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samedi 31 janvier 2015

Vallaud-Belkacem menteuse ! #Ahmed8ans "a reconnu une partie des propos qui lui étaient imputés" Fabienne Lewandowski directrice adjointe de la Sécurité Publique des Alpes Maritimes



par Yanick Toutain
REVACTU


31/1/2015

"le père de ce jeune garçon (... )
  qui est venu également avec son fils.
  A notre demande"
  
(Responsable. police
 Fabienne Lewandowski
 ).

"À noter également qu’à compter du 1er janvier 2015, toute convocation en vue d’une audition libre devra mentionner, notamment, l’infraction dont la personne est soupçonnée et son droit d’être assistée d’un avocat.(DALLOZ actualité)



NAJAT VALLAUD-BELKACEM
[La fessée] "Est-ce qu'il faut l'interdire par la loi ? C'est justement là que j'ai un petit doute, est-ce que c'est à la loi de se mêler de ça ? Non !"
(Elle ment effrontément : c'est puni de 5 ans de prison pour une mère comme elle art 222-13)
imputer, verbe
Sens 1 Attribuer la responsabilité de quelque chose de blâmable à quelqu'un. Synonyme accuser Anglais to attribute
 (Dictionnaire de la langue française sur L'Internaute)

FABIENNE LEWANDOWSKI : AHMED 8 ANS "A RECONNU
 UNE PARTIE DES PROPOS QUI LUI ETAIENT IMPUTÉS "

La ministre Najat Vallaud-Belkacem est définitivement une menteuse !

La ministre ment !
Elle en a l'habitude !
LA MINISTRE DE L'EDUCATION MENTAIT SUR LES RANCONS AUX TERRORISTES
Najat Vallaud-Belkacem mentait sur le fait que la France ne versait pas d'argent pour les terroristes.
La France "n'a pas changé" sa politique de non paiement de rançons, a déclaré mercredi la porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, interrogée sur une éventuelle rançon après la libération des quatre otages français au Sahel.
"Notre politique est constante en la matière. Nous n'avons pas changé de politique à l'égard des rançons", a ajouté la porte-parole lors de son briefing de presse à l'issue du Conseil des ministres. "Je vous ramène, a-t-elle poursuivi, aux propos du ministre en charge de la Défense", Jean-Yves Le Drian, qui a démenti tout versement de rançons.Mercredi des informations faisaient état du versement de 20 à 25 millions d'euros en échange de la libération des quatre otages français, ce qu'a aussi démenti l'entourage du président Hollande (Le Parisien 30/10/2013)

La menteuse est démentie par le New York Times : la France a versé 58 millions de dollars à Al Qaeda. Elle est démentie par Radio-Colonies RFI : Hollande a versé 20 millions d'euros à Iyad Ag Ghali.

LUNDI 19 JANVIER 2015


LA MINISTRE DE L'EDUCATION MENTAIT L'INEXISTENCE D'UNE LOI INTERDISANT LES VIOLENCES A ENFANTS PARENTALES

Najat Vallaud-Belkacem mentait sur les violences à enfants, qui - parait-il - ne sont pas condamnables par la loi... en mentant effrontément sur l'article 222-13 qui punit de 5 ans de prison les parents ("ascendants") comme elle qui donnent des fessées et autres "violences légères sans incapacité" à leurs enfants.

MARDI 26 AOÛT 2014

"
JEAN-JACQUES BOURDIN "vous avez déjà donné une fessée ? " 
NAJAT VALLAUD-BELKACEM :
"Oui ! (...) Oui ! Ca m'est déjà arrivé. (...) Mais je l'ai regretté aussitôt après ! (...) Oui ! Mais… (...) Je pense que je suis comme tous les parents. "
JEAN-JACQUES BOURDIN
 "est-ce que vous êtes favorable à l'interdiction de la fessée ?"
NAJAT VALLAUD-BELKACEM
"Honnêtement ma position n'est pas faite sur ce sujet ! Je… (...) 'évidemment je suis opposée aux châtiments corporels dès lors qu'ils portent atteinte à la dignité…  (...) "
NAJAT VALLAUD-BELKACEM
"Est-ce qu'il faut l'interdire par la loi ? C'est justement là que j'ai un petit doute, est-ce que c'est à la loi de se mêler de ça ? Non !"
JEAN-JACQUES BOURDIN
"Non. C'est interdit dans 18 pays d'Europe, j'ai vu, hein ?"
NAJAT VALLAUD-BELKACEM
"C'est vrai ! C'est vrai, c'est vrai.  (...) Je dis que ce n'est pas évident en tout cas."


