" C'est cela et rien d'autre la clé de la déclaration du pape !
Aucune compassion à l'encontre des esclaves salariés !
Pas un mot sur les esclaves de Bolloré !
La seule et unique explication,
c'est la crainte de l'église catholique
de voir la bourgeoisie esclavagiste confier
la gestion du camp de travail aux islamofascistes.
C'est la crainte d'une boutique bigote de voir
la concurrence de la boutique bigote d'en face !!!
Si ce n'était pas le cas, il y a belle lurette que les prêtres
catholiques auraient exigé le SMIC EN AFRIQUE,
l'application des lois sociales françaises sur
les TERRITOIRES OCCUPES par l'armée française.
Mais le Vatican sert justement à permettre cette infamie !"
conclusion YT de cet article
Aucune compassion à l'encontre des esclaves salariés !
Pas un mot sur les esclaves de Bolloré !
La seule et unique explication,
c'est la crainte de l'église catholique
de voir la bourgeoisie esclavagiste confier
la gestion du camp de travail aux islamofascistes.
C'est la crainte d'une boutique bigote de voir
la concurrence de la boutique bigote d'en face !!!
Si ce n'était pas le cas, il y a belle lurette que les prêtres
catholiques auraient exigé le SMIC EN AFRIQUE,
l'application des lois sociales françaises sur
les TERRITOIRES OCCUPES par l'armée française.
Mais le Vatican sert justement à permettre cette infamie !"
conclusion YT de cet article
titre d'un article de l'agence du Vatican FIDES
Une agence qui trie les victimes selon leur religion
Une agence qui trie les victimes selon leur religion
"LES OUVRIERS SONT TRAITES COMME DES ESCLAVES"
DISAIT LE PÈRE GARELLO DEUX JOURS AVANT LE PAPE !
Le pape attend qu'il y ait au moins 200 morts pour dénoncer du bout des lèvres la bourgeoisie esclavagiste :"Au cours de sa catéchèse, consacrée aux figures de Joseph et de Marie, en ce mercredi 1er mai, place Saint-Pierre, le pape François a, de nouveau, marqué sa profonde préoccupation pour l’accroissement du nombre de chômeurs dans le monde, « en raison d’une conception par trop économiste de la société, fondée sur des critères égoïstes, trop éloignés de la justice sociale. »
Revenant sur le thème de l’esclavage moderne, déjà évoqué par lui, notamment dans son discours au corps diplomatique, le pape a appelé les responsables publics à « des choix décisifs contre la traite des personnes, contre le travail avilissant, qui rend esclave ».
(...)Cette dignité essentielle « ne vient ni du pouvoir, ni de l’argent, ni de la culture », a insisté le pape, « mais bien plutôt du travail. ». Allant plus loin, il a rappelé les victimes du récent effondrement d’un immeuble au Bangladesh, « qui travaillaient pour 38 € par mois ! » : « Ne pas payer le juste prix, s’en tenir seulement au profit, tout cela va contre Dieu ! Les personnes sont moins importantes que les choses qui apportent des profits à ceux qui ont le pouvoir politique, économique et social. »
Mais aujourd’hui, a conclu le pape, « la figure de saint Joseph, de Jésus, de Dieu qui travaille, nous montre la voie pour aller vers la dignité. »"
Frédéric Mounier, à Rome (La Croix)
MANGO, PRIMARK,
ENTREPRISES ESCLAVAGISTES
Ce pape, prétendument envoyé par un Dieu plein d'amour, devrait lire les articles de Julie Amadis. Il éviterait de dire des bêtises : Ce c'est pas pour 38€ par mois que sont morts les esclavages des multinationales. Même si ce chiffre est repris par les médias comme..... parole d'évangile ! A commencer par Le Point
Julie Amadis écrivait, il y 6 jours:
vendredi 26 avril 2013
32€ par mois: 230 morts au Bangladesh, 230 morts du capitalisme pour des salaires de misère
par Julie Amadis
USINE DANGEREUSE
Germinal n'est plus en France il est au Bangladesh.
