"selon les services français, des bombardiers US sont arrivés en Grande-Bretagne, avec des armes nucléaires" (titre de Claude Angeli)
Les prédécesseurs capitalistes de Barack Obama avaient chassé Charlie Chaplin des USA pour perpétuer leurs guerres contre les peuples |
Barack Obama n'est pas seulement le responsable du pays qui émet le quart du carbone criminel - aggravant les plus de 200 milliards de tonnes du couvercle carbone au-dessus de nos têtes, il est aussi celui qui prépare une nouvelle guerre nucléaire, celui qui prépare la transformation de Moscou en un nouvel Hisroshima.
C'est Claude Angeli, dans le Canard Enchaîné de ce mercredi 11 juin qui le révèle. Il signale
"l'atterrissage, le 4 juin, de trois bombardiers lourds B-52 sur la base britannique de Fairford, près de Londres.
Il était naturellement difficile de cacher l'arrivée de ces énormes appareils intercontinentaux (huit réacteurs), qui peuvent balancer missiles et bombes à une altitude de 15 000 ou 20 000 mètres."
Barack Obama veut diriger la planète en conduisant un pays en faillite qui truque l'économie réelle et vole la Terre entière |
"[Les Américains] refusent de dire si des armes nucléaires ont accompagné ces énormes machines jusqu'en Grande-Bretagne. Mais les services militaires français affirment, eux, que c'est bien le cas" (Claude Angeli)
Barack Obama menace le peuple russe de lui infliger les mêmes brulures atomiques qu'à Hiroshima et Nagazaki |
Après avoir envoyé les nouveaux "Tigres Volants" d'Académi (l'agence secrète de l'armée américaine de BlackWater déguisée sous un nouveaux noms), la suite prévue est de terroriser les peuples anti-fascistes par la terreur nucléaire.
Ces gens sont des fous dangereux en liberté !
Seule la révolution anti-capitaliste mondiale, seule l'abolition de la strate des Parasites pourra nous éviter le pire !
COMPLEMENTS
MARDI SAMEDI 1 MARS 2014
NON à LA CONTRE-REVOLUTION FASCISTE EUROPENNE EN UKRAINE NON A LA GUERRE CONTRE-REVOLUTIONNAIRE NI OBAMA NI POUTINE ! TOUT LE POUVOIR AUX DELEGUES REVOCABLES
Ce fut la fin du New Deal et de sa version précédente des années 20 en Grande-Bretagne.
Les USA et leurs petits roquets annexes mènent une CONTRE-REVOLUTION anti-formoise depuis 1979 et l'offensive Thatcher contre les mineurs britanniques.
NON à LA CONTRE-REVOLUTION FASCISTE EUROPENNE EN UKRAINE
NON A LA GUERRE CONTRE-REVOLUTIONNAIRE
NI OBAMA NI POUTINE ! TOUT LE POUVOIR AUX DELEGUES REVOCABLES6 MAI 2014
LUNDI 12 MAI 2014
Blackwater-Academi mercenaires des USA contre les peuples d'Ukraine « C'est une guerre par procuration » Jean-Jacques Bourdin avoue la vérité en se contredisant lui-même
CE QUE BARACK OBAMA PREPARE POUR LE PEUPLE RUSSE ET LES ANTIFASCISTES
(source Wikipédia
Bombardements atomiques d'Hiroshima et Nagasaki
Les victimes
Le nombre des victimes ne sera sans doute jamais connu car les circonstances (ville en partie évacuée, présence de réfugiés venant d'autres villes, destruction des archives d'état civil, disparition simultanée de tous les membres d’une même famille, crémations de masse) rendent toute comptabilité exacte impossible, en particulier des morts survenues dans les premières heures.
- D’après une estimation de 1946 : La population au moment de l’attaque aurait été de 245 000 habitants, de 70 000 à 80 000 auraient été tués et autant blessés29
- D’après une estimation de 1956 : sur une population de 256 300 personnes, 68 000 furent tuées et 76 000 blessées30.
- D’après une autre plus récente : Sur une population de 310 000, de 90 000 à 140 000 personnes furent tuées31.
- D'après le maire d'Hiroshima lors d'un discours politique en 2005, le total des morts s’élèverait à 237 062 personnes32, mais ce nombre est à prendre avec précautions.
Blessures liées au flash lumineux et aux incendies[modifier | modifier le code]
Ces types de blessures retrouvées chez 65 % des survivants blessés d'Hiroshima et Nagasaki, furent responsables peut-être de 50 % des décès33, causés par plusieurs mécanismes :
- Brûlures de la peau découverte par le rayonnement thermiqueémis pendant une fraction de seconde au moment de l'explosion. Le moindre obstacle opaque a pu apporter une certaine protection : le port de vêtements, en particulier clairs, l’ombre des bâtiments, le feuillage des arbres... C'est peut-être la blessure la plus caractéristique d'une explosion nucléaire.
