La circulaire Code Noir de Christiane Taubira amènera cette dame devant les juges délégués révocables révolutionnaires |
Le nouveau Code Noir de Christiane Taubira est simple à résumer : le ventre des femmes de Terre du Sud en esclavage et leurs enfants dénationalisés automatiquement par l'acheteur (YT)
Il leur a fallu du temps !
On se demande d'ailleurs pour quelle raison toute cette "gauche morale" n'a pas encore demandé la REVOCATION IMMEDIATE pour la responsable qui avait ordonné aux consulats de faciliter ce commerce abject !
JEUDI 18 AVRIL 2013
Si l'insémination artificielle et la fécondation in vitro relèvent de la PMA, ce n'est pas le cas de la GPA qui correspond à une industrie de "location des ventres" et de commerce d'ovocytes. La GPA donne la possibilité aux hommes de disposer du corps des femmes pour satisfaire un "droit à l'enfant"que nous récusons. Parce que la demande fait l'offre, la GPA est aussi une question économique, au centre de toutes les inégalités : domination des hommes sur les femmes, des riches sur les pauvres, des pays du Nord sur les pays du Sud. Comment un gouvernement progressiste pourrait-il cautionnerla création d'un marché des ventres au nom d'un "droit à l'enfant" qui n'existe pas et qui ne doit pas exister ? »une tribune collective (7), signée notamment d’Yvette Roudy, de Thalia Breton et de Carine Favier,
La puissance de ce lobby du millionnaire Pierre Bergé - qui préféra conserver sa fortune plutôt qu'en faire don en totalité pour la recherche contre le SIDA - est telle que les voix hostiles étaient marginalisées dans le cafarnaum de l'extrême-droite homophobe.
J'écrivais en avril 2013 :
Même les modérés de gauche qui tentent de se faire entendre sont délibérément maintenus dans l'ombre par le lobby hétérosexuel.Qui connait les prises de position de ces responsables de gauche (colonialiste réformiste) que relate Wikipédia ?
- Parti communiste et Front de Gauche : le député Patrice Carvalho a fait connaitre son opposition au mariage homosexuel et il est le seul député de gauche à voter contre, en première lecture, l'article 1er du projet de loi, tandis que les cinq députés ultra-marins, comme Bruno Nestor Azérot de la Gauche démocrate et républicaine, ne participent pas à ce scrutin, bien que leur groupe parlementaire leur ait expressément donné la liberté de vote45.
- Parti socialiste : alors que la position officielle du Parti socialiste est favorable au projet depuis au moins 2007 et constitue la proposition no 31 du candidat François Hollande, certains élus socialistes émettent des réserves sur le projet, voire des oppositions. Alors que le 7 novembre 2012 est adopté en conseil des ministres un projet de loi « ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe », quelques socialistes expriment toujours des réserves personnelles, comme Bernadette Laclais, député-maire de Chambéry46,Bernard Poignant47, Jean-Jacques Rateau, conseiller PS pour les Français de l'étranger48, Gérard Collomb qui y voit le risque de marchandisation des corps49, Lionel Jospin50 et certains catholiques du parti, qui seraient « entre doutes et réticences »51. Au côté de plusieurs élus ultra-marins du groupe socialiste et apparentés de l'Assemblée nationale comme Patrick Lebreton45, le député PS de Charente, Jérôme Lambert, petit-neveu de François Mitterrand, annonce qu'il votera contre le texte final du projet de loi 52.
- En janvier 2013, l'ancienne ministre socialiste Georgina Dufoixse déclare également contre le projet de loi au motif qu'il bouleverse en fait la conception du mariage pour tous les citoyens, détruit la notion de filiation, institue corrélativement un droit à l'enfant et, in fine, introduit lathéorie du genre au sein de la société et est la seule ancienne ministre socialiste à manifester le 13 janvier 201353,54. Jean-Pierre Chevènement se prononce également contre le projet de loi, en justifiant : « Avec ce projet de loi, nous brouillons complètement le droit de la filiation. Des couples homosexuels pourront adopter ensemble des enfants. GPA et PMA ne sont pas dans le texte, mais vous savez très bien que c’est une hypocrisie et qu’en réalité tout cela va ensemble, petit à petit, quels que soient les hommes politiques. [...] je pense qu’un enfant a le droit à avoir un père et une mère, ou au moins, l’idée d’un père et l’idée d’une mère »55.
