Wikipédia Anne Lauvergeon : "En 2002, un rapport de la Cour des comptes, dévoilé par Les Échos, critique sa rémunération (305 000 euros de salaire fixe et 122 000 euros de part variable)[2], jugée bien supérieure à celle des dirigeants d’autres entreprises publiques, et son « parachute doré » (indemnité pour rupture anticipée de contrat) de deux ans de salaire. Malgré les rumeurs, elle ne démissionne pas. La rémunération, en 2009, d'Anne Lauvergeon est de 925 666 euros[3], soit le 79e plus haut salaire de patron français. Selon L'Expansion, la rémunération totale d'Anne Lauvergeon se situerait pour 2009 à 1,12 million d'euros[4].Ils seront jugés pour l'ampleur de leurs crimes : Mise en fabrication et en circulation d'engins de morts, d'engins de destruction de l'humanité, d'engins de destruction de la Terre.
Le Fortune 500 2006, édité par le magazine américain Fortune, la classe no2 des femmes d'affaires les plus puissantes au monde (États-Unis exceptés) derrière Patricia Russo, future présidente d'Alcatel-Lucent. En 2006, elle reste la femme dirigeant le plus d’employés au monde. Elle entre en 2004 dans le classement des femmes les plus puissantes du monde du magazine Forbes, et est classée au 24e rang en 2010 :
CENTRALES NUCLÉAIRES
ET
MACHINES CARBONE :
ENGINS DE DESTRUCTION
DU GENRE HUMAIN ET DE LA TERRE
Les bureaucrates étasuniens et politiciens bourgeois de l'équipe Roosevelt, les pseudo-scientifiques ignares et charlatans de la haute formoisie membres du groupe criminel Oppenheimer, les criminels du projet Manhattan – mentionner le général Groves et le Hongrois Szilard (confer le film Day One), les bureaucrates et politiciens socialo-fascistes colonialistes et facho-gaullistes de la 4° et de la 5° République initiateurs de la nucléarisation de la France,les imbéciles ayant décidé, conçu et fabriqué l'engin mortifère Three Miles Island, tous sont des criminels écologiques, tous sont des ennemis du genre humain.ET
MACHINES CARBONE :
ENGINS DE DESTRUCTION
DU GENRE HUMAIN ET DE LA TERRE
Projet Manhattan est le nom de code du projet de recherche mené pendant la Seconde Guerre mondiale, qui permit aux États-Unis, assistés par le Royaume-Uni, le Canada et des chercheurs européens[1], de réaliser la première bombe A de l'histoire en 1945.
Sous la direction du physicien Robert Oppenheimer et du général Leslie Groves, le projet fut lancé en 1942 dans le plus grand secret, suite à une lettre de Leó Szilárd du 2 août 1939 co-signée par Albert Einstein au président Roosevelt selon laquelle l'Allemagne nazie travaillait peut-être sur un projet équivalent[2]. En fait, les efforts de recherches allemandes sur le sujet étaient assez limités.
Le projet Manhattan conduisit à la conception, la production et l'explosion de trois bombes atomiques. La première, une bombe au plutonium (appelée « Gadget », « Trinity » étant le nom de code du premier essai atomique de l'histoire), fut testée le 16 juillet 1945 dans le désert près d'Alamogordo dans l'État du Nouveau-Mexique. Les deux suivantes, l'une à l'uranium et l'autre au plutonium (appelées Little Boy et Fat Man), furent larguées respectivement sur les villes japonaises de Hiroshima le 6 août 1945 et Nagasaki le 9 août.
Assassins bureaucrates staliniens du sous-marin K119 qui envoyèrent à la mort les malheureux sous-mariniers morts dans des souffrances atroces inexprimables, les responsables de tous les Tchernobyl, les Staline, Khrouchtchev, Brejnev et tous ces assassins stalino-fascistes, tous ces politiciens de la classe formoise russe et leurs appuis criminels internationaux – y inclus Maurice Thorez, Georges Marchais, Robert Hue et compagnie – tous sont des criminels écologiques. Les derniers de la liste ayant ajouté l'abjection de leur corruption par l'entreprise EDF-GDF de France par l'intermédiaire d'abus de biens sociaux commis par le pseudo-syndicat mafieux CGT-EDF*.
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21h58. Evolution "préoccupante" d'une piscine de stockage. L'évolution de la situation de la piscine du stockage du réacteur 4 de la centrale de Fukushima au Japon, où une "partie des assemblages de combustibles stockés serait désormais découverte", est jugée "préoccupante" par l'Autorité de sûreté nucléaire française (ASN).
