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lundi 31 août 2015

Catherine Graciet journaliste à vendre 2 millions€ "J'y voyais un deal privé entre deux parties"

Le sultan Abdul Hamid II
avait acheté des article
au journal Le Temps,
le principal "journal de référence"
de la bourgeoisie française.
Ce journal se vendant comme une
vieille pute à qui lui graissait la patte
par Yanick Toutain
REVACTU
31/8/2015

"Chacun se demande ce qu'il ferait de sa vie avec 2 M€."
(interview exclusive de  Catherine Graciet  dans le Parisien)
Eric Laurent  :"J’ai exercé ce métier pendant 30 ans et j’avoue que là, j’en ai un peu assez. C’est un sujet très complexe concernant la famille royale et certains comportements. Donc je me dis : après tout, on n’a pas envie, quelles que soient les réserves que l’on peut avoir sur la monarchie, que s’instaure une république islamique. S’il propose une transaction, pourquoi pas."
(interview Le Monde Afrique)

Quand les crises sociales se développent, les "élites" barbares en déliquescence sélectionnent les plus imbéciles, les plus corruptibles, les individus les plus dépourvus de sens moral ou d'humanité.
Les gens trop intelligents refusent de se mêler à ces pourris et ces pourris rejettent les journalistes trop honnêtes, les profs trop honnêtes, les chercheurs trop honnêtes....etc etc......
On voit donc les gens de qualité stagner de plus en bas dans les hiérarchies sociales. Et les sommets se remplir de médiocres, d'imbéciles. On comprend alors la présence de Ségolène Royal, Nicolas Sarkozy, François Hollande, Manuel Valls ou Najat Vallaud-Belkacem au sommet de l'Etat Franceàfric : des médiocres imbéciles comme élites des médiocres imbéciles.

Cette "journaliste" (future "ex-journaliste")  Catherine Graciet est complètement folle. Elle s'imagine que 80% des humains ont les mêmes délires dans le cerveau que la bouillie qu'elle trimbale.
"Chacun se demande ce qu'il ferait de sa vie avec 2 M€"
Je ne me suis jamais posé cette question. Jamais.
Il faut être un malade mental pour se demander ce qu'il ferait avec le revenu mensuel de 40 000 familles de Kienké au Cameroun. Il faut être un criminel atteint de pathologie consumériste aggravée pour se poser une pareille stupide question.
Mais non, Catherine Graciet croit que la planète fonctionne comme son petit milieu pourri de la presse parisienne.
Elle côtoie tellement de journalistes corrompus que sa question est banale - pour ces pourris-là !
"Chacun se demande ce qu'il ferait de sa vie avec 2 M€".

L'ANGE JOURNALISTE ET LE DEMON JOURNALISTE

Mais elle a mauvaise conscience
 "Moi, je me sens perdue. Tout s'embrouille. Deux voix parlent dans ma tête : l'ange et le démon. Et je ne sais plus ce que je fais"
Mais si, elle sait ce qu'elle fait !!!
Elle agit conformément à la tradition française de presse vendue ! Et le trafiquant de drogue M6, Mohamed 6 faux mususlman de la riba et commandeur des bigots n'est pas le premier tyran à acheter la presse pute française.

EN 1921, L'ARRIÈRE-GRAND-PÈRE
DE NATHALIE KOSCIUSKO-MORIZET DÉNONÇAIT
LE SULTAN ABDUL HAMID QUI AVAIT ACHETÉ
 DES ARTICLES FAVORABLES AU JOURNAL LE TEMPS

"
André Morizet auteur de
"Chez Lénine et Trotsky"
Lorsque les Jeunes-Turcs détrônèrent par exemple 
Abdul-Hamid, ils trouvèrent dans les armoires 
d'Yldiz-Kiosk une liste de ce que le sultan rouge 
avait versé au grand organe de la bourgeoisie fran- 
çaise. On y relevait : 

« 6.000 francs pour des articles publiés huit fois 
au sujet de l'administration intègre du sultan de 
Turquie. 

« 10.000 francs pour les articles écrits vingt- 
quatre fois au cours d'une année contre les Jeunes- 
Turcs. 

« 20.000 francs pour un article détaillé paru 
avant la proclamation de la Constitution, pour dire 
que le Comité Union et Progrès n'est qu'une asso- 
ciation de brigandage.
 (extrait du livre d'André Morizet "Chez Lénine et Trotsky" paru en 1921)


LE "JOURNAL DE RÉFÉRENCE" LE TEMPS
UNE VIEILLE PUTE SE VENDANT AU PLUS OFFRANT

Le Temps était, de notoriété publique une vielle pute que n'importe qui pouvait acheter.
Dans son livre "Ma Vie" Trotsky évoquait des pourparlers - il n'en avait pas les détails - entre le gouvernement révolutionnaire d'URSS et la péripatéticienne de la bourgeoisie française.
Il ironisait sur le fait que c'est Staline qui avait finalement conclu le marché avec l'apparition soudaine d'une suite d'articles favorable à la dictature stalino-fasciste au moment des Procès de Moscou.