POUR UN SALAIRE DE MISÈRE
Ce ne sont pas les mines qui s'écroulent, ce sont les usines du XXIème siècle !
(...) Au Bangladesh, les gens sont payés 32 euros par mois et les usines sont dangereuses.Journal du Net > Business > Salaire > Pays > BangladeshRevenuLes salaires au Bangladesh
31,80 € de revenus moyen / moissource Banque Mondiale, 2008En 2010, le salaire minimum était de 18 euros par mois !"Les défenseurs des droits des travailleurs rejettent la proposition de salaire minimum au Bangladesh. Ce 27 Juillet, le Conseil national des salaires du Bangladesh a recommandé au Gouvernement de ce pays d’élever le salaire minimum légal dans le secteur de l’habillement à 3.000 Takas par mois (33 euros). Cette proposition doit être avalisée par le Gouvernement dans les deux prochaines semaines. Actuellement le salaire minimum légal fixé pour le secteur de l’habillement s’élève à 1.662 Takas (18€) par mois. Il n’a pas été revu depuis 2006 alors qu’entretemps l’augmentation des prix des produits de base a été multiplié jusqu’à trois fois."
18 euros ce sont presque la moitié des 38 € que le pape a appelé esclavage.
Etrangement, le journaliste de l'AFP fait un rectificatif .... erroné
"En fait, les salaires sont encore plus bas au Bangladesh: le minimum salarial mensuel habituellement versé aux ouvriers n'excède pas 38 dollars, soit 29 euros, pour six jours de travail par semaine et dix heures par jour." De Shafiq ALAM (AFP)
Les 18 € de 2010 auraient fait un bond de 11 € en 3 ans ?
C'est ce même journaliste de l'AFP qui nous donne le nombre de manifestants:
La police à Dacca chiffrait à environ 20.000 le nombre de manifestants participant au principal défilé. D'autres rassemblements étaient organisés dans les grandes villes.Mais quid de l'application au Bengladesh des lois du travail appliquées en Europe ?
Pour ces larbins de la bourgeoisie esclavagiste, il n'en est pas question. Ils vont limiter l'autocritique à l'aspect sécurité:
"Le gouvernement du Bangladesh devait répondre aux critiques sur plusieurs fronts, mis en demeure d'améliorer la sécurité des travailleurs du textile et soupçonné par les familles des victimes d'avoir refusé l'aide de secouristes étrangers.Les bourgeois esclavagistes responsables d'une telle ignominie vont jouer les dames de la charité ! C'est leur image de marque qui importe ! Pas l'application mondiale du salaire unique à 1000 € !
Il a annoncé un plan d'inspection des usines mais récusé les accusations de négligence dans les opérations de sauvetage et de récupération des corps ensevelis sous des tonnes de béton et d'acier.
Sept personnes ont été arrêtées et poursuivies pour homicides involontaires. Parmi elles, le propriétaire du Rana Plaza et des ingénieurs qui avaient donné le feu vert aux ouvriers pour revenir travailler en dépit de fissures constatées, ont comparu devant la justice avec des gilets pare-balles."
"L'immeuble abritait cinq ateliers de confection notamment liés aux marques espagnole Mango et britannique Primark.
Primark s'est engagé à "verser des indemnités aux victimes de cette catastrophe qui travaillaient pour son fournisseur" et notamment aux enfants ayant perdu leurs parents.
Le groupe canadien de distribution alimentaire Loblaw a également annoncé son intention d'apporter une aide "significative" aux familles de victimes employées par son fournisseur et de "favoriser la mise en place de changements afin d'éviter qu'un tel incident ne puisse se reproduire".
La plupart des 4.500 usines du textile étaient fermées depuis une semaine, un coup d'arrêt brutal pour l'économie du pays, alimentée en grande partie par les 20 milliards de dollars annuels générés par cette industrie.
Le Premier ministre, en s'adressant au parlement mardi soir, a exhorté les ouvriers à reprendre le travail et critiqué les attaques dont ont été la cible plusieurs usines.