21h32. La toiture d'un réacteur fissurée à Fukushima. L'agence de sûreté nucléaire japonaise annonce que la toiture du réacteur numéro 4 de la centrale de Fukushima est fissurée.
21h25. La centrale nucléaire de Hamaoka intacte. La centrale nucléaire de Hamaoka fonctionne de manière sûre après un fort séisme de magnitude 6 s'est produit mardi soir au sud-ouest de Tokyo, a indiqué mardi l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).
19h38. Fukushima: "possibilité de dégâts" (AIEA). L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a indiqué mardi qu'il était possible que le coeur du réacteur 2 de la centrale nucléaire de Fukushima n°1, au Japon, ait été légèrement endommagé. Le directeur de l'AIEA, Yukiya Amano, a déclaré qu'il y avait une "possibilité de dégâts au coeur" du réacteur 2. Les dégâts toucheraient "selon les estimations moins de 5% du carburant", a-t-il précisé.
19h15. La marine américaine renforce ses mesures. La Marine américaine a annoncé mardi avoir renforcé "à titre préventif" les mesures de protection de ses troupes présentes au Japon après la découverte de "niveau peu élevé" de traces de radioactivité provenant de la centrale nucléaire endommagée de Fukushima.
18h47. La radioactivité des aliments japonais mesurée. La radioactivité des produits alimentaires importés du Japon après le 11 mars sera mesurée. Plusieurs pays d'Asie dont la Thaïlande, la Corée du Sud, Hong Kong, Singapour et les Philippines ont pris des mesures similaires après l'accident survenu à la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi, endommagée par le séisme de vendredi.(Europe 1 22:16)
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Quatre jours après le séisme et le tsunami destructeur qui a suivi, le Japon est confronté à un accident nucléaire majeur. Une explosion sur le réacteur numéro 2 de la centrale de Fukushima, qui a endommagé le bâtiment de construction, et un incendie sur le réacteur numéro 4, jusque-là épargné, laissent redouter le pire.
Face à l'incertitude, une donnée qui effraie les marchés financiers, l'indice Nikkei de la Bourse de Tokyo a chuté lourdement à la clôture de 10,55%.
19h01. Réunion d'urgence de la filière nucléaire française. L'Assemblée et le Sénat tiendront mercredi après-midi au Palais-Bourbon une réunion avec la filière nucléaire et la ministre de l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet. Convoquée d'urgence elle réunira le président de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) André-Claude Lacoste, le directeur général de l'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) Jacques Repussard, l'administrateur général du Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) Bernard Bigot, la présidente du directoire d'Areva, Anne Lauvergeon, le PDG d'EDF Henri Proglio ainsi que le président du Haut comité pour la transparence et l'information sur la sécurité nucléaire, Henri Revol.
18h45. Les hôpitaux européens sur le qui-vive. Quelque 500 centres de transplantation de moelle osseuse à travers l'Europe sont invités à se préparer à traiter des victimes de rayonnement au Japon si le besoin s'en faisait sentir, selon la BBC.
18h35. Tests des aliments japonais. Après plusieurs pays asiatiques, l'Inde annonce à son tour qu'elle testera la radioactivité des produits alimentaires en provenance du Japon. La Thaïlande, la Corée du Sud, Hong Kong, Singapour et les Philippines avaient déjà annoncé de telles mesures.
18h28. Panique sur les places boursières. Dans le sillage de la bourse de Tokyo, qui a perdu 18 % en trois jours, vent de panique sur les places européennes. Francfort finit en chute de 3,19%, Paris clôture en baisse de 2,51%, Londres perd 1,38% tandis que la tendance baissière se constate aussi à Bruxelles (-3,05%), Zurich (-2,76%), Amsterdam (-2,31%), Milan (-2,01%) et Madrid (-0,83%). A New York, Wall Street chute nettement à la mi-séance: le Dow Jones perd actuellement 1,72% et le Nasdaq 1,64%.
18h26. Les journalistes se replient à Osaka. Après Radio France - dont seul Frédéric Charles reste à Tokyo et un journaliste de France Culture demeure à Sapporo dans le nord - plusieurs médias français, décident de rapatrier ou de replier la quasi-totalité de leurs envoyés spéciaux. A i-Télé, les quatre envoyés spéciaux sont en cours de rapatriement. France Télévisions allège son dispositif, regroupant toutes ses équipes à Osaka, plus au sud, alors que douze personnes devraient revenir en France. Sur les quatre équipes de TF1, deux ont déjà quitté le pays, une autre est à Osaka, la quatrième la rejoint, de même que les six envoyés spéciaux de BFM dont deux reviendront sur Paris. Le correspondant d'Europe 1 au Japon s'est aussi replié sur Osaka tandis que l'envoyé spécial rentre sur Paris. Les deux envoyés spéciaux de RTL vont être rapatriés, le correspondant, Joël Legendre a souhaité rester.
