Dans la lutte anti-fasciste, les républicains et les révolutionnaires font front uni contre la racaille |
C'est ce qui est arrivé à Julie Amadis hier.
Je fus emmené avec elle à l'hôtel de police sous menace de contrainte physique. Moi suite à 7 amis des agresseurs d'enfants qui ont cru intelligent de porter plainte contre moi. On prouvera que les prétendus propos diffamatoires sont des mensonges et des procédures abusives.
Aux trois policiers de la BAC qui m'ont interpellé hier (voir le dossier), je mentionnais le nom d'un policier républicain que j'avais connu dans le passé - Jacky Viallet.
Un policier républicain comme j'avais connu aussi un gendarme républicain dans les années 70 - un gendarme devenu Colonel Hébert. Ces policiers étaient capables d'un dialogue constructif avec les révolutionnaires raisonnables dont j'étais. Tout le contraire des voyous dont il est question dans l'article inédit ci-dessous.
Je voulais leur faire comprendre que la mission dont ils étaient chargés à l'initiative du procureur Francis Nachbar s'inscrivait dans le droit fil des faits que je mentionne ici. Et dont ils pourront lire le détails ici. L'exact contraire d'une police républicaine: une police instrumentalisée par un procureur agresseur des mis en examen, une police donc protégeant les esclavagistes et les agresseurs d'enfants
La police du Havre infiltrée depuis 1983 par les néonazis. Une révélation à l'époque du policier syndicaliste Jacky Viallet (leader du Syndicat National de la police en ternue en 1986 puis secrétaire national de la FASP en 1995)
Un article inédit par Yanick Toutain
En 1983, un syndicaliste havrais, policier m'avait transmis des documents secrets. Ils donnaient les preuves d'une infiltration de la police locale par des réseaux fascistes néonazis.
Celui qui deviendra secrétaire général de la FASP en 1995 était un policier républicain. Il était devenu, en 1986, leader en province du SNPT.
J'AI GARDE CE SECRET PENDANT TRENTE ANS
L'objectif de ce syndicaliste était que cela puisse être porté à la connaissance du public par des canaux discrets. (Etait-il déjà militant ou sympathisant du parti socialiste mais en désapprouvant certaines choses de cette politique. Peut-être savait-il que cette infiltration était une politique délibérée de François Mitterrand et de François de GrossouvreMERCREDI 30 OCTOBRE 2013
MOLESTE PAR DES POLICIERS HAVRAIS NÉONAZIS:
"LA LOI , C'EST NOUS QUI LA FAISONS"
Ces néonazis ils font la justice eux-mêmes. Ils le proclament. Ils m'ont molesté 10 ans après les révélations de Jacky Viallet.
Je roulais en voiture boulevard François 1°. C'était au début des années 90.
Sur la file de gauche pour tourner à la clinique du même nom.
J'ai été rattrapé par une bande de nazillons en uniforme de flics.
Ils m'ont accusé.... sans préciser de quoi j'étais coupable.
Pour que je sorte de mon véhicule, ils m'ont menotté la main gauche et ont tiré comme des brutes.
J'ai gardé la trace pendant plusieurs jours.
Ils ont entièrement vidé mes poches, consulté mes carnets (de recherche scientifique).
Dans l'intervalle ce sont deux (ou trois?) véhicules de plus qui sont arrivés : Un fourgon (au moins) et un véhicule de tourisme. Ils étaient trois ou quatre véhicules pour appréhender un « suspect » ….. accusé d'avoir « zigzaguer » sur la route !
Un délire mensonger
Puis, sans préciser aucun motif, ils m'ont emmené de force dans un des deux véhicules.
Assis à l'arrière, je dis à l'un des policiers que mes menottes me serrent et me font mal.
Je demande si c'est légal.
Il me répond :
« La loi c'est nous qui la faisons »
J'ai été libéré sans plus de formalités 3/4 d'heures plus tard.
Obligé en pleine nuit de marcher plus de trois kilomètres pour rejoindre mon véhicule. Depuis la rue de la victoire jusqu'au boulevard François 1°. Près de 40 minutes de trajet à cause de l'arbitraire de flics voyous néonazis se croyant libres d'inventer leur loi et de satisfaire à leurs caprices.
La circulaire que m'avait transmis Jacky Viallet, j'en ai subi l'application dix ans plus tard.
Il semble que le procureur Nachbar, celui qui avait été signalé au procureur de Reims par le procureur du roi belge ait décidé de s'inscrire dans cette tradition.
J'ai été interpellé hier sans qu'aucun courrier ne m'ai été posté sur mon compte GMAIL.
Je viens de vérifier ma boite aux lettres Gmail depuis le mois de mai ! AUCUN COURRIER POLICIER !
(Ils agissent comme le flic voyou et faussaire Jean-Marie Bourry ! Cela-là ne m'a jamais écrit sur mon compte Google ! Tout en portant plainte pour mes propos sur mes blogs Google !
L'invocation de l'article 78 était purement abusive ! Personne ne m'a convoqué à quoi que ce soit !
UN ARTICLE ANCIEN DE LIBERATION
Je roulais en voiture boulevard François 1°. C'était au début des années 90.
Sur la file de gauche pour tourner à la clinique du même nom.
J'ai été rattrapé par une bande de nazillons en uniforme de flics.
Ils m'ont accusé.... sans préciser de quoi j'étais coupable.
Pour que je sorte de mon véhicule, ils m'ont menotté la main gauche et ont tiré comme des brutes.
J'ai gardé la trace pendant plusieurs jours.
