par Yanick Toutain
Un par un, les dizaines de bobards lancés par Philippe Carrière, Monique Béaur, Patrick Deplanque, Serge Tillman, Olivier Basély, Brigitte Boniou, et par le directeur de l'école Valmy 1 Patrick Clabaut sont démentis par les faits et par des témoignages contradictoires.
Des dizaines de bobards fabriqués et répandus par un inspecteur d'académie, son adjointe, deux inspecteurs de circonscriptions, deux directeurs d'écoles et 14 menteurs collègues de la victime - y compris un instituteur agresseur d'enfants que les précédents s'acharnent à protéger !
Ici, c'est le député-maire du Havre lui-même qui vient donner un démenti formel à ce bobard d'un prétendu courrier de dénonciation contre Julie Amadis.
Normal ! L'auteur du véritable courrier n'était autre que l'auteur du bobard - le directeur de l'école qui avait la fâcheuse habitude de prendre son adjointe par la taille ! Il s'est vengé d'elle. Avec le soutien de toute la hiérarchie de l'Etat voyou !
Edouard Philippe dément formellement les mensonges de Patrick Clabaut directeur de l'école Valmy 1 : Le maire du Havre n'a jamais écrit ce prétendu courrier contre Julie Amadis (Encore un mensonge OMERTA76 démasqué)
C'est l'auteur de cette lettre de dénonciation calomnieuse contre Julie Amadis qui avait inventé un imaginaire "courrier du maire" "à l'inspection académique" pour camoufler son forfait |
par Yanick Toutain
UN COURRIER IMAGINAIRE
INVENTE DE TOUTES PIÈCES
PAR LE PROVOCATEUR DE VALMY
PATRICK CLABAUT
C'est donc totalement confirmé : le provocateur Patrick Clabaut dans son complot pour nuire à l'institutrice (professeuse des écoles) Julie Amadis était allé jusqu'à attribuer un courrier imaginaire au maire du Havre !..
C'est une rencontre totalement impromptue – je descendais du bus dans le centre-ville et ai failli me cogner à lui – qui m'a mis littéralement nez-à-nez avec le maire de la ville du Havre Edouard Philippe.
Il m'avait répondu – le seul – fort aimablement de surcroît, lors des journées du Nouvel-Observateur.
UNE RENCONTRE IMPROMPTUE
Je fus tellement surpris que je lui demandai stupidement “Vous êtes bien le maire ?” après qu'il ait esquissé un bonjour.Il m'avait répondu – le seul – fort aimablement de surcroît, lors des journées du Nouvel-Observateur.
SAMEDI 14 JUIN 2014Révocabilité : Édouard Philippe refuse. Il dénonce « la dictature du temps présent et l'instantanéité de « qu'est-ce que vont dire les gens si je prends une décision » (Journées du Havre du Nouvel Observateur) par Yanick Toutain
J'avais publié hier sur L'Havrais Vérité le texte entier :
Ma question à Jean-Marie Le Guen et Edouard Philippe : "Au Havre la révolution est commencée, les citoyens aspirent à désigner des délégués révocables à tout moment "(Journées du Havre Nouvel Observateur)
LE THÈME :Peut-on encore réformer l’action publique en France ?
VIOLENCES A VALMY, SANCTION INJUSTE CONTRE JULIE AMADIS
EDOUARD PHILIPPE EST AU COURANT
Tout aussi surpris que moi il répondit donc à mes trois questions improvisées.« Vous êtes au courant des violences à l'école Valmy ? »
Il répondit
Sa réponse ne me surprit pas.
« Oui.... oui je suis au courant »....Il ne s'attendait pas à devoir se positionner sur un tel sujet 10 minutes auparavant.
Sa réponse ne me surprit pas.
« Et vous êtes donc au courant aussi de la répression contre ma camarade – l'exclusion de deux ans.... »Sa réponse fut quasiment la même..... il marchait vers sa porte..... mais s'était arrêté....
« Oui.... oui, je suis aussi au courant »Le texte officiel n'est pas encore parvenu à la victime de la répression étatique Julie Amadis. Mais le maire le sait déjà ! A moins qu'il ne lise les pages facebook contre la répression ?
