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lundi 13 septembre 2010

Morts de SDF : Mon propre cas et la mort de Bruno Michel à Montivillers (une réponse sur rue89)

Rue89 publie un article sur les morts des SDF.

Moins pris en charge, les SDF meurent brutalement dans la rue


Derrière chaque mort anonyme, il y a une histoire.
Pour certains, tragique histoire d'une destinée d'égoïste finissant par mourir de l'égoïsme des autres.
Pour d'autres, il y a la trajectoire d'anciens militants cassés par des entreprises vautours et/ou par des syndicats corrompus.
Il y a aussi des combattants en butte à la haine des combattants de l'inégalitarisme formois et des défenseurs de l'ordre bourgeois.
C'est mon cas.
Faire une liste de nom cela n'a aucun sens.
C'est l'histoire de ces morts qu'il faut déposer dans un "mausolée télématique".
C'est ce que Julie Amadis a fait en 2005 - dans sa chanson "Sylvain Schiltz"


Il y a presque deux ans, j'avais consacré un article sur la mort de Bruno Michel, un SDF mort en plein air dans une ville "gérée" par l' "Union de la Gauche Colonialiste".
Voici cet article :




Montivilliers, mort de Bruno Michel SDF, un crime formois
Ou LE QUATRIÈME POUVOIR DE RAMPER





Par Yanick Toutain
03/12/08 18:32




J'ai sous les yeux la version "gauche" du torchon local, pompeusement appelé journal : "Le Havre Libre".
C'est la version de "gauche" du torchon "Havre Presse".
Deux torchons écrits par des journalistes minables.
Version havraise du torchon rouennais : Paris Normandie.

Aujourd'hui, un certain Arnaud Commun - journaliste ? - nous parle de la mort d'un SDF.
Mort de froid ? mort du paludisme ?

Je connais ces journalistes. Pendant l'année 2000 2001 où je fus SDF au Havre, il m'arriva des dizaines et des dizaines de fois de poser mon sac de SDF près de la table du (sympathique) bar nocturne où les "jeunes" journalistes débutants buvaient leur coup après leur dure journée de labeur cynique.
Pas une fois, ils ne me demandèrent des détails sur ma vie de SDF, le froid, le vécu.
Le journaliste de torchon se contrefiche des SDF.

Bien au contraire. Lorsque je tentai de leur raconter comment, 7 ans auparavant, leur collègue, du Havre Libre, Frank Duboc, conserva trois mois, DANS LES LOCAUX DE LEUR JOURNAL, mon dossier, pour finalement refuser d'en faire quoi que ce soit, ils me prouvèrent leur adaptation totale au journaliste de compromission.
Je leur avais raconté que ce journaliste "honnête" avait conservé mon dossier avant les présidentielles de 1988 - il m'expliquait qu'avant les élections, "il ne pouvait rien faire"... et après, lorsque fut élu Mitterrand il ne pouvait rien faire non plus.
Scandale Thomson, "pompe à fric", "escroquerie" : le "journaliste" Frank Duboc n'avait que deux cent mètres à parcourir à pied, depuis les bureaux de son journal, pour aller dans les locaux MAIF-CAMIF, interviewer le protagoniste principal, le dirigeant CAMIF, président du conseil de surveillance de France Image Logiciel, escroqué par Thomson - Christian Lecaudé.

Journalisme du larbinat, journalisme de la compromission.

Ce SDF est mort de l'indifférence absolue de ces journalistes minables.

Le nommé "Arnaud Commun" ne se rend même pas compte qu'il aurait du trouver dans les archives de son journal, un article sur ce "SDF campeur".

