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samedi 6 septembre 2014

Tentative de publication sur #NObsRevActu de l'article: "Le président Gbagbo est entré dans l'Histoire le 18 décembre 2010"

POUR L'INSTANT CET ARTICLE N'EST PAS EFFACE SUR LE SITE DU NOUVEL OBSERVATEUR. CLIQUEZ ICI POUR VERIFIER
POUR LE CAS OU LE NOMBRE DE COUPURES SERAIT INSUFFISANT POUR QUE LA MODERATION ACCEPTE QUE LA SITUATION IVOIRIENNE PUISSE ETRE EVOQUEE SUR MON BLOG, JE PEUX ENCORE EFFACER D'AUTRES MOTS (qu'on m'indique lesquels) ET LES REMPLACER PAR DES XXX
 

après la censure totale de l'article de Julie Amadis sur le même thème puis la censure totale de son article évoquant cette censure, puis la censure de son commentaire de remerciement de ceux qui soutenaient son combat anti-violences, après la censure ETC ETC ETC....après la censure de mon article de félicitation à Valérie Trierweiler etc etc....
... je suis prêt à tous les sacrifices pour qu'au moins UN TOUT PETIT PEU DE LA VERITE SUR L'AFRIQUE PUISSE ACCEDER AU CERVEAU DES FRANCAIS


Le président Gbagbo est entré dans l'Histoire le 18 décembre 2010



par Yanick Toutain
XXX3/6/14 
C'est le 18 décembre 2010 que l'acte fondateur de l'ex réformiste conciliateur Laurent Gbagbo a été réalisé.
Lui qui n'avait fait que reculer depuis 10 années, qui avait laissé les XXX XXX au service des XXX rogner tout ce qui pouvait l'être , en imposant une XXX militaire XXX se rebella soudainement 2 jours après l'attaque de la Radio-Télévision ivoirienne par les milices XXX protégées par l'XXXXde XXX
"Le gouvernement demande le départ de l'Onuci et de la force Licorne de Côte d'Ivoire et s'oppose au renouvellement de son mandat". Elle estime que "l'Onuci a fait preuve d'ingérence grave dans les affaires intérieures de la Côte d'Ivoire".
Patrouille de soldats de l'Onu à Abidjan.
Le gouvernement de Laurent Gbagbo
 a demandé le départ de la Côte d'Ivoire
des casques bleus de l'Onu et
 du contingent militaire français "Licorne.
(Reuters/Luc Gnago)
 CE QUI SUIT DOIT ETRE EXAMINE AVEC LA PLUS GRANDE ATTENTION. En effet, les agences XXX glissent du vrai au milieu de tonnes de XXX.... ou, plus subtile, glissent du XXX au milieu de plein de vérités....

LE PRESIDENT GBAGBO A VOULU
EXPULSER LES VRAIS ORGANISATEURS
DE L'XXX RTI DU 16 DECEMBRE 2010 :
ONUCI ET LICORNE DES XXX XXX

Pour comprendre ce qui se passe, il faut regarder au préalable la vidéo de l'ATTAQUE DU 16 DECEMBRE.
La décision d'expulser ONUCI et LICORNE était une réponse à XXX
On les voit sur ces images :

XXX

(...)

"11h00: La police tire sur la foule autour de la RTISelon des témoins, des chars étaient dans les rues de Cocody, à proximité du siège du Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie (RHDP), formation soutenant Ouattara. "J'ai vu quatre personnes tuées et de nombreux blessés. Ils ont tiré pour nous repousser quand on a essayé de descendre la rue", a déclaré un manifestant pro-Ouattara qui se dirigeait avec une foule vers le siège de la Radio-Télévision ivoirienne (RTI). Toujours à Cocody, des tirs auraient été entendus autour de l'Ecole de Police, un lieu hautement stratégique dans Abidjan."

(...)

