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dimanche 28 février 2010

Chris Harman et John Mullen misérables truqueurs de citations, menteurs stupides, imbéciles chevaux de Troie de l'islamo-fascisme, petits laquais serviles de l'Internationale de la formoisie fasciste, larbins idéologiques au service du capitalisme.Une étude critique du texte du charlatan Chris Harman « Le prophète et le prolétariat » (1)

Par Yanick Toutain
28/02/2010
ABSTRACT
Le texte de Marx « l’âme d’un monde sans coeur » , devient pour Harman « L'islam (...) coeur d'un monde qui en est dépourvu » pour une transformation finale – chez Mullen - en « l’âme dans un monde sans âme »
Les deux clowns qui forment un détachement avant-garde de la 5° colonne de l'islamo-fascisme truquent scandaleusement les propos de Marx. Naturellement, ils sont assez hypocrites pour ne ni citer leurs sources, ni mettre entre guillemets les propos dont ils suggèrent que Marx en serait l'auteur.
Minables et misérables : l'école anglaise du trucage proto-fasciste. Le « socialisme par en-bas » est un proto-fascisme des égouts.

PRÉAMBULE
Quand Marx écrivait :
« La détresse religieuse est, pour une part, l’expression de la détresse réelle et, pour une autre, la protestation contre la détresse réelle. La religion est le soupir de la créature opprimée, l’âme d’un monde sans cœur, comme elle est l’esprit de conditions sociales d’où l’esprit est exclu. Elle est l’opium du peuple. 
. Pour justifier la propagande pour le voile, le bourrage de crâne « anti-islamophobe » et la propagande en faveur de ses « amis » de l'islam fasciste, le rouge-brun-vert John Mullen écrivait récemment (le 7 novembre 2009, à l'occasion du décès du « rouge-brun-vert » Chris Harman leader du SWP britannique) :

« Le courant Socialisme International a toujours souligné que, si la religion peut être l’opium, elle peut aussi être pour des travailleurs opprimés « l’âme dans un monde sans âme ». Plus particulièrement en France, le tournant vers l’Islam a été le choix d’une partie de la jeunesse issue de l’immigration, face à une société profondément raciste. Afficher sa religion musulmane en France a souvent été un défi lancé contre le racisme. »  (citation sur le site officiellement officieux de la LCR-NPA)
Le truqueur et manipulateur de citation – inspiré par son prophète Harman – transformait l'expression de Marx « l’âme d’un monde sans coeur, » en « l’âme dans un monde sans âme ». Mais, de surcroit à ce méprisable et scandaleux trucage, il en rajoutait une couche en se gardant bien de parler de la nécessaire « abolition de la religion » qui suivait immédiatement le paragraphe de Marx :
« L’abolition de la religion en tant que bonheur illusoire du peuple est l’exigence que formule son bonheur réel. Exiger qu’il renonce aux illusions sur sa situation c’est exiger qu’il renonce à une situation qui a besoin d’illusions. La critique de la religion est donc en germe la critique de cette vallée de larmes dont la religion est l’auréole. »
« L'ABOLITION DE LA RELIGION » DE MARX
DEVIENT « AFFICHER SA RELIGION »
EN TANT QUE
« DÉFI LANCE CONTRE LE RACISME »
CHEZ LE ROUGE-BRUN-VERT TRUQUEUR MULLEN !

