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samedi 7 février 2015

Le dernier discours de Thomas Sankara: La cartellisation au lieu de l'humanocratie et des CDR contrôlant et révoquant les délégués furent la perte de Thomas Sankara et le commencement de la contre-révolution rectification au Burkina Faso


par Yanick Tout
Africa Crocodiles
 de Denis de Montgolfier
avec le dernier discours de
Thomas Sankara
ain
REVACTU
7/2/2015


"Denis de Montgolfier explique également à Lyon Capitale comment il a retrouvé la trace de ce courrier. "C'était incroyable ! Personne ne l'avait. Je lui ai demandé pourquoi il me la donnait. Il m'a simplement répondu : 'parce que j'ai confiance en vous. J'attendais ce moment pour la sortir '".
Une enquête de trois ans qui passe également au crible les régimes sénégalais, malien, malgache et congolais. Elle a donné lieu in fine à la publication d'un livre "Africa crocodiles, récit de meurtres présidentiels, 1987-2011", publié à compte d'auteur ce mois-ci. Le journaliste lyonnais dit avoir "fait ce travail pour mes frères africains, car la pire des choses en Afrique, c'est qu'il n'y a pas de justice rendue" (Lyon Capitale Juillet Août 2011).



(Lyon Capitale Juillet Août 2011)
Je viens de découvrir cet inédit de Thomas Sankara. Le discours que les assassins Francefric Blaise Compaoré, Mouammar Kadhafi, Jacques Foccart, Félix Houphouët Boigny et François Mitterrand l'empêchèrent de prononcer.
Voici ma première réaction à l'un des passages de son texte.
Merci au site Pambazuka pour l'avoir republié. Mais mon commentaire semble bloqué pour l'instant.



C'est émouvant de lire ceci.... mais dans le même temps la raison reprend le dessus. Et quand on lit
++++
"Dés lors, et sous ce couvert ils pouvaient imposer et leurs caprices et leurs indisciplines sans crainte d’aucune mesure. Ils se sont autorisés toutes sortes de pratiques sociales, couverts qu’ils se sont estimés de l’immunité de « proches copains » de tels ou tels dirigeants. Leurs positions élevées dans les structures du CNR aidant, positions tirées non d’un mérite établi mais d’une répartition arithmétique entre groupes au Cnr, ils ont de fait maquillé de vraisemblance leurs intrigues."
+++
... on voit clairement que la dérive de la CARTELLISATION au détriment de l'HUMANOCRATIE a été le TOMBEAU de Thomas et des égalitaristes de 1987.
Il aurait fallu que CHAQUE membre du CNR puisse DONNER LES NOMS de 400 000 personnes le soutenant.... et pas des REPARTITIONS par magouilles, couloirs et ruses de coulisses...
Chaque DELEGUE NATIONAL au CNR doit être contrôlé par un CONSEIL de 25 délégués députés en PERMANENCE.
Chacun d'entre eux était délégué par 15625 (25*25*25) personnes.
Il faut de NOUVEAUX CDR !!!
http://revolisationactu.blogspot.fr/2014/12/il-ny-pas-deux-burkina-faso-il-ny-quun.html
JEUDI 4 DÉCEMBRE 2014
"Il n'y a pas deux Burkina Faso. Il n'y a qu'un seul Burkina Faso : le Burkina Faso des CDR. Il commence avec les CDR et finit avec les CDR" Thomas Sankara 1986
Présentation 2014
par Yanick Toutain
RevActu
 4/12/14
"Tout ce que nous avons réalisé au Burkina Faso, sous la révolution, nous l'avons réalisé grâce aux CDR en premier lieu."
Thomas Sankara 4 avril 1986
"... beaucoup étaient venus pour fêter la disparition de ces fameux CDR.
Pourquoi les CDR ? Historiquement, vous savez que rien n'est plus faux que de dire que les CDR ont été créés au lendemain du 4 août 1983.
Les CDR ont été créés avec les premiers coups de feu qui ont été tirés ici.
Les CDR ont été créés le 4 août 1983, précisément.
[Applaudissements] Les CDR sont nés dialectiquement en même temps que la révolution au Burkina Faso.
[Applaudissement] Parce que, à l'instant même où nous avons prononcé le mot révolution dans ce pays, la nécessité de la défendre s'est fait sentir et celui qui parle de révolution sans prendre les dispositions pour protéger cette révolution commet une grave erreur et méconnaît les capacités de lutte, les capacités de destruction de la réaction.
Pour notre part, nous avons invité le peuple dans la nuit du 4 août, à se constituer partout en Comités de défense de la révolution parce que nous ne nous faisions pas d'illusion : la révolution allait être attaquée.
Elle l'a été, elle l'est et elle le sera.
Donc, les Comités de défense de la révolution l'ont été, le sont et le seront.
[Applaudissement] Rien de ce qui a été fait de positif sous la révolution n'a pu être réalisé sans les CDR.
Nous savons que nous CDR, nous ne sommes pas parfaits.
Nous le savons, mais nous continuons de rechercher dans ce monde les exemples de perfection.
Nous CDR, avons eu à exercer le pouvoir populaire.
Sur le plan politique, sur le plan économique, sur le plan militaire, sur tous les plans de la vie nationale, à tous les niveaux de la vie des Burkinabè, nous, CDR, sommes impliqués directement.
Il est donc important que nous comprenions que la marche correcte des CDR a une conséquence bénéfique et heureuse pour chacun de nous.
Se détourner des CDR, c'est se faire à soi-même du tort ; à moins que l'on ne soit en mesure de quitter le Burkina Faso.
Nous avons besoin des CDR et nous aurons toujours besoin des CDR quelle que soit la forme qu'un jour ils pourraient prendre.
"Nous ne pouvons pas accepter de mettre les CDR de côté.
Il n'y a pas deux Burkina Faso.
Il n'y a qu'un seul Burkina Faso : le Burkina Faso des CDR.
Il commence avec les CDR et finit avec les CDR.
[Applaudissements] C'est pourquoi, il faut que là où il n'y a pas encore des CDR qu'ils soient rapidement constitués.
Partout où se trouvent des Burkinabè, le premier réflexe doit être pour eux de constituer un Comité de défense de la révolution parce qu'ils sont et existent grâce à la révolution.
Et s'ils ne le font pas, ils vont à l'encontre de la révolution et il n'y a pas de raison qu'ils bénéficient des bienfaits de la révolution.