A France 24, la chaîne a demandé à ses trois correspondants en Asie, envoyés à 100 km au nord de la centrale de Fukushima, de remonter plus au nord.
18h12. Le pire n'est pas exclu. «Je n'exclus pas le pire dans les heures et les jours à venir», ajoute le commissaire européen à l'Energie, Günther Oettinge, précisant avoir été en contact à ce sujet notamment avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Il a qualifié d'apocalypse
18h04. Convoi de MOX reporté. Areva décide de reporter un convoi de combustible MOX pour le Japon. C'est ce combustible qui est utilisé dans la centrale de Fukushima n°1.
GÜNTHER OETTINGER commissaire européen à l'énergie
QUALIFIE L'ACCIDENT D'APOCALYPSE
QUALIFIE L'ACCIDENT D'APOCALYPSE
17h55. Apocalypse. Le commissaire européen à l'Energie, Günther Oettinger, qualifie l'accident nucléaire au Japon d'«apocalypse» - «je crois que le mot est particulièrement bien choisi», déclare-t-il - et estime que les autorités locales ont pratiquement perdu le contrôle de la situation dans la centrale de Fukushima.Comme l'accident survenu au Japon, les crimes commis par les criminels écologiques sont systématiquement minimisés par des larbins médiatiques appelés "journalistes".
Le pitre de Radio-France connait enfin le ridicule. Ses équipes de propagandistes en faveur du nucléaire sont EVACUES DU JAPON !
K19 UN CRIME NUCLEAIRE CACHE PAR LES STALINO-FASCISTES ET LEURS AMIS CAPITALISTES
Le K-19 (К-19 en russe) est le premier sous-marin à propulsion nucléaire de l'Union soviétique à être équipé de missiles balistiques entré en service en 1961. Dans un premier temps, contrairement aux SNLE américains, ces derniers ne pouvaient pas être tirés en immersion. Le dispositif de lancement sera modernisé par la suite. Il aura 7 navires jumeaux.
Le sous-marin connut plusieurs accidents, dont les premiers eurent lieu dès la construction sur le chantier de Sévérodvinsk en 1960. D'abord un incendie puis une surpression lors de la première entrée en divergence des réacteurs.
Le plus grave accident, sans doute consécutif au précédent, est intervenu le 4 juillet 1961 en mer de Barents. Il concerna une fuite dans le circuit de refroidissement des réacteurs qui fit craindre une explosion thermique[1]. La catastrophe fut évité de justesse grâce à une équipe de soudeurs qui se relayèrent, au prix de leur vie, pour dériver par le circuit d'aération une partie de l'eau douce stockée à bord, ce qui permit de refroidir les réacteurs[1]. Cet incident fit de nombreuses victimes, souvent mortellement atteintes par l'irradiation subie lors de sa résolution puis, ensuite, lors de la décontamination du bâtiment. De là le surnom dont fut affublé le sous-marin : « Hiroshima ». L'accident fut cependant gardé secret jusqu'à la fin de l'ère soviétique[1] mais il semble qu'un escorteur de la marine américaine avait suivi le sous-marin lors de l'accident. Un film américain K-19 : Le Piège des profondeurs sorti en 2002 a popularisé cette histoire et reprend cette thèse.
Une fois décontaminé et modernisé, le sous-marin reprit la mer mais connut d'autres incidents. En novembre 1969 il heurta un sous-marin américain l'USS Gato, sans trop de dégâts car sa double coque résista au choc. Par la suite, un incendie à bord fit 28 morts en février 1972[1].
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K-19 : Le Piège des profondeurs
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.K-19 : Le Piège des profondeurs ou K-19 : Terreur sous la mer au Québec (K-19: The Widowmaker) est un film de Kathryn Bigelow sorti en 2002 et inspiré de faits réels.
K-19 : Le Piège des profondeurs Titre original K-19: The Widowmaker Réalisation Kathryn Bigelow Acteurs principaux Harrison Ford
Liam NeesonScénario Louis Nowra
Christopher KylePhotographie Jeff Cronenweth Musique Klaus Badelt Production Kathryn Bigelow Société(s) de distribution Paramount Pictures Budget ~ 100 000 000 $ Langue(s) originale(s) Anglais, russe Durée 138 min. Sortie 19 juillet 2002 (États-Unis)
Synopsis[modifier]
En 1961, les Américains ont placé leurs sous-marins nucléaires lanceurs de missiles à portée de Moscou et de Léningrad. Pour contrer cette menace, la marine soviétique achève la construction du sous-marin K-19, premier submersible lance-missiles à propulsion nucléaire de l'Union soviétique de classe Hotel. Le commandant Mikhail Polenine (Liam Neeson) étant jugé trop laxiste et trop proche de ses hommes par rapport aux intérêts du Parti Communiste, il est remplacé par le commandant Alexei Vostrikov (Harrison Ford), réputé plus dur et plus idéologue.
Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.
Le bâtiment appareille dans des conditions difficiles : neuf ouvriers et le médecin du bord sont morts pendant le chantier, les problèmes techniques ne sont pas tous réglés et l'équipe chargée du réacteur nucléaire ne dispose pas des bonnes combinaisons pour intervenir en cas de problème. Après avoir mené toute une série d'exercices éprouvants, le capitaine Vostrikov fait surface dans le Cercle Arctique et procède au lancement d'un missile non-équipé de sa charge nucléaire, afin de prouver aux Américains que les deux pays sont désormais sur un pied d'égalité.
Félicitant l'équipage de cette réussite, l'état-major de la marine soviétique ordonne au K-19 d'effectuer une « permanence missile » au large de la côte est des États-Unis, à portée de New York et de Washington, DC. Mais alors que le sous-marin fait route, une fuite de réfrigérant se produit dans la zone confinée du réacteur nucléaire n° 2. Six hommes vont alors se relayer au-dessus de la zone confinée pour y faire venir une partie des 30 tonnes d'eau douce embarquées à bord et ainsi faire redescendre la température du cœur (qui est alors de 975 °C). Ils feront chuter la température mais seront gravement irradiés, le magasin de la base navale n'ayant pas fourni les bonnes combinaisons de protection.
Le sous-marin fait alors demi-tour en direction de l'URSS et est repéré par un escorteur de la marine américaine qui décide de le suivre sans l'attaquer. C'est alors que la fuite reprend dans le compartiment du réacteur. Pendant une plongée, qui pourrait être l'ultime, le chef de la zône confinée, le lieutenant Vadim Radtchenko (Peter Sarsgaard), entre alors et répare la fuite. Il y parvient mais sera mortellement irradié. La température chute de nouveau et les marins sont recueillis par un autre submersible soviétique, venu au secours de l'infortuné K-19, et ils retournent à terre.
Le capitaine Vostrikov passe alors devant la justice militaire, mais est finalement acquitté. La fin du film se déroule en 1989, le jour même de la chute du mur de Berlin. Tous les survivants, les capitaines Vostrikov et Polenine compris, se retrouvent alors dans un cimetière moscovite pour pleurer leurs morts, ce qui leur était interdit jusqu'alors par le serment de garder le silence sur cette affaire.
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LES ASSASINS CIRMINELS ECOLOGIQUES ENVOIENT A LA MORT TOUS LES TRAVAILLEURS DU NUCLEAIRE TENTANT DE REPARER LES CENTRALES
Les bonus du film K19 nous montrent les maquilleurs au travail. La documentation des irradiés a été difficile à réunir. Les Lauvergeon sont des manipulateurs qui MENTENT et mettent un chape de plomb sur leurs crimes potentiels.
Ils mentent autant sur les risques que sur les conséquences sanitaires. Pour les populations voisines, mais, pire encore, pour les malheureux SACRIFIES qui sont envoyer réparer les fuites d'eau
Un avis que ne partage pas Yannick Rousselet, chargé des questions nucléaires à Greenpeace France. « Il faut bien comprendre qu'en France, les risques sont dimensionnés via le fameux "retour d'expérience". C'est-à-dire que si le séisme historique dans la région est de 4,3, on prendra des mesures pour prévoir un séisme légèrement supérieur en intensité. Cette prise en compte "en proportion" des risques passés ne prévoit pas les scénarios les pires. Le risque est minoré », explique t-il.
Et le militant de brandir l'exemple de la centrale du Blayais, en partie inondée lors de la tempête de 1999. Un incident qui avait faillit neutraliser les systèmes de refroidissement du réacteur, comme à Fukushima actuellement. Le centre de recherche nucléaire de Cadarache inquiète également Yannick Rousselet, parce qu'il serait « situé sur une faille sismique ». Sans parler de l'usine de retraitement de la Hague, dans le Cotentin, avec ses piscines de combustible irradié protégées « par un simple toit ». Une cible pour « attaque terroriste aérienne », selon lui.