Pire encore, John Mullen le bigot, la suite de son texte, aux antipodes d'une abolition de la religion précisait son projet – celui de Chris Harman
« Afficher sa religion musulmane en France a souvent été un défi lancé contre le racisme.
La question de l’islam, le fondamentalisme et l’impérialisme aujourd’hui est complexe. Il faut analyser à tête froide le rôle de l’islamisme politique au Maghreb, en Palestine, et dans les pays occidentaux. Dans son court livre Le prophète et le prolétariat publié par Socialisme International en 1994, Harman jette les bases d’une analyse matérialiste de l’islamisme. »
Le toupet de ces ennemis de Marx et du marxisme est sans limite. La pathologie religieuse devient un « défi », la propagande bigote devient un combat contre l'impérialisme, la lutte contre ce que cette 5° colonne des fascistes appelle « l'islamophobie » devient la condition sine-qua-non de toute lutte sociale.
Ce texte est destiné à démasquer l'hypocrisie de tous ces rouges-bruns-verts qui travaillent - dans ce qui était le « camp de la formoisie progressiste » - en faveur des fascistes de l'islam, en faveur des partisans de la charia, en faveur des partisans du djihad, en faveur des partisans du voile islamique.
Citations tronquées, citations transformées, citations anti-cléricales truquées pour en faire des paroles révélées et des incitations à la bigoterie sont l'ordinaire de ces deux truqueurs.
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Chris Harman et John Mullen
misérables truqueurs de citations, menteurs stupides,
imbéciles chevaux de Troie de l'islamo-fascisme,
petits laquais servile de l'Internationale de la formoisie fasciste.
Une étude critique du texte du charlatan Chris Harman « Le prophète et le prolétariat » (1)
On a donc « l’âme d’un monde sans coeur » , de Marx qui devient pour Harman « L'islam (...) coeur d'un monde qui en est dépourvu » pour une transformation finale – chez Mullen - en « l’âme dans un monde sans âme »
Dans le cadre de sa propagande en faveur de la mise en œuvre des tactiques de l'islamo-fascisme, le truqueur John Mullen rédigeait, en novembre dernier, la nécrologie du truqueur Chris Harman. Cet ignare qu'est Harman, déguisé en « trotskystes partisan des thèses de Tony Cliff et du capitalisme d'Etat en URSS» était un des principaux dirigeants du SWP anglais, un parti réformiste pseudo-trotskyste accrochés aux basques du parti de Tony Blair et de Trade-Unions dégénérées – organisations syndicales d'un prolétariat bourgeois en voie de pourrissement, d'une formoisie qui pourrit sur place.
John Mullen nous donne « la » référence. Un texte prétendument fondateur d'une nouvelle approche « marxiste », « matérialiste » de l'islam.
Quand ce texte n'est qu'un ramassis de banalités ignares, truffées de citations factuelles intéressantes, mais présentant une absence totale de cohérence intellectuelle. En particulier, un aveuglement complet du principal phénomène : la construction d'une Internationale de la formoisie aigrie, une Internationale qui voit se rapprocher le clown stalino-menchévique ignare Olivier Besancenot, la militante catholique brésilienne anti-avortement Héloisa Helena (la folle dingo qui a son « camarade dans les cieux » qui lui envoie de l'amour qui nous révèle son "
... expérience religieuse est avec le camarade qui est là-haut dans les cieux, et qui m'a donné beaucoup de preuves d'amour dans les moments difficiles que j'ai traversés durant ma vie") et les bigots tartuffes Tariq Ramadan et Abdelaziz Chaambi (l' « ami » de John Mullen).
Le texte « Le prophète et le prolétariat » ne fonde rien du tout. Il n'est qu'un paravent idéologique servant à masquer le rôle de 5° colonne de l'islamo-fascisme que jouent les Harman, les Mullen et autres pseudo-Sylvestre du NPA.
Les citations apparemment savantes du début du texte contiennent – dès le commencement – des erreurs grotesques.
« A cet égard, l'islam ne diffère en rien des autres religions. Il est apparu dans un contexte donné, celui de la communauté marchande des villes de l'Arabie du VIIe siècle, dans une société dont l'organisation reposait encore principalement sur une base tribale. Puis l'islam s'épanouit au cours de la succession de grands empires façonnés par certains de ceux qui acceptaient les préceptes musulmans. Il persiste aujourd'hui comme idéologie officielle de nombreux états capitalistes (Arabie Saoudite, Soudan, Pakistan, Iran, etc.), mais aussi comme source d'inspiration de nombreux mouvements d'opposition. »
Il confond « modalité d'expression » et « source d'inspiration »
Le retour au texte des paysans de l'ouvrage de Engels « La Guerre des Paysans » nous rappelle que, pour eux, la religion – qu'elle soit christianisme ou islam - n'est par une « source d'inspiration » , c'est une modalité d'expression de leur égalitarisme.
Il aurait suffi à l'ignare prétentieux de lire l'introduction de Engels pour comprendre que l'islam ne pouvait et ne pourra jamais être une « source d'inspiration » pour aucun courant, aucune couche sociale, aucune classe sociale, aucune strate sociale.