Voici la reproduction intégrale du discours de Thomas Sankara


Chers Camarades,Le prestige de la Révolution et la confiance que les masses lui vouent ont subi un grand choc. Les conséquences en sont une remarquable perte d’enthousiasme révolutionnaire chez les militants, une sérieuse diminution de l’engagement, de la détermination et de la mobilisation à la base, enfin, la méfiance, la suspicion et partout, le fractionnisme au sommet.
Quelles en sont les causes ?
Il y a d’une part ce qui pourrait nous diviser et qui relèverait des questions profondes de fonctionnement des structures, d’organisation de la vie interne du CNR, des positions idéologiques et il y a d’autre part les questions de rapports humains entre les acteurs, animateurs que nous sommes tous. Mais, pour importantes que soient les questions organisationnelles et idéologiques, elles se révèlent dans notre cas avoir moins déterminé la situation présente. En effet, toute organisation connaît en son sein, un affrontement des contraires puis une unité de ces mêmes contraires. L’unité des contraires est toujours éruditionnelle, elle n’est jamais donnée une fois pour toute, elle est relative et temporaire. « L’unité des contraires est en conséquence absolue, exactement comme le développement et le mouvement sont absolus. » C’est pourquoi l’équilibre est lui même temporaire. Il peut être à tout moment remis en cause. Il nous revient de travailler à l’assurer à le préserver le plus longtemps possible, à le rétablir chaque fois qu’il aura été menacé, voire rompu.
Dans le cas des questions fondamentales organisationnelles et idéologiques, nous avons bénéficié du fait que chaque fois que nous avons estimé devoir émettre un point de vue différent du mien, défendre une position contraire à la mienne, vous l’avez fait en toute liberté et en toute confiance. Je l’ai adopté et appliqué, de même que les conseils, suggestions et recommandations. Du reste, et en règle générale, la résolution des questions entre les hommes est toujours aisée dès lors que règne la confiance. En effet, l’objectivité s’impose dès que vit la confiance. C’est dire que tant que la révolution sera régie par des principes, le débat franc, la critique et l’auto critique suffiront à dissiper tout malentendu, tout désaccord pourvu que s’impose la confiance.
Travaillons donc à développer la confiance et préservons-la de toute critique, de toute menace. A l’inverse des questions de principes, dont la résolution s’appuie aisément sur la confiance, les problèmes de rapports humains, subjectifs ne connaissent rien d’autre comme solution que la confiance totale. En cela, les intrigues de certains éléments de nos rangs ont fait plus de torts, plus de ravages en quelques mois, que les années des plus farouches affrontements politiques et idéologiques entre le CNR et des organisations adversaires de gauche.
Prenant leur appartenance au CNR comme la garantie inattaquable de leur label de révolutionnaire, ces éléments se sont crus la voie royale ouverte pour la réalisation de leur vision de la société, de la place qu’ils entendent y jouer, du rôle qu’ils s’y assignent. D’un coté la surenchère verbale de gauche, de l’autre une pratique de voyou. Tout cela dans la tranquille assurance que le CNR les prémunit contre toute attaque et que le parlementarisme de ce même CNR leur a ouvert des droits de minorité de blocage.
Ces droits, ils les utiliseront abusivement pour couvrir tous ces comportements licencieux indignes d’un militant révolutionnaire, mais que personne ne leur opposera sous peine d’être soupçonné de vouloir s’opposer au CNR. C’est de l’opportunisme !
A l’intérieur, le souci de ne perdre aucun militant, surtout les nouveaux venus, a plutôt nui à la fermeté et annihilé toute rigueur contre ce que chacun constatait comme étant de l’indiscipline et un discrédit préjudiciable à terme à l’autorité du CNR.
Tout le monde est témoin du dilettantisme, de la légèreté qui ont caractérisé les comportements d’éléments de cet acabit, et émaillé leur pratique sociale et militante. Le titre de membre du CNR a été utilisé par eux pour influencer les masses à des fins personnelles contraires aux intérêts de la révolution. Mais le plan criminel de leurs attitudes, c’est la paralysie de la Direction qu’ils ont provoqué en travaillant sans relâche à créer l’impression qu’ils se sont identifiés à certains dirigeants imminents incontestés parce que respectables et respectés.
Dés lors, et sous ce couvert ils pouvaient imposer et leurs caprices et leurs indisciplines sans crainte d’aucune mesure. Ils se sont autorisés toutes sortes de pratiques sociales, couverts qu’ils se sont estimés de l’immunité de « proches copains » de tels ou tels dirigeants. Leurs positions élevées dans les structures du CNR aidant, positions tirées non d’un mérite établi mais d’une répartition arithmétique entre groupes au CNR, ils ont de fait maquillé de vraisemblance leurs intrigues.
La révolution a beaucoup souffert de ces éléments-là. Incapables d’élever le niveau des débats, ils l’ont tiré en arrière. Ils l’ont rabaissé. Redoutant l’unité comme étant la fin de leurs « droits princiers de naissance », ils ont démobilisé partout où il y avait ne serait-ce qu’une certaine adhésion, et ailleurs ils ont jeté de l’huile sur le feu de la division.
Progressivement démasqués dans leurs pratiques, et objectivement et inexorablement engagés sur la pente qui les mène à leur perte, ils recourent de façon de plus en plus grossière mais de plus en plus assassine à la division de nos rangs, à l’opposition artificielle des dirigeants. Ainsi, ils détournent l’attention vers d’hypothétiques dissensions au sommet, pendant qu’ils se dérobent à leur devoir de ressaisissement et d’autocritique.
Ne cherchons pas loin. Le malaise actuel est la conséquence des comportements criminels non dénoncés parfois, non promis ? toujours. S’il y a opposition, ce n’est nullement entre ceux-là que l’on indexe : « les dirigeants historiques ». S’il y a opposition, c’est bel et bien entre ces éléments intolérables, incompatibles avec la rigueur révolutionnaire et la fermeté qui nous est dictée par l’obligation de toujours approfondir le processus déclenché depuis le 4 août 1983.
Le résultat de ce travail égoïste, lutter rien que pour soi au point de compromettre l’intérêt général, est que nous sommes affaiblis, en tout cas sérieusement ébranlés. Les rumeurs les plus folles ont embrasé les masses. L’opinion s’en émeut et s’en inquiète. La panique généralisée prédispose aux actions les plus insensés... que faire quand on est à ce point désespéré !
Gagnée par l’inquiétude généralisée, la direction politique se retrouve désemparée du fait que l’origine du mal est diffuse, et que la thèse de l’opposition, quelques dirigeants de premiers plan, ne convainc pas, quoique commode aux regards de la tradition de lutte aux sommets chez les vieilles gardes politiques d’ici. D’ailleurs ceux-là mêmes qui ont donné pour être des responsables en querelle s’interrogent vainement sur ce qui pourrait être le motif de leur opposition. Le danger, c’est que l’on est obligé de s’inventer une explication et une justification plausible, tant il est répété partout qu’il n’y a « pas d’entente entre les dirigeants. »
Jamais un point d’antagonisme ne nous a opposés. Qu’il y ait eu divergence sur des points donnés, cela est courant. Même la liberté, la confiance des débats entre nous qui exclue toute inutile retenue et faux tabous, n’ont pas relevé un quelconque antagonisme qui justifierait ou expliquerait une si subite et hypothétique mais persistante rumeur d’opposition.
Ces rumeurs, aidées par le désarroi généralisé ont réveillé les possibles de toute sorte d’opposition à la Révolution : les accompagnateurs de la RDP ? Aujourd’hui dégénérés, les tribalistes, les réactionnaires de la droite brute qui reprennent espoir. . .
Même nos ennemis à l’extérieur retrouvent leur agressivité depuis longtemps émoussée par nos victoires éclatantes, et poussent à l’audace des débris d’opposants réveillés pour la circonstance.
Camarades, nous ne pouvons pas permettre à quelques individus de se jouer de tout le peuple, faire condamner le CNR dans notre Patrie et auprès des peuples qui jusque-là respectent notre lutte. Nous ne pouvons pas et ne devons pas laisser quelques éléments irresponsables faire planer sur notre Révolution, le spectre des déchirements tels ceux du Yémen. Nous ne pouvons et ne devons les laisser pervertir cette révolution avec des conséquences telle l’impasse de Grenade. Nous ne pouvons pas fermer les yeux ou nous embarrassé devant les manquements de quelques intrigants lorsque tout le pays est menacé par la guerre civile à_la manière du Liban et du Tchad.
Nous sommes responsables devant notre peuple, mais aussi responsables devant le mouvement progressiste international du devenir de cet espoir qu’a suscité la Révolution du 4 août 1983.
...Cessons de nous lamenter à quatre ou devant une situation nationale si triste. Notre sincérité n’excuse pas notre coupable sentiment d’impuissance qui traduit plus le défaitisme. Je comprends que nous soyons choqué d’être qualifié de ce que nous ne sommes pas, d’être accusé de ce que nous n’avons pas fait.
Je propose :
1° / Que nous allions aux masses pour leur démontrer notre cohésion par des meetings de dénonciations et de condamnation des courants divisionnistes, en ridiculisant comme il le mérite, ceux qui jusque là ont prêché avec plus ou moins de bonheur dans les eaux de la Révolution troublés par eux. Il y a urgence que nous sortions, que nous parlions, que nous rassurions notre peuple. Il y a urgence.
2° / Eliminons de nos rangs les fauteurs de troubles. Toutes les luttes sociales ont connu des aventuriers frauduleusement introduits. L’histoire immédiate ou 1 histoire lointaine se sont changées de les éliminer. Notre révolution avancera en se purifiant. Nous ne perdrons rien à assumer le carnage révolutionnaire sentimentalement ressentis, dans le cas d’éventuelles séparations ne sera jamais rien par rapport à ce que nous endurons en ces jours, ni ce que notre peuple souffre en ces circonstances.
Je proposerai des sanctions.
3°/ Dans les meilleurs délais, il nous faudra mettre en
place :
• Les statuts du CNR, corrigés au regard de ce que nous enseignent nos difficultés présentes et prévisibles, l’acceptation et l’assimilation de la plateforme et des récents du CNR seront un critère éloquent à l’adhésion à sa ligne.
• Le programme économique, politique, social et militaire du CNR autour duquel nous rassemblerons les révolutionnaires sur la base de leurs mérites à contribuer au bonheur réel de notre peuple.
• Le Code d’Ethique Révolutionnaire qui décrira la conduite sociale la plus exemplaire vers laquelle chacun de nous devra s’efforcer de tendre.
A l’aide de ces éléments et grâce à une vie organisationnelle qui devra se départir de l’amicalisme, par un fonctionnement plus efficace de la Commission de Vérification, par des bilans périodiques sur ce que notre action a apporté ou non au peuple, nous parviendrons à faire du CNR actuel et de toute autre forme que prendrait la Direction Politique Nationale, un véritable Etat-Major où n’entrent les meilleurs des meilleurs, les révolutionnaires les plus sûrs.
La Patrie ou la mort, nous vaincrons.
Thomas SANKARA