Elle ment en permanence en protégeant les enseignants agresseurs et en persécutant les témoins de violences à enfants...
Contre le malheureux Ahmed 8 ans, poursuivi pour apologie de terrorisme elle tente encore de mentir...




Nice: détail de l'enquête pour apologie du... par niceazurtv Elle déclare sur son site officiel
Ce jeudi 29 janvier 2015, la ministre de l’Éducation nationale est intervenue pour préciser les conditions ayant amené la police à auditionner un père avec son enfant. Najat Vallaud-Belkacem a insisté sur le fait que « le directeur de l’école a porté plainte contre le père et pas contre l’enfant ».

Ce n'est pas du tout ce que dit la responsable de la police Fabienne Lewandowski directrice adjointe de la Sécurité Publique des Alpes Maritimes
Ce n'est pas Ahmed qui accompagnait son père c'est le père qui accompagnait l'enfant .... qui était auditionné pour "apologie de terrorisme"

FABIENNE LEWANDOWSKI GAFFE ET AVOUE QU'ELLE PERSECUTE POUR '"APOLOGIE DE TERRORISME" UN PETIT EN FANT DE 8 ANS


Fabienne Lewandowski : "Nous avons convoqué le père de ce jeune garçon - qui a souhaité être entendu avec son avocat - et qui est venu également avec son fils. A notre demande. Pourquoi à notre demande ? Parce qu'il nous semblait très important d'avoir un entretien qui aurait pu être un entretien verbal informel et qui a pris la forme d'une audition. Mais il nous semblait très important d'avoir un contact avec ce jeune garçon, pour savoir, pour expliquer, pour comprendre par quel contexte, par quels moyens il avait pu en arriver à tenir des propos comme ça, avoir un comportement comme ça.

"PROPOS QUI LUI ETAIENT IMPUTES"

Journaliste  Est-ce qu'il s'est justifié ? Qu'est-ce qu'il vous a répondu ?
Fabienne Lewandowski - Je ne peux pas vous donner le contenu des auditions. Simplement au cours de son audition, il a reconnu une partie des propos qui lui étaient imputés. Mais il ne comprend pas la portée et le sens du mot "terroriste", par exemple."

ERIC CIOTTI UMP RECONNAIT QU'IL S'AGIT
  DE L'AUDITION LIBRE D'UN ENFANT DE 8 ANS


Puisque Eric Ciotti reconnait donc qu'il s'agit de l'audition libre d'un enfant, allons examiner les textes. On y apprend que Ahmed 8 ans aurait dû être PREALABLEMENT INFORME  "de la qualification, de la date et du lieu présumés de l’infraction qu’elle est soupçonnée d’avoir commise ou d’avoir tenté de commettre"

Quelles sont les nouveautés apportées par la loi du 27 mai 2014 ?

Jusqu’au 2 juin 2014, date de l’entrée en vigueur de la loi n° 2014-535 du 27 mai 2014, le code de procédure pénale (CPP) prévoyait que devaient être entendues en audition libre, hors garde à vue et au maximum pendant 4 heures, les personnes à l’encontre desquelles il n’existait aucune raison de soupçonner qu’elles aient commis une infraction, sans quoi elles devaient obligatoirement être placées en garde à vue.
C’est ce régime de l’audition libre qui était le plus souvent utilisé (de façon détournée) s’agissant des responsables d’infractions de conduite sans permis mais aussià la législation sur la santé et la sécurité dans les entreprises.
Il n’était alors pas possible dans ce cadre de procéder à des relevés signalétiques (par exemple, la prise d’empreintes digitales) sur les personnes ainsi entendues.
Le 2 juin 2014 est entrée en vigueur une nouvelle disposition de procédure pénale2 prévoyant qu’une personne à l’égard de laquelle il existe des raisons plausibles de soupçonner qu’elle a commis ou tenté de commettre une infraction peut être entendue néanmoins librement, sans être placée en garde à vue.
Il est prévu qu’avant d’être entendue librement sur la commission des faits dont elle est soupçonnée, la personne doit être informée :
- de la qualification, de la date et du lieu présumés de l’infraction qu’elle est soupçonnée d’avoir commise ou d’avoir tenté de commettre ;
- du droit de quitter à tout moment les locaux où elle est entendue;
- le cas échéant, du droit d’être assistée par un interprète ;
- du droit de faire des déclarations, de répondre aux questions qui lui sont posées ou de se taire ;
- de la possibilité de bénéficier, le cas échéant gratuitement, de conseils juridiques dans une structure d’accès au droit.
En pratique, on imagine mal la personne convoquée quitter les locaux des services de police pour aller solliciter des conseils juridiques.