Le vieil Engels écrivait en 1870 –à propos de l'ouvrage rédigé en 1850, dans sa première jeunesse :
« En d´autres termes, je cherchais à montrer que la Constitution politique de l'Allemagne, les soulèvements contre elle, les théories politiques et religieuses de´époque n'étaient pas des causes, mais des résultats du degré de développement auquel étaient arrivés, dans ce pays, l'agriculture, l´industrie, les voies de communication, le commerce des marchandises et de l'argent. Cette conception — qui est la seule conception matérialiste de l´histoire — provient de Marx et non de moi ; on la retrouve dans ses travaux sur la révolution française de 1848-49, publiés dans cette même Revue et dans son 18 Brumaire de Louis Bonaparte. »
Il est vrai que le modèle présenté par Engels pourrait servir de preuve au fait que Harman aurait lu son livre …. en prenant exemple des méthodes décrites comme étant celle de « la classe aristocratique » dans le clergé :
« La falsification de documents était pour ces dignes hommes un moyen courant et familier d'extorsion. »
Par opposition, plus loin, notre Engels réitérait son opposition aux imbéciles de l'époque, aux Harman du 19° siècle :
« Même dans ce que l'on appelle les guerres de religion du XVIe siècle, il s'agissait avant tout de très positifs intérêts matériels de classes, et ces guerres étaient des luttes de classes, tout autant que les collisions intérieures qui se produisirent plus tard en Angleterre et en France. Si ces luttes de classes portaient, à cette époque, un signe de reconnaissance religieux, si les intérêts, les besoins, les revendications des différentes classes se dissimulaient sous le masque de la religion, cela ne change rien à l'affaire et s'explique facilement par les conditions de l'époque. »
(…)
Ce voyage de propagande de Münzer contribua manifestement d'une façon essentielle à l'organisation du Parti populaire, à la fixation nette de ses revendications et finalement à l'insurrection générale d'avril 1525. La double activité de Münzer, pour le peuple d'une part, auquel il s'adressait dans le langage du prophétisme religieux, le seul qu'il fût capable de comprendre à l'époque, et d'autre part pour les initiés, avec lesquels il pouvait ouvertement s'entretenir de ses véritables buts, se manifeste ici très nettement. Si déjà en Thuringe il avait groupé autour de lui et placé à la tête de la ligue secrète un groupe d'hommes des plus décidés, issus non seulement du peuple, mais aussi du bas clergé, dans la Forêt-Noire, il devient le centre de tout le mouvement révolutionnaire de l'Allemagne du Sud-Ouest.
Pour Engels, il est parfaitement clair que ce n'est pas la religion qui déclenche quoi que ce soit.
Et pour nous, il est tout autant clair que Chris Harman est un adversaire hypocrite du marxisme. Un ennemi infiltré.

LA RELIGION N'EST – POUR ENGELS – QU'UN « MASQUE » !
Engels, non seulement nous montre que les luttes de classes « se dissimulaient sous le masque de la religion » mais de surcroit, il nous présente un Thomas Münzer pratiquant le double langage, un militant politique masquant ses objectifs égalitaristes sous un vocabulaire issu de la Bible.
Mais tout cela n'empêche pas l'ignare Harman (qui se croit « marxiste » ?) de venir nous présenter son conte de fée. Il va nous présenter un « islam protecteur ».

