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mercredi 7 janvier 2015

RDC Au lieu d'accorder les droits humains en payant le #SMICenAfrique Martin Kobler MONUSCO annonce une offensive contre les FDLR

par Yanick Toutain
Revactu
7/1/15

RDC mortalité infantile : 7,32% (source CIA Factbook)

"Selon le Syeco, un enseignant diplômé d’Etat gagne 71 195 Franc congolais (77$ 59€) Le gradué touche 74 897 (81,4$ 63€ et le licencié 76 711 francs (83,3$ 64€)." (source radio-Okapî-esclavagiste)

"Le taux journalier du salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) est fixé à 335 Francs Congolais." (2009 sources)

"Le salaire minimum des enseignants du degré primaire, secondaire et professionnel (EPSP) devrait passer de 70 000 (70 USD) à 94 000 FC (102 USD) après la promulgation du budget 2013 par le chef de l’Etat Joseph Kabila, ont annoncé, dimanche 3 février, les responsables des syndicats des enseignants, réunis en intersyndicale."  (source radio-Okapî-esclavagiste)



Christiane Taubira et ses trois juges voyous
Robert Miori, Bernard Ors et Michael Janas
rédigeant des faux en écritures pour faire gagner 31000€
 au barbouze ONUCI Jean-Marie Bourry
dans cette tentative d'escroquerie en bande organisée
Il manque sur l'image le procureur FrancisNachbar 
Le Congo est une zone en esclavage.
Au Congo, les lois sociales françaises ne sont pas appliquées, au Congo, les lois sociales des USA ne sont pas occupées, au Congo aucune des lois sociales européennes n'est appliquée.
En RDC, pas de SMIC français, pas de durée du travail à 35h , pas de congés payés français.
Le Congo de Kabila est une ZONE EN ESCLAVAGE

MARTIN KOBLER GARDIEN ONU DE LA ZONE ESCLAVAGISTE

Au Congo, Martin Kobler fait règner l'ordre esclavagiste.
En RDC, sous la dictature de Joseph Kabila et la protection de la milice fasciste de l'ONU, la MONUSCO, les TRAVAILLEURS SONT REDUITS EN ESCLAVAGE

RDC Au lieu d'accorder les droits humains en payans le #SMICenAfrique Martin Kobler chef de la MONUSCO a trouvé la solution : attaquer les ex-génocidaires du Rwanda installés dans l'est du pays.
De quoi détourner les esprits des vraies réalités.

MARTIN KOBLER SERA POURSUIVI POUR ORGANISATION ET COMPLICITE DE CRIMES ESCLAVAGISTES


Ecouter RFI demain éclairera sur cette imposture.
Peu de chances que les expressions "esclavage" ou "SMICenAfrique" seront prononcées !

RFI Appels sur l'actualité41 min
Les casques bleus sont présents depuis 15 ans en RDC. Aujourd’hui la MONUSCO compte 20 000 soldats et un millier de policiers, essentiellement dans l’Est. Très critiqués pour sa passivité, l’ONU souhaite maintenant une force moins nombreuse et plus réactive. Ban Ki Moon veut réduire les effectifs de 10% pour faire baisser le coût sans que cela ait de l’incidence sur la situation sécuritaire. Les autorités congolaises saluent cette décision.
Quel bilan dressez-vous de l’action de la Monusco en RDC ? Etes-vous favorables à une diminution des effectifs et donc des coûts ? Serait-ce bénéfique à d’autres opérations de maintien de la paix dans d’autres pays ? Cela peut-il avoir un impact sur la tenue des élections de 2016 en RDC ?
N'oubliez pas: vos numéros de téléphone en privé ou par mail à : appels.actu@rfi.frPartager · 51266

la vérité dérange tellement ces bandits que mon commentaire sur les CDR ne pouvvaient pas être tolérés.