"Je voudrais dire aux ouvriers de garder la tête froide, de maintenir les usines opérationnelles, sinon vous allez perdre votre travail", a lancé Mme Sheikh Hasina.
L'UE, destinataire de 60% de la confection bangladaise, a exhorté mardi Dacca à "agir immédiatement" pour faire respecter les normes internationales de sécurité et de santé dans les usines du pays.
Le directeur général adjoint de l'Organisation internationale du travail (OIT), Gilbert Houngo, était attendu à Dacca mercredi pour parler avec les autorités de l'amélioration des conditions de sécurité."
Ce Gilbert Houngo aura à répondre du crime de complicité d'esclavage. Il y aura aussi un Nuremberg de l'Asie.
Les 4 millions de bébés qui mouraient annuellement selon les statistiques données par l"'INED en Asie sont les victimes du même génocide sanitaire que les bébés africains.Les 50 euros par mois versés par Vincent Bolloré à ses esclaves de Kienké sont la version africaine de la même barbarie dont sont victimes les travailleurs du Bengladesh !
Les plantations de Bolloré au Cameroun
Cameroon
Le groupe français Bolloré tente d’intimider les médias qui s’intéressent aux pratiques abusives dans ses plantations camerounaises
Le Cameroun – ancienne colonie française – reste géré par une oligarchie qui agit plus en fonction de ses propres intérêts et de ceux de la France que de l’intérêt général (selon Transparency International, 2009, le Cameroun est le pays d’Afrique subsaharienne le plus corrompu). Dans ce contexte, de nombreux Camerounais considèrent le contrôle de leurs secteurs stratégiques par de grandes entreprises françaises comme une forme de néo-colonialisme. Il n’est d’ailleurs pas rare de voir les dirigeants du groupe Bolloré s’afficher publiquement avec le président Paul Biya, son épouse Chantal, ou avec les plus hauts cadres du régime. Pour Pius Njawé, directeur du journal Le Messager, l’ingérence du groupe Bolloré dans la vie politique du Cameroun ne fait aucun doute : « c’est une sorte d’Etat dans l’Etat. (…) une illustration parfaite de la Françafrique ».
Au Cameroun, le groupe Bolloré contrôle notamment d’immenses plantations de palmiers à huile et d’hévéas, soit directement via Safacam (qui exploite 8400 hectares), soit indirectement via la Socfinal (gérant 31 000 hectares) que Bolloré partage avec les deux familles du groupe Rivaud (repris par Bolloré en 1995) : les Fabri et les de Ribes. Parmi les quelques holdings de Rivaud cotées au Luxembourg, il y a donc la Socfinal dont Bolloré détient près de 40% des parts. L’une de ses filiales, Intercultures, gère la Socapalm (Société Camerounaise de Palmeraies), la compagnie sur laquelle porte les deux procès mentionnés ci-dessus. Dans le bilan de la Socfinal, la Socapalm ne ramène pas moins de 45% des bénéfices. Cette dernière est le résultat d’un programme gouvernemental lancé dès 1963 avec l’aide de la Banque mondiale. Elle a été privatisée en 2000, date à laquelle elle est entrée dans le giron du groupe.
La Socapalm est source de problèmes sociaux et écologiques dramatiques, comme l’avait déjà dénoncé le WRM (Bulletins N°112, 116, 134 ; Série du WRM sur les plantations N°13). En bref, la plantation (à l’époque étatique) a confisqué sans compensation des terres appartenant coutumièrement aux populations locales et son expansion est actuellement en marche, au prix des écosystèmes adjacents dont dépendent ces mêmes populations. Leur souveraineté alimentaire en est ainsi gravement menacée. En outre, les produits agrochimiques utilisés dans la monoculture et les rejets de son usine à Kienké polluent massivement les cours d’eau avoisinants. Dans la plantation, les conditions de vie et de travail sont exécrables: baraquements et latrines collectives insalubres, manque d’accès régulier à l’eau et à l’électricité, travaux pour la plupart temporaires et à des salaires extrêmement bas, etc. Des centaines d’ouvriers travaillent 6 jours par semaine et parfois de 6 à 18h, sans couverture sociale et sans protection adéquate, pour environ 1.6 euro par jour – et ce, seulement quand les sous-traitants n’oublient pas de les payer. Face à cela, grèves et protestations se sont multipliées, mais lorsque fin 2007 un mouvement de résistance s’est élevé contre ces pratiques, son leader a été immédiatement arrêté par la police et les autorités lui font savoir que « si tu continues, on va te tuer ».