lundi 8 septembre 2014

Les deux assassins de Thomas Sankara ! 20 ans après leur crime, Blaise Compaoré et Mouammar Kadhafi en rigolaient encore au Sénégal !



présentation par Yanick Toutain
8/9/14




Blaise Compaoré et Mouammar Kadhafi sont deux des criminels qui ont assassiné le plus grand des Africains, Thomas Sankara.
Leurs principaux complices étaient Félix Houphouet Boigny, Charles Taylor et Jacques Foccard. Ce dernier au service de Jacques Chirac et François Mitterrand.
Le crime a eu lieu le 15 octobre 1987.
Les NEOsankaristes le commémoreront en construisant des CDR (1 délégué révocable pour 25) sur toute la surface de la Terre.
La Terre est Notre Patrie  !           Nous Vaincrons  !                                   Thomas est parmi nous !

Le 3 avril 2007, à 6 mois du 20° anniversaire du crime, les deux assassins étaient réunis avec leur complice Franceàfric Wade ! Ils venaient assister à l'intronisation de l'agent sénégalais de l'occupation franceàfric.
Ils pouvaient bien rire !
Leur grand ami Nicolas Sarkozy allait arriver à l'Elysée : l'argent de la corruption libyenne volée par Kadhafi aux Africains allait pouvoir se déverser dans les caisses de l'UMP !
Le criminel président du Burkina Faso n'avait pas encore comploté avec ATT son voisin malien pour faire envahir le Mali par les trafiquants de drogue MNLA et les coupeurs de mains Ansar Dine.
Mais les nouvelles étaient suffisamment bonnes pour rendre joyeux ces deux criminels.
Le second a mal fini - exécuté par son complice Sarkozy - pour avoir trop parlé des 50 millions qu'il lui avait versés.

15 OCTOBRE 2014: 27 ANNEES D'IMPUNITE


Le premier, Blaise Compaoré, s'apprête à fêter au champagne le 27° anniversaire de son crime du 15 octobre 1987.
A moins que la jeunesse burkinabé ne se décide enfin à mettre fin à l'étalage barbare de ce régime sanguinaire et commence à construire des CDR. A moins que les jeunes de Ouagadougou ne commencent la désignation de délégués de base - un pour 25



Photo prise le 3 avril 2007 au Sénégal lors de la prestation de serment de Abdoulaye Wade. Les 2 assassins "partageaient une blague" selon le site de la BBC qui affichait cette photo  : "Burkinabe President Blaise Compaore (l) and Libyan leader Muammar Gaddafi share a joke on Tuesday in Senegal. at an inauguration ceremony where Senegalese President Abdoulaye Wade swears his oath of office following his re-election in February.." http://news.bbc.co.uk/2/hi/in_pictures/6533725.stm# http://newsimg.bbc.co.uk/media/images/42774000/jpg/_42774361_07laugh_afp.jpg

COMPLEMENT
Les naïfs peuvent lire cet article 
d’Abdoulaye Ly




Cet article est paru dans un nouveau mensuel Burkinabè MUTATIONS au mois de septembre 2011. Mutations est né l’été 2011 et parait chaque 1er du mois.



"Kadhafi et le Burkina, une histoire d’amour et d’intérêts" d’Abdoulaye Ly


Kadhafi et les siens ne célébreront pas ce 1er Septembre 2011, le 42ème anniversaire de leur révolution qui avait renversé le roi Idriss en 1969. La Jamahiriya arabe libyenne a vécu après 42 ans de règne. Une autre révolution est en cours en Libye avec des acteurs dont certains étaient des compagnons du vieux Guide. Le Burkina a reconnu les nouvelles autorités de Tripoli le 23 août dernier. Le drapeau du Conseil national de transition (CNT) flotte dans l’enceinte de l’ambassade libyenne à Ouaga 2000. Blaise a donc tourné rapidement la page Kadhafi tout comme ce dernier l’avait fait de la page Sankara dès octobre 1987.

La crise libyenne vient une fois de plus démontrer que dans les relations internationales, la théorie réaliste surclasse celle dite idéaliste. La plupart des pays du monde sont en train de reconnaitre le CNT, l’organe dirigeant des insurgés libyens avant que ce dernier n’ait pris complètement le dessus sur les fidèles de Kadhafi. En Afrique, seuls quelques pays font encore de la résistance face à la nouvelle donne. En Afrique australe, c’est l’Afrique du Sud qui mène la balle tandis qu’en Afrique de l’ouest, c’est le Mali. Outre le Venezuela d’Hugo Chavez, ces deux pays africains étaient d’ailleurs pressentis pour accueillir éventuellement Kadhafi et les siens au cas où ils sortiraient vivants de la Libye. Le Burkina Faso a également dit qu’il était disposé à héberger le Guide. Son ministre des Affaires étrangères, Djibrill Bassolet, l’a dit en même temps qu’il déclarait officiellement reconnaitre le CNT comme « le seul représentant légitime du peuple libyen ». En même temps qu’elles déclarent le Guide illégitime, parce que « ne disposant plus de moyens pour gouverner la Libye », les autorités burkinabè affirment vouloir l’accueillir sur leur sol. Cette ambigüité traduit à souhait les relations que le Burkina a entretenues avec Kadhafi. Ce sont des relations d’amour/haine comme dans certains couples. Ces trente dernières années, les relations entre les deux pays ont fluctué entre convergences d’idéaux et d’intérêts avec des périodes où c’est l’une des deux facettes qui prend le dessus sur l’autre.