MON COMMENTAIRE CENSURE PAR L'ONU SOUS CET ARTICLE




‪#‎RDC‬ ‪#‎Répression‬ ‪#‎KabilaDEGAGE‬ ‪#‎VSV‬ ‪#‎VoixdesSansVoix‬ ‪#‎Kinshasa‬‪#‎GRA‬ ‪#‎CDR‬
Les deux commentaires que je viens de poser sur une autre page correspondent tout à fait à cette nouvelle répression qui fait suite à celle de décembre
Il serait tellement simple d'appeler les populations à former des groupes de 25, des CDR de base.
Il serait tellement simple de désigner 1 délégué de base par groupe
Puis ces délégués de base (DB) se grouperaient à leur tour par 25 pour désigner des DC, des délégués de conseil.
25 délégués dé conseil pour 1 délégué député
25 délégués députés pour 1 délégué national.
Vous remarquerez que cela rend les élections inutiles.
C'est précisément le but de la manoeuvre.
L'humanocratie est au-dessus de la démocratie esclavagiste athénienne !!!
en cas de répression
"Selon la VSV, Norbert Luyeye, président de ce parti politique, a été blessé à la tête par des éléments de la police dépêchés sur la place terminus à Kingasani où devait commencer la marche. La manifestation a finalement été dispersée.
Thimothée Dikwiza, membre de la VSV, affirme que plusieurs personnes ont été interpellées."
.... il est même possible de ne former que des groupes de 5 personnes et de désigner 1 DELEGUE INTERMEDIAIRE DE BASE (DIB)
De tels groupes de 5 sont impossibles à surveiller par la dictature compradore Franceàfric






Radiokapi.net:La Voix des Sans Voix pour les droits de l’homme (VSV) proteste contre l’enlèvement mardi 6...
RADIOOKAPI.NET



Le texte de l'article sous lequel j'ai été censuré !

Kinshasa : la VSV déplore la répression d’une manifestation d’un parti de l’opposition
décembre 25, 2014, | Denière mise à jour le 25 décembre, 2014 à 12:17 | sous ActualitéKinshasaPolitique. Mots clés: 
La police interpelle  des partisans de l’UDPS le 23/12/2011 à Kinshasa. Radio Okapi/ph. John BompengoLa police interpelle des partisans de l’UDPS le 23/12/2011 à Kinshasa. Radio Okapi/ph. John Bompengo
La Voix des sans voix (VSV) pour les droits de l’homme se dit préoccupée par la « répression brutale et sanglante » d’une manifestation du parti de l’opposition Union des Républicains. Cette formation politique avait prévu d’organiser une marche entre le quartier Kingasani, dans la partie Est de Kinshasa, et la présidence de la République où elle comptait déposer un mémorandum réclamant l’organisation d’un dialogue politique.
Selon la VSV, Norbert Luyeye, président de ce parti politique, a été blessé à la tête par des éléments de la police dépêchés sur la place terminus à Kingasani où devait commencer la marche. La manifestation a finalement été dispersée.
Thimothée Dikwiza, membre de la VSV, affirme que plusieurs personnes ont été interpellées.
Il revient sur ces événements.
Ces gens sont une agence fasciste esclavagiste


DIMANCHE 2 JANVIER 2011



Faux en écritures, tentative d'escroquerie, juges voyous, procureur voyou, ministre complice de faux.... pout l'ONU agence esclavagiste TOUT EST PERMIS pour PERPETUER L'ORDRE ESCLAVAGISTE


LUNDI 5 JANVIER 2015


Christiane Taubira marraine et protectrice de 3 juges voyous faussaires et d'un procureur agresseur et auteur de faux en écritures



