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samedi 22 janvier 2011

Contre les militaires mafieux de la clique Boutéflika, le RCD d'Algérie mobilise et se heurte aux forces fascistes ! Il faut commencer la Seconde Révolution Algérienne ! Vive les nouveaux Fils de la Toussaint !

source El Watan Samedi matin devant le siège du RCD à Didouche Mourad
Le RCD est un parti girouette qui n'a pas cessé de zigazaguer entre le FLN; les islamistes et le peuple. Il fallait qu'il parvienne à supplanter son concurrent, le FFS - membre de l'Internationale Socialiste socialo-fasciste.
Aujourd'hui, c'est ce parti qui reprend le flambeau de la Grande Révolution Africaine.
Nous nous en félicitons.
Qu'il participe au renversement du bourreau mafieux Bouteflika.
Nous somme donc CÔTE à CÔTE avec le RCD comme nous le fûmes du 16 décembre 2010 au 13 janvier 2011 avec le FPI ivoirien.
Il faut BALAYER cette POURRITURE bouteklikiste !!!


Plusieurs personnes ont été blessées par la police devant le siège du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) à Alger en fin de matinée, selon le porte-parole de ce parti d'opposition. En prévision d'une grande manifestation interdite par le pouvoir, d'impressionnants effectifs de police se sont déployés dans toutes les artères de la capitale, et les forces de l'ordre ont notamment encerclé le siège du RCD.


Certaines victimes de tirs ont été évacuées vers l'hôpital, alors que d'autres sont soignées dans le bâtiment où une cellule médicale a été installée, a décrit le porte-parole du parti Mohcine Bdllabes. «Plusieurs hélicoptères de la police survolent actuellement le ciel d'Alger, on se croirait en temps de guerre», témoigne au Parisien.fr un étudiant bloqué dans le centre-ville. Une habitante du quartier de Bab El Oued jointe par leParisien.fr a expliqué que sa zone était encore «calme» mais que la tension montait dans le centre-ville, où «la police est omniprésente».

Vers 11h samedi, le chef du groupe parlementaire du RCD, Atmane Mazouz, arrêté le matin avant d'être relâché, a été blessé au visage. La police procèderait actuellement à plusieurs arrestations dans divers quartiers de la capitale.
Les fascistes du FLM compradore avaient sorti leurs chiens de garde. Ces gens-là sont clairement les agents de la bourgeoisie mondiale chargés d'assassiner les peuples.
Ils ont tué plus d'une centaines de Tunisiens, ils ont tué 3 Albanais hier, ils ont tué 5 personnes en Algérie dans les émeutes du 6 au 9 janvier et fait plus de 800 blessésils s'apprêtent à tirer sur nos cousins d'Algérie.
 Rahim Bellem, journaliste sur place témoigne pour le Parisien :
Des manifestants bloqués aux portes d'Alger

Les brigades anti-émeutes avaient la ferme intention de ne pas laisser les Algérois manifester samedi après-midi. Des milliers de manifestants venus de Tizi Ouzou et de Bejaia, sur les hauteurs enneigées à l'est d'Alger, pour participer à la marche, ont été bloqués, les services de l’ordre les ayant empêchés d’accéder à la capitale.

Peu avant le début de la manifestation, Said Sadi, leader du RCD, s'est indigné auprès des Dernières Nouvelles d'Algérie : «Nous sommes encerclés au siège du parti. Ils veulent étouffer cette marche. La police nous empêche de rejoindre la foule qui nous attend. Tous les accès à la capitale ont été fermés. La police a procédé à plusieurs arrestations dans la nuit du vendredi ainsi que dans la matinée du samedi. Des bus ont été bloqués à l’entrée de la ville. Il y a plus de 3000 policiers qui ont été déployés uniquement à la place du 1er mai. C’est une véritable bataille d’Alger.»
 
pendant ce temps, pour El Watan, le journaliste Rabah Beldjenna écrit

La situation reste tendue devant le siège du RCD à la Didouche Mourad, où la police est présente en force. les militants et sympathisants du parti sont retranchés à l'intérieur du siège, alors qu'à l'extérieur les présents se sont dispersés.