1983-1986 : le triomphe de l’idéal révolutionnaire

Kadhafi « découvre » Sankara à travers les notes de son ambassade à Ouagadougou en 1981 quand Sankara est nommé secrétaire d’Etat à l’information sous le régime des colonels. Leurs relations vont se renforcer sous le Conseil du salut du peuple (CSP), quand Sankara devient Premier ministre. Un mois après sa nomination à ce poste, il effectue une visite chez Kadhafi en fin février 1983. Dans la même année, Kadhafi rend également visite à son ami à Ouagadougou en avril 1983, sans l’accord, dit-on, du président Jean Baptiste Ouédraogo. C’est la version de ce dernier publiée dans le livre : « Cents ans de l’histoire du Burkina Faso » publié par l’université de Ouagadougou. Cette visite « impromptue » de Kadhafi à Ouagadougou sera brandie par le clan autour de Jean Baptiste pour justifier l’arrestation de Sankara le 17 Mai 1983. Ils reprochaient au Premier ministre de « mener la Haute Volta dans une diplomatie aventuriste ».

Pour Sankara, le régime libyen avait des acquis sociaux importants (éducation, santé, logements ) dont la Haute Volta pourrait s’en inspirer. Sous le CSP2 qui a vu l’éviction de l’aile progressiste du pouvoir, Kadhafi a continué à appuyer Sankara et ses camarades. La Libye aurait fourni des armes à la garnison rebelle de Pô via le Ghana de John Jerry Rawlings entre mai et août 1983. Ce soutien aurait beaucoup contribué à freiner les ardeurs des « extrémistes » du régime qui voulaient en découdre avec Blaise et ses commandos de Pô. Mais ils savaient qu’en face, ce n’était pas « maïs », pour emprunter le terme de notre « ami » Gbagbo. Kadhafi a donc contribué au triomphe du groupe de Sankara le 4 août 1983. Le Burkina révolutionnaire en sera reconnaissante à Kadhafi. En effet, pendant que Kadhafi et son régime faisaient l’objet de mise en quarantaine sur le plan international et que beaucoup de chefs d’Etat avaient peur de s’afficher avec le Guide, le président Sankara était l’un des rares chefs d’Etat qui le défendait dans les foras internationaux et au sein de l’Organisation de l’unité africaine (OUA).

Pour féliciter le Burkina Faso, Kadhafi effectue en décembre 1985 une visite officielle à Ouagadougou. Certaines chancelleries occidentales n’apprécient pas du tout cette visite. Dans certains milieux des puissances « impérialistes » nommément citées par le Guide, on menace de prendre des mesures de rétorsions contre le régime burkinabè. On évoquait à l’époque le probable arrêt du programme cathwell des Américains qui fournissait aux cantines scolaires des vivres made in USA. La France, autre cible du discours de Kadhafi à Ouagadougou, n’a pas officiellement réagi, mais les réseaux françafricains ne sont pas restés inactifs. La guerre de Noël entre le Burkina et le Mali en fin décembre 1985 serait une manigance pour amener le jeune capitaine à trier ses fréquentations. En réponse, Sankara menace de divulguer les noms de tous ceux qui partent « nuitamment » ou par des « chemins détournés » voir Kadhafi. Il faisait certainement référence à certains membres de ces mêmes réseaux.

Aujourd’hui, ces propos deviennent plus clairs au regard des témoignages de certains de ces acteurs. Roland Dumas, ancien ministre des Affaires étrangères sous Mitterrand dévoile dans son dernier livre comment il était envoyé par son patron voir secrètement Kadhafi. Un jet privé était à sa disposition pour ce genre de missions. Certaines de ses visites ont eu lieu en pleine brouille diplomatique entre la France et la Libye au sujet du Tchad (la bande d’Aouzou occupée par les Libyens a servi de prétexte aux Français pour intervenir dans ce pays déchiré par de longues années de guerre civile). Au cours de ce « compagnonnage » avec le Guide libyen, le Burkina Faso révolutionnaire va tirer quelques dividendes financiers pour conduire à terme certains projets.

La brouille entre Sankara et Kadhafi

Mais dès 1986, les relations entre Sankara et Kadhafi prennent un coup de froid. Sankara est sur le dossier tchadien. Des pourparlers sont organisés secrètement à Ouagadougou entre les différentes factions tchadiennes en conflit. Kadhafi n’apprécie pas cette « ingérence » de son ami dans ce qu’il considère être son affaire. Il ne faut pas oublier que la Libye soutenait militairement certaines factions armées tchadiennes. Sa stratégie, c’était d’installer un de ses protégés au pouvoir à N’Djamena. Or, Sankara (qui a adopté une fille tchadienne)voyait autrement la résolution de la crise. Il privilégiait le dialogue pour permettre aux leaders tchadiens d’aboutir à un consensus politique qui sortira le pays de plusieurs années de guerre civile.

Autre point de divergence entre lui et le Guide, c’est la question du Sahara occidental. Kadhafi a des positions fluctuantes sur la question. Tantôt il est pro- Polisario, tantôt il est avec le Maroc. La question du soutien à apporter à Charles Taylor est également une autre pomme de discorde. Taylor cherche des soutiens pour lancer son offensive contre le régime de Samuel Do au Libéria. Il a le feu vert d’Houphouët pour utiliser la Côte d’Ivoire comme base arrière. Le vieux a une dent contre Do qui a renversé et exécuté en 1980 son ami le président Tolbert. Pour le recrutement et la formation de ses hommes, Taylor a besoin d’argent et de camps d’entrainement. Il s’adresse à Rawlings et à Sankara. Il n’obtient pas gain de cause. Il sollicite néanmoins Sankara pour l’introduire auprès de Kadhafi. Là non plus, refus du président burkinabè. Il est catégoriquement opposé à la stratégie armée (la guerre civile) pour renverser les dictatures en place. Taylor préfère voir le capitaine Blaise Compaoré.

Ce dernier lui aurait promis de le mettre en contact avec Kadhafi en contre partie de son soutien pour renverser Sankara, selon Prince Johnson et plusieurs autres sources libériennes. François Xavier Verschave pense également que l’assassinat de Sankara est le crime fondateur des relations entre la françafrique et Kadhafi. Chacun avait ses intérêts à défendre. Les réseaux français voulaient le bois et le diamant libériens ; Houphouët voulait se venger, Kadhafi pensait pouvoir étendre son influence en Afrique subsaharienne en soutenant des mouvements armés qui se disent révolutionnaires et Blaise Compaoré voulait être à la place du khalife à Ouagadougou. En éliminant Sankara, chacun comptait atteindre ses objectifs.

Le 1er Septembre 1987, Sankara ne participe pas aux festivités de l’anniversaire de l’arrivée au pouvoir de Kadhafi au pouvoir. C’est Blaise Compaoré qui le représente. Son séjour à Tripoli dure plus que prévu et l’ambassadeur du Burkina en poste en Libye remarque que le numéro 2 burkinabè est reçu à plusieurs reprises par le Guide avec beaucoup d’égards. Bruno Jaffré pense également que cette visite a été l’occasion pour Blaise et Kadhafi de sceller le sort de leur « ami Sankara ». Après le coup d’Etat d’octobre 87, l’axe Tripoli Ouagadougou va se renforcer. Aux festivités du 1er Septembre 1988 à Tripoli, Kadhafi demande aux présidents Rawlings du Ghana et Museveni d’Ouganda « d’oublier Sankara » et de composer avec Blaise. Le journal Jeune Afrique va en faire sa grosse UNE : « Kadhafi : il faut oublier Sankara ». Devant le refus des deux présidents de le rencontrer, le président burkinabè dira que de toutes les façons, « les paysans burkinabè ne savent pas où se trouve l’Ouganda ».