Les plantations de Bolloré ailleurs dans le monde
Le groupe Bolloré, via la Socfinal, possède d’autres plantations d’hévéas et de palmiers à huile ailleurs en Afrique et en Asie. Nombre d’entre elles sont à l’origine de problèmes similaires avec les travailleurs et les populations voisines. Au Liberia par exemple, la Socfinal possède la seconde plus grande plantation d’hévéas du pays. En mai 2006, la Mission des Nations Unies au Liberia (UNMIL) a publié un rapport qui décrit la situation accablante des droits humains dans cette plantation : travail d’enfants de moins de quatorze ans, recours massif à la sous-traitance, utilisation de produits cancérigènes, musellement des syndicats, licenciements arbitraires, maintien de l’ordre par des milices privées, évictions des villageois gênant l’expansion de la zone d’exploitation.
etc etc...
50 € par mois et des menaces de mort en cas de grève !
LES JUGES POURRIS DE FRANCE NE VOIENT RIEN !
Les juges qui prétendent, en France, faire règner l'ordre au nom de la justice ne sont que des corrompus grassement payés par la bourgeoisie esclavagiste.
Ils ne voient rien !
Ils ne répriment rien !
Ils ne condamnent rien !
Mais l'agence FIDES ne voit pas l'esclavage Bolloré en Afrique !
Recherche Bolloré: "La ricerca non ha prodotto alcun risultato"
Recherche SOCAPALM: "La ricerca non ha prodotto alcun risultato"
Le pape François et le Père Silvano Garello voient l'esclavage au Bengladesh.... mais pas en Afrique !
Il faut donc lire le communiqué de l'agence pour comprendre pourquoi cela.
En fait, le Vatican craint que la colère des travailleurs de Bengladesh n'amène la b!ourgeoisie esclavagiste à transformer le pays en nouvel Afghanistan ou en nouveau Mali !
Ce que redoute le Vatican, c'est de voir la CIA et la DGSE se mettre à fabriquer, avec leurs amis du Qatar et de l'Arabie Saoudite des Ançar Eddine et autres Ennahda pour pouvoir perpétuer l'esclavage à 50 euros !
En effet, deux jours avant la déclaration du pape, le correspondant local avertissait ses supérieurs
2013-04-29
ASIE/BANGLADESH - Selon un missionnaire, « l’écroulement de la fabrique cristallise les éléments de mécontentement, créant une situation explosive »
Dacca (Agence Fides) – « L’épisode de l’effondrement de la fabrique sise dans la périphérie de Dacca a secoué la nation et a cristallisé tous les éléments de mécontentement existant au sein de la société » déclare à l’Agence Fides le Père Silvano Garello, SX, missionnaire à Dacca depuis 40 ans. « Il existe des situations et des tensions souterraines qui peuvent exploser d’un moment à l’autre et qui concernent la sphère politique, la religion, le travail » explique-t-il. Selon un bilan rendu public par les autorités, sur 3.000 ouvriers environ ensevelis sous les décombres de l’édifice, 2.430 ont été retrouvés sachant que le nombre des morts est de 381, le reste devant être considéré comme disparus. Désormais, les excavatrices sont à l’œuvre, tout espoir de retrouver de nouveaux survivants ayant été abandonné.
Le Père Garello rappelle : « Ceux qui travaillent dans le secteur textile protestent pour le manque de sécurité et le salaire dérisoire. Dans de nombreuses situations, la dignité du travail et de la vie elle-même en sont pas respectées. Les ouvriers sont traités comme des esclaves. Les sociétés occidentales – qui commissionnent le travail aux fabriques locales – ont, elles aussi, fait mine de rien, alors que par le passé elles s’étaient prononcées en excluant des entreprises ayant recours au travail des mineurs ».