Publication ancrée
« Et vous êtes au courant aussi de la fameuse lettre de dénonciation que vous auriez écrite..... »
Et, sa réponse ne souffrit aucune trace de la moindre hésitation.
Il démentait l'existence d'une telle lettre dont le directeur Clabaut s'était fait le – mensonger - rapporteur.
Je lui avait demandé
LE MAIRE EDOUARD PHILIPPE DÉMENT "NON, NON" A LA PRÉTENDUE LETTRE QU'IL AURAIT ÉCRITE A L'INSPECTION ACADÉMIQUE CONTRE JULIE AMADIS
Il démentait l'existence d'une telle lettre dont le directeur Clabaut s'était fait le – mensonger - rapporteur.
Je lui avait demandé
« Vous démentez formellement avoir écrit cette lettre ? »Et sa réponse fut un tel démenti que je conclus l'entretien impromptu de façon aussi ridicule que je l'avais commencé par un « merci monsieur le Maire ».
LE PROVOCATEUR PATRICK CLABAUT
A COMMIS UN MENSONGE DÉMENTI
PAR LE PRINCIPAL INTÉRESSÉ
Résumons : On a un provocateur - Patrick Clabaut qui complote contre sa jeune collègue Julie Amadis depuis « le jour de la pré-rentrée ». Son but « Je lui ai conseillé d'aller voir M Deplanque, de s'excuser (propos dans l'acte d'accusation).» pour ce qui s'est passé 6 ans auparavant.
Le but de ce provocateur est double : 1°objectif : protéger son ami Léon Launay, son collègue du grand niveau dont il est le directeur du petit niveau. Un Léon Launay dénoncé comme agresseur d'enfants depuis 1993.
Et 2° objectif se faire bien voir de son autre ami de 20 ans, l'inspecteur Patrick Deplanque, le protecteur (3 cas avérés) des enseignants agresseurs d'enfants.
Le provocateur Clabaut va donc, en coulisses, construire un harcèlement moral et un harcèlement professionnel. Mais, en public il va, en utilisant des mots affectueux « ma belle » (au grand dam de la jalouse menteuse Delphine Dufau) et des gestes douteux (enlacement devant et en l'absence de collègues), donner une dimension sexuelle au harcèlement professionnel.
Dans le cadre de ce complot il agira constamment en tentant de masquer ses actes.
Ses deux lettres de dénonciation du 26 juillet (dont l'existence apparut soudainement par leur présence dans l'acte d'accusation de Monique Béaur) , le voyou Clabaut les avait camouflées en invoquant l'existence de ce prétendu courrier du maire du Havre.
La vérité est apparue
Le but de ce provocateur est double : 1°objectif : protéger son ami Léon Launay, son collègue du grand niveau dont il est le directeur du petit niveau. Un Léon Launay dénoncé comme agresseur d'enfants depuis 1993.
Et 2° objectif se faire bien voir de son autre ami de 20 ans, l'inspecteur Patrick Deplanque, le protecteur (3 cas avérés) des enseignants agresseurs d'enfants.
Le provocateur Clabaut va donc, en coulisses, construire un harcèlement moral et un harcèlement professionnel. Mais, en public il va, en utilisant des mots affectueux « ma belle » (au grand dam de la jalouse menteuse Delphine Dufau) et des gestes douteux (enlacement devant et en l'absence de collègues), donner une dimension sexuelle au harcèlement professionnel.
UNE LETTRE INVENTEE POUR CAMOUFLER
SES FORFAITS SECRETS !
LA VERITE EST APPARUE
SES FORFAITS SECRETS !
Dans le cadre de ce complot il agira constamment en tentant de masquer ses actes.
Ses deux lettres de dénonciation du 26 juillet (dont l'existence apparut soudainement par leur présence dans l'acte d'accusation de Monique Béaur) , le voyou Clabaut les avait camouflées en invoquant l'existence de ce prétendu courrier du maire du Havre.
