, Français Xavier Verschave évoquait la façon dont l'agent local du gang France à fric – « Mohamed Tarki, le candidat des réseaux » - a été « intronisé » « démocratiquement » au Comores
« Il a été adoubé par une galaxie d'amis RPR, chiraquiens (Jean-François Charrier, Robert Bourgi, Fernand Wibaux...) ou pasquaïens comme Jean-Jacques Guillet, animée à Paris par l'incontournable Saïd Hilali.
(…) [Taki] engage rapidement son régime sur une pente totalitaire. »
(FX Verschave Noir Silence)
(…) [Taki] engage rapidement son régime sur une pente totalitaire. »
(FX Verschave Noir Silence)
LA MAFIA FRANCE A FRIC :
DU PCF AU FN, UN GANG MAFIEUX GÉANT
AUX MULTIPLES BOUTIQUES CONCURRENTES
POUR PILLER ET MAINTENIR
L'AFRIQUE EN ESCLAVAGE
Contrairement à l'assertion du journaliste Vincent Hugeux qui voit (RMC 12/9)DU PCF AU FN, UN GANG MAFIEUX GÉANT
AUX MULTIPLES BOUTIQUES CONCURRENTES
POUR PILLER ET MAINTENIR
L'AFRIQUE EN ESCLAVAGE
« Un spectre qui coule du parti socialiste au front national »,
les frontières de ce gang vont plus à gauche que ce qu'il prétend : Le PCF et le parti Vert en sont aussi membres : Ils sont deux partis qui cautionnèrent l'occupation militaire de l'Afrique. Pour la dernière période de 1997 à 2002, ils sont co-responsables – dans le gouvernement Jospin - de la mort de 15 millions de bébés africains.On a même les preuves de la corruption du PCF par l'entreprise mafieuse Total-Elf.
Le film « Les prédateurs » nous montrait même les mallettes que versait le gangster Elf Alfred Sirven. Trois grosses pour les UDF, RPR, PS et une plus petite pour les corrompus stalino-fascistes du…. PCF ! Mais pour ces derniers, leur soutien au lobby du nucléaire leur valait un complément de ressources par la corruption de la CGT-EDF.
L'AIDE DROITE CHIRAQUIENNE
DU GANG BALANCEE
PAR LE REPENTI BOURGI
Hier, dans l'hebdomadaire JDD (Journal Du Dimanche) c'est la partie droite du réseau mafieux qui se retrouvait mis sous les projecteurs.DU GANG BALANCEE
PAR LE REPENTI BOURGI
On a droit un véritable déballage.
C'est pour ces pitreries criminelles que trois millions de bébés africains mouraient en 2005 ! Un chiffre officiel de l'INED !
On y voit un Jacques Chirac recevant des mains de l'agent de liaison du gang - Robert Bourgi- , des liasses de billets et les ranger lui-même :
« Pendant trente ans, Jacques Foccart a été en charge, entres autres choses, des transferts de fonds entre les chefs d'Etat africains et Jacques Chirac.
Moi-même,j'ai participé à plusieurs remises de mallettes à Jacques Chirac, en personne, à la mairie de Paris. (…)
«Il y a du lourd ?» demandait Chirac quand j'entrais dans le bureau. (…)
Il prenait le sac et se dirigeait vers le meuble vitré au fond de son bureau et rangeait lui-même les liasses.
Il n'y avait jamais moins de 5 millions de francs [760 000 euros]. Cela pouvait aller jusqu'à 15 millions [2,3 millions d'euros] . »
Témoignage de Robert Bourgi dans le JDD 11/09/2011 p.2
jeudi 5 novembre 2009
Algérie : Jacques Chirac, violeur de femmes algériennes.
[Dominique de Villepin] « Je l'ai présenté aux chefs d'Etat africains. Au début, ils se sont étonnés de devoir traiter avec Villepin qui avait déjà son discours officiel sur la « moralisation » » Témoignage de Robert Bourgi dans le JDD 11/09/2011 p.2
On voit là le cynisme de ces gangsters !Au moment où ils pillent les ressources africaines et qu'ils perpétuent l'esclavage salarié à 50 euros, certains parmi eux se chargent du discours moral. Comme le discours de « morale colonialiste » que le pourri Chatel préconise pour les enfants des écoles primaires.
Mais, qu'un Villepin prétende défendre la morale, cela ne doit pas effrayer ses complices gangsters.Il faudra donc « expliquer » le « paradoxe » aux crétins kapos d'Afrique !
On a là un dialogue édifiant entre un Al Capone et le secrétaire de l’évêque. Le premier craignant que les prêches en chaire ne soient destinés à être mis en application.
Mais le secrétaire de l'évêque précheur des Nations Unies rassure vite les gangsters du Sud – ses complices.
