Rappelons seulement pour les jeunes lecteurs qu'en 2007, le corrompu Sarkozy, à peine élu, partit en vacances à Malte sur le yacht de son principal corrupteur,l'esclavois Vincent Bolloré.
Celui-ci est le chef de file de la bourgeoisie esclavagiste qui tirent son pouvoir économique de la mise en esclavage salarié - principalement - des paysans africains.
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En complément, un petit article rédigé par Diaf Le KwetaPublié le 25-12-2008 Source : APA Auteur : Gaboneco.com
Yanick ToutainLe Groupe français Bolloré Africa Logistics a obtenu la concession du terminal à conteneurs du Port autonome de Pointe-Noire (PAPN), la capitale économique du Congo (sud), pour une durée de 27 ans. La convention est assortie d’un plan d’investissement prévoyant, entre autres, l’approfondissement du chenal et des quais portuaires, afin de rendre le port autonome de Pointe Noire plus compétitif et lui permettre d’accueillir des navires de la nouvelle génération pouvant transporter 7000 conteneurs de 20 pieds.
Il y a 26 minutes
Yanick ToutainC'est la sueur et le sang de tous les Michael Agbor, de tous les salariés-esclaves de Vincent Bolloré, les planteurs de la Socapalm à Kienké et de toutes les plantations à 50 EUROS PAR MOIS en tant que SALAIRES ESCLAVOIS qui permettent à ce... VAMPIRE d'ACHETER TOUS LES PORTS DE L'AFRIQUE !
Après Abidjan, après Conakry, c'est maintenant le CONGO qui est VAMPIRISE PAR CE GANGSTER qui a trouvé dans la banque Rivaut les TUYAUX POURRIS DU GAULLISME.
Il faut lire FX Vershave pour comprendre comment fonctionne le principal corrupteur du sarkozysme.
Le but de la révolution en France est PRINCIPALEMENT DE METTE HORS D'ETAT DE NUIRE CET ASSASSIN dont les victimes sont 3 MILLIONS PAR AN !
Son pantin Sarkozy et son nouveau jouet Borloo ne sont que des marionnettes corruptibles dont la fonction est de PERPETUER L'OCCUPATION DE L'AFRIQUE par les TROUPES FASCISTES FRANCAISES.Afficher la suite
Il y a 21 minutes
Yanick ToutainLe Groupe Bolloré Africa Logistics est le nouveau concessionnaire du terminal à conteneur du Port autonome de Pointe-Noire. Cette concession d'une durée de 27 ans est assortie d’un plan d’investissement prévoyant, entre autres, l’approfondi...ssement du chenal et des quais portuaires, afin de rendre le port autonome de Pointe Noire plus compétitif et lui permettre d’accueillir des navires de la nouvelle génération pouvant transporter 7000 conteneurs de 20 pieds.
Au cours de cette période, le groupe français va investir 374 milliards de F.CFA (570 millions d’euros) pour la modernisation du PAPN dont la capacité de stockage devrait passer de 17 à 38 hectares, conformément à une convention signée, mardi à Brazzaville, par le directeur général du PAPN, Jean Marie Anyelé et le directeur général de Bolloré Afrique, Dominique Lafont.
La convention est assortie d’un plan d’investissement prévoyant, entre autres, l’approfondissement du chenal et des quais portuaires, afin de rendre le PAPN plus compétitif et lui permettre d’accueillir des navires de la nouvelle génération pouvant transporter 7000 conteneurs de 20 pieds.
Elle préconise également le développement de l’emploi permanent sur le site du terminal dont les effectifs devraient progresser en 2009 de 550 à 576 salariés et atteindre les 1000 employés d’ici à 2018, a indiqué le groupe Bolloré, dans un communiqué publié à Brazzaville.
«Nous avons l’ambition de faire de Pointe-Noire la porte d’entrée du Congo et son hinterland, notamment le Bassin du Congo, le couloir de Bangui à Brazzaville, de Kinshasa à Kisangani, de Pointe-Noire à Cabinda», a expliqué M. Dominique Lafont, soulignant qu’avec le PAPN, le Bolloré logistics va renforcer sa position de leader en matière de logistique portuaire en Afrique.
Pour sa part, M. Anyelé a expliqué que «le but de notre concession est de mobiliser, par le biais des partenaires privés, des moyens financiers dont l’Etat ne pouvait disposer autrement en vue du développement au PANPN d’un projet d’envergure dans le secteur de l’industrie de la manutention».
«L’objectif poursuivi et l’ambition affichée par les autorités nationales est de doter le port autonome de Pointe-Noire de tous les attributs pour devenir un port majeur et le rester pendant plusieurs décennies», a-t-il ajouté.
Considéré comme un «hub» de transbordement des ports du Golfe de Guinée, le PAPN fait l’objet, depuis 2006, d’un programme d’investissement prioritaire (PIP) d’un montant global de 60 milliards de F.CFA (91 millions d’euros).
