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vendredi 1 octobre 2010

Esclavage en Afrique : Un commentaire "refusé" par le Figaro (ou les fascistes criminels sont aidés depuis la France)

Le journal Le Figaro relaie un article du journal anglais le Gardian

L'esclavage à bord des bateaux de pêche au large de l'Afrique


... après un long délai (de réflexion ?) le couperet fasciste tombe : le commentaire est refusé...
De même qu'il était interdit sous le 3° Reich de critiquer Krupp et les gangsters esclavagistes nazis qui fournissaient à ces capitalistes barbares une main d'oeuvre docile et bon marché, de la même façon, il est interdit, en France - à tout le moins sur le militaro-subventionné journal Figaro - de publier la liste des crimes des esclavagistes France-à-fricains...
Tous ces barbares finiront .... en justice ...

Pseudo- modérateurs complices des crimes inclus

Voici (Grâce à l'entreprise Google) le texte  intégral qui vient d'être censuré :

Bien que je sois révolutionnaire (libéral-égalitariste) j'incite les réformistes à faire voter une loi contre l'esclavage international :
- Tout patron français qui - où que ce soit - embaucherait un(e) travailleur pour un salaire d'un niveau inférieur à celui des lois sociales françaises sera inculpé de "crime esclavagiste"
- les sanctions pénales seraient à définir
- selon la gravité des actes criminels commis, il sera procédé - en sus - à une peine de bannissement ou de déchéance de la nationalité française.

A titre d'exemple, le premier concerné par cette loi serait Vincent Bolloré dont il est avéré médiatiquement (depuis 2008) qu'il fait (parmi d'autres milliers) travailler 10000 planteurs à Kienké, au Cameroun, dans le cadre de l'entreprise SOCAPALM dont il possède 40 % avec la criminelle complicité d'une famille belge, la famille Fabri.
Ces deux associés criminels, face à une grève dirigée par Michael Agbor ont
- coupé l'électricité des foyers des grévistes - demandé à la police étatique du Président camerounais Paul Biya d'aller menacer ce leader syndical "Si tu continues on va te tuer !"

Ces faits énoncés par le journal Libération puis repris par le journal en ligne camerounais "8 mai" n'ont fait - selon consultations répétées de Google - l'objet d'aucun démentis des intéressés.

On peut lire cet article (et ses rééditions) par la recherche "Germinal sous les tropiques"
http://www.google.fr/#sclient=psy&hl=fr&newwindow=1&safe=off&=Germinal%20sous%20les%20tropiques&aq=f&aqi=&aql=&oq=Germinal+sous+les+tropiques&gs_rfai=&pbx=1&fp=e4d7917edd7d18e8&pf=p&pdl=3000

J'ai soutenu ces travailleurs par ma chanson "Les esclaves de Bolloré" (chanson gratuite sur Youtube) sans qu'aucun des incriminés (Bolloré, Fabri et consorts) ne se manifeste d'aucune façon pour demander un rectificatif.
http://www.youtube.com/watch?v=7LrKHcN2YiE

Alors même que la recherche Google "Vincent Bolloré Kienké Cameroun"
http://www.google.fr/#sclient=psy&hl=fr&newwindow=1&safe=off&q=vincent+bollor%C3%A9+cameroun+kienk%C3%A9&aq=f&aqi=&aql=&oq=&gs_rfai=&pbx=1&fp=e4d7917edd7d18e8

.... fait visiblement apparaître sur la première page la chanson ainsi que plusieurs textes rappelant ces faits....

==
NOTES : Les amis de la Terre, pour ces faits ont décerné le "Prix Pinocchio" à

Vincent Bolloré.
Ce qui m'a inspiré - pour défendre nos cousins victimes de l'esclavagisme Bolloré - une nouvelle chanson
Bolloré a gagné le Prix Pinocchio, une chanson de Yanick Toutain (Africa Unité 2)
http://www.youtube.com/watch?v=s29ILRUmNwY

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