J'avais écrit :
Depuis plusieurs semaines, les opposants au mariage pour tous se radicalisent sous l'influence de groupuscules d'extrême-droite, ce qui inquiète l'Elysée. C'est du grand n'importe quoi !Ce sont les Français qui se rendent compte que le lobby Bergé veut faire mumuse avec des enfants achetés dans le Tiers Monde à des malheureuses payées 75% du SMIC !!!Ce sont les Français qui se rendent compte que ce sont les HETEROPHOBES qui refusent la TECHNIQUE FILOCHE et qui refusent le droit de chaque être humain à avoir UN père et UNE mère...C'est cela la cause de la BASCULE DE L'OPINION sur la question du "mariage" !!!Et je suis à GAUCHE DE L'EXTREME-GAUCHE !La révolution RENDRA aux mères indiennes et ukrainiennes les enfants qu'elles AURONT VENDU !!!Il se produira la MEME CHOSE que pour les enfants volés de la DICTATURE ARGENTINE !Car c'est cela qui se passe : un CAMOUFLAGE de LOIS POUR CONSTRUIRE DES CIRCUITS COMMERCIAUX DE VENTES INTERNATIONALES D'ENFANTS !!Tapez SURROGATE COST et vous aurez les CATALOGUES DE VENTE !!!Tout le prétendu TOILETTAGE JURIDIQUE est un paravent hypocrite que la CIRCULAIRE a mis sous les projecteurs comme un hypcrite CODENOIRTAUBIRA !!!Pire que celui de Louis 14 car l'enfant "reconnu" au consulat ne voit pas SA MERE obtenir la nationalité !!!Contrairement au code de 1685 !#GPA Pour la mère du Tiers-Monde, le nouveau Code Noir de Christiane Taubira est pire que l'ancien30 janvier 2013 Par Yanick ToutainCe ne sont plus seulement les droits de l'enfant que l'on viole, mais aussi ceux de la personne humaine. Car la GPA est une forme de location du corps humain.»Daniel Fasquelle, professeur de droitcité par Le Figaro en ligne hier soirLe nouveau Code Noir de Christiane Taubira est simple à résumer : le ventre des femmes de Terre du Sud en esclavage et leurs enfants dénationalisés automatiquement par l'acheteur (YT)
On attend donc qu'ils réclament la révocation de tous les responsables de toutes les pratiques barbares criminelles : agressions d'enfants dans les écoles, génocide sanitaire en Afrique, salaires esclavagistes à 50 euros et commerce d'enfants GPA !
On attend donc que tous ces gredins se suicident comme le demandait Amilcar Cabral à la petite bourgeoisie intellectuelle !
GPA : Monsieur le président de la République...
ET (MIS À JOUR : )
LETTRE OUVERTE
Un appel pour demander à François Hollande de s'opposer publiquement à l’admission par le droit des contrats de mère porteuse.
En février 2013, vous avez pris un engagement formel contre l’entrée en France des contrats de mère porteuse, désignés aujourd’hui «gestation pour autrui» (GPA), affirmant votre ferme et constante opposition à cette pratique sociale aliénante.
Le contrat de mère porteuse est contraire au principe de respect de la personne, aussi bien celui de la femme, qui porte l’enfant commandé, que celui de l’enfant, commandé par une ou deux personnes, qui se développe dans le ventre de la «porteuse», puis est livré. Les êtres humains ne sont pas des choses.
Mais le 26 juin, la Cour européenne des droits de l’homme a condamné la France en ce qu’elle exclut de son droit une telle transaction sur femme et enfant. Car la Cour de cassation s’était opposée à ce que les filiations issues de conventions organisées à l’étranger soient transcrites sur l’état civil français : en effet, si notre droit l’admettait, alors ce contrat, pourtant contraire à l’ordre public, aurait la même efficacité qu’un contrat valable, ce qui est la seule chose recherchée par les parties à ce contrat.
Si la France plie, si les filiations des enfants issus de contrats de mères porteuses faites à l’étranger sont inscrites à l’état civil français, alors le marché des bébés devient de fait efficace.
Le contrat de mère porteuse fait à l’étranger sera aussi efficace que s’il était licite.
Une fois cela acquis, monsieur le Président, comment allez-vous expliquer aux Françaises et aux Français que, s’ils ont de l’argent, ils pourront aller acheter un bébé à l’étranger et le faire inscrire comme leur fils ou leur fille sur l’état civil français tandis que, s’ils ne sont pas assez fortunés, ils devront subir l’interdiction qui demeurerait en droit français applicable aux contrats de mère porteuse réalisés en France ?
Et comment interdire cette pratique en France si l’on en reconnaît les effets sous le prétexte qu’elle aurait été mise en œuvre dans un pays où elle est autorisée ?
C’est pourquoi, monsieur le Président, nous vous demandons, au nom de votre engagement constamment exprimé, de vous opposer publiquement à l’admission par le droit des contrats de mère porteuse, ces mères dont les droits sont piétinés, ces femmes pour lesquelles vous avez pris fait et cause en 2013, droits aujourd’hui remis en cause et compromis par la Cour européenne. Il est concevable de trouver des solutions techniques pour améliorer la situation juridique des enfants présents sur le sol français, sans succomber à ce qui est un triomphe de l’industrie de l’enfantement sur commande, et sans que cela leur coûte le statut d’être humain par la reconnaissance de l’efficacité du contrat de mère porteuse qui les a désignés comme une chose.