Ils ont entièrement vidé mes poches, consulté mes carnets (de recherche scientifique).
Dans l'intervalle ce sont deux (ou trois?) véhicules de plus qui sont arrivés : Un fourgon (au moins) et un véhicule de tourisme. Ils étaient trois ou quatre véhicules pour appréhender un « suspect » ….. accusé d'avoir « zigzaguer » sur la route !
Un délire mensonger
Puis, sans préciser aucun motif, ils m'ont emmené de force dans un des deux véhicules.
Assis à l'arrière, je dis à l'un des policiers que mes menottes me serrent et me font mal.
Je demande si c'est légal.
Il me répond :
« La loi c'est nous qui la faisons »
J'ai été libéré sans plus de formalités 3/4 d'heures plus tard.
Obligé en pleine nuit de marcher plus de trois kilomètres pour rejoindre mon véhicule. Depuis la rue de la victoire jusqu'au boulevard François 1°. Près de 40 minutes de trajet à cause de l'arbitraire de flics voyous néonazis se croyant libres d'inventer leur loi et de satisfaire à leurs caprices.
La circulaire que m'avait transmis Jacky Viallet, j'en ai subi l'application dix ans plus tard.
Il semble que le procureur Nachbar, celui qui avait été signalé au procureur de Reims par le procureur du roi belge ait décidé de s'inscrire dans cette tradition.
Un affront au procureur du Roi de Belgique qui avait cru indispensable de saisir son homologue procureur général de la République de Reims pour lui signaler les agissements choquants et répréhensibles de Francis Nachbar au cours d'une garde à vue. Un mépris inqualifiable à tous ces justiciables qui sont passés dans l'étau-broyeur Nachbar, victimes de dénonciations aux origines douteuses, placés en garde à vue dans des conditions très discutables, mis en examen avec parfois le bonus de la détention provisoire avant que justice, la vraie, celle des tribunaux, leur soit rendue en première instance puis en appel, tel un désaveu flagrant de la justice spectacle du procureur Nachbar. (La scandaleuse nomination du procureur Nachbar Union L'Ardennais)
J'ai été interpellé hier sans qu'aucun courrier ne m'ai été posté sur mon compte GMAIL.
Je viens de vérifier ma boite aux lettres Gmail depuis le mois de mai ! AUCUN COURRIER POLICIER !
(Ils agissent comme le flic voyou et faussaire Jean-Marie Bourry ! Cela-là ne m'a jamais écrit sur mon compte Google ! Tout en portant plainte pour mes propos sur mes blogs Google !
L'invocation de l'article 78 était purement abusive ! Personne ne m'a convoqué à quoi que ce soit !
Article 78
(source LEGIFRANCE)
(source LEGIFRANCE)
- Modifié par LOI n°2011-392 du 14 avril 2011 - art. 18
Les personnes convoquées par un officier de police judiciaire pour les nécessités de l'enquête sont tenues de comparaître. L'officier de police judiciaire peut contraindre à comparaître par la force publique, avec l'autorisation préalable du procureur de la République, les personnes qui n'ont pas répondu à une convocation à comparaître ou dont on peut craindre qu'elles ne répondent pas à une telle convocation.
Les personnes à l'encontre desquelles il n'existe aucune raison plausible de soupçonner qu'elles ont commis ou tenté de commettre une infraction ne peuvent être retenues que le temps strictement nécessaire à leur audition, sans que cette durée ne puisse excéder quatre heures.
S'il apparaît, au cours de l'audition de la personne, qu'il existe des raisons plausibles de soupçonner qu'elle a commis ou tenté de commettre un crime ou un délit puni d'une peine d'emprisonnement, elle ne peut être maintenue sous la contrainte à la disposition des enquêteurs que sous le régime de la garde à vue. Son placement en garde à vue lui est alors notifié dans les conditions prévues à l'article 63.
L'officier de police judiciaire dresse procès-verbal de leurs déclarations. Les agents de police judiciaire désignés à l'article 20 peuvent également, sous le contrôle d'un officier de police judiciaire, entendre les personnes convoquées.
Les procès-verbaux sont dressés dans les conditions prévues par les articles 61 et 62-1.
NOTA :
Dans sa décision n° 2012-257 QPC du 18 juin 2012 (NOR : CSCX1226377S), le Conseil constitutionnel a déclaré, sous la réserve énoncée au considérant 9, le premier alinéa de l'article 78 du code de procédure pénale conforme à la Constitution.
UN ARTICLE ANCIEN DE LIBERATION
Jacky Viallet est le nouveau secrétaire général de la Fasp
Agé de 47 ans, il a été élu vendredi à la tête de la Fédération
autonome des syndicats de police, la Fasp, majoritaire chez les policiers (52%). Cet ancien sous-brigadier du Havre, leader depuis 1986 du Syndicat des policiers en tenue (SNPT) de province, a demandé au ministre de l'Intérieur, présent à la clôture du congrès de Créteil, d'«arrêter de compter sur l'effet placebo» pour soigner la société malade, sinon, «le chirurgien-policier doit opérer». Il a aussi réclamé une révision de la réforme de la police dite Pasqua: «Les policiers aussi ont le droit de rêver, à vous de concrétiser.»
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Par JEAN-Claude THAVENET
Comme l’a précisé en préambule très clairement Jacky Viallet, le mandataire et porte parole de cette sensibilité : « Nous sommes divers - il y a chez nous des partisans de Martine Aubry, de DSK, de Fabius et d’autres leaders PS - mais nous sommes là pour soutenir la majorité du PS au plan national, pour construire, et non pour faire la révolution.»
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