De nombreux manifestants ont été blessés par les coups de matraques, d'autres ont été interpellés et conduits dans les différents commissariats d'Alger.
A 11h, la place du 1er Mai est entre les mains de la police, qui contrôle tous les accès. De nombreux manifestants sont bloqués à la rue Didouche Mourad où des affrontements sont signalés au niveau du siège du parti.
On nous signale une dizaine de blessés, dont à la tête, parmi les militants du RCD qui se trouvent au siège du parti. Le chef du groupe parlementaire Athmane Mazouz a été évacué à l'hôpital.
Le président du RCD et des dizaines de militants et de sympathisants sont bloqués au siège du parti à la rue Didouche Mourad, encerclé par des centaines de policiers anti émeutes.
Des petits groupes de manifestants ont tenté de marcher vers la rue Hassiba-Ben-Bouali, mais ont été dispersés par la police.
Rien n'a été laissé au hasard par le pouvoir pour empêcher les algériens de marcher et de répondre à l'appel du RCD. Tous ceux qui tentent de rejoindre la place du 1er mai sont, soit arrêtés, soit refoulés.
Depuis vendredi soir la police a mis en place son arsenal répressif, à  travers un dispositif impressionnant, qui a été déployé dès la matinée du samedi 22 janvier sur toutes les rues de la capitale du pays, Alger.
Objectif : empêcher la marche à la quelle a appelé le rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) pour aujourd’hui de la place du 1er mai au siège de l’APN.
Il faut dire que les services de police n’ont lésiné sur aucun moyen. Le pouvoir a fait sortir tout son arsenal répressif pour ne laisser aucune chance à tout mouvement de protestation. Camions à jet d’eau, forces antiémeute, policiers en civil… sont visibles dans beaucoup d’endroits de la capitale.
Les dizaines de policiers sont postés en différents lieux sensibles de la capitale. Sur la place du 1er Mai, lieu d’où devait démarrer la marche, un nombre important de camions des brigades antiémeute est déjà sur place.
Les accès menant vers la place du 1er Mai, que veulent atteindre les manifestants, sont hermétiquement filtrés par de nombreux barrages, à l’est d’Alger.  Le pouvoir a, même, suspendu les navettes des trains de banlieue.
Des hélicoptères survolent le ciel d'Alger.
Selon le parti de Said Sadi, le député Athmane Mazouz a été arrêté ce samedi matin à Alger. Il a été relâché quelques heures plus tard, avec des blessures. On apprend en outre que des affrontements ont éclaté aux Isser dans la wilaya de Boumerdès entre les forces de sécurité et des manifestants qui se rendaient à Alger.
Jeudi, la wilaya d'Alger avait appelé, dans un communiqué rendu public, les citoyens à faire preuve de "sagesse et de vigilance", et à "ne pas répondre à d'éventuelles provocations", lors de la marche "non autorisée" à laquelle  le RCD avait appelé pour ce samedi le RCD.
Rabah Beldjenna
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Il devient urgent que le RCD cesse son cours sectaire et appelle TOUS LES ALGERIENS à se grouper par 25 pour désigner leur délégué de base.
Un délégué révocable en permanence.
C'est ce système ultra démocratique que les Parisiens de 1871 mirent en place (un député-délégué révocable pour 15000 délégateurs, que les Russes de 1905 et 1917 utilisèrent (1 délégué de conseil révocable pour 500 à 1000 délégateurs)
Il suffit de rajouter un étage proche de la base !
25 délégués de base vont désigner et contrôler un délégué de conseil et 25 délégués de conseil désigneront et contrôleront un délégué député.

Cest le chemin inverse de cette absurde participation du RCD d'Algérie ou du boycott du FFS
Le Front des forces socialistes (en arabe : جبهة القوى الاشتراكية, en kabyle : Tirni iγalen inemlayen) est un parti politique algérien créé en 1963 peu après l’indépendance de l’Algérie. Le FFS est membre de l’Internationale socialiste.
Son président, Hocine Aït Ahmed, est un héros de la guerre d’indépendance. Parti d'opposition historique au système en place, il prône depuis plus de 40 ans la démocratie.
Ces partis politiques doivent cesser leurs cours sectaire et s'inscrire dans le processus de la délégation générale révocable.
C'est la condition de leur participation constructive au processus de la Grande Révolution Africaine, au processus de la Révolution Anticapitaliste Mondiale
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NOTES

Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) (berbère: Agraw i Yidles d Tugdut) est un parti politique algérien créé le 9 février 1989. Son président et membre fondateur est Saïd Sadi. Le RCD est un parti laïc[1].

Wikipédia donne un récapitalatif des zigzags du RCD d'Algérie.
Les 9 et 10 février 1989, les assises du Mouvement culturel berbère (MCB donnent naissance au Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD). Deuxième parti à déposer son dossier d'agrément le 16 août suivant, il organise les 15 et 16 décembre de la même année son congrès constitutif. Ce parti qui se déclare se situer au centre-gauche, affichant un profil « social-démocrate », a pour préoccupations essentielles la défense de la langue et de la culture berbère et la laïcité de l'État. Son siège est à Alger mais son ancrage est surtout kabyle malgré le soin qu'il met à s'étendre au niveau national. Il apparaît plus comme un parti de cadres et d'universitaires. Le 12 juin 1990, il participe aux premières élections municipales pluralistes - au moment où le FFS., son principal rival les boycotte - et enlève 87 communes sur les 1 541 existantes. C'est la seule formation politique nouvellement fondée à émerger à l'occasion de cette élection. Au lendemain des élections législatives de 1991, elle avait, par intermédiaire de son secrétaire général Said Sadi, clairement appelé de ses vœux l'annulation des résultats, ne cachant pas ses préférences pour la solution prétorienne, devant le « raz-de-marée intégriste » et la « menace de théocratisation de l'État et de la société ». Said Sadi obtient 1 200 000 voix lors de l'élection présidentielle de novembre 1995 boycottée par les partis d'opposition signataires du contrat romain de St Egidio. Cette ascension est confirmée par les législatives de juin 1997, à l'issue desquelles il entre à l'Assemblée populaire nationale avec 19 députés. Malgré son absence du Sénat, le RCD s'impose comme la sixième formation politique du pays. Saïd Sadi, qui est intronisé par le congrès (de conformité) du 26 février 1998 comme président du parti, ne participera pas aux élections présidentielles anticipées du 15 avril 1999 et décide plutôt de mener une campagne pour un «boycott actif ». Cela ne l'empêchera pas de faire partie de la coalition gouvernementale - aux côtés des islamistes - formée le 24 décembre 1999 avec deux ministres: Amara Benyounès à la Santé et Hamid Lounaouci aux Transports. Pour les observateurs, il ne s'agit pas vraiment d'un « revirement » du moment que depuis 1992, le RCD a partagé les choix stratégiques du pouvoir et que son entrée au gouvernement ne fait que consacrer cette réalité fondamentale.

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