Philippe Carrière OMERTA76 Il est content de lui et de Paris Normandie qui donne une bonne image de lui |
par Yanick Toutain
1/8/14
PHILIPPE CARRIERE, DASEN, DIRECTEUR DU RESEAU OMERTA76 EN SEINE-MARITIME
IL PROTEGEAIT LES PROFESSEURS DES ECOLES AGRESSEURS DE LEURS ELEVES EN TERRORISANT LES TEMOINS DE VIOLENCES
Philippe Carrière ne travaille pas principalement à protéger les enseignants agresseurs. Son travail - avec la menteuse Monique "119" Béaur consiste à TERRORISER les témoins de violences.
Ce sont plus de 10 cas au Havre qui sont délibérément étouffés et dont les témoins sont invités à regarder l'institutrice témoin de violences au Havre en 2008 atterrir comme SDF sur un trottoir
"A 56 ans, Philippe Carrière a choisi de tourner la page. Nommé en 2010 à l'inspection académique de Seine-Maritime, le représentant de l'Etat succède à Catherine Benoît-Mervant à l'Académie de Nantes, où il prendra ses marques dès vendredi 29 août au matin.Il suffit d'une recherche Google pour découvrir un tout autre visage que l'autosatisfaction du valet sarkozyste devenu valet hollandiste d'un Etat qui refuse d'appliquer la loi et bafoue tous les jours l'article 222-13-1 du code pénal
De ces quatre années, Philippe Carrière ne retire que du positif d'une expérience pourtant menée en pleine "crise de confiance à l'égard de tous ceux qui détiennent une parcelle d'autorité publique" et ressent "déjà beaucoup de nostalgie"." (Tendance Ouest)
REFUS DE RESPECTER L'ARTICLE 222-13-1 INTERDISANT TOUTE VIOLENCE A ENFANT PAR L'ETAT
Philippe Carrière et Monique Béaur organisent le harcèlement et la terreur parmi les témoins d'agressions d'enfants commises par des enseignantes dans les écoles : Julie Amadis sanctionnée AVERTISSEMENT + INSPECTION MENSONGERE = 3/20
Sa "faute" selon le directeur d'OMERTA76 ?
Philippe Carrière reproche à Julie Amadis d'avoir écrit directement à la rectrice Claude Schmidt-Lainé..... pour se plaindre du harcelement qui recommence par Patrick Deplanque, celui qui avait étouffé le scandale de 2008.
un article par Yanick Toutain
Pour Philippe Carrière directeur OMERTA76,
TEMOIN QUI PARLE = COUPABLE
En Seinte-Maritime (mais comment est-ce dans les autres départements française ? ) il ne fait pas bon se trouver par hasard au moment où une enseignante cogne un enfant : vous allez prendre le risque de vous retrouver au chomage.Si vous parlez.
C'est ce qui est arrivé à Julie Amadis en 2008. Elle a dénoncé deux cas de violences.
Et donc direction les ASSEDIC !
SE TAIRE = PLAIRE AUX INSPECTEURS
SE TAIRE = RESPECTER LE "REGLEMENT"
SE TAIRE = CONSERVER SON EMPLOI
SE TAIRE = OMERTA76 VOUS LAISSE TRANQUILLE
Car votre silence vous permettra de rester fonctionnaire tranquille. Ou employée municipale de Antoine Rufenacht et Agnès Canayer.Ces deux-là ont laissé en poste celle qui avait tapé le petit Kévin 3 ans en janvier 2008.
Le directeur du réseau OMERTA 76, Philippe Carrière a un sentiment d'impunité absolument ahurissant !
INSPECTEUR JEKYLL ET MISTER DEPLANQUE : MENTEUR ET HARCELEUR AU SERVICE DU RESEAU OMERTA 76
Il nomme dans le secteur Havre Ouest un certain Patrick Deplanque ; un docteur Jeckyll et mister Hyde de l'éducation Nationale : fabriquant de marionnette la nuit et protecteur des enseignantes agresseuses d'enfants le jour. C'est ce menteur harceleur qui avait organisé l'OMERTA76 à l'école Varlin en 2008. Il avait été envoyé se faire oublier en Russie après son exploit. LEs deux agresseuses de Kévin et Luciano (3 ans et 4 ans) sont restées en poste, ensemble, pendant 6 ans !)On a beau tenter de leur faire comprendre que leur seule solution est la contrition et d'avouer leurs mensonges, ils persistent dans le déni.
Ils veulent pas qu'on dise leur nom Patrick Deplanque, Deplanque Patrick Fessée à trois ans, comme des coups de trique Inspecteur aveugle, aveugle cynique ! Ils veulent pas qu'on dise leur nom Académie et rectorat Quand ça arrivera, ça arrivera On dira enfin : "Ca ira ! ça ira !" (La Brute Soutient La Brute une chanson 2008 par Yanick Toutain)
C'est cet inspecteur OMERTA76 qui est revenu harceler Julie Amadis 6 ans plus tard :
UNE INSTITUTRICE RÉPRIMÉE PARCE QU'ELLE A TÉMOIGNÉ DE VIOLENCES A ENFANTS COMMISES PAR DES ENSEIGNANTES (tract à imprimer et à distribuer)
LES TECHNIQUES DE PHILIPPE CARRIÈRE
OMERTA76 POUR FAIRE TAIRE LES TÉMOINS
Mais ce n'est pas fini. Carrière, le directeur OMERTA 76 a d'autres cordes à son arc. Pour terroriser les témoins.