« Je leur ai dit que c'était une décision du « Grand », autrement dit de Chirac. Je dois dire que Villepin s'y est bien pris avec eux. Que le courant est bien passé. Il a su y faire... Il m'appelait « camarade » et s'est mis à m'offrir du whisky pur malt de 1963. »Témoignage de Robert Bourgi dans le JDD 11/09/2011 p.2
Comme les journaux craignent la 17° chambre du Tribunal correctionnel de Paris, le journaliste téléphone samedi au gangster Villepin.Pour obtenir un démenti …. démenti confirmant l'habituelle hypocrisie de celui qui était ministre des Affaires Étrangères quand l'occupation militaire qu'il organisait en Afrique faisait TROIS MILLIONS DE MORTS par an.
« Tout cela n'est que fariboles et écrans de fumée. Je n'ai jamais cessé, depuis 1993, de me mobiliser contre les réseaux de quelque nature que ce soit, en vue d'une moralisation de la vie politique dans le cadre fixé par Jacques Chirac. »
Tout le reste n'est que … fariboles !!! L'homme qui cautionna – de 1995 à 2007, la mort de plus de 36 MILLIONS DE BEBES AFRICAINS sera jugé dans le NUREMBERG DE L'AFRIQUE !
COMME LES AUTRES :
VILLEPIN SERA CONDAMNE
PAR LE NUREMBERG DE L'AFRIQUE !
Nous avons toutes les raisons de considérer que c'est Robert Bourgi – le repenti de cette bande de gangsters criminels – qui nous donne la vérité sur les faits.VILLEPIN SERA CONDAMNE
PAR LE NUREMBERG DE L'AFRIQUE !
Et les remises de valises ont continué ?
« Elles n'ont jamais cessé. A l'approche de la campagne présidentielle de 2002, Villepin m'a carrément demandé « la marche à suivre ». Il s'est même inquiété. C'est sa nature d'être méfiant. Je devais me présenter à l'Elysée sous le nom de « M. Chambertin », une de ses trouvailles. Pas question de laisser de traces de mon nom. »
« Elles n'ont jamais cessé. A l'approche de la campagne présidentielle de 2002, Villepin m'a carrément demandé « la marche à suivre ». Il s'est même inquiété. C'est sa nature d'être méfiant. Je devais me présenter à l'Elysée sous le nom de « M. Chambertin », une de ses trouvailles. Pas question de laisser de traces de mon nom. »
A cette étape, ce qui fait révélateur, c'est la CORRUPTION TOTALE de la prétendue « justice » française.
Dans un État révolutionnaire, une telle révélation aurait été suivie, dans la foulée – et donc DÈS DIMANCHE – d'une PERQUISISTION A L'ELYSEE !
Dans un État révolutionnaire, une telle révélation aurait été suivie, dans la foulée – et donc DÈS DIMANCHE – d'une PERQUISISTION A L'ELYSEE !
PAS DE PERQUISITION A L'ELYSEE DIMANCHE :
JUGES POURRIS ! ÉTAT POURRI !
Face à de telles accusations de forfaitures, de complot d'un chef d'Etat – Chirac – au service de puissances étrangères – africaines -... une justice honnête se serait empressée d'aller vérifier les assertions de celui que le france-à-fricain de permanence nous présente comme « mythomane ».JUGES POURRIS ! ÉTAT POURRI !
Pour aller vérifier qui ment, du france-à-fricain Jean-François Probst ou du france-à-fricain Robert Bourgi, il suffisait d'aller vérifier sur les archives de l'Elysée si des traces des visites d'un certain « M. Chambertin » s'y trouvaient encore !
Mais nous sommes en France !
Où un Marin n'est pas en prison …. mais monte en grade !!!
Aucun juge n'est donc allé perquisitionné à l'Elysée !
Un Watergate en France ?
Ce sont des dizaines et des dizaines de Watergate que les journalistes aux ordres étouffent chaque année !!!
La suite, nous la connaissons depuis des années et des années.