La vérité est apparue
"Le maire il a le bras long" Mensonge de Patrick Clabaut ! Le prétendu "courrier du maire à l'inspection académique" un bobard démenti par Edouard Philippe lui-même
Un démenti formel du maire du Havre Edouard
Philippe: il n'y a jamais eu de courrier concernant Julie Amadis. Un autre mensonge du directeur de l'école Valmy Patrick Clabaut.
lire aussi : Edouard Philippe dément formellement les mensonges de Patrick Clabaut directeur de l'école Valmy 1 : Le maire du Havre n'a jamais écrit ce prétendu courrier contre Julie Amadis (Encore un mensonge OMERTA76 démasqué)
par Yanick Toutain
« Le maire il a le bras long »mentait comme un arracheur de dent - le provocateur politique franceàfric Patrick Clabaut le matin du 28 mars 2014.
Il s'adressait dans le couloir de l'école à son adjointe Julie Amadis.
"Il y a un courrier qui a été envoyé à l'inspection académique".Cette phrase mystérieuse - qui se révèle un des multiples bobards du menteur Clabaut - avait pour fonction de camoufler la, ou plutôt les deux, lettres de dénonciation qu'il avait rédigées avec sa complice Brigitte Boniou.
mardi 24 juin 2014 Deux lettres de dénonciations différentes signées Brigitte Boniou-Patrick Clabaut ? Pourquoi ?
Cette scène scandaleuse s'est déroulée le vendredi 28 mars, le jour de la 2° visite de l'IA voyou Serge Tillmann. Ce responsable inspecteur d'académie du Havre était venu annoncer à Julie Amadis sa convocation pour le lundi matin suivant - à 7h45 du matin (et non pas 8h45 comme le prétend un document faux en écritures du dossier d'accusation).
PENDANT LE CONSEIL D’ÉCOLE DU 28 MARS
Le menteur harceleur Clabaut avait aggravé son mensonge absurde du matin le soir même au cours du Conseil d'école.
En effet, pendant le Conseil d'école du 28 mars, Julie Amadis, au moment du départ du représentant de la mairie (départ excusé pour une autre réunion) avait demandé à ce qu'il lui transmettre la copie de ce fameux courrier.
Une étrange interruption d'un conseil d'école.
Ce même menteur, alors même qu'il est évident que l'inspecteur d'académie Serge Tillmann l'avait informé le matin du vendredi de ce que l'inspecteur d'académie de Rouen (DASEN) Philippe Carrière allait signer ce 28 mars la décision de suspendre Julie Amadis, a tout fait pour empêcher que la question soit mise à l'ordre du jour du Conseil d'école.
On comprend alors pour quelle raison il laissa courir en public son mensonge privé du matin : Faire croire à Julie Amadis qu'il existait un "courrier du maire à l'inspection académique" est une chose. Mais laisser son bobard être répété pendant un Conseil d'école, cela avait pris les dimensions d'un faux !
LE BUREAU DE L'ENSEIGNEMENT AVAIT DÉMENTI AU TÉLÉPHONE LE 2 AVRIL
PENDANT LE CONSEIL D’ÉCOLE DU 28 MARS
PATRICK CLABAUT NE DÉMENTIT PAS
SON MENSONGE DU MATIN:
UN IMAGINAIRE "COURRIER DU MAIRE A L'INSPECTION ACADÉMIQUE"
Le menteur harceleur Clabaut avait aggravé son mensonge absurde du matin le soir même au cours du Conseil d'école.JULIE AMADIS DEMANDE AU REPRÉSENTANT DU MAIRE LA COPIE DE CE "COURRIER" IMAGINAIRE
En effet, pendant le Conseil d'école du 28 mars, Julie Amadis, au moment du départ du représentant de la mairie (départ excusé pour une autre réunion) avait demandé à ce qu'il lui transmettre la copie de ce fameux courrier.
"Je suis une enseignante réprimée parce que j'ai dénoncé des violences à enfants 6 ans avant. J'ai eu un avertissement et une note de 3 sur 20. J'ai appris par le directeur que la mairie avait envoyé une lettre à l'inspection académique. Je voudrais avoir copie de cette lettre".Le représentant de la mairie avait alors tendu son cahier à Julie Amadis afin qu'elle y inscrive son adresse courriel dans l'intention qu'il lui donne cette copie...... d'une lettre imaginaire...