Les intérêts plutôt que les idéaux

Jusqu’en 2008, les relations entre Kadhafi et Blaise étaient au beau fixe. Le président Compaoré effectuait régulièrement des visites en Libye, s’il n’envoyait pas son ami Salif Diallo. Kadhafi est venu deux fois à Ouagadougou voir son ami, la première fois par la route. Déjà au milieu des années 90, les Libyens commencent à investir massivement au Burkina. Ils sont dans les banques (BCB, Banque sahélo-saharienne), l’hôtellerie (hôtel libya), dans les assurances avec Colina, dans les transports également. Le guide a également beaucoup investi dans l’humanitaire et dans le religieux à travers le financement des mosquées. Jusqu’aux mouvements des droits humains, chacun a reçu l’aide du Guide. Est-ce pour cela qu’on ne les a pas entendus au début de la crise libyenne quand le régime libyen réprimait les manifestants civils ? En 1998 également, c’était la même attitude devant le massacre de mille prisonniers civils à Benghazi. Le régime burkinabè, lui, non plus ne s’en offusquait guère, pourvu que les rentes continuent d’être protégées.

Ce n’est qu’en 2008 que les relations entre Blaise et Kadhafi vont prendre un coup de froid. Deux éléments sont avancés par l’entourage du président burkinabè pour expliquer la situation. D’abord la visite de Blaise Compaoré en Israêl. Kadhafi n’a pas du tout apprécié. Passe encore que des instructeurs israëliens soient employés à la présidence du Faso pour former la garde présidentielle, mais aller « s’exhiber » à Tel Aviv, c’en est trop pour le Guide. Il assimile cela à la trahison de la cause palestinienne qui lui tient à cœur. L’autre divergence, c’est sur son projet de « gouvernement africain ». Lors du sommet d’Accra, le Burkina a lâché la Libye qui voulait rallier une majorité de pays africains autour de ce projet. Depuis 1999, Kadhafi en a fait son cheval de bataille et il a mis les moyens pour cela. La Libye contribuait à hauteur de 15% à elle seule dans le budget de l’Union africaine. Là encore, Kadhafi s’est senti trahi par son ami Blaise. Au temps fort de cette présente crise, il a dépêché un émissaire auprès de son ami burkinabè, espérant qu’il ferait front avec d’autres pays au sein de l’Union africaine pour le soutenir. Mais dès le mois de juin, le Burkina avait commencé à se rapprocher du CNT. La déclaration du 23 août dernier ne vient qu’officialiser une reconnaissance de fait. Les intérêts ont encore pris le dessus très tôt sur l’amitié. La reconnaissance des nouvelles autorités de Tripoli était inévitable, tôt ou tard, mais beaucoup espéraient qu’au regard des relations particulières que Kadhafi a entretenues avec le Burkina, les autorités burkinabè auraient eu la patience de le voir complètement hors jeu avant d’embrasser ses tombeurs. L’attitude du Mali et de l’Afrique du Sud est à cet égard plus digne.

Abdoulaye Ly

Cet article est paru dans un nouveau mensuel Burkinabè MUTATIONS au mois de septembre 2011. Mutations est né l’été 2011 et parait chaque 1er du mois.

jeudi 5 juin 2014

1 mois de salaire pour 1 million d'Africains : le dernier cadeau de Kadhafi …...à Sarkozy

Ce cadeau de Mouammar Kadhafi aurait pu atterrir dans les poches des travailleurs du continent africain.

1 MILLION D'AFRICAINS AURAIENT APPRECIE 33 000 FCFA EN CADEAU

Un don de 33 000 FCFA, ils sont nombreux les Africains des plantations qui l'auraient apprécié. Ils sont nombreux ces planteurs d'huile de palme de Kienké au Cameroun, ces planteurs de coton du Togo, ces planteurs de cacao de la Côte d'Ivoire...... qui auraient apprécié de voir un don de 33000 FCFA venir arrondir leur fin de mois....

UN DON DE ...33 MILLIARDS DE francs CFA !

Mais cette somme n'est pas arrivée dans les poches des Africains. Kadhadi na pas distribué 33 milliards de FCFA aux Africains. Le million de travailleurs africains payés 33 000 FCFA par mois n'a pas reçu un doublement de leur salaire mensuel...

DANS LES POCHES DE SARKOZY, L'ARGENT DE L'ETAT LIBYEN !

Les 50 millions d'euros c'était la somme que l'imposteur Kadhafi a versé au futur président français pour l'aider à gagner les élections de 2007.
Quand Bolloré combattait par la menace « on va te tuer » les grévistes de Kienké en 2008, c'était pour ne pas devoir augmenter les salaires des planteurs d'huile de palme SOCAPALM.
Quand il a offert les vacances de Malte à Sarkozy c'était pour garantir l'OCCUPATION MILITAIRE de l'Afrique par l'armée française....
Et cette campagne électorale esclavagiste... c'est l'argent de l'Etat libyen....

MAIS AU FAIT.... ET LA TAXE CARBONE..... 
KADHAFI.... IL L'A PAYÉE ?
MAIS NON !!! BIEN SUR !

JEUDI 20 JUIN 2013

Confirmation: Envoyé par Sarkozy pour faire taire Kadhafi au sujet des 50 millions d'euros de corruption, un assassin de la DGSE abat le président libyen, la révélation de Rami el-Obeidi, un ancien responsable des services secrets extérieurs du CNT libyen est confirmée


 
Nicolas Sarkozy au Forum
économique mondial

de Davos , le 27  janvier  2011 .
Un ancien responsable des services secrets extérieurs
du Conseil national de transition (CNT) libyen,
Rami el-Obeidi, a affirmé au Daily Telegraph
et à Mediapart que la mort de Kadhafi, 
dans les heures qui ont suivi son lynchage par la foule,
le 20 octobre 2011, à Syrte était liée à
« la menace d'une révélation d'un financement de la campagne de
Sarkozy en 2006-2007
 ». 
Selon lui, Mouammar Kadhafi aurait
été exécuté par un agent français

VENDREDI 3 MAI 2013

samedi 31 mai 2014

"un concept révolutionnaire : des mots qui font des phrases qui racontent une histoire" Merci à l'auteur de ce commentaire qui donnait un lien vers RevActu donnant la vérité sur Thomas Sankara et Mouammar Kadhafi

Thomas Sankara fut
assassiné le 15/10/87
Parmi ses assassins
Chalrles Taylor et Kadhafi
par Yanick Toutain
"EN 2007 : Sarkozy vendait à son LARBIN Kadhafi le dispositif AMESYS de SURVEILLANCE DU PEUPLE."