Entre temps, « de fortes tensions et politiques se manifestent. Les partis politiques ne s’accordent pas en vue des nouvelles élections qui devraient avoir lieu à la fin de l’année. Les forces sur le terrain ne font pas confiance au gouvernement. Le dialogue fait défaut et se trouve dans une impasse ». Dans ce scénario, viennent s’insérer « des groupes fondamentalistes islamiques qui promeuvent des lois typiquement musulmanes, comme la loi sur le blasphème, sur le modèle pakistanais. Jusqu’ici, le pays a donné l’exemple d’un islam modéré mais nous ne savons pas ce que l’avenir nous réserve. Au cours de ces dernières semaines ont eu lieu des attaques contre des temples hindous et des communautés bouddhistes, ce qui alerte les minorités religieuses, y compris nous chrétiens. En tant que missionnaires catholiques, nous promouvons pacifiquement les valeurs chrétiennes de dialogue, de fraternité, d’amour du prochain par le témoignage et les œuvres sociales ». (PA) (Agence Fides 29/04/2013)
C'est cela et rien d'autre la clé de la déclaration du pape ! Aucune compassion à l'encontre des esclaves salariés ! Pas un mot sur les esclaves de Bolloré !
La seule et unique explication, c'est la crainte de l'église catholique de voir la bourgeoisie esclavagiste confier la gestion du camp de travail aux islamofascistes. C'est la crainte d'une boutique bigote de voir la concurrence de la boutique bigote d'en face !!!
Si ce n'était pas le cas, il y a belle lurette que les prêtres catholiques auraient exigé le SMIC EN AFRIQUE, l'application des lois sociales françaises sur les TERRITOIRES OCCUPES par l'armée française.
Mais le Vatican sert justement à permettre cette infamie !
COMPLÉMENTS
All of the company's merchandise is made specifically for the company
and as such Primark has its own brand names. Within both menswear and
ladieswear there is one main brand
Primark
Création | 1969 |
---|
Type | Sociedad Limitada |
---|
En examinant les titres des articles de FIDES - depuis 6 mois - pour le Bengladesh on voit bien le souci des boutiques concurrentes être bien plus grand que le souci de l'esclavage
News
- 2013-04-29 ASIE/BANGLADESH - Selon un missionnaire, « l’écroulement de la fabrique cristallise les éléments de mécontentement, créant une situation explosive »
- 2013-04-27 ASIE/BANGLADESH – Huit arrestations dans le cadre de l’effondrement d’une usine – trois jeunes chrétiennes portées disparues
- 2013-04-26 ASIE/BANGLADESH - Ultimatum des extrémistes islamiques au gouvernement : « approuvez la loi contre le blasphème ou nous ferons le siège de Dacca »
- 2013-04-19 ASIE/BANGLADESH - Pour l’Evêque auxiliaire de Chittagong, « la société ne veut pas d’une nouvelle loi sur le blasphème »
- 2013-03-21 ASIE/BANGLADESH – « Nous nous sentons proches du Pape, personne humble qui connaît la vie des pauvres »
- 2013-02-19 ASIE/BANGLADESH - Société civile et communautés religieuses, ensemble en faveur d’une loi contre la discrimination
- 2013-02-05 ASIE/BANGLADESH - Nouvelle épidémie d’hénipavirus : premier mort à Dacca et décès d’un nouveau-né à Chittagong
- 2013-01-11 ASIE/BANGLADESH - Enfants contraints à abandonner leurs études pour trouver un travail à cause de l’extrême pauvreté
- 2012-12-18 ASIE/BANGLADESH - Encore aucune aide alimentaire et sanitaire pour les Rohingyas sans papiers
- 2012-11-21 ASIE/BANGLADESH - La tragédie des pothoshinsho, les enfants des rues de Dhaka
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire