Benoît Hamon va devoir préciser sa pensée :
les châtiments corporels contre les petits de 3 et 4 ans
font-ils partie de l'arsenal pédagogique clandestin
dont il conseille l'usage dans les écoles maternelles ?
ou bien
Le Ministre va-t-il suspendre et révoquer
les agresseuses d'enfants et les responsables
qui protègent ces délinquant-e-s
depuis des années en terrorisant les témoins ?
les châtiments corporels contre les petits de 3 et 4 ans
font-ils partie de l'arsenal pédagogique clandestin
dont il conseille l'usage dans les écoles maternelles ?
ou bien
Le Ministre va-t-il suspendre et révoquer
les agresseuses d'enfants et les responsables
qui protègent ces délinquant-e-s
depuis des années en terrorisant les témoins ?
Cette Monique Béaur venue de l'Inspection Académique de Rouen est une méchante personne.
Méchante contre les enfants - son travail consiste à protéger les agresseuses d'enfants et à menacer les témoins de violences.
Elle devra être chassée de l'Education Nationale. Avec son chef Philippe Carrière.
Méchante contre la juste Julie Amadis.
A qui elle avait annoncé sa sanction pour "avoir écrit à la rectrice".... suite à un harcèlement ayant duré depuis le début de l'année... Un harcèlement pour terroriser les témoins de violences à enfants.
Cette Monique Béaur est méchante.
Les principaux parents délégués de l'école Valmy pensent cela.
Ils ont refusé de venir à la convocation de cette dame.
LA PROTECTRICE DES AGRESSEUSES D'ENFANTS
EN VISITE AU HAVRE HIER JEUDI :
EN VISITE AU HAVRE HIER JEUDI :
UNE TENTATIVE D'INTIMIDATION DES PARENTS D’ÉLÈVES
Pire encore pour elle, pour son chef directeur de OMERTA76, Philippe Carrière, pire encore pour le faussaire diffamateur Serge Tillmann cette nouvelle tentative de harcèlement à leur encontre (lire l'insistance scandaleuse des directeurs Patrick Clabaut et Brigitte Bonion pour les dissuader d'accompagner les élèves en sortie pour aller se faire harceler par l'adjointe d'OMERTA76).... pire encore pour tous ces voyous qui protègent les agresseurs et les agresseuses d'enfants dans les écoles, la réponse de Séverine Breton et de Yazid Meddad a été d'écrire directement au nouveau Ministre de l'Education Nationale Benoît Hamon.
UNE LETTRE AU MINISTRE DE
L'EDUCATION NATIONALE BENOÎT HAMON
Celui-ci va devoir préciser sa pensée : les châtiments corporels contre les petits de 3 et 4 ans font-ils partie de l'arsenal pédagogique clandestin dont il conseille l'usage dans les écoles maternelles ?ou bien
Le Ministre va-t-il suspendre et révoquer les agresseuses d'enfants et les responsables qui protègent ces délinquant-e-s depuis des années en terrorisant les témoins ?
UN ARTICLE DE L'EURE JUSTE
UN ARTICLE DE L'EURE JUSTE
mercredi 16 avril 2014
La lettre envoyé au Ministre de l'Education Nationale
Monsieur le ministre,Nous, Séverine Breton et Yazid Meddad, délégués élus des parents au conseil d'école Valmy I (Le Havre) boycotterons la réunion à laquelle nous sommes convoqués demain jeudi 17 avril 2014 par Mme Monique Béaur l'adjointe au DASEN de Rouen Philippe Carrière. Il est le directeur du réseau OMERTA76 que nous accusons de terroriser les témoins de violences à enfants en Seine-Maritime.
Nous considérons cette réunion non statuaire comme une cinquième provocation.Et nous vous demandons d'agir en urgence afin d'interdire qu'elle se déroule.
Cette nouvelle provocation arrive après quatre provocations majeures.1° Provocation : SANCTIONSLes trois premières sanctions contre l'enseignante qui a dénoncé les violences commises et le racismes anti-Roms ( Avertissement puis inspection avec des faux en écritures par personne ayant autorité, puis la note absurde de 3/20)Il est intolérable pour des parents d'apprendre que ce sont les enseignants qui témoignent qui sont harcelés et les agresseuses qui sont protégées.
2° Provocation : MENACESLes menaces contre nous faite par le directeur de l'école Patrick Clabaut contre nous, délégués élus des parents d'élèves après notre première distribution de tract en faveur de Mme Amadis. Et ce même jour, son refus de laisser le conseil d'école débattre des sanctions prises à l'encontre de ICE.
3° Provocation : SUSPENSION DE L'ENSEIGNANTE TÉMOINLa scandaleuse suspension signée par le DASEN le 28 mars mais dont le conseil d'école du 28 mars n'a pas été informé.L'inspecteur d'académie du Havre M. Serge Tillmann mentira plus tard sur cette chronologie en nous accusant de mensonge. Mais la preuve est sur le blog "L'Eure Juste" de Séverine Breton : on voit bel et bien la signature de M. Carrière datée du 28 mars et non du 31 comme l'assura plus tard mensongèrement le 8/4 M. Tillmann.
4° Provocation : REUNION DIFFAMATOIRE ET INSULTANTE DE M. TILLMANN devant tous les parents de l'écolePropos diffamatoires tenus par l'inspecteur d'académie du Havre M. Serge Tillmann. Depuis l'accusation ahurissante contre Mme Amadis d'être adversaire de la Françafrique ( provocant l'interruption de Yazid Meddad.... jusqu'à des imputations toute aussi ahurissantes d'antissémitisme. Des propos tenus dans une réunion publique dont nous n'aurons certainement jamais le compte-rendu. Un compte-rendu qui conduirait M. Tillmann directement vers des tribunaux. D'autant que cette réunion a vu deux enseignantes brandir un smartphone contenant une fausse page Facebook attribuée à l'enseignante insultée.
Nous exigeons que vous fassiez cesser les agissement de cette bande organisée qui a réussi à terroriser les quatre témoins des quatre écoles citée dans la lettre de Mme Amadis...En commençant par la rectrice de Rouen Claudine Schmidt Lainé, le DAsen Philippe Carrière, son adjointe Monique Béaur, l'IA du Havre Serge Tillmann et les deux IEN Patrick Deplanque et Olivier Basely coupables tous les deux de faux en écritures dans l'exercice de leur fonction avec la circonstance aggravante de leur statut.Tous ces gens agissant en bande organisée, en concertation et avec des fabrications annexes de faux imputés à leur victime, la témoin des violences.Nous exigeons que les 7 écoles où ds violences ont été commises entre 2008 et 2014 (liste non exhaustive provenant de témoignages spontanés) soient l'objet d'une enquête sérieuse de la justice. Ecole Varlin, Percanville, Ancelot, Louis Blanc, Louise Michel, Raspail, et maintenant Valmy où nous rassemblons des témoignages sur les violences actuelles : une enfant a rapporté à sa mère que ce sont "3 camarades à elles" qui sont en ce moment victimes de coups à l'école Valmy II.
Nous exigeons que les témoins soient protégées : des personnels municipaux ont signalé être terrorisés à l'idée de pouvoir être reconnus par leur témoignage. Le problème touche aussi la municipalité du Havre.
Nous n'avons pas l'intention de laisser ce réseau de protection des agresseurs et des agresseuses d'enfants profiter de ce que des policiers puissent venir se vanter à la sortie de l'école des coups qu'ils ont reçus étant jeunes ou que des policiers puissent expliquer qu'il y a pire dans certains quartiers que les coups portés aux petits enfants....
Nous avons commencé l'enquête sur l'école Valmy. Et nous savons que cela dure depuis 20 ans. Nous n'avons pas l'intention de laisser l'inaction du ministre précèdent Vincent Peillon devenir la règle de fonctionnement de l'Education Nationale.Nos enfants ne viennent pas à l'école pour être menacé d'agressions, ni être tapés par des enseignants protégés.Nos enfants vont à l'école publique. Et ce sont ces gens, depuis la rectrice jusqu'aux enseignants coupables qui devront la quitter. Définitivement.
Veuillez, agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.
Nous considérons cette réunion non statuaire comme une cinquième provocation.Et nous vous demandons d'agir en urgence afin d'interdire qu'elle se déroule.