Un extraordinaire commentaire publié sur un site que je ne connaissais pas. Un article abject d'octobre 2012 visait à populariser la mémoire de celui qui finança la campagne de l'esclavagiste Sarkozy. Mouammar Kadhafi un des assassins de Thomas Sankara.
Un commentaire dont je connais pas non plus l'identité de son auteur ! :
MISS@ 31 mai 2014Reply
Pas un mot sur l’esclavagiste. Silence sur la mort de Thomas Sankara. Rien sur les milliers d’Africains abandonnés volontairement dans le désert pour y mourir. Et cætera. Toute Vérité n’est pas bonne à dire, tout mensonge est bon à entendre. Merci pour le lavage de cerveau, en cadeau un concept révolutionnaire : des mots qui font des phrases qui racontent une histoire @http://revolisationactu.blogspot.fr/2011/10/honte-aux-pro-kadhafi-en-afrique-ces.html

Merci à l'auteur de ce commentaire !
Il semble que les partisans de Kadhafi aient oublié que celui-ci fut un des principaux financiers de Sarkozy !

JEUDI 20 JUIN 2013


Confirmation: Envoyé par Sarkozy pour faire taire Kadhafi au sujet des 50 millions d'euros de corruption, un assassin de la DGSE abat le président libyen, la révélation de Rami el-Obeidi, un ancien responsable des services secrets extérieurs du CNT libyen est confirmée


 
Nicolas Sarkozy au Forum
économique mondial

de Davos , le 27  janvier  2011 .
Un ancien responsable des services secrets extérieurs
du Conseil national de transition (CNT) libyen,
Rami el-Obeidi, a affirmé au Daily Telegraph
et à Mediapart que la mort de Kadhafi, 
dans les heures qui ont suivi son lynchage par la foule,
le 20 octobre 2011, à Syrte était liée à
« la menace d'une révélation d'un financement de la campagne de
Sarkozy en 2006-2007
 ». 
Selon lui, Mouammar Kadhafi aurait
été exécuté par un agent français
Un tiers de milliard de francs
versés par une puissance étrangère !
Ils n'ont pas encore vu la haute trahison ni la forfaiture
"Juges pourris !
METTEZ SARKOZY ET GUEANT EN PRISON !
Tout de suite !
Détention préventive pour les voyous !
FORFAITURE !"
un article par Yanick Toutain sur Mediapart-blog

C'est vers un article RevActu de 2011 que mène le lien donné dans le commentaire de Miss  :

JEUDI 27 OCTOBRE 2011


Honte aux pro-Kadhafi en Afrique ! Ces ignares vénèrent l'un des assassins de Thomas Sankara !

Nicolae Ceaucescu
 "le meilleur ami formois"
 de Mouammar Kadhafi
par Yanick Toutain
27/10/2011


Wikipédia : Ion Mihai Pacepa (né le 28 Octobre 1928 à Bucarest, Roumanie) est le fonctionnaire le plus haut placé des services d'espionnage de l'ancien bloc soviétique à avoir jamais fait défection. Il est maintenant citoyen américain.
En juillet 1978, le roumain Pacepa était général à deux étoiles dirigeant la Securitate et il avait en même temps le grade de conseiller du Président Nicolae Ceaușescu, étant à la fois chef de son service des renseignements à l'étranger et secrétaire d'État au Ministère de l'Intérieur de Roumanie. Il s'enfuit aux États-Unis après que le Président Jimmy Carter eut agréé sa demande d'asile politique.(...)
Pacepa fit défection en juillet 1978 en se rendant à l'Ambassade américaine à Bonn, où Ceaușescu l'avait envoyé porter un message au Chancelier Helmut Schmidt. Il fut secrètement conduit à la base aérienne militaire Andrews près de Washington D.C. dans un avion militaire américain.
En septembre 1978, Pacepa fut deux fois condamné à mort par la Roumanie communiste et Ceaușescu promit une récompense de deux millions de dollars américains à qui le tuerait. Yasser Arafat et Muammar Al-Qaddafi y ajoutèrent chacun une récompense d'un million de dollars supplémentaire. Au cours des années 1980 la police politique roumaine chargea Carlos d'assassiner Pacepa en Amérique en échange d'un million de dollars. Carlos échoua, mais le 21 février 1980, il fit sauter une partie du siège de Radio Europe Libre à Munich, qui donnait des informations sur la défection de Pacepa."

Sur RevActu : "Pour contrer la mobilisation populaire qui se développe depuis le 15 février, le tyran utilise les mêmes méthodes que son complice Ceaucescu. La Securitate roumaine et les Services libyens eurent de nombreuses occasions de collaborer dans le passé. En particulier quand il s'agissait d'égarer la lutte des Palestiniens dans des marécages politiques terroristes formois. Les crimes commis par les FPLP et autres Fraction Armée Rouge sont à mettre au crédit collectif de la totalité de ces gangsters politiques formois . Entre la STASI, la bande à Baader, Kadhafi et les assassins de l'OLP les passerelles sont maintenant mise dans le lumière. Mais c'est en tant que bourreau de l'Afrique que le sanguinaire imposteur Kadhafi eut l'occasion d'exercer ses talents de barbare. François-Xavier Verschave nous en faisait le résumé dans son Noir Silence :Foccart, l'homme qui dirigeait l'Afrique

PAYEUR LIBYEN 
La relation Paris-Tripoli a longtemps été paradoxale. D'un côté l'armée française combattait, ou du moins, contenait l'armée libyenne au Tchad, le service Action menait des incursions meurtrières dans les rang de cette dernière, la justice française vérifiait que l'attentat contre le DC10 de la compagnie UTA avait été organisé par les services secrets libyens.
De l'autre, Kadhafi et la Françafrique multipliaient les causes communes. Cimentées par l'antiaméricanisme. Agrémentées d'intérêts bien compris.
L'élimination du président burkinabé Thomas Sankara est sans doute le sacrifice fondateur (comme le fut avec Eyadema celui de Sylvanus Olympio), Foccart et l'entourage de Kadhafi convinrent dès 1987 de remplacer un leader rop intégre et indépendant, au point d'en être agaçant, par un Blaise Compaoré infiniment mieux disposé à partager leurs desseins. L'Ivoirien Houphouet fut associé au complot.
Le tandem Kadhafi-Compaoré s'esst mis à former, financer, armer et épauler des rébellions à haut degré de cruauté, contre le Libéria puis la Sierra Leone : deux frêles Etats riches en diamants et autres ressources naturelles, protégés par Washington et Londres. De quoi embourber les Anglo-Saxons. De quoi arrondir les cassettes par les trafics induits. 
Un festin françafricain."

Sur Facebook, on voit la formoisie africaine commencer à produire du thuriféraire de Kadhafi : "panafricaniste" etc etc... Les éloges funèbres alternent avec l'énoncé de mensonges et d'aberration plus stupides les unes que les autres.
Voici quelques commentaires sur Facebook :
Yanick Toutain
‎@Joseph AbandaHonte à vous ! Vous prenez la défense de l'un des assassins de celui qui fut l'un des TROIS chefs du complot pour TUER le GRAND REVOLUTIONNAIRE que fut Thomas Sankara.Nous étions un certain nombre de Terriens à commémorer, le 15 octobre, le 24° anniversaire de la mort de Thomas.
Vous deviez certainement être en train de lécher les bottes du gangster de la France à fric - Mouammar Kadhafi !

Pendant que vous y êtes : envoyez aussi des fleurs à Jacques Foccart , à Félix Houphouet Boigny ainsi qu'au PANTIN des TROIS GANGSTERS : le POURRI HARKI BLAISE COMPAORE !
Vous deviez certainement être en train de lécher les bottes du gangster de la France à fric - Mouammar Kadhafi !
Pendant que vous y êtes : envoyez aussi des fleurs à Jacques Foccart , à Félix Houphouet Boigny ainsi qu'au PANTIN des TROIS GANGSTERS : le POURRI HARKI BLAISE COMPAORE !
21 octobre, 17:37 ·  ·  2 personnes


  • Yanick Toutain ‎@Eric Roger Tagne a écrit "42 ans de pouvoir c ets trop...Un dictateur reste un dictateur"

    Tout à fait d'accord Eric. On pourrait même ajouter que TOUT REPRESENTANT POLITIQUE QUI n'est pas REVOCABLE est un DICTATEUR.
    Que la durée soit de 7 ans, 5 ans ou 6 ans ou 4 ans ne CHANGE RIEN A L'AFFAIRE.
    Celui qui me représente , je dois POUVOIR le DEGAGER à n'IMPORTE QUEL MOMENT !