Mais ces journalistes ne voient rien : Ils ne voient pas les sectes, ils ne voient pas le harcèlement policier à l'Hôtel de Ville contre les enfants d'Algérie sous le prétexte de la drogue, ils ne voyaient pas les viols que furent les drogues versées dans les boissons par les jeunes criminels trafiquants pour draguer les filles sur les pelouses de la plage.
Ils ne voulaient pas voir les deux trafiquants d'herbe, employés municipaux - surveillants de plage - que je vis, venir trafiquer, à ma table, au restaurant -de plage - Frascati !
Ils ne voulaient rien voir !
Cela se passait il y a presque dix ans.
La seule chose de changée dans cette ville pourrie, c'est le fait que le maire Antoine Rufenacht, entrepreneur vautour des travailleurs du Maroc, a ... vendu son entreprise.
Cela fait un scandale en moins.
Il compte certainement donner aux bonnes œuvres le fric ?

Les journalistes larbins vont certainement lui demander s'il compte offrir aux Africains le produit de la plus-value accumulée !

C'est dans cette ville qu'impunément les petits Kévin, Luciano se font taper dessus et qu'une coalition de protecteurs puissants : procureur de la République, Inspecteur d'Académie en résidence permettent aux brutes de sévir contre les témoins.
C'est dans cette ville pourrie jusqu'à la moelle que je fus convoqué pour une plainte en diffamation.
C'est dans cette ville pourrie qu'un procureur, il y a plus de dix ans me fit transmettre un faux en écriture publique, pcc juge Paillette.
C'est dans cette ville pourrie que le maire laisse ses employés -ATSEM - taper les petits enfants de maternelle !

Mais ils ne courent aucun risque du côté des journalistes : des minables rampants, des minables larbins !
Le quatrième pouvoir, au Havre comme à Montivilliers, est le pouvoir de ramper !

LE QUATRIÈME POUVOIR DE RAMPER !

Ne pas faire de vague, cajoler les puissants, mépriser les pauvres, ignorer les SDF !

Ces journalistes minables attendaient, en novembre 2000, que je meurs de froid, dans l'escalier de secours du parking souterrain de la salle du Volcan !
Ils attendaient en 2000 que je meurs, une nuit de novembre, dans l'escalier du parking souterrain du communiste architecte Oscar Niemeyer !

Ils attendaient que je meurs en 2000, comme est mort en 2003 Sylvain Schiltz !

Ces journalistes minables ont un mort sur la conscience.

UN LAC DE PROMENADE DOMINICALE.

Pour les promeneurs des alentours du Havre, le lac du Moulin Calois est un des lieux principaux de promenade.
Montivilliers, ville de gauche, dirigée depuis des lustres par un maire PS et une "union de la gauche" préservée sous le nom "divers gauche" (malgré une triangulaire).
Montivilliers, ville typique de la formoisie pavillonnaire.
Un nombre ridicule de HLM, presque tous regroupés sur les hauteurs.
Accompagnés, sur la route d'Épouville d'un tout petit nombre d'autres HLM.
Et le reste de cette petite ville de 16 000 habitants est fait de petits bâtiments en centre ville et de pavillons.

C'est la ville bisounours de la formoisie moyenne.
Ici, l'enseignant est roi, le cadre moyen est dans son paradis.
La Lézarde, au nom évocateur, traverse la ville ; en remontant son cours, on va trouver une entreprise de blanchisserie, au Moulin Calois.
Sur les berges de cette petite rivière lézardant, un chemin de promenade.
C'est un lieu de balade dominicale idéale.
On va passer à côté des salles de la Payennière, lotissement, mais surtout, abri obligé de tous les mariages "champêtres" de la région.
La moyenne formoisie raffole de ces salles.
Pour quiconque habite cette ville, il était impossible d'ignorer la présence d'un SDF sur le bord du lac.
Ce "lac" n'était, en fait, qu'un bassin de retenue d'eau, mais aux apparences bucoliques.
La famille formoise, endimanchée, en faisait le tour dès qu'un rayon de soleil perçait.
Cela fait plus de quinze ans que j'eus l'occasion de faire le formois dans le coin, mais le paradis bisounours de l'égoïsme formois a dû rester identique.

