Leur calendrier officiel est UN MENSONGE OMERTA !
"2. Contexte - Alassane Ouattara, vainqueur de l’élection présidentielle de novembre 2010A Ouagadougou le 4 mars 2007, les parties ivoiriennes ont trouvé un accord de sortie politique de la crise en Côte d’Ivoire, sous l’égide du facilitateur, le Président Blaise Compaoré du Burkina Faso. L’accord politique de Ouagadougou a été complété notamment par des accords complémentaires visant à nommer le Secrétaire général des Forces Nouvelles, Guillaume Soro, Premier ministre (en mars 2007), à fixer, en novembre 2007 (avec deux ans de retard), un nouveau calendrier en vue d’élections ouvertes, libres, justes et transparentes conformément aux normes internationales.Quand l'ONU soutient une PREMIERE TENTATIVE DE PUTSCH le 16 décembre 2010, cela disparait du calendrier !
Le représentant spécial du SGNU, M. Youn-Jin Choi, a été chargé de certifier toutes les étapes du processus électoral.
L’élection présidentielle a été repoussée à plusieurs reprises, conduisant le Conseil de sécurité à réagir dans des résolutions, déclarations présidentielles et déclarations à la presse.
Le premier tour de l’élection a finalement eu lieu le 31 octobre 2010 et le deuxième tour le 28 novembre. Les résultats ont été annoncés par la Commission électorale indépendante le 2 décembre donnant Alassane Ouattara vainqueur (voir les déclarations du président de la République française et les communiqués de la Présidence du 1er au 8 décembre). Le président sortant Laurent Gbagbo a refusé de transférer le pouvoir à M. Ouattara malgré les appels en ce sens de la communauté internationale.
Des combats ont éclaté à Abidjan, la capitale du pays, entre les forces pro-gbagbistes et les forces du Président Ouattara. Face à la dégradation de la situation, le Conseil de sécurité des Nations Unies s’est réuni à plusieurs reprises pendant la crise pour appeler à une résolution pacifique de la situation.
En réponse à l’utilisation d’armes lourdes contre les populations civiles, le Conseil de sécurité a adopté le 30 mars 2011 à l’unanimité la résolution 1975 présentée par la France et le Nigéria.
Par cette résolution, le Conseil de sécurité :
— demande instamment à Laurent Gbagbo de se retirer ;
— demande à l’ONUCI d’utiliser " tous les moyens nécessaires pour mettre en œuvre son mandat de protéger les civils (…) y compris pour prévenir l’usage d’armes lourdes " ;
— impose des sanctions ciblées (gel des avoirs, interdiction de voyager) à l’encontre de Laurent Gbagbo, de Simone Gbagbo son épouse, du secrétaire général de la soi-disant "présidence" M. Désiré Tagro, du président Front populaire ivoirien M. Pascal Affi N’Guessan.
— reconnait la compétence de la Cour pénale internationale pour juger les auteurs de crimes graves en Côte d’Ivoire ;
— fait une référence explicite à la "responsabilité de protéger".
Le 11 avril 2011, Laurent Gbagbo a été arrêté par les forces de M. Ouattara. Le procureur de la Cour pénale internationale, Luis Moreno-Ocampo, a annoncé le 6 avril 2011 son intention d’ouvrir une enquête sur les massacres commis en Côte d’Ivoire.
Le 5 mai, la Cour constitutionnelle ivoirienne a reconnu la victoire électorale du Président Ouattara.
Le 21 mai, à Yamoussoukro, Alassane Ouattara a été investi président de la Côte d’Ivoire en présence de nombreux chefs d’Etat et de gouvernement, dont le Président Sarkozy. "
Quand l'ONU TIRE à balles réelles sur les civils d'Abidjan cela disparait du calendrier !
PAS ETONNANT QUE LES VOYOUS UTILISENT UNE CHRONOLOGIE TRUQUEE POUR FAIRE CONDAMNER LE PRESIDENT GBAGBO !
PAS ETONNANT QUE LES VOYOUS ME RECLAMENT 143 000 EUROS à moi, SDF !! pour me FAIRE TAIRE !!!
C'est le NUREMBERG DE l'AFRIQUE QUI FERA L'ARBITRAGE FINAL !
Et je serai dans le groupe des PROCUREURS !
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