Avant-hier, c'est un simple graffiti qui sema la panique chez tous les zombies au service de l'occident esclavagiste.
Un article du journal camerounais "Le Jour" relate les faits.
Panique à l’Ecole du Centre
Yaoundé. Pendant deux heures, hier, des responsables du ministère de l’Education de base se sont employés à effacer un graffiti «chassons Biya» sur le mur de l’établissement.
« Chassons Biya ». L’inscription a été gravée sur le mur de l’entrée principale de l’école du centre administratif de Yaoundé. Aux premières heures de la matinée ce lundi 21 février, c’est cette phrase qui accueille parents, élèves, et enseignants au portail de l’établissement.De même que les curieux qui font un détour à cet endroit, situé à 50 mètres de la Poste centrale.9h46. Les élèves sont en cours. Le mur est désormais recouvert de chaux. L’inscription « Chassons Biya » se lit encore. Des passants s’extasient devant le mur de l’école : « Vous n’avez encore rien vu, effacez autant de fois que vous voulez, il partira de toutes les façons », lance un homme.Sur un banc à côté du mur de l’école, le délégué départemental de l’Education de base pour le Mfoundi, sanglé dans un costume noir, supervise le déroulement des travaux. Sa paire de chaussure laisse voir quelques tâches de peinture sur le pied gauche. Il fait appel à un homme qui traverse la route. On lui déballe deux pots de teinture, un de couleur marron et un autre de couleur noire. Ce dernier s’active a les mélanger à la peinture blanche. Sa première couche de mixture ne satisfait pas le délégué départemental du Minedub pour le Mfoundi : « Tu ne vois pas que Biya ci se lit toujours », gronde t-il. « C’est pour cela que j’ai demandé une teinture de couleur verte », se justifie le peintre avant d’appliquer quatre couches de peinture. On lit de moins en moins les écritures. Elles ont même disparu. Mission accomplie pour le délégué.Il peut dès lors donner du sourire au téléphone ou encore des coups de têtes amicaux à des personnes qui viennent vers lui. L’opération de nettoyage a duré 2h15.Eitel Elessa MbassiLe régime semble avoir pris la menace au sérieux. Un policier fait un aller et retour entre l’école du Centre et les bureaux d’interpol situé à quelques mètres. Plus loin, dans une voiture immatriculée Ce 6819L, trois policiers en casque et armés de matraques sont couchés dans la voiture. Un autre est assis sur une chaise, et tourne sa matraque en main. Le gros des effectifs est stationné au rond point de la poste dans deux picks-up de la police. Des agents du Gso sont identifiables à distance. Certains sont couchés entre les fleurs du rond-point de la poste centrale, alors que d’autres s’achètent du « kirichi ». Au Boulevard du 20 mai, deux minibus du commissariat du premier arrondissement occupé par une douzaine de policiers armés de matraques sont stationnés.Boris Bertolt
mardi 22 février 2011
BOLLORE DEGAGE ! ON N'EST PLUS EN ESCLAVAGE ! PAUL BIYA CASSE-TOI ! SARKOZY NE VIENDRA PAS ! Une réponse-mise au point à l'intention de Cameroun-BMG sur Facebook.
mardi 22 février 2011
Demain 23 février 2011, au Cameroun, les "ESCLAVES DE BOLLORE" se révoltent contre l'esclavage ! BIYA DEGAGE ! BOLLORE DEGAGE !
Les esclaves de Bolloré
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