Abidjan
Barrages de la police à Abidjan, ce jeudi. (Reuters)
23h00: L'ONU met en garde les auteurs de violence
Ban Ki-moon "réitère son appel à toutes les parties ivoiriennes et à leurs partisans leur demandant d’être patients et d’éviter toute action qui pourrait, accidentellement ou délibérément, provoquer de la violence", a déclaré jeudi un porte-parole de l’ONU, Fahran Haq, à New York. Et d'ajouter que le secrétaire général des Nations unies "rappelle à ceux qui incitent ou commettent des violences et à ceux qui utilisent les médias dans ce but qu’ils seront tenus pour responsables de leurs actions".
22h53: Washington appelle au calme
Alors que l'ambassade américaine a été touchée par un tir de roquettes, le porte-parole du département d'Etat, P.J. Crowley, a lancé un appel au calme. "Nous continuons de travailler avec la communauté internationale afin de contribuer à un règlement de la situation", a-t-il précisé, ajoutant "déplorer le recours à la force".
21h47: Le clan Gbagbo parle de 20 morts
A la télévision publique, une porte-parole du gouvernement de Laurent Gbagbo a indiqué que les violentes manifestations de jeudi en Côte d'Ivoire avaient fait 20 morts. "Parmi eux, 10 étaient des manifestants et 10 des membres des forces de sécurité", a précisé Jacqueline Oblé.
21h16: Gbagbo dispose d'un "temps limité"
Les Etats-Unis, la France et les puissances africaines ont fait savoir à Laurent Gbagbo, le président sortant de Côte d'Ivoire, qu'il disposait d'un "temps limité" pour décider de son attitude future, a déclaré jeudi un responsable américain. Et d'ajouter: "Nous avons certaines raisons de croire que M. Gbagbo a bien reçu le message."
19h30: Une trentaine de civils tués, selon Soro
Lors d'une conférence de presse, Guillaume Soro, le Premier ministre d'Alassane Ouattara, a indiqué que les Forces Nouvelles avaient perdu deux hommes et qu'une trentaine de civils étaient morts jeudi, selon le correspondant du Nouvel Observateur. Il a également assuré que le chef de la gendarmerie et le chef d'état-major des armées n'avaient pas tiré, "refusant de s'associer aux massacres".
19h20: Les manifestations se poursuivront vendredi
Malgré les incidents survenus jeudi, les manifestants pro-Ouattara n'entendent pas mettre un terme à leur protestation. "Nous continuerons à défiler. Demain [vendredi, ndlr], nous essaierons de nouveau de nous rendre à la (radio-télévision d'Etat) RTI", a déclaré jeudi soir un porte-parole de l'équipe Ouattara, Patrick Achi.
19h00: Paris hésite sur le cas Gbagbo
La France hésite à inclure Laurent Gbagbo sur la liste de responsables ivoiriens passibles d'interdiction de visas et de gel de leurs avoirs en cours de constitution à Bruxelles. Plusieurs sources diplomatiques européennes au fait du dossier ont expliqué que Paris "veut garder la possibilité de durcir sa position si les choses empirent dans les jours qui viennent". "Rien ne sera décidé aujourd'hui. Une décision devrait intervenir lundi, mercredi au plus tard", a confirmé l'une des sources diplomatiques. Contacté par Reuters, le ministère français des Affaires étrangères n'a fermé la porte à aucune option.
17h50: L'ambassade américaine attaquée involontairement
L'ambassade des Etats-Unis en Côte d'Ivoire a été touchée jeudi par un tir de roquette incontrôlé, annonce le département d'Etat. La roquette a atteint le périmètre extérieur de la mission diplomatique, où elle a causé des dégâts mineurs sans faire de blessés, a précisé Mark Toner, porte-parole du ministère.
17h00: Les rebelles marchent vers le Sud
Des militaires rebelles en poste à Séguéla marchent vers Daloa, troisième ville la plus peuplée du pays et située sous la zone de démarcation Nord-Sud.
16h39: Accrochages sur la ligne Nord-Sud
Les anciens rebelles contrôlant le nord de la Côte d'Ivoire ont affronté des soldats fidèles au président sortant Laurent Gbagbo jeudi près de la ligne Nord-Sud séparant le pays. Un correspondant de l'agence Reuters a vu les deux parties échanger des tirs au nord de la ville de Tiébissou, à quelques kilomètres de la capitale administrative du pays, Yamoussoukro. Des tirs d'armes lourdes ont retenti pendant les accrochages. Des habitants fuyant la ville ont déclaré que les échanges de tirs avaient duré trois heures au moins. Les Forces nouvelles, pro-Ouattara, étaient maintenues au nord de cette ligne depuis les différents accords mettant fin à la guerre civile débutée en 2002.