UNE MAIRIE DE COLONIALISTES ÉGOÏSTES

Le larbin des puissants locaux - journaliste ? - vient nous raconter que le mort aurait eu la visite "de la mairie de Montivilliers" et qu'il aurait "refusé toute aide".
Plaisanterie.
Les communistes et les socialistes et les autres ne sont que des hypocrites, des menteurs, des magouilleurs.
La révolution mettra la lumière sur l'ampleur des vols que ces partis ont commis depuis un siècle.
La justice s'est intéressée à eux il y plus de quinze ans.
Ils seraient devenus honnêtes ?
Plaisanterie !

Les staliniens du PCF ont même recommencé à fabriquer des gangsters politiques !

Aux dernières élections municipales de Montivilliers, ils avaient sur leur liste un étudiant.
Un étudiant extraordinaire : le premier néostalinien.
Cette crapule PCF, Aurélien Lecacheur, digne rejeton d'une dynastie stalinienne eut l'honneur d'être le premier à ARRACHER TOUTES NOS AFFICHES ÉGALITARISTES sur les murs de l'université du Havre.
A peine Julie Amadis avait elle collé au mur un tract égalitariste qu'il se précipitait sous les rires de la proto-formoisie LCR, pour l'arracher rapidement - puis aller tapisser tout l'amphi des AG de couvertures de son journal stalinien, "l'Humanité".
Et cela pendant tous les mouvements.

La tradition de gangstérisme politique, que le Parti Communiste Français avait interrompu après le 21 juin 1973, il fallait que quelqu'un la renouvelle.
Aurélien Lecacheur, un enseignant fainéant sur le modèle de ceux que la révolution égalitariste chassera définitivement.
Trois mois pour enseigner l'usage de la souris d'ordinateur à des élèves de primaire.(CP CE 1)
C'est tout ce qu'il trouva à justifier lui-même, en réunion de comité exécutif : tous les responsables étaient éberlués du culot !
"A cet âge là"... "c'est déjà difficile" !...

La principale du collège Varlin, celle qui deviendra la complice de la brute Combret, s'était débarrassée de lui - à juste titre.
Mais les instituteurs de l'école primaire Varlin appréciaient ce fainéant revendicatif.
Les réseaux PCF sont très puissants pour les siens.
Mais, là, ils perdirent, et le fainéant alla fainéanter dans un autre collège où les réseaux PCF devaient être plus puissants.
Ses réseaux staliniens étaient très puissants : l'arracheur d'affiches, le fainéant, viré du collège Varlin - pour fainéantise caractérisée - par Carole Hervieu, est devenu, à Montivilliers, Adjoint au Maire Petite enfance Enfance Jeunesse (sic !). L'usage de la souris d'ordinateur va se développer sur cette ville!




L'imposture de ce parti de corrompus politiques qui encaissa tout le fric du patronat et qui fut condamné pour cela l'a condamné électoralement.
Mais le cadavre du stalinisme bouge encore : il fabrique encore des petits gangsters staliniens.
Le parti dont le service d'ordre cognait les trotskystes jusqu'en 1973, le parti du Goulag, le parti des assassins de Trotsky, le parti de la criminelle classe formoise russe peut encore nuire.

C'est donc dans la ville du gangster politique stalinien Lecacheur III qu'est mort un SDF.

Un hasard ?

DES PARTIS LARBINS DU CAPITALISME, DES PARTIS CRIMINELS

Le renégat Jospin, la marionnette du magouilleur Broussel Lambel sera jugé un jour pour le triste record économique qu'il battit en 1997 2002 : le record du nombre d'entreprises privatisées.
Les socialistes ne sont que de sombres hypocrites qui défendent une classe pourrie : la formoisie.
Mais leur défense cible les sommets de la classe. Le parti socialiste est le parti de la haute formoisie, quand le PCF est le parti de la moyenne formoisie.