LE PRÉSIDENT GBAGBO RACKETTÉ PAR DOMINIQUE DE VILLEPIN

Qui irait s'imaginer que la haine généralisée contre le président légitime de Côte d'ivoire Laurent Gbagbo n'aurait pas comme cause l'argent de Ouattara ou le refus ancien de Gbagbo de verser à la presse Franceàfric la cotisation qu'exigeait de lui le corrompu Villepin.
Quand un ministre des Affaires Etrangères est dénoncé comme corrompu notoire, pourquoi Catherine Graciet se gênerait-elle ?

J'Y VOIS UN DEAL PRIVE ENTRE DEUX PARTIES

"Il dit que, comme on n'a pas les documents, ce n'est plus que 1,5 M€. Il repart, revient, nous pousse à la négociation. Moi, je me sens perdue. Tout s'embrouille. Deux voix parlent dans ma tête : l'ange et le démon. Et je ne sais plus ce que je fais. Je ne pense pas à laisser tomber le bouquin ; en même temps je me dis que, si j'accepte cette somme, ça va changer ma vie...
Vous vous laissez tenter ?
Oui, je me suis laissée tenter (elle fond en larmes...). J'ai eu un accès de faiblesse... C'est humain, non ? Chacun se demande ce qu'il ferait de sa vie avec 2 M€. Essayez d'imaginer la situation. Et c'était pour renoncer à un livre, pas pour tuer quelqu'un... Quand j'ai signé le protocole où nous renonçons à écrire sur la monarchie, je me dis aussi que j'ai la preuve que c'est un corrupteur, puisqu'il l'a signé lui aussi. Et, comme c'est le Palais qui propose l'argent, j'y vois un deal privé entre deux parties. Je sais que, déontologiquement, moralement, ce n'est pas génial, mais je n'y vois rien de mal pénalement. Ensuite, c'est lui qui a insisté pour que nous prenions une avance. Quand il est parti et que je me suis retrouvée avec tout cet argent liquide dans les mains, j'étais hébétée, hagarde. Quand la police nous a interpellés dans le hall de l'hôtel, je n'ai pas compris. Puis la colère est montée ! J'ai compris la manipulation, la police en embuscade, les écoutes, le traquenard. On ne m'a même pas laissé la chance de regretter, de voir ce que j'allais faire après. Mais je me suis fait la promesse que notre livre sortira."
L'ex journaliste avoue elle-même qu'elle n'a plus aucune déontologie.
" Je sais que, déontologiquement, moralement, ce n'est pas génial, mais je n'y vois rien de mal pénalement."
On attend que ses collègues complices - par leur silence - des crimes de l'ONUCI et de LICORNE en Côte d'Ivoire fassent de pareils aveux.
S'ils ne le font pas, nos juges délégués révocables sauront retrouver les factures !!!

ON PEUT LIRE TOUT L'ARTICLE DU PARISIEN ICI

Catherine Graciet : «Je suis tombée dans un piège»

La prétendu victime M6 est un corrupteur notoire et un trafiquant de drogue que la révolution mettra hors d'état de nuire

MERCREDI 16 FÉVRIER 2011

Sur la corruption totale de la Franceàfric politique et journalistique, lire ceci (Blog de Sam La Touche)

Dans un entretien au Journal du Dimanche du 11 septembre, raconte comment il a pendant plusieurs années apporté des millions de francs, de dollars et d’euros en liquide à Jacques Chirac et Dominique de Villepin en provenance de chefs d’Etat africains. Morçeaux choisis...
«C’était toujours le soir. "Il y a du lourd?" demandait Chirac quand j’entrais dans le bureau. Il m’installait sur un des grands fauteuils bleus et me proposait toujours une bière. Moi qui n’aime pas la bière, je m’y suis mis. […] Il n’y avait jamais moins de 5 millions de francs. Cela pouvait aller jusqu’à 15 millions. Je me souviens de la première remise de fonds en présence de Villepin. L’argent venait du maréchal Mobutu, président du Zaïre. C’était en 1995. Il m’avait confié 10 millions de francs que Jacques Foccart est allé remettre à Chirac.»(...)
«Un soir, j’étais à Ouagadougou avec le président Blaise Compaoré. Je devais ramener pour Chirac et Villepin trois millions de dollars. Compaoré a eu l’idée, "connaissant Villepin comme un homme de l’art", a-t-il dit, de cacher l’argent dans quatre djembés. […] Les tams-tams étaient bourrés de dollars. Une fois dans son bureau, Villepin a dit: "Blaise déconne, c’est encore des petites coupures!"»(...)
«Une autre fois, lorsqu’il était à Matignon, Villepin s’impatientait parce que l’ambassadeur du Gabon était en retard. Il est finalement arrivé tout essoufflé avec un sac contenant 2 millions d’euros. "C’est lourd", disait-il… en frôlant l’infarctus.»(...)
«Il [Laurent Gbago] m’avait demandé combien donnait Omar Bongo, et j’avais dit 3 millions de dollars. Laurent Gbagbo m’a dit: "On donnera pareil alors." Il est venu à Paris avec l’argent. Nous nous sommes retrouvés dans sa suite du Plaza Athénée. Nous ne savions pas où mettre les billets. J’ai eu l’idée de les emballer dans une affiche publicitaire d’Austin Cooper.»

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