« Par mon intermédiaire, et dans son bureau, cinq chefs d'Etat africains – Abdoulaye Wade (Sénégal), Blaise Compaoré (Burkina-Faso), Laurent Gbagbo (Côte d'Ivoire), Denis Sassou Nguesso (Congo-Brazzaville) et, bien sûr Omar Bongo (Gabon) – ont versé environ 10 millions de dollars pour cette campagne de 2002. »
Ce que FX Verschave, ce que l'association Survie (avant qu'elle ne pourrisse en décembre dernier), ce que des Medhi Ba et tant d'autres dénonçaient depuis le continent européen, ce que les patriotes combattants dénonçaient avec vigueur depuis le continent martyr, les Thomas Sankara, les Mongo Béti, les Norbert Zongo et tous ceux qui furent assassinés ou réduits au silence, – la corruption de la France à fric l'existence d'un gang international où les deux centres sont gaullistes et socialistes et les périphéries communistes et fascistes – ne peut surprendre que les naïfs et les jeunes découvrant la politique.ROBERT BOURGI ET SON « PAPA BONGO »
En mars 2000, FX Vershave nous narrait les exploits d'intermédiaire et épistolaires du même Robert Bourgi :« Pour le journaliste Antoine Glaser, Bongo est « le plus vieil homme politique francophone. Il connaît tout le monde, connaît tous les secrets et a financé tous les partis. » Il connaît de même tous les « frères » franco-africains, passant en 1980 du Gand Orient de France à la Grande Loge nationale de France (GLNF), sans renier sa première obédience. La très influente GLNF est aussi cogérante du Gabon puisque, se flatte-telle, « pratiquement toute l'élite du pays et les dirigeants font partie de cette Grande Loge [du Gabon] ». L'ancien directeur de la DGSE Pierre Marion achève le tableau : « Les subsides de Bongo servent à tout le monde lors des élections françaises et créent une sorte de colonialisme à l'envers ». La consigne est donc générale dans les bureaux des décideurs parisiens : « Il faut sauver le soldat Bongo ! » d'une possible défaite lors du scrutin du 6 décembre 1998.
Pas de problème en principe. Pour la Saint-Nicolas, on ressort la machine électorale made in France. La machine vote massivement Bongo. Le miracle informatique, rodé dans maints pays d'Afrique, multiplie à volonté les électeurs et les votants, transforme une minorité en majorité, une défaite ou un ballottage en victoire. Avec 4 chiffres significatifs : 66,55 % Bingo pour Bongo ! Pourquoi lésiner ?
En France, la réélection d'Omar serait peut-être passée comme une lettre à la poste, dans l'indifférence des médias, si l'avocat de Bongo, le foccartissime Robert Bourgi, n'avait voulu trop en faire. Au frais de la princesse (…) il a dépêché une escouade d'observateurs peu crédibles : treize gens de robe dont l'avocat élyséo-africain Francis Szpiner ; et, malencontreusement, le magistrat Georges Fenech.
Ce président peu médiatique de la très droitière Association professionnelle des magistrats (APM) venait d'être projeté malgré lui au faîte de l'actualité par la provocation antisémite de l'un de ses adhérents, et non des moindres. Alain Terrail, avocat-général à la Cour de Cassation (…) Bref, une bouffée raciste en France. Par ricochet, elle médiatise la virée néocoloniale d'une curieuse Association internationale pour la démocratie – également présidée par Georges Fenech. Objet de l'excursion : valider, avec douze apôtres du bon droit, l'élection forfaitaire d'Omar Bongo.
Trop c'est trop. Le Parti Socialiste se fend d'un communiqué : « Les relations entre la France et l'Afrique ont changé [?]. Il serait dommage que certains milieux politiques français ne s'en soient pas aperçus ». (…)
Mais, le plus frappant encore, c'est qu'après avoir noté l'appel hypocrite des socialo-fascistes du PS français (les complices des crimes de janvier 2011 commis par Ben Ali en Tunisie et les complices des crimes de février 2011 commis par Moubarak en Egypte), FX Verschave nous donnait la suite des événements. Après avoir relevé que les socialistes réclamaient du pourri Chirac qu'il cesse de se comporter d'une façon aussi pourrie que la leur,Pas de problème en principe. Pour la Saint-Nicolas, on ressort la machine électorale made in France. La machine vote massivement Bongo. Le miracle informatique, rodé dans maints pays d'Afrique, multiplie à volonté les électeurs et les votants, transforme une minorité en majorité, une défaite ou un ballottage en victoire. Avec 4 chiffres significatifs : 66,55 % Bingo pour Bongo ! Pourquoi lésiner ?
En France, la réélection d'Omar serait peut-être passée comme une lettre à la poste, dans l'indifférence des médias, si l'avocat de Bongo, le foccartissime Robert Bourgi, n'avait voulu trop en faire. Au frais de la princesse (…) il a dépêché une escouade d'observateurs peu crédibles : treize gens de robe dont l'avocat élyséo-africain Francis Szpiner ; et, malencontreusement, le magistrat Georges Fenech.
Ce président peu médiatique de la très droitière Association professionnelle des magistrats (APM) venait d'être projeté malgré lui au faîte de l'actualité par la provocation antisémite de l'un de ses adhérents, et non des moindres. Alain Terrail, avocat-général à la Cour de Cassation (…) Bref, une bouffée raciste en France. Par ricochet, elle médiatise la virée néocoloniale d'une curieuse Association internationale pour la démocratie – également présidée par Georges Fenech. Objet de l'excursion : valider, avec douze apôtres du bon droit, l'élection forfaitaire d'Omar Bongo.