Mais pour que Montivilliers se couvre de pavillons, il a fallu que quelqu'un travaille.

Et ce quelqu'un fut Ahmed de Constantine.
C'est sur le sang des victimes de Guy Mollet que les premiers pavillons ouvriers furent bâtis, qu'ils envahirent Montivilliers.
C'est sur le sang des pouvoirs spéciaux - de 1956 - de la Guerre d'Algérie que, en faveur des sommets de ce qui n'était plus la "classe ouvrière", fut aspirée la plus-value nécessaire pour transformer des "prolétaires" français en propriétaires immobiliers.
C'est le sang de Ahmed, de Yousouf, de Brahim que le Parti Communiste Français fit couler en 1956 en votant les pouvoirs spéciaux, pour assurer aux "prolétaires" de Montivilliers l'égoïsme et les finances nécessaires à cette belle ville bisounours.

Ville de magouille où les enfants des sommets de la formoisie moyenne font de l'allemand au collège "Mamy Nova" devenu Raymond Queneau : il faut bien trier le bon grain de l'ivraie.
C'est dans le lycée Jean Prévôt que la seconde spéciale informatique permet de trier les élites de la formoisie : classe de seconde spéciale (à recrutement "départemental") et moyens spéciaux pour les futurs bacheliers de section S.
Cette classe de seconde spéciale devait permettre de concurrencer, au bac, celle du lycée bourgeois de la ville du Havre - le lycée François premier de Jean Paul Sartre.

Mais quand la formoisie sait magouiller pour favoriser ses rejetons, elle doit conserver son indifférence pour les plus pauvres.

Car à qui ferait-on croire qu'en plein hiver, un être humain irait choisir de faire du camping au Moulin Calois ?

Le larbin des puissants, le scribouillard du torchon local, ose écrire :
" Lundi soir, une équipe du SAMU social était venue à son chevet pour prendre de ses nouvelles et lui suggérer une solution d'hébergement."
On meurt content à Montivilliers, on meurt content dans la ville des arracheurs d'oreilles, dans la ville des arracheurs de tracts.
On y meurt content : "une équipe du SAMU social était venue (...) suggérer une solution d'hébergement."

On meurt avec une "suggestion" dans les oreilles.

J'eus une pareille suggestion en l'an 2000.
Une "suggestion" du sous-préfet du Havre.
Par écrit.
Comme la loi l'y contraignait !
Sa suggestion, ÉCRITE, consistait à m'inciter à rejoindre les locaux de la secte américaine ARMÉE DU SALUT.
C'est muni d'une telle attestation écrite que je devins SDF en octobre 2000.

REJOINDRE UNE SECTE !

Voilà la suggestion qu'un larbin du capitalisme français osa me faire.
On connaît l'hypocrisie de cette classe pourrie.
On voit aujourd'hui l'hypocrisie de la classe formoise.
Dans quel local pourri la municipalité formoise a-t-elle prévu de stocker les SDF pour l'hiver ?
Dans une secte ? Un local à poux ? Un gymnase ? L'église du centre ville ?

Cette municipalité de "gauche" ne mérite que des crachats !

La seule suggestion possible, cela fait quinze ans qu'elle est la même : renverser le capitalisme pour en finir avec ces morts de misère.

Mais cela fait quinze ans en Terre du Nord, car cela fait des décennies que la gauche française gouverne sur les cadavres du Sud.
La seule nouveauté est maintenant qu'elle gouverne, localement ou nationalement, sur les cadavres du Nord.

Aujourd'hui, 8200 bébés africains sont morts.
Des bébés de moins de un an.
Bruno Michel, 68 ans, s'ajoute à la liste.
Victime des gangsters capitalistes "gaullistes", victimes des gangsters de gauche.
Sa mort s'ajoute à celle des trois millions de bébés africains qui sont morts en 2008.