Pour l'instant, les deux plus grave anomalies en France remontent à 1969 et 1980, dans la centrale de Saint-Laurent (dans la région Centre). A chaque fois une fusion des combustibles (risque de surchauffe entraînant une fuite radioactive ou une explosion) avait démarré avant d'être interrompue.
713 anomalies en 2009
Pour autant, des incidents surviennent chaque année. Pour la seule année 2009, l'IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire) a listé 713 évènements « significatifs » pour la sûreté. Une hausse de 8% par rapport à l'année précédente. Dans la majorité des cas, une erreur humaine est en cause. C'est d'ailleurs là que le bâts blesse, pour certains sceptiques du nucléaire. Eric Ouzounian *, journaliste spécialisé, évoque un « risque social ». Pour cet homme qui ne se considère pas « anti-nucléaire », c'est « la privatisation d'EDF et le recours accru à une maintenance externalisée » qui mettrait en danger le parc français.
Un risque que reconnaît en partie l'Autorité de sûreté nucléaire. « Ces opérations de maintenance sous-traitée sont un choix industriel d'EDF », nous explique Thomas Houdré, directeur à l'ASN. Et d'ajouter que l'Autorité « a demandé à EDF de réaliser des progrès sur ce sujet dans son rapport annuel 2009 ». Dans le même document, il est reproché à l'électricien de ne pas suffisamment anticiper les problématiques observées à l'international. Mais dans l'ensemble, l'ASN se veut rassurante, et rappelle qu'elle effectue chaque année « plus de 1000 contrôle par an sur les installations nucléaires hexagonales ». Thomas Houdré en appelle toutefois au réalisme, citant le président de l'ASN : « On ne peut garantir de manière absolue qu'il n'y aura jamais d'accident nucléaire ». L'atome, comme partout, ignore le risque 0.
* Vers un Tchernobyl français, Nouveau Monde Editions, 2008
Un expatrié nous parlait, il y a trois jours de son beau-père japonais. Il craquait tout à l'heure sur les antennes. Le père de sa femme est envoyé à la mort par les Lauvergeon japonais, les Kosciusko-Morizet de Fukushima. Nous enverrons ces deux CRIMINELLES ECOLOGIQUES REPARER PALUEL quand la fuite ou les algues rendront mortel le voisinage !
Le beau visage de celle qui nous ment depuis des jours et des jours deviendra comme celui des malheureux sous-mariniers du K19, comme le VISAGE DES MALHEUREUX TRAVAILLEURS JAPONAIS ENVOYES A LA MORT NUCLEAIRE !
* Quand le stalino-fasciste ex-maire de Harfleur le PCF Gérard Eudes mène cabale contre moi avec ses complices pendant des années, y compris en obtenant d'une complice haute-responsable des Finances la rédaction d'un FAUX EN ECRITURES publiques - dont la fonction est de lui permettre de valider mon expulsion locative et ma destruction sociale en tant que SDF à l'automne 2000 après dix années de magouilles et de comportements hors-la-loi, - il règle de multiples comptes. Ce n'est pas seulement le syndicaliste rebelle qui « vola » 40 ¨% » de suffrages syndicaux à ses complices stalino-fascistes du SNIPegc (syndicats des instituteurs) à partir de 1976 et qui empêcha donc le stalinisme syndical faire la loi sur les communes de Harfleur et de Gonfreville l'Orcher, ce c'est pas seulement un stalinien abruti et intellectuellement limité qui veut saboter les progrès pédagogiques, un adversaire de la pédagogie par jeux vidéos, ce n'est pas seulement un magouilleur PCF habile qui achète l'avocat (momentané) Me Aulnay de la partie adverse, c'est aussi, secondairement, un magouilleur PCF-CGT-EDF dont l'organisation mafieuse-syndicale s'est faite acheter par le patronat pour imposer aux Havrais naïfs la construction de la centrale nucléaire de Paluel.
Il avait esperé, comme tous ses complices du PCF et de la LCR-NPA de l'époque, comme tous ses complices de droite et du PS me voir crever misérablement de mort précoce dans les rues de l'hiver précoce de l'automne 2000. Mais ses plans furent déjoués par des appuis improbables qui annulèrent ma mort programmée par ces assassins sociaux. Et Internet devint la tribune à croissance exponentielle qui parvint à mettre en lumière leur gangsterisme politique en neutralisant, pendant dix ans, depuis 2000, leurs comportements délinquants et criminels.
Tous ces criminels écologiques corrompus – y inclus toutes les directions syndicales CGT-EDF locales – auront à répondre de leur crime écologique.
Ce procès aura lieu après la révolisation mondiale. En même temps que le démantèlement de la centrale nucléaire de Paluel.
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