@Chloe Ritoit qui a écrit
"Mais nous ne sommes pas une église avec une bible ...nous sommes un parti communiste révolutionnaire qui développe son programme sur la base du socialisme scientifique: le marxisme. "... et la suite...
pourquoi vous prendre la tête !!!
C'est tellement plus simple, pour construire l'avenir de traiter d'"ALCOOLIQUES" ceux qui appellent "PARTIS COLONIALISTES" le PS, le PCF, le PG et les Verts....
C'est tellement plus simple de traiter de RACISTES ceux qui luttent contre les bigots, contre les islamo-fascistes. De traiter de RACISTES ceux qui luttent avec les femmes algériennes en résistance contre le barbares, avec les femmes iraniennes en résistance contre les barbus et autres formois aigris fascistes....
http://revolisationactu.blogspot.com/2010/11/islamo-fascisme-un-militant-pseudo.html
C'est tellement plus facile d'écrire
"Nous sommes pour un pouvoir contrôlé par les soviets d'ouvrier! C'est cela notre programme: le pouvoir aux travailleurs pas aux politiciens professionnels même de Gauche...surtout quand ils sont les meilleurs remparts du Capital!"
... quand vous n'avez pas donné UN SEUL argument contre la proposition de UN DÉLÉGUÉ pour 25 délégateurs, pas un seul argument CONTRE LA PROPOSITION de construire une PYRAMIDE de 19 millions de délégateurs pour RÉVOQUER SARKOZY...
Insulter les gens est tellement plus facile que d'argumenter face à ceux qui TRAVAILLENT à CONSTRUIRE UN PROGRAMME EGALITARISTE...
(depuis 19 ans pour ce qui me concerne)....
Si votre organisation l'ARS-Combat ne CONDAMNE PAS les propos ABJECTS de votre collègue Stéphane Brochot, le prix politique qu'il a commencé à payer médiatiquement sera aussi au débit de votre organisation ARS-Combat TOUTE ENTIERE !
http://www.google.fr/search?hl=fr&source=hp&q=st%C3%A9phane+brochot&aq=f&aqi=g10&aql=&oq=&gs_rfai=
http://www.google.fr/search?num=100&hl=fr&newwindow=1&safe=off&tbo=1&tbs=qdr%3Am%2Csbd%3A1&q=%22ARS-COMBAT%22&aq=f&aqi=&aql=&oq=&gs_rfai=
Je n'ai pas l'habitude de laisser dans l'OMBRE les accusations de type STALINO-FASCISTE.
Seule la vérité est révolutionnaire.
Et vous aurez des années pour méditer cette sage sentence.
V.I. Lénine avait encore plus raison qu'il ne l'imaginait. A une époque où Internet n'existait pas.
NOTE : Je signale que Stéphane Brochot a poussé l'abjection de son comportement jusqu'à - non content de me rayer "ami facebook" - mais encore de rayer Julie Amadis de sa liste d' "ami facebook".
Certainement que cela avait comme SENS POLITIQUE de l'ACCUSER ELLE AUSSI d'être une RACISTE.
A moins que cela n'ait pour fonction de CONTINUER A INSULTER les EGALITARISTES sur son propre mur sans que l'une d'entre nous puisse le constater !!!!
Léon Trotsky - auquel vous oser vous référer malgré vos comportements aux antipodes du contenu de "Leur Morale et la Notre" - n'aurait pas le vocabulaire suffisant pour vous agonir.... Lénine ... oui !
Léon Trotsky
La crise de la morale démocratique
Pour assurer le triomphe de leurs intérêts dans les grandes questions, les classes dominantes se voient obligées de céder quelque chose sur les questions secondaires, -- tant que, bien entendu, ces concessions demeurent avantageuses. Au temps de l'essor du capitalisme et surtout dans les dernières décades de l'avant-guerre, ces concessions, tout au moins à l'égard des couches supérieures du prolétariat, furent tout à fait réelles. L'industrie était en plein développement. Le bien-être des nations civilisées -- et particulièrement de leurs masses ouvrières -- s'accroissait. La démocratie paraissait inébranlable. Les organisations ouvrières grandissaient: les tendances réformistes aussi. Les rapports entre les classes s'adoucissaient, en tout cas extérieurement. Ainsi s'établissaient, dans les relations sociales, à côté des normes de la démocratie et des habitudes de paix sociale, des règles élémentaires de morale. On avait l'impression de vivre dans une société en train de devenir de plus en plus
libre, juste et humaine. Le "bon sens" tenait pour infinie la courbe ascendante du progrès.
Elle ne l'était pas; la guerre éclata, suivie de bouleversements, de crises, de catastrophes, d'épidémies, de retours à la barbarie. La vie économique de l'humanité se trouva dans une impasse. Les antagonismes de classes s'aggravèrent et se démasquèrent. L'un après l'autre, on vit sauter les mécanismes de sûreté de la démocratie. Les règles élémentaires de la morale se révélèrent plus fragiles encore que les institutions démocratiques et les illusions du réformisme. Le mensonge, la calomnie, la corruption, la violence, le meurtre prirent des proportions inouïes. Les esprits simples, confondus, crurent que c'étaient là les conséquences momentanées de la guerre. Ces désagréments étaient et demeurent en réalité les manifestations du déclin de l'impérialisme1 . La gangrène du capitalisme entraîne celle de la société moderne, droit et morale compris.
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Les procès de Moscou ne résultent cependant pas du hasard. La servilité, l'hypocrisie, le culte officiel du mensonge, l'achat des consciences et toutes les autres formes de la corruption s'épanouissaient richement à Moscou depuis 1924-1925. Les futures impostures judiciaires se préparaient au grand jour. Les avertissements ne manquèrent pas. Les "amis" ne voulaient rien remarquer. Et ce n'est pas étonnant : la plupart de ces messieurs avaient été foncièrement hostiles à la révolution d'Octobre et ne s'étaient rapprochés de l'union soviétique qu'au fur et à mesure de la dégénérescence thermidorienne de celle-ci : la petite bourgeoisie occidentale reconnut alors chez la petite-bourgeoisie orientale une âme soeur.
IL SUFFIT DE REMPLACER "petite-bourgeoisie" par FORMOISIE et l'on a la clé de l'attitude 2010 du militant formois Stéphane Brochot. Il tente de lutter contre l'égalitarisme en RE-utilisant les procédés utilisés par sa classe sociale quand elle avait le pouvoir à Moscou : le mensonge, la calomnie. Quand il m'insulte "raciste", il ne fait pas seulement le jeu des islamo-fasciste, il tente de disqualifier l'égalitarisme, le combat pour le salaire unique.
Ces hommes crurent-ils sincèrement aux accusations de Moscou ? N'y crurent que les plus inintelligents. Les autres ne voulurent pas se donner le mal d'une vérification. Etait-ce la peine de troubler l'amitié flatteuse, confortable et souvent profitable qu'ils entretenaient avec les ambassades soviétiques ? D'ailleurs -- ils ne l'oublient pas -- l'imprudente vérité pouvait nuire au prestige de l'U.R.S.S. Ces hommes couvrirent le crime pour des raisons utilitaires, appliquant ainsi manifestement la règle : que la fin justifie les moyens.
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