15h20: Un porte-parole du Premier ministre de Ouattara parle de 30 morts
Le porte-parole de Guillaume Soro a indiqué, au cours d'un point presse à l'Hôtel du Golf, où siège Alassane Ouattara et le gouvernement, que près de 30 civils auraient trouvé la mort dans les affrontements du jour, selon ses décomptes, rapporte le site du Nouvel Observateur. Il y aurait également 100 à 110 blessés. Toujours selon le représentant du Premier ministre, il faut imputer ces victimes à la garde républicaine mais aussi à des miliciens libériens embauchés en masse par Laurent Gbagbo. Ils seraient au nombre de 3.000.
15h00: Guillaume Soro veut poursuivre la mobilisation
Ces événements n'ont semble-t-il pas saper l'ambition du camp du président élu. "Le Premier ministre appelle les populations à la mobilisation, les invite à ne pas se laisser distraire par cette dictature des chars, et à réclamer la liberté de l'information pluraliste par les medias d'Etat", annonce ainsi Guillaume Soro dans un communiqué. La marche prévue vendredi pour installer Soro au siège de la primature est également maintenue. Sur son site Internet, le chef du gouvernement indique que des membres de la Brigade anti-émeute (BAE) auraient rejoint les Forces nouvelles, ex-rebelles, autour de l'Hôtel du Golf.
14h30: Le Parlement européen vote une déclaration anti-Gbagbo
Le Parlement européen a adopté ce jeudi midi une déclaration solennelle demandant à Laurent Gbagbo de se retirer pour laisser place au président nouvellement élu Alassane Ouattara, indique Vincent Peillon, un des rédacteurs du texte, sur son blog. La déclaration appelle également "l’ensemble des acteurs ivoiriens à enrayer tout risque d’escalade de tension et à empêcher tout affrontement" et soutient la mise en place par le Conseil de l’Union de sanctions ciblées contre l’entourage de Laurent Gbagbo.
13h00: Amnesty évoque neuf morts
L'organisation Amnesty International a fait état d'un bilan d'au moins neuf morts d'après les témoignages qu'elle a recueillis. Interrogé sur ces témoignages, un porte-parole de l'armée s'est refusé à faire un commentaire.
12h00: Accrochages autour de l'Hôtel du Golf
Des "tirs de lance-roquette, de kalachnikov et d'armes plus lourdes" ont également retenti autour de l'Hôtel du Golf, où résident Ouattara, le Premier ministre Guillaume Soro, son gouvernement, la mission de l'ONU et les anciens rebelles, dans un quartier proche de Cocody, affirme un journaliste d'i-Télé. "Ça tire tous azimuts. L'artillerie tonne. Il y a des explosions. Tout cela provient de l'Hôtel du Golf", a déclaré un témoin. Un autre témoin, vivant à proximité de l'hôtel, a confirmé ces tirs d'armes lourdes. Selon les médias sur place, il s'agirait de combats entre les forces loyales à Gabgbo et les Forces nouvelles, ex-rebelles. Des membres de cette armée, qui contrôle le nord du pays depuis la guerre civile de 2002, auraient été blessés. Alassane Ouattara s'est présenté dans le hall de l'établissement pour rassurer ses troupes, selon différents médias.
11h00: La police tire sur la foule autour de la RTI
Selon des témoins, des chars étaient dans les rues de Cocody, à proximité du siège du Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie (RHDP), formation soutenant Ouattara. "J'ai vu quatre personnes tuées et de nombreux blessés. Ils ont tiré pour nous repousser quand on a essayé de descendre la rue", a déclaré un manifestant pro-Ouattara qui se dirigeait avec une foule vers le siège de la Radio-Télévision ivoirienne (RTI). Toujours à Cocody, des tirs auraient été entendus autour de l'Ecole de Police, un lieu hautement stratégique dans Abidjan.
10h00: Heurts dans le sud d'Abidjan
Les heurts auraient également fait 17 morts, dont deux femmes, à Treichville (sud), selon le porte-parole du président élu interrogé sur BFM TV.
10h00: Tirs sur des partisans de Ouattara
Des tirs ont retenti dans les quartiers d'Abobo, de Yopougon, d'Adjamé (nord d'Abidjan) et de Koumassi (sud), où des partisans de Ouattara s'étaient rassemblés avant de partir vers le siège très stratégique de la télévision d'Etat ivoirienne à Cocody et faisaient face à des Forces de sécurité, loyales à Laurent Gbagbo. Plusieurs personnes auraient trouvé la mort, après des tirs de grenades dans ces quartiers.
Rédaction - leJDD.fr
jeudi 16 décembre 2010

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