"Je ne suis pas au courant" avait répondu le conseiller municipal, "je vais me renseigner".
UN APARTÉ ÉTRANGE AVEC LE REPRÉSENTANT MUNICIPAL
A ce moment - on comprend maintenant pourquoi - le directeur Clabaut avait pris le conseiller municipal par l'épaule pour le faire sortir de la pièce et l'accompagner jusqu'à la grille....Une étrange interruption d'un conseil d'école.
Cette lettre signée le 28 mars par le protecteur des enseignants agresseurs le DASEN OMERTA76 Philippe Carrière prouve le complot |
On comprend alors pour quelle raison il laissa courir en public son mensonge privé du matin : Faire croire à Julie Amadis qu'il existait un "courrier du maire à l'inspection académique" est une chose. Mais laisser son bobard être répété pendant un Conseil d'école, cela avait pris les dimensions d'un faux !
LE BUREAU DE L'ENSEIGNEMENT AVAIT DÉMENTI AU TÉLÉPHONE LE 2 AVRIL
C'est en sortant de la mairie du Havre où j'avais tenté de connaître de contenu de la "lettre du Maire à l'inspecteur d'Académie" (si tant est qu'elle existe) que j'ai croisé ce directeur.
Ce mensonge avait eu un premier démenti du
bureau de l'enseignement de la Ville du Havre. Après m'être vainement déplacé, j'avais téléphoné
le 2 avril et avais eu une responsable du bureau de l'enseignement qui
avait démenti l'existence d'un courrier. « Sauf
naturellement » si le maire l'avait fait sans passer par eux –
objection et précaution oratoire logique.
Le passage "si tant est qu'elle existe" de mon article du 2 avril (celui où le directeur de l'école Raspail - Claude Auger - se vantait de ses "coups de pieds salvateurs" à ses élèves) est donc confirmé..... Cette lettre n'existe pas et n'a jamais existé. Patrick Clabaut est un menteur.
Un prochain article va tenter de démêler combien de DIZAINES DE MENSONGES ont été commis pas ce provocateur défenseur et protecteur des agresseurs d'enfants !
Le passage "si tant est qu'elle existe" de mon article du 2 avril (celui où le directeur de l'école Raspail - Claude Auger - se vantait de ses "coups de pieds salvateurs" à ses élèves) est donc confirmé..... Cette lettre n'existe pas et n'a jamais existé. Patrick Clabaut est un menteur.
Un prochain article va tenter de démêler combien de DIZAINES DE MENSONGES ont été commis pas ce provocateur défenseur et protecteur des agresseurs d'enfants !
Les délégués élus des parents Séverine Breton et Yazid Meddad protestaient de ce qu'ils avaient été empêchés de s'exprimer le 28 mars pendant le déroulement du Conseil d'école
M. Meddad et moi-même, ainsi que d'autres parents, sommes inquiets car s'il y aurait une nouvelle personne dans l'établissement qui exercerait de la violence psychologique ou physique sur des enfants..........
Votre réaction serait de la couvrir et non de protéger les enfants..................
Bien sûr, les parents d'élèves et les parents de ses enfants ne seront pas informés.
Au vu, des préjudices subit par les enfants, nous, parents estimons que cela fait partie de votre fonction de protéger les enfants et d'informer immédiatement les parents, si des cas de violence sont réaliser au sein de votre établissement.
Trouvez-vous normal que ce soient des assistantes pédagogiques qui soient obligées de dénoncer ces cas de violences ?
Que fait l'Académie de Rouen ?
Les syndicats préfèrent le silence au lieu de mettre au courant les parents.
Pour conclure, lors de cas contraire, par exemple la violence d'un élève envers un professeur.
La sanction est immédiate, l'élève est sanctionné.
Par contre, un professeur envers l'élève c'est le silence complet.