En revanche, le droit à un avocat pendant cette audition libre3 prévu par ce nouveau texte n’entrera en vigueur que le 1er janvier 2015.
À noter également qu’à compter du 1er janvier 2015, toute convocation en vue d’une audition libre devra mentionner, notamment, l’infraction dont la personne est soupçonnée et son droit d’être assistée d’un avocat.
Cette information est un progrès significatif par rapport à la situation actuelle dans laquelle, trop souvent, le justiciable ignore, jusqu’à son audition, les raisons pour lesquelles il est convoqué.
Connaître le motif précis de la convocation permettra notamment de s’y préparer utilement car si la présence de l’avocat pendant l’audition est certes toujours utile, notamment pour contrôler les conditions du déroulement de la mesure d’audition et le respect effectif des droits, cette nouvelle disposition permettra également un véritable travail sur le fond du dossier, en amont de l’audition.
La loi a ainsi renforcé les droits des personnes entendues en audition libre en raison du fait qu’elle est dorénavant susceptible de concerner des personnes soupçonnées.
Toutefois, la pratique révèle également des conséquences inattendues, qui sont attentatoires aux droits des personnes ainsi entendues.






LIRE AUSSI

Aisne : un enfant de 9 ans auditionné pour apologie du terrorisme


Un enfant peut être diffamé tranquillement à la suite d'une auditio comme témoin assisté...
Et la presse OMERTAfric OMERTA76 aux ordres peut relayer tranquillement ces imputations diffamatoires proférées par une RESPONSABLE POLICIERE
Mercredi, un enfant de huit ans a été auditionné pour avoir tenu des propos favorables aux actes terroristes perpétrés en France début janvier. "Nous avons eu le signalement d'un chef d'établissement à Nice, l'enfant aurait déclaré: - il faut tuer les Français, je suis dans le camp des terroristes, les musulmans ont bien fait et les journalistes ont mérités leur sort -", explique Fabienne Lewandowski, directrice adjointe de la sécurité publique des Alpes-Maritimes. Au cours de son audition, le jeune a confirmé les propos mais a déclaré "ne pas en connaître la portée". Le père présent lors de l'audition de son fils a lui manifesté des regrets.

En plus une partie des assertions de BFM ont été purement et simplement inventées !
Je cherche la 2° vidéo où la policière ne dit pas la même chose !





FRANCETV INFO MENT EFFRONTEMENT
Le texte ne correspond pas aux DECLARATIONS DE LA RESPONSABLE POLICIERE RAPPORTEES CI-DESSUS ET AU VOCABULAIRE

Un entretien, une médiation aurait été plus opportune"

Mohamed, le père de l'enfant, se défend de toute apologie du terrorisme de la part de son enfant. Il déclare s'être entretenu avec le directeur de l'école. "Nous ne souhaitons pas la mort à des êtres humains", a-t-il dit devant le directeur de l'établissement. Ce dernier a porté plainte contre le père, selon la directrice adjointe de la sécurité publique des Alpes-Maritimes, Fabienne Lewandowski, parce qu'il se serait introduit dans l'établissement quelques jours plus tard et se serait montré menaçant.
Fabienne Lewandowski reconnaît une maladresse dans la convocation de l'enfant : "Un entretien, une médiation aurait été plus opportune." Le père de l'enfant a aussi porté plainte contre le directeur de l'école élémentaire.

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