Il envoit donc un menteur inspecter Julie Amadis.
Celle-ci refuse cette inspection en présence de ses élèves. (c'est légal depuis 1983) . Elle va donc subir une inspection administrative (c'est légal aussi)
L'inspecteur Basély (c'est TOTALEMENT ILLEGAL) va rédiger un rapport TRUFFE DE MENSONGES. Il va écrire le contraire des propos du directeur de l'école Valmy - qui "ne disait que du bien de toi".
jeudi 13 mars 2014Il envoit donc un menteur inspecter Julie Amadis.
Celle-ci refuse cette inspection en présence de ses élèves. (c'est légal depuis 1983) . Elle va donc subir une inspection administrative (c'est légal aussi)
L'inspecteur Basély (c'est TOTALEMENT ILLEGAL) va rédiger un rapport TRUFFE DE MENSONGES. Il va écrire le contraire des propos du directeur de l'école Valmy - qui "ne disait que du bien de toi".
En mission commandée au Havre pour protéger les enseignants agresseurs d'enfants, l'IEN Olivier Basely de Saint Valéry-en-Caux commet des faux en écritures, ment, truque les déclarations. Une inspection mensongère contre Julie Amadis. En service commandé pour le réseau OMERTA.
L'IEN Olivier Basely a rédigé un rapport truffé de mensonges et de faux contre Julie Amadis.
En oubliant que ses empreintes digitales se trouvent sur les fiches de préparation qu'il prétend ne pas avoir vues !
En oubliant que des témoins ont vu travaux artistiques des élèves qu'il prétend ne pas avoir vus.
En oubliant que le directeur de l'école Valmy allait dire « Je n'ai jamais dit ça » à la lecture des mensonges de l'IEN Olivier Basely qui prétendait rapporter ses propos.
En oubliant que tous ses mensonges seraient contredits par la vérification de ses dires par des témoins honnêtes.
En oubliant que sa victime, Julie Amadis, n'allait pas laisser son honneur être bafoué par un menteur totalement dépourvu d'honneur.Le but des ces mensonges et faux en écritures commis par l'inspecteur de Saint Valéry en Caux venu à l'école Valmy inspecter Julie Amadis ?
Faire taire et écraser professionnellement celle qui avait dénoncé l'agression contre le petit Kévin 3 ans en 2008, Faire taire et écraser professionnellement celle qui avait dénoncé la vantardise de la directrice Véronique Combret de, elle aussi, taper un autre enfant – Luciano 4 ans..... une directrice qui avait précisé qu'elle faisait cela sans éprouver de sentiment de culpabilité.Le but ?
Protéger le harceleur Patrick Deplanque, I.E.N Havre Ouest, protecteur des deux agresseuses d'enfants en 2008. (La directrice Combret et son ATSEM)
Le but ?
Laisser ce harceleur poursuivre, en 2014, son travail d'omerta et de menaces contre Julie Amadis.
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En oubliant que ses empreintes digitales se trouvent sur les fiches de préparation qu'il prétend ne pas avoir vues !
En oubliant que des témoins ont vu travaux artistiques des élèves qu'il prétend ne pas avoir vus.
En oubliant que le directeur de l'école Valmy allait dire « Je n'ai jamais dit ça » à la lecture des mensonges de l'IEN Olivier Basely qui prétendait rapporter ses propos.
En oubliant que tous ses mensonges seraient contredits par la vérification de ses dires par des témoins honnêtes.
En oubliant que sa victime, Julie Amadis, n'allait pas laisser son honneur être bafoué par un menteur totalement dépourvu d'honneur.Le but des ces mensonges et faux en écritures commis par l'inspecteur de Saint Valéry en Caux venu à l'école Valmy inspecter Julie Amadis ?
Faire taire et écraser professionnellement celle qui avait dénoncé l'agression contre le petit Kévin 3 ans en 2008, Faire taire et écraser professionnellement celle qui avait dénoncé la vantardise de la directrice Véronique Combret de, elle aussi, taper un autre enfant – Luciano 4 ans..... une directrice qui avait précisé qu'elle faisait cela sans éprouver de sentiment de culpabilité.Le but ?
Protéger le harceleur Patrick Deplanque, I.E.N Havre Ouest, protecteur des deux agresseuses d'enfants en 2008. (La directrice Combret et son ATSEM)
Le but ?
Laisser ce harceleur poursuivre, en 2014, son travail d'omerta et de menaces contre Julie Amadis.
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