Dans l'heure actuelle, plusieurs élèves subissent des harcèlements par d'autres élèves et là même chose personne ne bouge sauf quand l'élève harcelé fini par se suicider.
L'Académie de Rouen attend combien de décès avant d'agir ?
Pour nous, les enfants scolarisés en seine-maritime sont en danger !
xjeudi 10 avril 2014
Un premier compte-rendu de la réunion de l'IA Serge Tillmann à l'école Valmy par Séverine Breton, parent d'élèves déléguée élue au Conseil d'école
"Pour conclure, Mme Amadis n'est pas réintégrée
et les enfants perturbés doivent aller
voir la psychologue de l'école."
Conclusion du texte de Séverine Breton
et les enfants perturbés doivent aller
voir la psychologue de l'école."
Conclusion du texte de Séverine Breton
Réunion du 8 avril 2014 a l'école Valmy 1 réunissant deux inspecteur d'Académie Tillmann et Deplanque ainsi que les deux directeurs de l'école Valmy 1 et Valmy 2
et les parents d'élèves
Au début, m. Tillmann prend la parole pour parler de ce qui s'était passé jeudi 3 avril .
Sur ce, moi-même parent d'élèves, je demande le motif de la suspension, la durée, la réintégration de Mme Amadis et la suppression de la note de 3/20.
Cette lettre signée le 28 mars prouve le mensonge de l'IA Serge Tillmann et confirme les dires de Séverine Breton |
Ce Monsieur nous demande à moi et mon collègue Yasid de fournir la lettre de la suspension.
Elle était dans les mains de Mme Amadis.
La réintégration est demandé de nouveau car les élèves de CE1 sont perturbés car avec la remplaçante ce n'est pas le même.
Mme Lemorvan prend la parole en disant qu'elle vient d'arriver qu'il faut laisser le temps aux enfants de s'habituer et que de toute façon après ce qu'avait fait Mme Amadis elle n'était plus la bienvenue.
Sur ceux, je propose de demander l'avis aux enfants mais personnes ne voulaient les impliquer.
Je reprends sur le fait que m Basely un ami de m Deplanque avait fait des faux en écritures puisque même le directeur de Valmy 1 a dû envoyer un courrier pour démentir ce qu'il avait noter en ce nom.
Suite, à cela, m Tillmann dit que je ne dois pas faire de diffamation.
Je lui réponds qu'il n'a qu'à me faire un procès.
Le tract des parents d'élèves qui leur a valu des menaces en Conseil d'école |
Nous sommes revenus sur la note de Mme Amadis en montrant le travail fournis, les deux directeur unanimes disent que Mme Amadis faisait du beau travail.
Mais après, m Tillmann parle de l'article sur l'étoile de David fait passer Mme Amadis pour antisémite alors qu'il n'a pas été au bout de l'article car c'était pour parler du refus au début de l'année des élèves roms.
La véritable pétition des parents d'élèves |
Sur ceux, Mme le Morvan réitère que ce sont des bon instituteurs.
D'autres parents réclament le retour de Mme Amadis pour les enfants.
De là, la directrice conseille aux parents de prendre rendez-vous avec la psychologue de l'école.
Eh oui, ils préfèrent envoyer les enfants en thérapie plutôt que de réintégrer Mme Amadis. C'est le monde l'envers.
La totalité de la réunion n'y est pas car personne ne se respectait et on n'arrêtait pas de me couper la parole mais j'ai été défendue par un parent d'élève de CE2 .
Pour conclure, Mme Amadis n'est pas réintégrée et les enfants perturbés doivent aller voir la psychologue de l'école.
Ma question à Jean-Marie Le Guen et Edouard Philippe : "Au Havre la révolution est commencée, les citoyens aspirent à désigner des délégués révocables à tout moment "(Journées du Havre Nouvel Observateur)
LE THÈME :Peut-on encore réformer l’action publique en France ?
Jean-marie le Guen,secrétaire d’Etat chargé des Relations avec le Parlement
Pierre Mongin, président-directeur général de la RATP
Edouard Philippe, maire du Havre
Débat modéré par SylvanN Courage, le Nouvel observateur
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