    Tout à fait d'accord Eric. On pourrait même ajouter que TOUT REPRESENTANT POLITIQUE QUI n'est pas REVOCABLE est un DICTATEUR. Que la durée soit de 7 ans, 5 ans ou 6 ans ou 4 ans ne CHANGE RIEN A L'AFFAIRE. Celui qui me représente , je dois POUVOIR le DEGAGER à n'IMPORTE QUEL MOMENT !21 octobre, 17:40 ·  ·  2 personnes

  • Yanick Toutain Eric Roger Tagne a écrit - entre autres « Critiquons certes l’Europe, l’Occident et la France. Mais qui a pris la peine d’écouter les derniers messages de Kadhafi ? il traitait une partie de son peuple de rat."

    Pire encore, il affirmait son SOUTIEN au GANGSTER SOCIALO-FASCISTE de Tunisie : BEN ALI !
    Les deux harkis étaient des AGENTS de la France à fric !

    Sarkozy et Obama viennent de LIQUIDER UN DE LEURS AGENTS !

    Pire encore, il affirmait son SOUTIEN au GANGSTER SOCIALO-FASCISTE de Tunisie : BEN ALI ! Les deux harkis étaient des AGENTS de la France à fric !
    Sarkozy et Obama viennent de LIQUIDER UN DE LEURS AGENTS !21 octobre, 17:55 ·  ·  2 personnes

  • Yanick Toutain
    ‎@Henri L'artiste
    Mandela est un IMBECILE TERRORISTE STALINIEN.L'impérialisme l'a emprisonné pour donner une leçon à l'ANC.Ce n'est en aucune façon la PREUVE que sa stratégie était POSITIVE OU EFFICACE !Au contraire ! Le terrorisme, c'est l'ARME de la FORMOISIE. Le but de ces gens est d'EMPECHER les MOUVEMENTS POPULAIRES. Comme l'ont fait les STALINIENS PCF en France de 42 à 44.
    Mandela et les POURRIS de la formoisie ANC ont TRAHI les TOWNSHIPS dès la "victoire" ! Mandela est un PETIT LARBIN de la REINE D'ANGLETERRE et des MULTINATIONALES anglo-saxonne !
    21 octobre, 17:58 ·  ·  1 personne


  • Yanick Toutain
    Eric Roger Tagne lol
    D'ailleurs les CRETINS KADHAFISTES qui tentent de s'infiltrer sur les murs africains SE TAISENT quand on leur rappelle DEUX FAITS :1° EN 2007 : Sarkozy vendait à son LARBIN Kadhafi le dispositif AMESYS de SURVEILLANCE DU PEUPLE.
    Le but de ces deux gangsters était d'EMPECHER UNE REVOLUTION POPULAIRE EN LIBYE !
    2° En 1987, allié au pire des gangsters de la France à fric, Kadhafi organisait l'assassinat de Thomas Sankara.
    Son but était d'en finir avec le RISQUE DE VRAIE REVOLUTION EGALITARISTE PANAFRICAINE.
    Et, secondairement, d'obtenir l'appui du harki Compaoré pour l'ATTAQUE DE CHARLES TAYLOR contre le Libéria et la Sierra Leone.

    LES KADHAFISTES NE REPONDENT JAMAIS RIEN à ces DEUX REALITES HISTORIQUES !!!
    Je me demande COMBIEN DE FRIC certains sont payés pour RACONTER LEURS BOBARDS !!!!
    De toute façon, je les DEGAGE !
     Le but de ces deux gangsters était d'EMPECHER UNE REVOLUTION POPULAIRE EN LIBYE ! 2° En 1987, allié au pire des gangsters de la France à fric, Kadhafi organisait l'assassinat de Thomas Sankara. Son but était d'en finir avec le RISQUE DE VRAIE REVOLUTION EGALITARISTE PANAFRICAINE. Et, secondairement, d'obtenir l'appui du harki Compaoré pour l'ATTAQUE DE CHARLES TAYLOR contre le Libéria et la Sierra Leone.
    LES KADHAFISTES NE REPONDENT JAMAIS RIEN à ces DEUX REALITES HISTORIQUES !!! Je me demande COMBIEN DE FRIC certains sont payés pour RACONTER LEURS BOBARDS !!!! De toute façon, je les DEGAGE !
    21 octobre, 18:03 ·  ·  3 personnes


  • Yanick Toutain
    Eric Roger Tagne ce ts un symbole yannick
    Ce sont CES GENS-LA que Amilcar Cabral et Thomas Sankara désignaient sous le terme erroné (et absurde) de "PETITE BOURGEOISIE INTELLECTUELLE".
    Ils sont en réalité les AGENTS de la CLASSE SOCIALE DES DIPLOMES.
    Kadhafi, Compaoré, Ben Ali, Mandela, Chavez, Ortega, sont comme Gbagbo, Abdou Diouf, Sedar Senghor, Sassous Nguesso et compagnie : leur base sociale, c'est la FORMOISIE COMPRADORE (les diplômés qui dépensent plus que 400 000 F cfa - 600 euros par mois) et la PROTO-FORMOISIE COMPRADORE (qui est spoliatée mais qui mange plus que le PIB local et qui fait alliance avec la formoisie des harkis).
    TANT QU'IL N'Y AURA PAS UN PARTI REVOLISATIONNAIRE EGALITARISTE, les PAYSANS SE FERONT DUPER par ces HYPOCRITES.
    Dès que le peuple se rebelle, ils VONT CHERCHER les ESCLAVAGISTES !!!!
     Kadhafi, Compaoré, Ben Ali, Mandela, Chavez, Ortega, sont comme Gbagbo, Abdou Diouf, Sedar Senghor, Sassous Nguesso et compagnie : leur base sociale, c'est la FORMOISIE COMPRADORE (les diplômés qui dépensent plus que 400 000 F cfa - 600 euros par mois) et la PROTO-FORMOISIE COMPRADORE (qui est spoliatée mais qui mange plus que le PIB local et qui fait alliance avec la formoisie des harkis). TANT QU'IL N'Y AURA PAS UN PARTI REVOLISATIONNAIRE EGALITARISTE, les PAYSANS SE FERONT DUPER par ces HYPOCRITES. Dès que le peuple se rebelle, ils VONT CHERCHER les ESCLAVAGISTES !!!!
    21 octobre, 18:08 ·  ·  1 personne


  • Yanick Toutain C'est pour CETTE raison qu'on voit des GUY MARIUS SAGNA, des FRANCOISE GERARD, des JEAN-PIERRE KAYA , des PSEUDO X OU PSEUDO Y parcourir les murs de facebook pour EFFACER mes commentaires ou me FAIRE BANNIR !
    Ces pourris ont PEUR DU SALAIRE UNIQUE MONDIAL !!!
     Ces pourris ont PEUR DU SALAIRE UNIQUE MONDIAL !!!21 octobre, 18:09 · 

  • Yanick Toutain
    Voici de la documentation++http://fr.wikipedia.org/wiki/AmesysCITATION :
    La société est compromise dans une affaire d'espionnage liée au régime libyen du colonel Kadhafi, mise en lumière par le site d'information Owni.fr 1 depuis le mois de juin 2011 et étayée dans un reportage du Wall Street Journal le 30 août de la même année2. Elle aurait en effet vendu des technologies de surveillance permettant au régime du colonel Kadhafi de surveiller ses opposants et organisé en particulier la surveillance de l'ensemble du réseau Internet en Libye3,4. La Fédération internationale des ligues des droits de l'homme et la Ligue des droits de l'homme mettent en cause Amesys et portent plainte contre X à Paris le 19 octobre 20115.


