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lundi 29 septembre 2014

China, Hong Kong A letter to Joshua Wong and OCLPHK (Struggle for HUMANocracy for REVOCABLE DELEGATES (not for DEMOScracy of owners of slaves)

Occupy Central 和平佔中  @OCLPHK


By Yanick Toutain
RevActu
29/9/14

I am a french activist  (I struggle for the end of capitalism and imperialism since 1973)
My international blog is Revactu
http://revolisationactu.blogspot.fr/
My town blog
http://lhavraisverite.blogspot.fr/2014/07/arretee-dans-un-cafe-pour-un.html
(the story is about me and a teacher : she denounced violences against children in a school and the french police arrested us in a coffee bar)

I discover your struggle against the stalino-capitalist, your struggle against the heirs of HuJinTao, the puppets of the foreign slavery capitalists Apple & co in their slavery factories of China 
I claim 1000 € for all the mingongs (They are paid 1/20 of their average GDP)
I claim 1000 € for all the humans over 14 (and 500€/child). 
Joshua Wong Chi-fung 黃之鋒
fondateur de Scholarism
Humanity can be proud of Joshua Wong and his friends...
BUT
But I suggest you not to demand democracy and presidential elections.
In Europe, the USA and especially in Africa, the poor suffer misery and slavery because of democracy and elected presidents.
The translation of "demos" is "slave owners" in Athens. (look at the Wikipedia fr)
We must abandon democracy (the power of slave owners) for humanocracy (the power of all human beings)
And so, I suggest you form groups of 25 by designating revocable delegates.
Starting with one delegate nominated by 25 basis delegators.


COMPLEMENT

Joshua Wong Chi-fung ( chinois : 黃之鋒 , né le 13 Octobre 1996) [ 1 ] est une société de Hong Kong militant étudiantqui est l'animateur et fondateur du groupe militant étudiant de Hong Kong Scholarism .

Occupy Central 和平佔中

@OCLPHK


OCLP is a nonviolent direct action movement that demands a fully democratic government in Hong Kong. Media enquiries: media.oclp at gmail dot com 希望在於人民,改變始於抗爭。
 Hong Kong

Semaine décisive à Hong Kong

Le Point - Publié le  - Modifié le 

VIDÉO. Ce week-end, la tension est montée d'un cran dans l'ancienne colonie britannique entre les manifestants et les forces de l'ordre.




Des manifestants à Hong Kong, samedi soir.
Des manifestants à Hong Kong, samedi soir. © Dong Ng / AFP


Un lundi matin pas comme les autres, à Hong Kong. L'ancienne colonie britannique s'est réveillée drapée des habits de l'insurrection après une nouvelle nuit d'affrontements entre les forces de l'ordre et les partisans de la démocratie. Aucun signe de répit après un week-end de violences au coeur de la cité financière. Après avoir dormi sur la chaussée moite, des milliers de manifestants réclamant des élections libres en 2017, poursuivent l'occupation du centre-ville, ignorant les appels à la dispersion des autorités. Et même si, dans un geste apparent d'apaisement, la police antiémeute s'est retirée lundi matin, le week-end a laissé des traces. Depuis samedi, la police utilise le gaz lacrymogène pour disperser des étudiants intrépides protégés par des masques et de capes de pluie, engagés dans des corps à corps avec les forces de l'ordre. Du rarement vu dans la très policée HK, où la Bourse vient de chuter. 
Les manifestants protestent contre les nouvelles règles électorales édictées par Pékin, le 31 août dernier, en vue de l'élection du chef exécutif de l'île. La Chine s'est engagée à offrir le suffrage universel aux sept millions d'habitants, comme exigé par les Britanniques avant la rétrocession de l'île en 1997. Mais elle impose la "démocratie à la chinoise", soit au préalable un "filtrage" des candidats. En clair, seuls "deux ou trois" candidats "patriotes", c'est-à-dire fidèles au pouvoir central, pourront concourir. Ces nouvelles règles sont "inacceptables", selon le mouvement démocratique Occupy Central with Love and Peace. Les étudiants des principales universités sont en grève depuis le 22 septembre pour dénoncer un "nouvel ordre colonial". La contestation pacifique a dérapé à partir de ce week-end, lorsque la police a interdit toute manifestation au coeur de l'île, en vue du 1er octobre, fête nationale en Chine. Longtemps hésitant, le mouvement pacifique est passé à l'action et semble avoir atteint un point de non-retour.

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