Tous les partis sont coresponsables de l'assassinat de masse que subissent les pauvres.
Leurs SAMU sociaux ne sont que les œuvres humanitaires des gangsters capétiens.
Les Montivillons ont toléré de voir, sous leurs yeux, un homme mourir.
Ils l'ont vu mourir, restés au chaud de leurs petits pavillons.

Je connaissais, autrefois, plusieurs habitants de ce quartier.
Ils ne m'ont pas vu mourir.
Mais qu'il soit bien clair que cette classe formoise, cette classe pavillonnaire, cette classe de propriétaires immobiliers dont le héraut s'appelle maintenant Olivier Besancenot ne connaîtra aucune pitié.

Le jour de la vraie révolution, leurs pavillons seront confisqués, ils deviendront locataires - comme tout le monde - et leurs salaires seront ramenés à 1000 euros.

Quant au jeune gangster stalinien produit du parti de la criminelle colonialiste Buffet, qu'il sache bien qu'après ses arrachages de tracts, après sa fainéantise à l'encontre des élèves qui lui furent confiés - sans parler de l'arrogance méprisante qu'il avait pour eux - , cet évènement, cette mort, ce crime, dont il est le complice n'est qu'un élément de plus dont Internet portera la trace.
Définitivement.

Chaque être humain est comptable de ses actes.
Christine Boutin sera jugée en France, après la révolution, pour tous les morts de 2008.
Comme pour sa complicité avec le squatter Bolufer.

Chaque être humain est comptable de ses actes.
Tous les gangsters qui appartinrent à des gouvernements d'occupation de l'Afrique seront tous jugés.

Chaque être humain est comptable de ses actes.
Et chaque membre de l'équipe municipale qui ne démissionnera pas, en se retirant DÉFINITIVEMENT de toute fonction élective sera, lui aussi, considéré comme un minable gangster politique.

La révolution sera égalitariste et les protecteurs des égoïstes, les protecteurs des exploiteurs seront impitoyablement dénoncés.

Où qu'ils soient !

===
POST-SCRIPTUM 03/12/08 20:01
Deux villes pourries dans un pays pourri !
Le corrompu Sarkozy, la marionnette de Bolloré lutte contre la pauvreté : il sort l'extraordinaire somme de 150 millions d'euros du bas de laine de ses mandants capitalistes.
Ceux-ci vont hurler : les 360 milliards à eux consacrés sont insuffisants. Il faut arrêter d'aider les assistés.
Naturellement, les assistés sont les pauvres. L'assistanat ne saurait caractériser - pour ces gangsters racketteurs - l'attitude de cet Etat pourrissant à leur égard.
2400 fois plus pour les riches que pour les pauvres, c'est le rapport que Sarkozy donne entre la valeur de la vie d'un pauvre et celle d'un riche.


=
NOTES


Voici la liste de ceux qui furent désignés responsables de cette ville formoise :
Liste municipale

