à
Ministre de l'Education Nationale
Transmis directement vu l'urgence
et les circonstances
Monsieur le ministre de l'Education Nationale,
Vous pouvez rester dans la même ligne et laisser mes harceleurs me révoquer. Dans ce cas, je ferai savoir à la population comment sont traités les témoins de violences à enfants dans les écoles quand ils refusent de se taire. Comme je le fis en janvier 2008. Je suis persécutée depuis.
14 faux témoignages dans le dossier d'accusation me suffisent pour vous annoncer que je ne serai pas présente à la mascarade de justice demain 3 juillet à l'inspection académique de Rouen.
La prétendue dénonciation de l'inspectrice du Havre Nord que mentionne ma convocation au conseil de discipline n’apparaît nulle part dans le dossier.
Cela s'ajoute aux multiples faux en écritures publiques contenus dans l'inspection de l'inspecteur Olivier Basély. Faux recelés par le DASEN pour m'attribuer la note de 3/20 avec une évidente intention de nuire à ma réputation.
(Des faux en écritures dont l'accusation ne conteste pas l'existence pour la principale puisque mes lourds classeurs de fiches de préparation prétendues inexistantes dans le rapport sont effectivement mentionnées quand les parents délégués qui me soutenaient les avaient présentés à mr Serge Tillmann, inspecteur d'académie du Havre. Il m'est reproché de les avoir prêtés aux parents pour prouver mes dires)
Cela s'ajoute aux injures publiques proférées par l'IA Serge Tillmann devant mes parents d'élèves le 8 avril Je serais « antisémite, pro-Soral », propos dolosifs je serais « anti-Franceàfric » comme si cela était un crime, et dénonciation calomnieuse : je serais « une intelligence au service d'une puissance étrangère »
Ces graves accusations proférées publiquement ont disparu du dossier d'accusation.
Elles étaient pourtant le motif public de ma suspension.
Elles ont disparu du dossier.... comme a disparu du dossier l'entièreté de cette réunion : il n'y a aucun témoignage de mr Tillmann. Ni aucun témoignage de Mme IEN de Petra du Havre Nord dont la prétendue dénonciation ne figure nulle part ailleurs que dans la lettre de convocation au conseil de discipline.
Je n'obéirai pas à l'ukase de monsieur Philippe Carrière DASEN et de mme Monique Béaur son bras droit.
Ils organisent mon harcèlement depuis la rentrée 2013.
Je n'irai pas au conseil de discipline destiné à faire taire définitivement la témoin de violence en 2008 qui a refusé d'obéir à son directeur d'école et à un syndicaliste UNSA en 2013 et d'aller s' »EXCUSER » pour mon témoignage des faits que j'avais constatés il y a 6 ans.
Un conseil de discipline faisait recel d'un nombre incalculable de faux en écritures publiques et un nombre énorme de faux témoignages.
Le courrier des parents d'élèves me soutenant a été laissé sans réponse par vous-même.
Cela semble indiquer votre prise de partie en faveur de mes harceleurs et de l'opération secrète qu'ils mènent depuis septembre 2013.
Je ne reviendrai jamais sur mon témoignage de 2008 et le harcèlement que je subis depuis la rentrée pour me faire revenir sur mes déclarations de janvier 2008 n'aura aucun effet sur moi.
Je perdrai mon emploi s'il le faut pour protéger les enfants des violences de mes collègues enseignants.
Aucun des témoignage de l'accusation ne porte de signature, la quasi totalité ne contient aucune date des prétendus faits constatés ou rapportés sur la base de ragots.
Mes distributions de tracts #FreeGbagbo #HollandeDEGAGE sont truquées par ces faux témoins en prétendues distribution du tract de parents d'élèves qui me soutenaient.
Y compris dans des lieux où je n'ai jamais mis les pieds de toute ma vie (marché d'Harfleur)
Grâce à cette convocation, je viens – paradoxalement - d'obtenir les preuves du harcèlement dont je suis victime depuis le mois de septembre 2013 et au sujet duquel j'avais demandé l'intervention de Mme Claudine Schmidt-Lainé Rectrice de Seine-Maritime dans mon courrier de novembre 2013 – courrier resté sans réponse de sa part à ce jour.
C'est ce courrier qui servit de prétexte à me faire donner un avertissement et une séance de remontrance par Monique Béaur.
En effet, l'un des « témoins » Patrick Clabaut se coupe et avoue qu'il exerce des pressions sur moi destinées à me contraindre à m'excuser auprès de l'inspecteur Deplanque : mon harceleur de 2008.
J'ai aussi constaté que Mr Philippe Carrière a fait disparaître de mon dossier professionnel toutes les traces du harcèlement dont j'ai été victime à l'époque.
Ni le courrier de la principale Hervieu du collège Varlin, ni mon courrier au Recteur de Seine-Maritime en juin 2008 n'y figurent. NI aucune des pièces concernant la prétendue « enquête » dont j'ai entendu des échos de son existence en 2014.
Je vous prie donc de faire immédiatement cesser les agissements de tous les coupables de cette opération de harcèlement concerté.
J'ai bien compris que c'est l'enseignant agresseur de l'école dont je viens d'apprendre qu'il tape depuis 20 ans qui est le moteur local de l'opération – ami de 20 ans de l'inspecteur et du directeur de l'école.
De faire procéder par leurs remplaçants à l'annulation de la totalité des pièces susceptibles de poursuite pénale et donc d'annuler la totalité des arrêts et décisions illégales me concernant basées sur des fausses déclarations et avec une intention de nuire avérée maintenant.
Pour le cas où les décisions prises par ce conseil de discipline illégal basé sur des faux en écritures publiques étaient validées officiellement, je me verrai dans l'obligation de poursuivre tous les receleurs de ces pièces.
Veuillez agréer monsieur le ministre l'expression de mes sentiments respectueux et de ma volonté de voir les enfants bénéficier d'un enseignement dans un lieu dans lequel toute violence (psychologique ou physique) est définitivement bannie.
Je me tiens à votre disposition dans ce but.
Julie Amadis
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