    Amesys - Wikipédia fr.wikipedia.orgAmesys est une société de services en ingénierie informatique française fondée en 2007. Elle s'adresse principalement aux marchés de la défense et de l'aéronautique, des télécoms, du transport, de l'énergie, de l'industrie, des réseaux, de la sécurité et de la micro-électronique.

    21 octobre, 18:19 ·  ·  1 personne · 

  • Yanick Toutain
    Autre source sur l'assassinat de Thomas SankaraWIKIPEDIAhttp://fr.wikipedia.org/wiki/Thomas_Sankara
    Le 15 octobre 1987, Thomas Sankara fut assassiné lors d'un coup d'État organisé par celui qui était considéré comme son frère, Blaise Compaoré. Plusieurs jours plus tard, il fut déclaré « décédé de mort naturelle » par un médecin militaire. L'absence de tout procès ou de toute enquête de la part du gouvernement burkinabé a été condamnée en 2006 par le Comité des droits de l’homme des Nations unies (voir Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme)6. Par ailleurs, le gouvernement français de l'époque (cohabitation entre Jacques Chirac qui gouverne et François Mitterrand qui préside) est soupçonné d'avoir joué un rôle dans cet assassinat, ainsi que plusieurs autres gouvernements africains gouvernés par des amis de la France7,4. Kadhafi pourrait être impliqué et avoir utilisé ce meurtre pour redevenir un ami de la France. C'est notamment la famille Sankara, réfugiée en France, qui soutient ces hypothèses. Cette hypothèse est aussi soutenue par la plupart des historiens africains8,4. Fin 1986, il avait attaqué la France de la cohabitation devant les caméras en présence de François Mitterand pour avoir accueilli Pieter Botha, le premier ministre d'Afrique du Sud, et Jonas Savimbi chef de l'UNITA, l'un et l'autre "couverts de sang des pieds jusqu'à la tête".9 Si la décision de condamner l'absence d'enquête constitue une première mondiale dans la lutte contre l'impunité, elle est insuffisante, puisqu'elle n'a conduit à aucune condamnation.


    Thomas Sankara - Wikipédia fr.wikipedia.orgThomas Sankara est un homme politique anti-impérialiste, panafricaniste et tiers-mondiste burkinabé. Il est né le 21 décembre 1949 à Yako en Haute-Volta et mort assassiné le 15 octobre 1987 à Ouagadougou au Burkina Faso.

    21 octobre, 18:39 ·  ·  2 personnes · 

LIRE AUSSI :

SAMEDI 15 OCTOBRE 2011


Mort de Thomas Sankara : 24 années de crimes Blaise Compaoré, 24 années de formoisie et de proto-formoisie compradores au Burkina Faso, 24 années d'esclavage perpétué pour les paysans , 24 année de mortalité infantile pour les "enfants du Pays des Hommes Intègres"

DIMANCHE 16 OCTOBRE 2011


Thomas Sankara, proto-égalitariste, il combattait la formoisie et la proto-formoisie compradores (Il y a 24 ans, le crime de Blaise Compaoré)


Par Yanick Toutain
16/10/2011
Et quand on s'attaque à la petite bourgeoisie,
nous nous attaquons à
la direction même de la révolution. »


« En tant que petits bourgeois,
ils pensaient que la révolution
était venue pour balayer
les classes réactionnaires
et les bourgeois
pour les installer, eux. »

« La révolution en Afrique
a ce grand danger
qu'elle est chaque fois
initiée par la petite bourgeoisie.
La petite bourgeoisie est
généralement intellectuelle.
Dans les premiers moments
de la révolution, on attaque
la grande bourgeoisie. C'est facile.
Ce sont de grands richards, (…)
Mais au bout d'un an, deux ans,
trois ans, on est obligé
de s'attaquer à la petite bourgeoisie.
Et quand on s'attaque à la petite bourgeoisie,
nous nous attaquons à
la direction même de la révolution. »


« Nous disons que
la petite bourgeoisie est toujours
tiraillée entre deux intérêts.
Elle a deux livres :
le Capital de Karl Marx
et puis le carnet de chèques.
Elle hésite :
Che Guevara ou Onassis ?
Il faut choisir. »
(Thomas Sankara 1985)
XXX

En ce 24° anniversaire du crime de Blaise Compaoré, le « rectificateur » à cours de balles de mitraillettes, le « grand leader du Front Populaire de la formoisie et de la proto-formoisie compradore », il est bon de rappeler que Thomas Sankara était un ennemi de la formoisie.
Il n'en conscientisait pas clairement les frontières, les contours. 

SAMEDI 22 OCTOBRE 2011

VENDREDI 26 AOÛT 2011


Assassinat de Thomas Sankara : des témoignages d’un documentaire de la RAI 3 mettent en cause, la France, la CIA et Blaise Compaoré (un article inaccessible en ligne du site thomassankara.net)

Momo : …Ils se sont retrouvés en Mauritanie et ont discuté un jour entier ... ils ont beaucoup discuté et puis un homme a été envoyé par Paris, un homme blanc qui a longuement discuté avec eux… puis il y eut une autre rencontre en Libye, où l’on parla encore du problèmeSankara et ce qui fut clair pour tous est que nous voulions utiliser le Burkina comme base, Sankara devait être éliminé. Blaise Compaoré deviendrait président et allait nous aider..
Silvestro : Et Kadhafi était d’accord ?

MOMO : BIEN SUR. ATTENTION TOUT CECI DOIT RESTER SECRET …. C’EST TOP SECRET

VENDREDI 7 OCTOBRE 2011


UN DÉBAT INACHEVÉ AVEC CALIXTHE BEYALA (EN DÉFENSE DE THOMAS SANKARA, EN DÉFENSE DE L'AFRIQUE)

ELLE A DÉFENDU L'ASSASSIN KADHAFI ET SE PRÉTEND ACTRICE DE LA LIBÉRATION DU CONTINENT.
MAIS QUAND QUELQU'UN SEMBLE SE DEPLACER VERS SA GAUCHE - MÊME MEMBRE DE LA CLASSE INNOVOISIE - JE PEUX TENDRE UNE MAIN CONSTRUCTIVE.
ELLE A COMMENCÉ PAR M'INSULTER.... PUIS A CLIQUÉ "J'AIME" À PLUSIEURS DE MES COMMENTAIRES (EXTRAITS D'ARTICLES ANCIENS) FONDAMENTAUX.
JE DOIS LA CONVAINCRE DE DÉFENDRE LA MÉMOIRE DE THOMAS SANKARA ET DE CRACHER SUR L'ASSASSIN KADHAFI :
VENDREDI 7 OCTOBRE 2011


Valère Somé, « pourquoi » débattre ? (Commencer la révolution anti-formoise en Afrique 2/x)

par Yanick Toutain
6/10/2011
Valère Somé : « Je suis la quintescence de tout ce que le sankarisme a souffert. De ce point de vue, l’exil m’a apporté la maturité dans l’analyse, et la sagesse. (s