- Des brûlures du premier degré (érythème évoquant un coup de soleil) furent observées à plus de 4 km(occasionnellement 5 km) de l'hypocentre.
- Des brûlures du troisième degré (mortelles si étendues) sur la peau nue jusqu'à 1,5 km (occasionnellement 2,5 km)34.
- Les personnes proches de l'hypocentre dont les parties du corps furent exposées au flash ont été instantanément carbonisées jusqu’à l'hypoderme. Elles agonisèrent de quelques minutes à quelques heures35 (le rayonnement thermique était de l'ordre de 100 c/cm² libéré en l'espace de 0,3 seconde, ce qui est quinze fois plus important que ce qui provoquerait normalement une brûlure au troisième degré).
On estime que le rayonnement thermique a été responsable directement d’environ 20 à 30 % des morts à Hiroshima et Nagasaki36.
- Brûlures par les flammes : De nombreux incendies éclatèrent dans la ville après l'explosion : en vingt minutes, les feux se réunirent en un seul foyer généralisé, provoquant l'apparition d'une colonne d'air chaud et de vents violents. Cette tempête de feu dura 16 heures et dévasta 11 km2, ce qui ne laissa que peu de chances aux victimes, souvent déjà blessées, qui y étaient piégées37. Contrairement aux raids incendiaires conventionnels, l'attaque d'Hiroshima limita considérablement les possibilités de fuite de la population en détruisant une large zone. Ce n'est que lorsque l'ensemble du combustible fut épuisé que le feu s'arrêta. Le nombre des décès liés aux incendies est sans doute très important mais impossible à estimer, car beaucoup de corps ont été détruits par les flammes.
- Un effet secondaire, mais tout aussi mortel, fut l'apparition d'une grande quantité de monoxyde de carbone. Ce gaz entraîna l'asphyxie au milieu du foyer et il y eut certainement peu de rescapés. Cependant, aucun témoignage ne confirme l'assertion d'un dégagement massif de CO38.
- Enfin, ceux qui avaient les yeux pointés vers la boule de feu eurent la rétine brûlée ou endommagée, provoquant des cécités (le plus souvent réversibles). Cette soudaine incapacité à se déplacer empêcha un grand nombre de personnes de trouver un abri et d'échapper à la mort alors que les incendies se développaient.
- Des brûlures du premier degré (érythème évoquant un coup de soleil) furent observées à plus de 4 km(occasionnellement 5 km) de l'hypocentre.
- Des brûlures du troisième degré (mortelles si étendues) sur la peau nue jusqu'à 1,5 km (occasionnellement 2,5 km)34.
- Les personnes proches de l'hypocentre dont les parties du corps furent exposées au flash ont été instantanément carbonisées jusqu’à l'hypoderme. Elles agonisèrent de quelques minutes à quelques heures35 (le rayonnement thermique était de l'ordre de 100 c/cm² libéré en l'espace de 0,3 seconde, ce qui est quinze fois plus important que ce qui provoquerait normalement une brûlure au troisième degré).
Blessures liées à l’onde de choc et à l’effet de souffle
Ces types de blessures furent retrouvés chez 70 % des survivants blessés d'Hiroshima et Nagasaki, mais elles étaient rarement graves. L’hypothèse la plus probable est qu’immobilisés les blessés graves ont été condamnés quand les incendies se sont développés dans les décombres39.
- Barotraumatisme (effet direct) : lésions internes par rupture des tympans, des sinus, des poumons ou du tube digestif dues à la variation brutale de la pression au passage de l'onde. De telles lésions ont été peu observées (on n’a retrouvé de lésion des tympans, l’organe le plus fragile, que chez moins de 10 % des survivants proche de l’hypocentre)40.
- Effet indirect, et sans doute bien plus meurtrier :
- Le passage de l'onde de choc provoqua l'effondrement des bâtiments (jusqu'à 2 km dans le cas des habitations en bois). On estime qu’un grand nombre de victimes succombèrent ensevelies sous les décombres, d'autant que des incendies s'y développèrent rapidement.
- En se brisant, le bois, le verre et les autres matériaux de construction se transformèrent en des projectiles mortels. Des blessés présentaient des lacérations jusqu'à 2 km de l'hypocentre.
- Le souffle déplaça brutalement les victimes et les blessa par chute ou écrasement.
- Le passage de l'onde de choc provoqua l'effondrement des bâtiments (jusqu'à 2 km dans le cas des habitations en bois). On estime qu’un grand nombre de victimes succombèrent ensevelies sous les décombres, d'autant que des incendies s'y développèrent rapidement.
- En se brisant, le bois, le verre et les autres matériaux de construction se transformèrent en des projectiles mortels. Des blessés présentaient des lacérations jusqu'à 2 km de l'hypocentre.
- Le souffle déplaça brutalement les victimes et les blessa par chute ou écrasement.
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