« A chaque étape de son évolution, le discours de l'islam a toujours oscillé entre la promesse d'une certaine protection pour les opprimés et la garantie d'une protection contre tout renversement révolutionnaire pour les classes exploitantes. » 
Harman cultive l'ambiguïté sous le mot « promesse ». On verra ailleurs qu'il considère cette « promesse » comme – au moins partiellement réalisée. L'islam réglementerait l'oppression !!!!
CHEZ LE TRUQUEUR IGNARE HARMAN,
L'ISLAM COMME « UN REMPART
CONTRE UNE OPPRESSION PLUS DURE ENCORE
 » !!!
« Il séduit les riches comme les pauvres en réglementant l'oppression et en élevant par la même un rempart contre une oppression plus dure encore, mais aussi contre une éventuelle révolution. L'islam constitue, tout comme le christianisme, l'hindouisme et le bouddhisme, à la fois le coeur d'un monde qui en est dépourvu et l'opium du peuple. »
Sur le fond historique, on appellera donc « Alexandre le Grand un rempart contre une oppression plus dure encore », on appellera « Julius Caesar rempart contre une oppression plus dure encore » !!!
Les Africains esclaves castrés devaient être contents de ce « rempart ». Ils mouraient, en saignant, en remerciant l'islamisme d'être un « rempart ». Et les Africaines esclaves violées par les suppôts de Mohamed appréciaient elles-aussi de subir un viol limité par ce « rempart » qui les protégeait d'un viol probablement « plus dur encore ». (on verra plus loin que cette absence des Africains dans la description de ce qu'est l'Islam est le symptôme du racisme anti-Africain de tous ces suppôts de l'islamo-fascisme : racisme de John Mullen, racisme de Chris Harman similaire au racisme de tous ces « amis de la Palestine » qui refusent de voir un taux de mortalité infantile quatre fois pire en Afrique qu'à Gaza)

Quant au marxiste « opium du peuple », on remarque le trucage qui consiste à faire une citation sans la faire : il reprend sans le dire une phrase analogue de Marx.
Mais en truquant totalement le sens de la phrase originelle : Harman prétend nous convaincre que les structures religieuses protégeraient les pauvres. L'islam serait le protecteur des pauvres contre une « oppression plus dure encore,»
Mais la citation de Marx n'a rien à voir avec une structure religieuse institutionnelle qui protégerait les pauvres.

Quand il fait sa citation, Marx n'a en vue que le phénomène de la religiosité.
« La détresse religieuse est, pour une part, l’expression de la détresse réelle et, pour une autre, la protestation contre la détresse réelle. La religion est le soupir de la créature opprimée, l’âme d’un monde sans coeur, comme elle est l’esprit de conditions sociales d’où l’esprit est exclu. Elle est l’opium du peuple. 
Il n'est pas question ici – comme chez Harman qui invente sa tambouille - de protection que les imams ou les classes exploiteuses accorderaient aux classes exploitées. Il est seulement question – chez Marx – du rapport personnel que l'opprimé entretient avec la religion en tant que croyance. La comparaison serait les phénomènes de constructions mystiques parmi les tribus cheyennes, sioux, apaches au début du 20° siècle. Des délires hallucinés qui ont comme sources les défaites militaires et sociales des peuples indigènes face aux barbares envahisseurs venus d'Europe.
Il s'agit de la religion en tant que consolation passive.