Trop c'est trop. Le Parti Socialiste se fend d'un communiqué : « Les relations entre la France et l'Afrique ont changé [?]. Il serait dommage que certains milieux politiques français ne s'en soient pas aperçus ». (…)
« On attend de Jacques Chirac […] qu'il se désolidarise nettement et mette fin à ces pratiques »
… FX Verschave ironisait en nous donnant lecture de la prose de notre repenti de 2011, Robert Bourgi :Il suffit de lire une lettre et un article publiés le même jour par le quotidien du soir [Le Monde NdYT]. La lettre est adressée à Omar Bongo par son avocat Robert Bourgi :
Bonsoir Papa.
[…] J'ai réuni vendredi l'équipe de magistrats et d'avocats qui, dès le 2 décembre, sera sur place à Libreville. Je vous adresse copie de la lettre que j'envoie ce jour à l'ambassadeur de France Libreville. Est-il utile de vous dire combien vous manquez à ce sommet France-Afrique ? [ ... ]
Je suis sûr [ ... ] que Jacques Chirac, en jetant un regard circulaire lors des réunions et des réceptions, doit se dire : "Mais est-il possible qu'Omar ne soit pas là, que nous puissions nous réunir sans lui... ?"
Allez Papa, vous nous reviendrez, et vous lui reviendrez à Paris en triomphateur des élections du 6-12-98 [ ... ] ? ».
La référence de la lettre est donnée par FX Verschave : Lettre du 28/11/1998 publiée par le Monde du 09/12/1998.Bonsoir Papa.
[…] J'ai réuni vendredi l'équipe de magistrats et d'avocats qui, dès le 2 décembre, sera sur place à Libreville. Je vous adresse copie de la lettre que j'envoie ce jour à l'ambassadeur de France Libreville. Est-il utile de vous dire combien vous manquez à ce sommet France-Afrique ? [ ... ]
Je suis sûr [ ... ] que Jacques Chirac, en jetant un regard circulaire lors des réunions et des réceptions, doit se dire : "Mais est-il possible qu'Omar ne soit pas là, que nous puissions nous réunir sans lui... ?"
Allez Papa, vous nous reviendrez, et vous lui reviendrez à Paris en triomphateur des élections du 6-12-98 [ ... ] ? ».
L'auteur de Noir Silence poursuivait par
Me Bourgi a une riche clientèle : Mobutu, Bongo... Il était le bras droit de Jacques Foccart. Il anime avec le colonel Maurice Robert le club 89, une instance para-RPR à haute teneur françafricaine, présidée par Jacques Toubon. L'article d'Hervé Gattegno achève de dépeindre l'ambiance :
« Au début de l'été, un familier des dossiers africains avait été interpellé par les douaniers à son retour de Libreville, à l'aéroport de Roissy. Porteur d'une mallette contenant une importante somme en argent liquide, il avait expliqué que ces fonds provenaient de la « présidence du Gabon » et qu'ils étaient destinés au Club 89. Confirmée par plusieurs sources, cette information a été démentie par l'interessé [sic] lorsque celui-ci a été interrogé par Le Monde. A la suite d'un accord intervenu au sommet de l'Etat, cette interpellation n'a entrainé l'ouverture d'aucune enquête. »
FX Verschave nous indique l'article source de hervé Gattegno :
Seuls les hypocrites, les gangsters de la France à fric, les ignares, les crétins et cette jeunesse abreuvée des stupidités télévisuelles et radiophoniques émises par une bourgeoisie pourrissante peuvent ignorer ce que tous les gens informés savent.
Soupçons sur les observateurs français des élections gabonaises, in Le Monde du 09/12/1998.
Pays après pays, nous examinerons les activités des kapos criminels de la France esclavagiste dans le deuxième article.
NOTES ET COMPLEMENTS
Noir Silence : Ce livre du regretté François-Xavier Verschave est un ouvrage que doit posséder tout combattant de la libération de l'Afrique. Publié en l'an 2000 aux éditions des Arènes, ce livre est un tour d'horizon épouvantable de l'action criminelle du gang france à fricain.
Si les stalino-fascistes du PCF – corrompus par Elf-Total – ont curieusement été oubliés de la liste et si la participation criminelle des prétendus « écologistes » « Verts » à l'occupation esclavagiste semble avoir été minimisée, les autres acteurs sont clairement mis en lumière dans toutes leurs prévarications.
Témoignage de Robert Bourgi dans le JDD 11/09/2011
L'interview a été réalisée par Laurent Valdiguié.
Les pourris du journalisme de la France à fric osent prétendre que l'odeur de pourriture provient de la révélation.
Leur salaire de larbin france-à-fricain provenant du pillage criminel de l'Afrique, il est logique qu'ils soient incommodés de ce que cette odeur de leur propre pourriture parvienne à l'odorat naïf du Français moyen.
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