Christiane Taubira et ses trois juges voyous
Robert Miori, Bernard Ors et Michael Janas
rédigeant des faux en écritures pour faire gagner 31000€
 au barbouze ONUCI Jean-Marie Bourry
dans cette tentative d'escroquerie en bande organisée
Il manque sur l'image le procureur FrancisNachbar 
LA MINISTRE DE LA JUSTICE CHRISTIANE TAUBIRA PROTEGE TROIS JUGES DELINQUANTS AUTEURS ET RECELEURS DE FAUX EN ECRITURES
ROBERT MIORI BERNARD ORS ET MICHAEL JANAS
C'est sous son égide et avec sa haute protection (délictuelle) que les jugements délictuels de septembre 2012 TGI Angoulême, février 2013 (C App Bordeaux), juillet 2013 (C App Bordeaux) (et jugements annexes) ont été commis par ses juges mercenaires à l'aide de faux en écritures destinés à étayer une abusive plainte en atteinte à la vie privée (maquillage d'une première plainte en diffamation de novembre 2011contre un article RevActu du 2/1/2011  prescrite pour avoir été déposée 11 mois après)


LA RADIO ESCLAVAGISTE OKAPI S'EN FELICITE

RDC : le salaire minimum des enseignants va augmenter de 30 USD en 2013, selon leurs syndicats

"Le salaire minimum des enseignants du degré primaire, secondaire et professionnel (EPSP) devrait passer de 70 000 (70 USD) à 94 000 FC (102 USD) après la promulgation du budget 2013 par le chef de l’Etat Joseph Kabila, ont annoncé, dimanche 3 février, les responsables des syndicats des enseignants, réunis en intersyndicale."
Mais on apprend avec surprise que la CHINE EST COMPLICE DE CET ESCLAVAGE ONU DES CONGOLAIS


Exports - partners:
China 54.3%, Zambia 22.6%, Belgium 5.7% (2012) (source CIA Factbook)


LIRE AUSSI

RD Congo – FDLR : Une guerre pour relancer le chaos ?


extrait
Il faudra ainsi que les gens qui s’apprêtent à provoquer de nouveaux carnages dans le Kivu soient amenés à en assumer la responsabilité demain, sachant que cette option militaire ne s’imposait nullement. Par ailleurs, nous ne devrions pas perdre de vue un certain nombre de données de la problématique des FDLR qui peuvent s’articuler autour des quatre points ci-après :
1. Les FDLR ne sont pas une armée classique. On parle en réalité de groupes de familles hutues. Au premier coup de feu, on est à peu près sûr de tuer ou de blesser une femme, un enfant, un malade,… (des cibles non militaires). Les quelques combattants qui essaient de protéger leurs familles se déplacent, bien entendu, entourés de ces familles. Déclencher une opération militaire contre les FDLR signifie aller commettre des massacres, et il ne saurait en être autrement. Sachant qu’on ne devrait recourir à l’option militaire que lorsque toutes les autres sont épuisées, il faudrait que les« va-t-en-guerre » qui appellent à des actions militaires contre les FDLR promettent d’assumer individuellement les massacres et, inévitablement, les viols et les saccages qui vont être commis en marge de l’opération qui se profile.
2. Les FDLR sont au maximum une force de 1.300 individus mal équipés, et qui, de l’aveu même des autorités rwandaises, ne représentent plus une menace sérieuse pour le régime de Kigali, dont l’armée est décrite comme la plus grande de la région, en termes d’effectifs[5]. Les membres des FDLR ont commencé à désarmer et ont accepté d’être regroupés (à Kisangani notamment) dans la perspective de leur retour au Rwanda ou leur installation dans un pays tiers. Nous sommes en face d’un mouvement affaibli et dont les membres n’envisagent plus de l’emporter militairement, ce dont on peut se rendre compte en lisant leur lettre au Secrétaire général de l’ONU. Déclencher une opération militaire pousserait ceux qui n’ont pas encore désarmé à se radicaliser, tandis que ceux qui l’ont déjà fait seraient amenés à reprendre les armes pour voler au secours de leurs camarades. Les chances d’un règlement pacifique de la crise deviendraient minces pour longtemps.
3. L’armée congolaise (FARDC), même appuyée par les contingents de la Monusco, n’est pas en situation de venir à bout des FDLR. La dernière fois qu’elle a tenté de neutraliser les FDLR ce fut un fiasco monumental. Les opérations Umoja wetu[6]Kimia II[7] et Amani leo[8] ont toutes été des échecs et ont démontré les difficultés qu’il y a à venir à bout de maquisards qui maitrisent parfaitement le terrain et évitent de se battre. C’étaient des mouvements de va-et-vient. Les FDLR et leurs dépendants se délocalisaient devant l’avancée de l’armée pour s’enfoncer dans des zones difficiles d’accès. Les troupes engagées dans les opérations s’épuisaient à la marche. Elles se sont retirées des zones opérationnelles que les FDLR ont réoccupées par la suite[9].
4. La guerre en République Démocratique du Congo, quels que soient les motifs officiels avancés, est toujours l’occasion d’un accaparement des ressources minières. Le Rwanda qui fait pression sur l’ONU, pour que l’opération contre les FDLR soit menée, évite soigneusement d’évoquer la question du coltan et les bénéfices que de nouveaux troubles dans l’Est du Congo devraient lui procurer[10]. Pour rappel, le Rwanda est devenu le principal exportateur mondial de tantale/coltan, avec 28 % du total de la production mondiale[11], un minerai qu’il siphonne dans l’Est du Congo en y entretenant la guerre en permanence. Si la paix revient dans l’Est du Congo, le Congo, conformément à la loi Dodd-Frank[12], exporterait lui-même l’essentiel de ses minerais estampillés « non conflict », ce qui pourrait ruiner l’économie rwandaise du jour au lendemain.


