la fin de la résistance ce seraient les massacres de Sétif
L'extrême-droite est au pouvoir en France depuis...... bonne question..... depuis..... 1945 LES MASSACRES DE SETIF...... les pouvoirs spéciaux à Guy Mollet, la torture à la villa Susini, l'assassinat de Lumumba, le crime de Eyadéma envoyé tuer Sylvanus Olympio le premier président africain, au Togo; depuis l'assassinat de Ben Barka, l'assassinat de Thomas Sankara, le génocide Mitterrand au Rwanda....
l'EXTREME DROITE EST AU POUVOIR EN FRANCE......
Mais ce pouvoir fasciste s'appliquait HORS des FRONTIERES....
Actuellement les juges voyous JANAS, BOUGON, MIORI, ORS l'appliquent EN FRANCE même avec des FAUX EN ECRITURES et une JURISPRUDENCE NEONAZIE utilisant l'article 9 pour condamner politiquement en référé à 31000 euros.... des articles politiques.....
l'EXTREME DROITE EST AU POUVOIR EN FRANCE......
Mais ce pouvoir fasciste s'appliquait HORS des FRONTIERES....
Actuellement les juges voyous JANAS, BOUGON, MIORI, ORS l'appliquent EN FRANCE même avec des FAUX EN ECRITURES et une JURISPRUDENCE NEONAZIE utilisant l'article 9 pour condamner politiquement en référé à 31000 euros.... des articles politiques.....
LEUR CISEAU ARME SUR MEDIAPART A UN NOM. Géraldine Delacroix. Elle travaillait pour Ouattara et Bourry. La voilà au service des JUGES VOYOUS AUTEURS DE FAUX EN ECRITURES
MARDI 11 MARS 2014Géraldine Delacroix fasciste franceàfric. Elle censure la vérité au service des juges voyous et de la bourgeoisie esclavagiste criminelle. Elle sera au Nuremberg de l'AfriqueCette dame est une fasciste au service des putschistes Ouattara et Soro, du policier putschiste criminel JM Bourry.
COMPLEMENT WIKIPEDIA SETIF 8 MAI 1945
La répression et les massacres du 8 mai
À Sétif, la manifestation séparée des manifestations officielles, est autorisée à condition qu'elle n'ait pas de caractère politique : « aucune bannière ou autre symbole revendicatifs, aucun drapeau autre que celui de la France ne doit être déployé. Les slogans anti français ne doivent pas être scandés. Aucune arme, ni bâtons, ni couteaux ne sont admis10 ».
Cette manifestation commence à envahir les rues dès 8 heures, estimée à plus de 10 000 personnes11, chantant l’hymne nationaliste Min Djibalina (De nos montagnes), défile avec des drapeaux des pays alliés vainqueurs et des pancartes « Libérez Messali », « Nous voulons être vos égaux » ou « À bas le colonialisme ». Vers 8 h 45 surgissent des pancartes « Vive l'Algérie libre et indépendante » et en tête de la manifestation Aïssa Cheraga, chef d'une patrouille de scouts musulmans, arbore le drapeau algérien. Tout dérape alors : devant le café de France, avenue Georges Clemenceau12, le commissaire Olivieri tente de s’emparer du drapeau, mais est jeté à terre. Selon un témoignage, des Européens en marge de la manifestation assistant à la scène se précipitent dans la foule13. Les porteurs de banderoles et du drapeau refusent14 de céder aux injonctions des policiers15. Des tirs sont échangés entre policiers et manifestants16.
Un jeune homme de 26 ans17, Bouzid Saâl, s'empare du drapeau algérien mais est abattu par un policier13. Immédiatement, des tirs provenant de policiers provoquent la panique. Les manifestants en colère s'en prennent aux Français, au cri de "n'katlou ennessara"18, et font en quelques heures 28 morts chez les Européens, dont le maire qui a cherché à s'interposer, et 48 blessés. Il y aurait de 20 à 40 morts chez les indigènes, et de 40 à 80 blessés19.
L'armée fait défiler les tirailleurs algériens, qui n'ont pas tiré20, mais, alors que l'émeute se calme à Sétif, dans le même temps, des émeutes éclatent aux cris du « Djihad » dans la région montagneuse de petite Kabylie, dans les petits villages entre Bougie et Djidjelli11. Des fermes européennes isolées et des maisons forestières sont attaquées et leurs occupants assassinés.
Le mouvement s'étend très rapidement, et, le soir même à Guelma, une manifestation s'ébranle. Le sous-préfet Achiary, un ancien résistant, fait tirer sur les manifestants21. On relève un mort et six blessés parmi les manifestants, 5 blessés dans le service d'ordre. Le cortège se disperse. Le sous-préfet dispose de trois compagnies de tirailleurs en formation, tous musulmans. Il consigne la troupe et fait mettre les armes sous clés. Un bataillon d'infanterie de Sidi-Bel-Abbès, convoyé par des avions prêtés par les Américains, arrive le 9 dans la journée pour évacuer des petits villages d'« Européens » qui sont encerclés par les émeutiers.
COMPLEMENT
Le mot de l’éditeur
Pendant plus de quinze ans, de 1955 à 1971, la France a mené au Cameroun une guerre secrète. Une guerre coloniale, puis néocoloniale, qui a fait des dizaines de milliers de morts, peut-être davantage. Une guerre totalement effacée des histoires officielles. En France, où l’on enseigne toujours que la décolonisation de l’« Afrique française » fut exemplaire et pacifique. Et au Cameroun, où il est encore risqué aujourd’hui d’évoquer ce terrible conflit qui enfanta une redoutable dictature…
C’est dire l’importance de ce livre, qui retrace l’histoire de la guerre menée par les autorités françaises contre l’Union des populations du Cameroun (UPC), le parti indépendantiste créé en 1948, et tous ceux pour qui la liberté et la justice s’incarnaient en un mot : « Kamerun ! ».
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