C'est à ce phénomène que Chris Harman ne comprend rien pour nous fabriquer son pseudo-marxisme à coup de citations truquées, tronquées qui sont rédigées sans guillemets.
Et l'imbécile rouge brun vert Mullen truquera à son tour les non citations truquées de Harman pour fabriquer sa propre tambouille.
Nous sommes passés de la religion consolatrice (Marx) à la religion protectrice des pauvres (Harman), pour arriver maintenant à la sauce Mullen à une religion en tant qu'idéologie militante antiraciste
« Le courant Socialisme International a toujours souligné que, si la religion peut être l’opium, elle peut aussi être pour des travailleurs opprimés « l’âme dans un monde sans âme ». Plus particulièrement en France, le tournant vers l’Islam a été le choix d’une partie de la jeunesse issue de l’immigration, face à une société profondément raciste. Afficher sa religion musulmane en France a souvent été un défi lancé contre le racisme. » 
La consolation devenue protection est maintenant mutée en «défi ». On remarque que la mutation du sens s'opère avec une mutation de la citation elle-même :
La religion (… ) âme d’un monde sans coeur, (…) esprit de conditions sociales d’où l’esprit est exclu. (… ) opium du peuple.
Est d'abord devenu, chez Chris Harman
« L'islam (...) coeur d'un monde qui en est dépourvu et l'opium du peuple. »
pour se transformer – sous la plume du truqueur Mullen qui prétend citer Harman
« la religion peut être l’opium, elle peut aussi être pour des travailleurs opprimés « l’âme dans un monde sans âme ». (…) Afficher sa religion musulmane en France a souvent été un défi lancé contre le racisme. » 
« L'ÂME DANS UN MONDE SANS ÂME » du truquer menteur bigot islamophile Mullen
On a donc « l’âme d’un monde sans coeur » , de Marx qui devient pour Harman « L'islam (...) coeur d'un monde qui en est dépourvu » pour une transformation finale – chez Mullen - en « l’âme dans un monde sans âme »
Le monde était sans cœur. Marx y voit la religion y apporter une âme quand Harman y voit l'Islam lui apporter un cœur.
Harman voit l'Islam apporter une protection aux pauvres !!!
Ce contresens stupide est le socle des trahisons criminelles de ces « rouges-bruns-verts ». Ils vont construire leur idéologie prétendument scientifique sur ce « contresens » et cette citation truquée de Marx.

On a donc un premier socle dans la construction de l'idéologie des « antislamophobes » : l'islam est un coeur apporté à une société qui en manque.
La deuxième étape de cette 5° colonne de l'islamo-fascisme est construite par le discours de John Mullen. Celui-ci contredit, lui aussi, Marx, mais d'une autre manière : ce qui manque à la société, ce n'est pas un coeur (c'est à dire un partage égalitariste des richesses – ce à quoi pense Marx), non, pour cet imbécile bigot, ce qui manque au monde c'est d'avoir …. une âme. Le bigot rouge brun vert Mullen reproche au monde d'être un « monde sans âme ».
Il peut donc copiner avec Tariq Ramadan. C'est cet agitateur politique des mosquées qui va ramener « une âme » à ce « monde sans âme ».

On a donc un Chris Harman qui trahit allègrement Karl Marx (l'a-t-il seulement compris ?) et un John Mullen qui fait de fausses citations trahissant Harman et qui vient dire le contraire de celui dont il rédigeait l'hommage nécrologique sur le site de débats de la LCR.
Cette double trahison de Karl Marx et de ses analyses est typique de ce courant politique : Chris Harman construit un socle mensonger basé sur des demi-vérités, des demi-analyses et il ouvre la porte au « demi-fasciste » Mullen en lui apportant un camouflage scientifique.
On verra comment, dans la suite de son texte, le cheval de Troie de l'islamo-fascisme Chris Harman nous montrer dans la nommer ni le comprendre - la formoisie agissant comme la base principale d'un 'renouveau' de l'Islam. Mais cet « islamisme de la nouvelle classe moyenne » est présenté – avec l'appui de citations d'autres auteurs, comme moderniste. Harman (dixit Roy) nous affirme que  « Le mouvement islamiste » serait « né au cœur des secteurs modernes de la société ». Comme si les diplômés répétants étaient les « secteurs modernes de la société » !!!
Cette ignorance du développement de la strate répétante et de sa composante corrompue – la classe innovoise, n'est qu'un élément de plus du caractère anti-scientifique de toute la thèse du charlatan pseudo-marxiste Chris Harman.
Il n'est ni marxiste, ni néo-marxiste, ni post-marxiste.
Il n'est rien !