COMPLEMENT

La rémunération d'un travail à la tâche ou aux pièces doit être calculée de telle sorte qu'elle procure au travailleur, de capacité moyenne et travaillant normalement, un salaire au moins égal à celui du travailleur rémunéré au temps et effectuant un travail analogue.
07-02-2009
La rémunération est fixée par des contrats individuels conclus librement entre travailleurs et employeurs ou par voie de conventions collectives. Elle doit être stipulée en monnaie ayant cours légal en RDC.
Composition de la rémunération >
La rémunération est composée de différents éléments :
  • Le salaire
  • L'allocation familiale (pour les enfants à charge)
  • La contre-valeur logement
  • Les différentes primes, commissions...
  • L'allocation de congé
  • L'allocations de transport
Détermination du salaire >
Le montant du salaire est déterminé soit :
- A l'heure
- A la Journée
- A la semaine
- Au mois
- A la pièce
- A la tâche
La rémunération d'un travail à la tâche ou aux pièces doit être calculée de telle sorte qu'elle procure au travailleur, de capacité moyenne et travaillant normalement, un salaire au moins égal à celui du travailleur rémunéré au temps et effectuant un travail analogue.
Le taux journalier du salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) est fixé à 335 Francs Congolais.
Les taux de salaire minima tels sont majorés de 3% au moins par année entière de service ininterrompu passé par le travailleur dans la même entreprise.
Le salaire minimum interprofessionnel garanti, Smig, est conçu par le gouvernement de la République démocratique du Congo comme un élément de sa politique macroéconomique (sous son volet politique salariale) afin de relever les salaires déprimés pendant plus de trois décennies. Le taux journalier du Smig est fixé à 1.120 francs congolais pour le travailleur manœuvre ordinaire au cours de la période du 19 juillet au 31 décembre 2008 et devra passer à 1.680 francs congolais à partir du 1er janvier 2009 et cela dans le respect de la tension salariale de 1 à 10. Le salaire minimum interprofessionnel garanti, Smig, est conçu par le gouvernement de la République démocratique du Congo comme un élément de sa politique macroéconomique (sous son volet politique salariale) afin de relever les salaires déprimés pendant plus de trois décennies. Le taux journalier du Smig est fixé à 1.120 francs congolais pour le travailleur manœuvre ordinaire au cours de la période du 19 juillet au 31 décembre 2008 et devra passer à 1.680 francs congolais à partir du 1er janvier 2009 et cela dans le respect de la tension salariale de 1 à 10.
Détermination des autres éléments de la rémunération >
Allocations familiales : Le montant journalier minimum des allocations familiales par enfant est égal aux dixième de celui du SMIG (soit 33,5 Francs Congolais). Des discussions sont en cours au niveau du Conseil National du Travail afin de limiter nombres d'enfants à charge bénéficiaire de l'allocation.
Contre-valeur logement : Le montant journalier minimum de la quotité saisissable par l'employeur au titre de contre-valeur du logement équivaut à un cinquième du taux journalier des allocations familiales (soit 6,70 Francs Congolais). Attention : si la contre-valeur logement dépasse 30% de la rémunération brute, le montant excédentaire sera soumis à l'impôt Professionnel sur les Rémunérations (IPR).
Commissions, primes, autres sommes versées : Elles sont fixées de manière libre, dans le contrat, entre le travailleur et son employeur.
Allocations de congé : Le montant de l'allocation de congé est égale à la rémunération dont le travailleur jouit au moment du départ en congé, les avantages éventuels remis en nature pendant les services effectifs en vertu des stipulations contractuelles étant, à la demande du travailleur, payés en espèces sur base légale, exception faite seulement pour le logement. Le paiement de l'allocation de congé doit être effectué au moment du départ effectif en congé.
Allocations de transport : L'employeur est tenu d'assurer le transport de ses travailleurs lorsque ceux-ci résident à plus de 3 km du lieu de travail. Le montant journalier de la charge résultant du transport des travailleurs de leur résidence à leur lieux de travail doit être égal au coût du billet pratiqué localement avec un maximum de 4 courses de taxi pour les cadres et 4 courses de bus pour les autres membres du personnel. Attention : si l'allocation de transport dépasse le prix des 4 courses, le montant excédentaire sera soumis à l'impôt Professionnel sur les Rémunérations (IPR).