Le PIP doit être financé par les bailleurs de fonds internationaux, notamment l’Agence française de développement (AFD), la Banque européenne d’investissement (BEI) et la Banque de développement des Etats de l’Afrique centrale (BDEAC) qui doivent y apporter 35 milliards de F.CFA, soit 53 millions d’euros.
Publié le 25-12-2008 Source : APA Auteur : Gaboneco.com
Le Congo-Brazzaville est le théâtre d’une guerre civile marquée en octobre 1997 par la victoire et le retour du général Denis Sassou Nguesso (Sassou II). Malgré le rejet des électeurs congolais, Sassou se retrouve à nouveau au pouvoir grâce à une alliance... de soldats et miliciens recrutés sur critère ethnique, de forces étrangères (Angolais, Tchadiens, la garde présidentielle zaïroise et l’ex-armée rwandaise), et de mercenaires, notamment français. Quant aux relations économiques, au moment où son isolement aurait dû rester total, Sassou les trouvera essentiellement, en dehors de la société Elf, auprès de Pierre Aïm et de Michel Roussin, respectivement « poisson pilote » et « Monsieur Afrique » du groupe Bolloré. Sassou laisse s’instaurer la terreur, perpétrée par ses miliciens, auprès des populations originaires du sud du pays. Tout au long de l’année 1998 se multiplient les exactions : des villes et des villages sont bombardés, des habitations incendiées, des civils tués. Une partie de la population doit s’enfuir dans les forêts et les grottes avoisinantes. L’année 1999 verra jusqu’à 500 000 civils fugitifs ; une part non négligeable est morte de faim et de maladie dans la forêt. Le pouvoir congolais, avec l’aide de ses alliés, se lance dans une « reconquête » féroce du sud de la capitale et du pays. On assiste à un déchaînement de violences à l’encontre des populations. D’après une mission de l’ONU, en avril 1999, les villes de Nkayi et Dolisie ont été les cibles d’un nettoyage ethnique. Massacres et mise en fuite des habitants ont eu pour résultat de faire passer la population de 120 000 à 3 500 personnes. Entre décembre 1998 et décembre 1999, il y a eu probablement plus de morts au Congo-Brazzaville que dans les conflits du Kosovo, du Timor oriental et de Tchétchénie réunis. Bolloré n’a pas seulement été le partenaire commercial de Sassou, il a profité de l’isolement international d’un régime criminel pour accroître des positions rentières au coeur de l’économie congolaise. Cette attitude néfaste du groupe Bolloré et de son représentant local à Brazzaville, Pierre Aïm, a conforté le dictateur Sassou dans la guerre ethnique entreprise contre la majorité de la population du pays. Avec le rachat du groupe de transport Saga de Pierre Aïm, Bolloré s’est ouvert un portefeuille de contacts avec les dictateurs africains les moins fréquentables dont le Congolais Sassou Nguesso et le Tchadien Idriss Déby. Il renforce aussi ses liens avec le monde des services secrets. Il recourt aux compétences de Jean Heinrich (ex-patron fort courtisé de la Direction générale des renseignements militaires), et s’associe très étroitement à Michel Roussin, haut retraité de la DGSE et ancien ministre français de la Coopération. Pierre Aïm, « éclaireur » de Bolloré, est en affaires à haut niveau avec une bonne partie de la coalition pro-Sassou. Il n’ignore pas la voie des armes : sa société Saga était accréditée Défense. Elle participait au transport du matériel militaire vers les bases françaises en Afrique. Cet investissement forcené au Congo-Brazzaville est lié au sort des armes. Dès lors, on ne peut passer sous silence l’assertion de La Lettre du Continent (15/07/1999) selon laquelle « Le projet ADES (aide et sécurité) intéresserait le groupe Bolloré pour la sécurisation du CFCO (Chemin de fer Congo-Océan) ». Bolloré, Aïm et le clan Nguesso multiplient les montages financiers dans les domaines de la logistique et du transport. Le soutien au régime Sassou II se traduit par le développement d’entreprises où l’on place des membres de la famille du dictateur. Fin 1998, à l’initiative de Pierre Aïm, une société de droit luxembourgeois est remise en activité : la Société Congolaise de Transport Maritime (SCTM). Par les arrêtés n° 98-11 et 98-12, l’État congolais s’est arrangé pour concéder à cette société privée dirigée par le neveu de Sassou, Willy Nguesso, 40 % des droits du trafic maritime. Ce qui peut représenter jusqu’à 100 000 $ par jour vu le fort tonnage d’enlèvements pétroliers, et permet ainsi de donner le maximum de garanties aux préfinancements nécessaires pour l’achat de matériels destinés à la poursuite de la guerre. Enfin le même type de manœuvres est réalisé avec la société RAIL dont Pierre Aïm est président, et par laquelle Bolloré a acquis le quasi-monopole de l’infrastructure congolaise en matière de transport et de stockage, de Pointe-Noire à BrazzavillePar : Diaf Le Kweta
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