Voici la liste définitive du Rassemblement de la Gauche démocratique et citoyenne pour Montivilliers, “Vivre ensemble à Montivilliers” :
1°) Daniel PETIT (Tête de liste, Contremaître expert chez TOTAL, sympathisant socialiste) 59 ans
2°) Ghislaine HERVE (Agent d’accueil CPAM, militante syndicale, sympathisante socialiste) 54 ans
3°) Jean-Michel VALLERY (Conseiller municipal sortant, socialiste) 58 ans
4°) Véronique BLONDEL (Technicienne de laboratoire, conseillère régionale, communiste) 52 ans
5°) Jean-Pierre LAMARE (Associatif écologiste) 61 ans
6°) Josette JEANNE DIT FOUQUE (Retraitée de la mairie de Montivilliers) 63 ans
7°) Pascal DUMESNIL (Directeur d’un établissement social, militant associatif) 43 ans
8°) Viviane RIOULT (Retraitée, socialiste) 60 ans
9°) Gilles BELLIERE (Logisticien secteur bancaire, ancien conseiller prud'hommal) 52 ans
10°) Marie-Hélène FAMERY (En formation de conseillère en insertion professionnelle) 38 ans
11°) Aurélien LECACHEUR (Assistant pédagogique, communiste) 22 ans
12°) Pascale GALAIS (Technico-commerciale, ancienne adjointe au maire de Montivil liers) 54 ans
13°) Thierry LEROUX (Cadre au Port Autonome) 53 ans
14°) Gwénaëlle COROUGE (Professeur des écoles) 34 ans
15°) André LESEIGNEUR (Retraité Renault, communiste) 61 ans
16°) Nada AFIOUNI (Maître de conférences en anglais, militante syndicale) 38 ans
17°) Jean Claude BLONDEL (Adjoint au maire sortant, communiste) 58 ans
18°) Annick HAUCHECORNE (Agent d’accueil à la CPAM) 52 ans
19°) Patrick GUARD (Directeur d’école) 51 ans
20°) Anne DARBON (Mère au foyer) 37 ans
21°) Jacques THIEUSSELIN (Commerçant) 49 ans
22°) Christine LECACHEUR (Assistante maternelle agréée, communiste) 45 ans
23°) Nicolas GUILLET (Maître de conférences en droit public, associatif parents d’élèves) 35 ans
24°) Dominique GOUVEIA (Assistante maternelle) 41 ans
25°) Gilbert JOIGNANT (Retraité Total, Représentant locataires HLM, apparenté communiste) 63 ans
26°) Nathalie LEPREVOST (Educatrice) 43 ans
27°) Antoine TAUVEL (Etudiant) 21 ans
28°) Andrée BAR (Conseillère sociale, apparentée communiste) 54 ans
29°) Jean-Luc HEBERT (Cadre industrie pétrolière, délégué syndical) 52 ans
30°) Martine HURE (Présidente d’une asso locale, ancienne adjointe au maire, socialiste) 57 ans
31°) Gérard BODIN (technicien de laboratoire, associatif écologiste) 44 ans
32°) Florence BAUDRY (Assistante maternelle) 45 ans
33°) Hubert COLLINEAU (Cadre SNCF) 37 ans
Moyenne d'âge : 48 ans

















NB : Un homme meurt dans la rue, près d'un lac. Il meurt de misère, il est mort du capitalisme.
Le journalisme torchon met la nouvelle en ... page 8.
Il est vrai qu'en page 3, il y a les 103 ans de Jeanne Aubert, Connaissance du Monde, découverte de l'Écosse et "Dernier jour pour visiter la frégate "La Motte-Picquet".
Les engins criminels de l'impérialisme colonialiste assassin est plus important que la mort d'un SDF !
En page 6 "délégation UMP PS PC pour défendre le réacteur auprès de l'Etat".
Le trio de gangsters colonialistes pour défendre la pollution nucléaire. Il veulent un réacteur nucléaire EPR à Penly. C'est plus important que la mort d'un homme.
Sur la même page, 2 colonnes pour "les deux patrons socialistes" au sujet de la réunification de la Normandie.
Un journalisme de la servilité va mettre la mort d'un homme deux pages plus loin.
Ils n'ont pas oublié, page 5, d'indiquer les endroits des contrôles routiers.

Et ces gens-là se regardent dans la glace ?

Juste à côté des contrôles routiers, en page 5, le journaliste larbin peureux de 1987- Frank Duboc - est encore là : diminué par la flagornerie, il en est réduit à rédiger des lignes inintéressantes sur un film inintéressant tiré d'un fait divers parricide.
Il a raté sa vie par trouille de s'attaquer à Thomson.
L'émule du Washington Post et du New York Times s'est enterré lui-même dans la presse des résistants, devenue presse Hersant, devenue presse torchon, devenue torchon tout court.
Internet va aussi faire la ménage ici : cherchez donc le site du Havre Libre !




PS vendredi 5/12/2008
lu un blog local http://www.lehavrais.fr

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