RADIO OKAPI-ESCLAVAGE CONNAIT PARFAITEMENT LES CONDITIONS ESCLAVAGISTES




RDC: l’enseignant gagne 2,5 USD par jour, selon le Syeco

octobre 3, 2012, | Denière mise à jour le 4 octobre, 2012 à 7:38 | sous ActualitéÉducationKinshasa. Mots clés: 
Sit-in de quelques enseignants membres du Syeco devant la primature, le 2/03/2011 à Kinshasa. Radio Okapi/ Ph. John BompengoSit-in de quelques enseignants membres du Syeco devant la primature, le 2/03/2011 à Kinshasa. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
Le Syndicat des enseignants du Congo (Syeco) demande au gouvernement d’améliorer les conditions de vie de l’enseignant congolais qui gagne, selon cette organisation, 2,5 dollars américains par jour. Ses affiliés ont déposé à ce sujet un mémo, mardi 2 octobre, aux bureaux du Premier ministre. Ils exigent notamment l’augmentation du salaire de tous les enseignants et fonctionnaires de l’éducation au regard de l’accord de Mbudi.
Selon le Syeco, un enseignant diplômé d’Etat gagne 71 195 Franc congolais soit un peu plus de 77 dollars américains.  Le gradué touche 74 897 (81,4 dollars américains) et le licencié 76 711 francs (83,3 dollars américains). Et 15 000 francs sont soustraits de ces sommes pour des indemnités de transports.
L’enseignant congolais vit avec 2,5 dollars américains par jour, selon le mémorandum du Syeco. Dans ces conditions, il se trouve en difficulté pour scolariser ses propres enfants ou pour payer son loyer.
Selon un rapport l’ONG Asadho, cité dans le mémo du Syeco, le loyer à Kinshasa varie entre 200 et 8 000 dollars américains  dans le district de la Lukunga, entre  50 et 280 dollars américains à la Funa et entre 30 et 200 dollars américains dans le district de la Tshangu.
Les enseignants ont tout de même affirmé qu’ils soutenaient les efforts du gouvernement relatifs à la bancarisation de leur paie et la mise en œuvre de leurmutuelle de santé 

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