Cette nouvelle provocation arrive après quatre provocations majeures.1° Provocation : SANCTIONSLes trois premières sanctions contre l'enseignante qui a dénoncé les violences commises et le racismes anti-Roms ( Avertissement puis inspection avec des faux en écritures par personne ayant autorité, puis la note absurde de 3/20)Il est intolérable pour des parents d'apprendre que ce sont les enseignants qui témoignent qui sont harcelés et les agresseuses qui sont protégées.
2° Provocation : MENACESLes menaces contre nous faite par le directeur de l'école Patrick Clabaut contre nous, délégués élus des parents d'élèves après notre première distribution de tract en faveur de Mme Amadis. Et ce même jour, son refus de laisser le conseil d'école débattre des sanctions prises à l'encontre de ICE.
3° Provocation : SUSPENSION DE L'ENSEIGNANTE TÉMOINLa scandaleuse suspension signée par le DASEN le 28 mars mais dont le conseil d'école du 28 mars n'a pas été informé.L'inspecteur d'académie du Havre M. Serge Tillmann mentira plus tard sur cette chronologie en nous accusant de mensonge. Mais la preuve est sur le blog "L'Eure Juste" de Séverine Breton : on voit bel et bien la signature de M. Carrière datée du 28 mars et non du 31 comme l'assura plus tard mensongèrement le 8/4 M. Tillmann.
4° Provocation : REUNION DIFFAMATOIRE ET INSULTANTE DE M. TILLMANN devant tous les parents de l'écolePropos diffamatoires tenus par l'inspecteur d'académie du Havre M. Serge Tillmann. Depuis l'accusation ahurissante contre Mme Amadis d'être adversaire de la Françafrique ( provocant l'interruption de Yazid Meddad.... jusqu'à des imputations toute aussi ahurissantes d'antissémitisme. Des propos tenus dans une réunion publique dont nous n'aurons certainement jamais le compte-rendu. Un compte-rendu qui conduirait M. Tillmann directement vers des tribunaux. D'autant que cette réunion a vu deux enseignantes brandir un smartphone contenant une fausse page Facebook attribuée à l'enseignante insultée.
Nous exigeons que vous fassiez cesser les agissement de cette bande organisée qui a réussi à terroriser les quatre témoins des quatre écoles citée dans la lettre de Mme Amadis...En commençant par la rectrice de Rouen Claudine Schmidt Lainé, le DAsen Philippe Carrière, son adjointe Monique Béaur, l'IA du Havre Serge Tillmann et les deux IEN Patrick Deplanque et Olivier Basely coupables tous les deux de faux en écritures dans l'exercice de leur fonction avec la circonstance aggravante de leur statut.Tous ces gens agissant en bande organisée, en concertation et avec des fabrications annexes de faux imputés à leur victime, la témoin des violences.Nous exigeons que les 7 écoles où ds violences ont été commises entre 2008 et 2014 (liste non exhaustive provenant de témoignages spontanés) soient l'objet d'une enquête sérieuse de la justice. Ecole Varlin, Percanville, Ancelot, Louis Blanc, Louise Michel, Raspail, et maintenant Valmy où nous rassemblons des témoignages sur les violences actuelles : une enfant a rapporté à sa mère que ce sont "3 camarades à elles" qui sont en ce moment victimes de coups à l'école Valmy II.
Nous exigeons que les témoins soient protégées : des personnels municipaux ont signalé être terrorisés à l'idée de pouvoir être reconnus par leur témoignage. Le problème touche aussi la municipalité du Havre.
Nous n'avons pas l'intention de laisser ce réseau de protection des agresseurs et des agresseuses d'enfants profiter de ce que des policiers puissent venir se vanter à la sortie de l'école des coups qu'ils ont reçus étant jeunes ou que des policiers puissent expliquer qu'il y a pire dans certains quartiers que les coups portés aux petits enfants....
Nous avons commencé l'enquête sur l'école Valmy. Et nous savons que cela dure depuis 20 ans. Nous n'avons pas l'intention de laisser l'inaction du ministre précèdent Vincent Peillon devenir la règle de fonctionnement de l'Education Nationale.Nos enfants ne viennent pas à l'école pour être menacé d'agressions, ni être tapés par des enseignants protégés.Nos enfants vont à l'école publique. Et ce sont ces gens, depuis la rectrice jusqu'aux enseignants coupables qui devront la quitter. Définitivement.
Veuillez, agréer, Monsieur, nos salutations distinguées.
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