Ainsi, la France pourra justifier de ne pas transcrire les filiations car cela serait admettre l’efficacité des contrats de mère porteuse à l’étranger et bientôt en France, puisqu’elle aura modifié le statut de l’enfant. Parce que c’est la défense des femmes et des enfants qui est en jeu, nous vous demandons également de renforcer le dispositif législatif de lutte contre la prospection de clients français par les agences de mères porteuses et de porter un projet de convention internationale visant à prohiber la pratique des mères porteuses et à lutter par le pénal contre cette pratique, à l’image de la convention du Conseil de l’Europe contre la traite des êtres humains.
Nous vous prions d’agréer, monsieur le président de la République, l’expression de notre plus haute considération.
Jacques Delors Président de la Commission européenne de 1985 à 1994, Lionel Jospin Ancien Premier ministre, Yvette Roudy Ministre des Droits des femmes de 1981 à 1986, Nicole Péry Secrétaire d’Etat aux Droits des femmes (1998-2002) et vice-présidente du Parlement européen (1984-1997), Marie-George Buffet Députée de Seine-Saint-Denis, ancienne ministre, secrétaire national du Parti communiste français (2001-2010), Catherine Tasca Ancienne ministre, première vice-présidente du Sénat, Nicole Notat Secrétaire générale de la CFDT de 1992 à 2002, présidente de Vigeo, Bernard Poignant Ancien maire de Quimper, Eliette Abécassis écrivain,Sylviane Agacinski Philosophe, Marie-Josèphe Bonnet Historienne des femmes,Jocelyne Fildard, Marie-Josèphe Devillers et Catherine Morin Le Sech Coprésidentes de la Coordination lesbienne en France, Martine Segalen Ethnologue, José Bové Député européen, Pierre Courbin Psychiatre,Marie-Anne Frison-Roche Professeur de droit à Sciences-Po, Alice Ferney Ecrivain, Brice Couturier Producteur de radio et écrivain, Laurent Bouvet Professeur de sciences politiques à l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, Fabrice d’Almeida Professeur d’histoire à l’université, Pierre-Michel Menger Professeur au Collège de France, Suzanne Rameix Philosophe spécialiste de l’éthique médicale, Olivier Poivre d’Arvor Directeur de France Culture, Marie Balmary Psychanalyste et essayiste, Odile Macchi Membre de l’Institut, Aude de Thuin Fondatrice du Women’s Forum, Nathalie Heinich Sociologue, directeur de recherche au CNRS, Catherine Labrusse-Riou Professeur émérite à l’école de droit de l’université Panthéon-Sorbonne (Paris-I), Jean-Noël Tronc Directeur général de la Sacem, Manuel Maidenberg Pédiatre, Hervé Chneiweiss Neurobiologiste, président du comité d’éthique de l’Inserm, Catherine Paley-Vincent Avocat à la cour, Jean-Pierre Winter Psychanalyste et essayiste, Sylviane Giampino Psychanalyste et psychologue, spécialiste de la petite enfance, Emmanuelle Jardin-Payet Maire-adjointe à Hermanville-sur-Mer, Catherine Dolto Médecin pédiatre, haptothérapeute et écrivain, Myriam Szejer Pédopsychiatre, Christine Angot Romancière et dramaturge,Jérôme Vignon Président des Semaines sociales de France, Maurice RonaiChercheur, membre de la Cnil, Ursula del Aguila Chroniqueuse et formatrice, Sylvia Serfaty Mathématicienne, lauréate du prix Henri-Poincaré, Véronique BaltakséPédiatre, Dorith Galuz Psychanalyste, Asma Guénifi Présidente du mouvement Ni putes ni soumises, Leili Anvar Productrice sur France Culture, Geneviève CouraudPrésidente de l’observatoire droits des femmes CG-13, Christophe Charle Historien et professeur des universités, (Paris-I-Sorbonne), Carol Mann Anthropologue et sociologue, Geneviève Duché Présidente de l’amicale du Nid, Jacques TestartBiologiste, René Frydman Gynécologue obstétricien, Laurence Dumont Vice-présidente de l’Assemblée nationale, députée du Calvados, groupe Socialiste, républicain et citoyen (SRC), Huguette Bello Députée de la Réunion, groupe GDR,Marie-Odile Bouillé Députée de la Loire-Atlantique, groupe SRC, Marie-George Buffet Députée de Seine-St-Denis, groupe Gauche démocrate et républicaines (GDR),Martine Faure Députée de la Gironde, groupe SRC, Thierry Solère Député des Hauts-de-Seine, groupe UMP, Jean-Philippe Mallé Député et conseiller général des Yvelines, groupe SRC, Armand Jung Député du Bas-Rhin, groupe SRC, Alain ClaeysDéputé de la Vienne, groupe SRC, membre du CCNE.
Associations signataires : Coordination des associations pour le droit à l’avortement et à la contraception (Cadac), Collectif national pour le droit des femmes (CNDF), Réseau «Encore féministes, aussi longtemps qu’il le faudra», Cercle d’étude de réformes féministes (Cerf), Coordination lesbienne en France (CLF), Réseau féministe «ruptures», Mouvement Ni putes ni soumises (NPNS).
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