Un idéologue formois de plus. Occupé à fabriquer de la fumée idéelle pour masquer la réalité, pour perpétuer le règne de la bourgeoisie mondiale, règne qui assure à tous les « clowns titrés professeurs » de la planète l'assurance de la perpétuation de la distribution des miettes de la bourgeoisie. Jusqu'à sa mort, Chris Harman était – comme Daniel Bensaïd – un mangeur de miettes impérialistes fabriquant de l'idéologie (burgo)- bourgeoiso-formoise. Un inutile au service de la classe bourgeoise quémandant des miettes pour la classe formoise.






NOTES :
Un extrait du site officiellement officieux du NPA-LCR revolution celeonet. Le texte (7 novembre 2009) de John Mullen dans deux extraits.


« John Mullen
posté Nov 7 2009, 03:39 PM


Nous avons su ce matin que Chris Harman est décédé à Caire hier soir, où il intervenait dans un congrès de militants révolutionnaires.
Un des dirigeants de l'SWP depuis les années 1968, il a écrit un grand nombre de livres et des centaines d'articles.

J'ai écrit un article en hommage à lui qui recense les oeuvres majeures disponibles en français. Le voici :
John Mullen



Chris Harman « Le socialisme c’est le pouvoir aux travailleurs »

Chris Harman, un des dirigeants du Socialist Workers Party britannique, orateur et théoricien hors pair, est décédé vendredi soir à Caire, où il intervenait dans un congrès de socialistes révolutionnaires. Même si je l’ai souvent vu parler à des réunions et des congrès, je ne connaissais pas Chris personnellement. Alors tout en exprimant mes condoléances à sa compagne et à sa famille, je vais ici présenter pour les lecteurs français, qui le connaissent peu, la contribution indispensable qu’a faite Harman à la compréhension marxiste du monde et à la construction des luttes des travailleurs.

Expliquer le marxisme en des mots simples
(…)
S’opposer à l’islamophobie
Trois autres débats importants pour les anticapitalistes ont été l’objet d’écrits de Harman. Tout d’abord le débat concernant la religion. Le 11 septembre a renforcé l’islamophobie en Occident, et une bonne partie de la gauche a préféré applaudir plutôt que s’opposer à la discrimination anti-musulmane. En France, l’extrême gauche s’est montrée dans sa quasi-totalité incapable de riposter à l’islamophobie. L’excuse a été une analyse simpliste sur la religion comme une conspiration maléfique pour manipuler les travailleurs – « l’opium du peuple ». Le courant Socialisme International a toujours souligné que, si la religion peut être l’opium, elle peut aussi être pour des travailleurs opprimés « l’âme dans un monde sans âme ». Plus particulièrement en France, le tournant vers l’Islam a été le choix d’une partie de la jeunesse issue de l’immigration, face à une société profondément raciste. Afficher sa religion musulmane en France a souvent été un défi lancé contre le racisme.
La question de l’islam, le fondamentalisme et l’impérialisme aujourd’hui est complexe. Il faut analyser à tête froide le rôle de l’islamisme politique au Maghreb, en Palestine, et dans les pays occidentaux. Dans son court livre Le prophète et le prolétariat publié par Socialisme International en 1994, Harman jette les bases d’une analyse matérialiste de l’islamisme. Si des éléments de ce livre ont besoin d’être mis à jour suite aux évolutions récentes des islamismes, il n’empêche que cet ouvrage constitue quasiment la seule tentative d’une analyse marxiste générale de l’islamisme. Vous trouverez le document ici :
Le prophète et le prolétariat
http://pagesperso-orange.fr/revuesocialisme/prophete.html »




lundi 22 février 2010


Quand Daniel Bensaïd, Alain Krivine, Olivier Besancenot soutenaient une CANDIDATE ANTI-AVORTEMENT

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